VIDÉO
Français

© Christophe Guérin, LE HAVRE : PORT, 2008
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Divers éléments caractérisent l’espace du port : des structures bâties, quais, bassins, canaux, écluses… des systèmes de levage et de transport, grues, portiques, charriots, cavaliers… des zones de stockage de conteneurs, citernes et entrepôts.
On retrouve ces composantes du paysage portuaire, à des échelles différentes, dans tous les grands ports du monde, comme à Rotterdam (MAAS OBSERVATION) ou Los Angeles (PORT NOIR).
Cet espace portuaire est le lieu de travail des dockers, les travailleurs qui assurent chargement et déchargement des marchandises, dont le métier a évolué en même temps que le transport maritime. Si leurs conditions de travail dans les années 50 (VIVENT LES DOCKERS) sont très éloignées de celles d’aujourd’hui, certaines de leurs préoccupations résonnent singulièrement avec l’actualité récente.
En écho à l’exposition « Ports en vues » présentée au MuMa du 8 novembre 2025 au 5 avril 2026
Programme détaillé :
Karel Doing & Greg Pope, MAAS OBSERVATION, 1997 / 16mm / n&b / sonore / 11'00
Christophe Guérin, LE HAVRE : PORT, 2008 / Super8 numérisé / n&b / son / 6'00
Laura Kraning, PORT NOIR, 2014 / HD / n&b / sonore /11'00
Viktor Brim, MONOSCAPE, 2017 / 2K / couleur / sonore / 16'41
Robert Ménégoz, VIVENT LES DOCKERS, 1951 / 35 mm numérisé / n&b / sonore /15'00
On retrouve ces composantes du paysage portuaire, à des échelles différentes, dans tous les grands ports du monde, comme à Rotterdam (MAAS OBSERVATION) ou Los Angeles (PORT NOIR).
Cet espace portuaire est le lieu de travail des dockers, les travailleurs qui assurent chargement et déchargement des marchandises, dont le métier a évolué en