VIDÉO
Français

© LIGHT CONE
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Poète et « filmeur », Jonas Mekas est aussi journaliste, critique, programmateur et conservateur. Portevoix d'un cinéma alternatif et expérimental, l'un des grands cinéastes qu'a connu l'Amérique, mort à 96 ans, et dont nous célébrons le centenaire en 2022, hommage !
Né en Lituanie, chassé de son pays par les troupes soviétiques, Jonas Mekas est interné plusieurs années, avec son frère Adolfas, dans un camp de travail de l'Allemagne nazie, puis dans des camps de réfugiés au sortir de la guerre, avant de pouvoir rejoindre les États-Unis en 1949. Plongé dans la jungle new-yorkaise, il s'achète une caméra Bolex, qui ne le quittera plus, et commence à tenir un journal filmé. Des instants de vie, la solitude des exilés ou l'effervescence de la contre-culture des années 60, autant d'archives de l'intime, où se croisent Allen Ginsberg, Andy Warhol et le Velvet Underground.
Walden, Reminiscences of a Journey to Lithuania, Lost Lost Lost... Des films qui révolutionnent le monde cinématographique et participent à l'épanouissement du cinéma underground, érigé en parallèle à l'industrie hollywoodienne.
Cinémathèque française
Programme détaillé :
Jonas Mekas
WALDEN (1ERE BOBINE)
1964-1969 / 16mm / couleur / sonore / 30' 00
NOTES ON THE CIRCUS
1966 / 16mm / couleur / sonore / 12' 00
HAPPY BIRTHDAY TO JOHN
1995 / 16mm / couleur / sonore / 18' 00
Né en Lituanie, chassé de son pays par les troupes soviétiques, Jonas Mekas est interné plusieurs années, avec son frère Adolfas, dans un camp de travail de l'Allemagne nazie, puis dans des camps de réfugiés au sortir de la guerre, avant de pouvoir rejoindre les États-Unis en 1949. Plongé dans la jungle new-yorkaise, il s'achète une caméra Bolex, qui ne le quittera plus, et commence à tenir un journal filmé. Des instants de vie, la solitude des exilés ou l'effervescence de la contre-culture des années 60, autant d'archives de l'intime, où se croisent Allen Ginsberg, Andy Warhol et le Velvet Underground.
Walden, Reminiscences of a Journey to Lithuania, Lost Lost Lost... Des films qui révolutionnent le monde cinématographique et participent à l'épanouissement du cinéma underground, érigé en parallèle à l'industrie hollywoodienne.
Cinémathèque française
Programme détaillé :
Jonas Mekas
WALDEN (1ERE BOBINE)
1964-1969 / 16mm / couleur / sonore / 30' 00
NOTES ON THE CIRCUS
1966 / 16mm / couleur / sonore / 12' 00
HAPPY BIRTHDAY TO JOHN
1995 / 16mm / couleur / sonore / 18' 00
Date(s)
- 07 décembre 2022
Tarif(s)
Gratuit
Entrée libre, rendez-vous à l’accueil du musée
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur

© Baptiste Pinteaux
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Dans le cadre du Mois du film documentaire et en présence du réalisateur, le MuMa vous invite à cette projection MuMaBox !
Dans les yeux de son petit-fils, Manette, belle femme aux longs cheveux blancs, apparaît comme une princesse de conte de fées. Recluse au fond des bois, elle vit en harmonie avec « les choses » (plutôt que « la nature », indique-t-elle), écoutant le bruit du vent dans les tilleuls et des airs d’opéra qu’elle sut chanter jadis. Baptiste lui demande de raconter sa vie, ses amours, ses peines, à toute heure du jour et de la nuit, dans le salon ou sur la terrasse surplombant un pré. Elle évoque des déceptions, le désir et sa dissolution, les rêves illusoires. Baptiste la regarde broder, l’écoute lire de vieux journaux intimes, lit lui-même un conte qu’elle a écrit. Il tord la perspective pour accueillir cette femme dure et majestueuse dans ses cadres, pour faire entrer plus de choses auprès d’elle. L’indéfinition de la photographie DV nimbe d’un voile vaporeux le bric-à-brac domestique, décor baroque qui apparaît tantôt comme un écrin, dans lequel Manette semble confortablement engloutie, tantôt comme un piège qui l’enserre.
Olivia Cooper-Hadjian
Programme :
Baptiste Pinteaux, Nachtlied, 2022 / vidéo / couleur / sonore
73'00
Dans les yeux de son petit-fils, Manette, belle femme aux longs cheveux blancs, apparaît comme une princesse de conte de fées. Recluse au fond des bois, elle vit en harmonie avec « les choses » (plutôt que « la nature », indique-t-elle), écoutant le bruit du vent dans les tilleuls et des airs d’opéra qu’elle sut chanter jadis. Baptiste lui demande de raconter sa vie, ses amours, ses peines, à toute heure du jour et de la nuit, dans le salon ou sur la terrasse surplombant un pré. Elle évoque des déceptions, le désir et sa dissolution, les rêves illusoires. Baptiste la regarde broder, l’écoute lire de vieux journaux intimes, lit lui-même un conte qu’elle a écrit. Il tord la perspective pour accueillir cette femme dure et majestueuse dans ses cadres, pour faire entrer plus de choses auprès d’elle. L’indéfinition de la photographie DV nimbe d’un voile vaporeux le bric-à-brac domestique, décor baroque qui apparaît tantôt comme un écrin, dans lequel Manette semble confortablement engloutie, tantôt comme un piège qui l’enserre.
Olivia Cooper-Hadjian
Programme :
Baptiste Pinteaux, Nachtlied, 2022 / vidéo / couleur / sonore
73'00
Date(s)
- 16 novembre 2022
Tarif(s)
Gratuit
Entrée libre, rendez-vous à l’accueil du musée
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur

© LIGHT CONE
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Ce 19 octobre, le MuMa vous invite à ouvrir une nouvelle saison de MuMaBox avec un film choisi en écho à l’exposition Le vent. « Cela qui ne peut être peint. ». L’exposition est terminée, mais le vent reste bien présent dans nos quotidiens !
Le film a été tourné depuis la petite cabine d’un bateau amarré près de l’embouchure de la rivière Keyhaven. C’est un endroit que je connais bien depuis mon enfance et qui a été le lieu de plusieurs de mes peintures, films et photographies. La caméra est fixe mais suit les mouvements du bateau engendrés par le vent et la marée. Les changements de lumière et de météo, les variations de hauteur liée à la marée et les changements soudains de la direction du vent sont accentués par les intervalles qui séparent les prises. Le son a été enregistré selon le même principe, et a ensuite été "coupé" pour correspondre à l'image. Avec ce dispositif, le film enregistre non seulement les changements de lumière et de temps sur une période de trois semaines, mais aussi, de manière très directe, l'interaction entre les forces des vents et de la marée.
Chris Welsby
Programme :
Chris Welsby, Estuary, 1980, 16mm / couleur / sonore
55'00
Le film a été tourné depuis la petite cabine d’un bateau amarré près de l’embouchure de la rivière Keyhaven. C’est un endroit que je connais bien depuis mon enfance et qui a été le lieu de plusieurs de mes peintures, films et photographies. La caméra est fixe mais suit les mouvements du bateau engendrés par le vent et la marée. Les changements de lumière et de météo, les variations de hauteur liée à la marée et les changements soudains de la direction du vent sont accentués par les intervalles qui séparent les prises. Le son a été enregistré selon le même principe, et a ensuite été "coupé" pour correspondre à l'image. Avec ce dispositif, le film enregistre non seulement les changements de lumière et de temps sur une période de trois semaines, mais aussi, de manière très directe, l'interaction entre les forces des vents et de la marée.
Chris Welsby
Programme :
Chris Welsby, Estuary, 1980, 16mm / couleur / sonore
55'00
Date(s)
- 19 octobre 2022
Tarif(s)
Gratuit
Entrée libre, rendez-vous à l’accueil du musée
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur
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Normandie Impressionniste fêtera fin août les 150 ans d’Impression, soleil levant de Monet. A cette occasion, le MuMa invite Caroline Duchatelet, artiste contemporaine, pour la projection de l’une de ses œuvres. Et proposera un nouveau parcours numérique dans sa collection permanente, au premier étage du musée.
Pour cet événement, le musée ouvrira ses portes au lever du soleil : un moment privilégié pour découvrir l’exposition Le vent. « Cela qui ne peut être peint ».
• Les aubes noires
L’artiste Caroline Duchatelet a fait de l’aube l’un de ses sujets de recherche et d’expérimentation. Le MuMa présentera sa vidéo « Dimanche 9 août » qui fait partie de la série des « Aubes noires ». Mais plus qu'à une simple projection, c'est à une expérience sensorielle, méditative... que le musée invitera ses visiteurs.
Rendez-vous à l’accueil du MuMa
• Un parcours de visite
Le MuMa mettra également en service un nouveau parcours de visite, au format numérique, avec comme fil rouge, le motif du disque, du cercle, du rond… clin d’œil à la lune et au soleil que les artistes ont maintes fois représentés, jouant de cette forme géométrique simple pour nous parler, parfois, de tout autre chose…
Un QR code visible à proximité de 5 oeuvres situées au 1er étage du musée permettra d’accéder aux contenus en ligne.
Accès gratuit pour ces événements. Néanmoins, l'accès à l'exposition Le vent. « Cela qui ne peut être peint » reste soumis à l'achat d'un billet d'entrée.
Horaires détaillés :
De 7h à 21h le samedi
De 7h à 19h le dimanche
A propos de Caroline Duchatelet :
« Chaque paysage a son rythme, sa lumière, ses lumières, sa respiration, ses saisons. Marcher, attendre. M’accorder à ce paysage, à ses moments changeants. L’explorer, le rencontrer, suivre une orientation, une surface d’accueil de la lumière, m’arrêter dans un lieu qui me retient. M’y retirer. Y vivre les petites heures, celles de solitude, d’éveil, d’émergence du jour ou de sa fin. Ces heures qui effacent les limites, qui fondent les formes, qui atténuent la vue. Ces heures où le temps se mesure encore au déplacement de l’ombre, où il s’éprouve physiquement dans ses variations de températures. Ces heures où l’on perçoit les mouvements de lumière faire respirer le paysage, vagues d’ombres, vagues de brumes, lueurs qui apparaissent, qui s’effacent. Leur rythme est souffle. Un paysage respire et à chaque aube renaît toujours autre. »
La recherche de Caroline Duchatelet porte sur le paysage et la lumière. Elle a commencé par la sculpture, puis ses créations se sont insérées dans un paysage, une architecture. L'artiste s'est ensuite mise à l'écoute de la lumière elle-même. Elle réalise alors des installations in situ, associées à des compositions lumineuses. Elle continue aujourd'hui en explorant le champ de la vidéo et filme des paysages se transformant sous la lumière, dont une série, initiée en 2009 alors qu’elle est pensionnaire à la Villa Médicis, consacrée à l'aube.
https://www.documentsdartistes.org/artistes/duchatelet/repro.html
Pour cet événement, le musée ouvrira ses portes au lever du soleil : un moment privilégié pour découvrir l’exposition Le vent. « Cela qui ne peut être peint ».
• Les aubes noires
L’artiste Caroline Duchatelet a fait de l’aube l’un de ses sujets de recherche et d’expérimentation. Le MuMa présentera sa vidéo « Dimanche 9 août » qui fait partie de la série des « Aubes noires ». Mais plus qu'à une simple projection, c'est à une expérience sensorielle, méditative... que le musée invitera ses visiteurs.
Rendez-vous à l’accueil du MuMa
• Un parcours de visite
Le MuMa mettra également en service un nouveau parcours de visite, au format numérique, avec comme fil rouge, le motif du disque, du cercle, du rond… clin d’œil à la lune et au soleil que les artistes ont maintes fois représentés, jouant de cette forme géométrique simple pour nous parler, parfois, de tout autre chose…
Un QR code visible à proximité de 5 oeuvres situées au 1er étage du musée permettra d’accéder aux contenus en ligne.
Accès gratuit pour ces événements. Néanmoins, l'accès à l'exposition Le vent. « Cela qui ne peut être peint » reste soumis à l'achat d'un billet d'entrée.
Horaires détaillés :
De 7h à 21h le samedi
De 7h à 19h le dimanche
A propos de Caroline Duchatelet :
« Chaque paysage a son rythme, sa lumière, ses lumières, sa respiration, ses saisons. Marcher, attendre. M’accorder à ce paysage, à ses moments changeants. L’explorer, le rencontrer, suivre une orientation, une surface d’accueil de la lumière, m’arrêter dans un lieu qui me retient. M’y retirer. Y vivre les petites heures, celles de solitude, d’éveil, d’émergence du jour ou de sa fin. Ces heures qui effacent les limites, qui fondent les formes, qui atténuent la vue. Ces heures où le temps se mesure encore au déplacement de l’ombre, où il s’éprouve physiquement dans ses variations de températures. Ces heures où l’on perçoit les mouvements de lumière faire respirer le paysage, vagues d’ombres, vagues de brumes, lueurs qui apparaissent, qui s’effacent. Leur rythme est souffle. Un paysage respire et à chaque aube renaît toujours autre. »
La recherche de Caroline Duchatelet porte sur le paysage et la lumière. Elle a commencé par la sculpture, puis ses créations se sont insérées dans un paysage, une architecture. L'artiste s'est ensuite mise à l'écoute de la lumière elle-même. Elle réalise alors des installations in situ, associées à des compositions lumineuses. Elle continue aujourd'hui en explorant le champ de la vidéo et filme des paysages se transformant sous la lumière, dont une série, initiée en 2009 alors qu’elle est pensionnaire à la Villa Médicis, consacrée à l'aube.
https://www.documentsdartistes.org/artistes/duchatelet/repro.html
Date(s)
- du 27 août 2022 au 28 août 2022
Tarif(s)
Gratuit
Gratuit (néanmoins, l'accès à l'exposition Le vent. "Cela qui ne peut être peint". reste soumis à l'achat d'un billet d'entrée)
Rendez-vous à l'accueil du MuMa
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur
Rendez-vous à l'accueil du MuMa
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur

. © Jacques Perconte
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Avec les immenses cargos, les couleurs de l’horizon viendront, poussées par les vents, prendre les blancs des falaises pour les projeter dans les verts de la végétation des vals et s’enfoncer dans les terres jusqu’aux industries de Rouen. De là emportées par les vents contraires, les colonnes de fumée des usines se disperseront au fil des routes et des champs pour revenir aux falaises blanches. Et des dizaines de mètres à pics sur la mer, les mouettes dans leurs danse iront défier le vertige de nos sens pour nous conduire au ciel. Ciel qui se renversa pour nous mettre la tête à l’envers, la mer au dessus de nous, puis partout.
Programme :
Jacques Perconte, Albâtre, 2018
Programme :
Jacques Perconte, Albâtre, 2018
Date(s)
- 11 mai 2022
Tarif(s)
Gratuit
Entrée libre, rendez-vous à l’accueil du musée
Nombre de places disponibles : fonction des jauges applicables à la date de l’événement.
Nombre de places disponibles : fonction des jauges applicables à la date de l’événement.

. © Light cone
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40 ans de Light Cone
Carte blanche à Emmanuel Lefrant, directeur de Light Cone
Light Cone, qui célèbre en 2022 son 40ème anniversaire, oeuvre depuis ses débuts pour la distribution, la diffusion, la connaissance et la sauvegarde du cinéma expérimental dont elle s’attache à assurer la promotion en France et dans le monde. Le catalogue qui, en quinze ans, s'est considérablement enrichi (passant de 3500 à 6000 titres, devenant ainsi l'une des plus importantes archives de cinéma expérimental au monde), réunit des cinématographies d'origines très diverses, sur les plans géographiques, historiques et formels. Le programme présenté au MuMa se veut l'écho de cette diversité.
Programme :
Patrick Bokanowski, Au bord du lac, 1993
Mike Rollo, Eidolon, 2020
Larry Gottheim, Fog line, 1970
Oswell Blakeston & Francis Bruguière, Light rythms, 1929-1930
Anita Thacher, Loose corner, 1986
Mara Mattuschka, Parasympathica, 1986
Charlotte Pryce, Prima materia, 2015
Takashi Ito, Spacy, 1981
Laszlo Moholy-Nagy, Tönendes ABC – ABC in sound, 1933
Claudio Caldini, Ventana, 1975
Carte blanche à Emmanuel Lefrant, directeur de Light Cone
Light Cone, qui célèbre en 2022 son 40ème anniversaire, oeuvre depuis ses débuts pour la distribution, la diffusion, la connaissance et la sauvegarde du cinéma expérimental dont elle s’attache à assurer la promotion en France et dans le monde. Le catalogue qui, en quinze ans, s'est considérablement enrichi (passant de 3500 à 6000 titres, devenant ainsi l'une des plus importantes archives de cinéma expérimental au monde), réunit des cinématographies d'origines très diverses, sur les plans géographiques, historiques et formels. Le programme présenté au MuMa se veut l'écho de cette diversité.
Programme :
Patrick Bokanowski, Au bord du lac, 1993
Mike Rollo, Eidolon, 2020
Larry Gottheim, Fog line, 1970
Oswell Blakeston & Francis Bruguière, Light rythms, 1929-1930
Anita Thacher, Loose corner, 1986
Mara Mattuschka, Parasympathica, 1986
Charlotte Pryce, Prima materia, 2015
Takashi Ito, Spacy, 1981
Laszlo Moholy-Nagy, Tönendes ABC – ABC in sound, 1933
Claudio Caldini, Ventana, 1975
Date(s)
- 06 avril 2022
Tarif(s)
Gratuit
Entrée libre, rendez-vous à l’accueil du musée
Nombre de places disponibles : fonction des jauges applicables à la date de l’événement.
Nombre de places disponibles : fonction des jauges applicables à la date de l’événement.

. © Félix Dufour-Laperrière
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Essai documentaire filmé lors d’une traversée de l’océan à bord d’un navire de charge. Un film sur l’immensité, sur la foi, sur les mouvements ininterrompus des flots et leur puissance. Et enfin, peut-être surtout, sur les hommes à bord, témoins et acteurs de cette vie entre deux rives, personnages en huis clos au milieu de l’infini. Transatlantique fait le récit du périple et du quotidien des marins et révèle le navire comme microcosme et métaphore : une île humaine au cœur d’un grand ailleurs.
Programme :
Félix Dufour-Laperrière, Transatlantique, 2014
Programme :
Félix Dufour-Laperrière, Transatlantique, 2014
Date(s)
- 16 mars 2022
Tarif(s)
Gratuit
Entrée libre, rendez-vous à l’accueil du musée
Nombre de places disponibles : fonction des jauges applicables à la date de l’événement.
Nombre de places disponibles : fonction des jauges applicables à la date de l’événement.

Affiche Gaston Prunier, Peindre avec Humanité / Un film de Nicolas Eprendre / Scotto Productions
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Diffusion du documentaire de Nicolas Éprendre
Peindre avec Humanité, 52' Produit par Scotto Productions
➤ Au cinéma Le Studio (3, rue Général Sarrail - Le Havre) :
Lundi 7 février 2022 à 20h30
➤ Sur France 3 Normandie :
le jeudi 10 février 2022 vers 23 h.
Peindre avec Humanité, 52' Produit par Scotto Productions
➤ Au cinéma Le Studio (3, rue Général Sarrail - Le Havre) :
Lundi 7 février 2022 à 20h30
➤ Sur France 3 Normandie :
le jeudi 10 février 2022 vers 23 h.
Le réalisateur, Nicolas Éprendre, s’intéresse de longue date à ce peintre, né au Havre en 1863. Prunier, membre fondateur du Cercle de l’art moderne, élève de l’école d’art du Havre, est , de son vivant, un artiste reconnu parmi les suiveurs des impressionnistes et des proches des symbolistes. D’origine modeste, il se tourne très vite vers des sujets industriels ou portuaires, croquant le labeur éprouvant des charbonniers, débardeurs, ou autres ouvriers travaillant dans les cales sèches.
Nicolas Éprendre, suite à ses recherches sur l’œuvre de Prunier, fait la connaissance de Colette Monestier, petite-nièce de l’artiste, vivant dans l’ancien atelier de son grand-oncle à Paris. Grâce à ce travail de redécouverte du fonds d’atelier, le MuMa acquiert en 2020, toute une série d’aquarelles de Prunier. Le documentaire retrace la rencontre avec la petite nièce du peintre, l’exhumation de ces pépites , partagée avec les équipes du musée des Beaux-Arts de Caen et du MuMa. Plusieurs de ces aquarelles ont été exposées au MuMa lors de Nuits électriques en 2020, d’autres également au sein de l’exposition A l’école de Charles Lhullier.

Nicolas Eprendre
Date(s)
- 10 février 2022

Affiche Gaston Prunier, Peindre avec Humanité / Un film de Nicolas Eprendre / Scotto Productions
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Diffusion du documentaire de Nicolas Éprendre
Peindre avec Humanité, 52' Produit par Scotto Productions
➤ Au cinéma Le Studio (3, rue Général Sarrail - Le Havre) :
Lundi 7 février 2022 à 20h30
➤ Sur France 3 Normandie :
le jeudi 10 février 2022 vers 23 h.
Peindre avec Humanité, 52' Produit par Scotto Productions
➤ Au cinéma Le Studio (3, rue Général Sarrail - Le Havre) :
Lundi 7 février 2022 à 20h30
➤ Sur France 3 Normandie :
le jeudi 10 février 2022 vers 23 h.
Le réalisateur, Nicolas Éprendre, s’intéresse de longue date à ce peintre, né au Havre en 1863. Prunier, membre fondateur du Cercle de l’art moderne, élève de l’école d’art du Havre, est , de son vivant, un artiste reconnu parmi les suiveurs des impressionnistes et des proches des symbolistes. D’origine modeste, il se tourne très vite vers des sujets industriels ou portuaires, croquant le labeur éprouvant des charbonniers, débardeurs, ou autres ouvriers travaillant dans les cales sèches.
Nicolas Éprendre, suite à ses recherches sur l’œuvre de Prunier, fait la connaissance de Colette Monestier, petite-nièce de l’artiste, vivant dans l’ancien atelier de son grand-oncle à Paris. Grâce à ce travail de redécouverte du fonds d’atelier, le MuMa acquiert en 2020, toute une série d’aquarelles de Prunier. Le documentaire retrace la rencontre avec la petite nièce du peintre, l’exhumation de ces pépites , partagée avec les équipes du musée des Beaux-Arts de Caen et du MuMa. Plusieurs de ces aquarelles ont été exposées au MuMa lors de Nuits électriques en 2020, d’autres également au sein de l’exposition A l’école de Charles Lhullier.

Nicolas Eprendre
Date(s)
- 07 février 2022

© Klaus Wyborny / LIGHT CONE
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Ce film musical expérimental fait référence à l'œuvre philosophique d'Osaald Spengler, Der Untergang des Abendslandes (The Decay of the West, 1918). Wyborny n'a pas entrepris de faire une version cinématographique des théories de Spengler, mais plutôt une réflexion visuelle sur l'ère moderne ; un voyage stroboscopique en cinq parties vers des paysages industriels, naturels et urbains. Il utilise 6 299 plans, montés directement dans une caméra Super8. Chaque note de piano et vibrato de violon évoque une nouvelle image : bâtiments démolis, décombres, destruction et nature, le tout tourné entre 1979 et 2010 dans des lieux tels que New York, la Ruhr, Hambourg, l'Afrique de l'Est et Rimini.
Programme :
Klaus Wyborny
STUDIEN ZUM UNTERGANG DES ABENDLANDS - Études sur Le Déclin de l'Occident
1979-2010 / couleur / sonore / 80' 00
Programme :
Klaus Wyborny
STUDIEN ZUM UNTERGANG DES ABENDLANDS - Études sur Le Déclin de l'Occident
1979-2010 / couleur / sonore / 80' 00
Date(s)
- 19 janvier 2022
Tarif(s)
Gratuit
Entrée libre, rendez-vous à l’accueil du musée
Nombre de places disponibles : fonction des jauges applicables à la date de l’événement.
Port du masque obligatoire
Nombre de places disponibles : fonction des jauges applicables à la date de l’événement.
Port du masque obligatoire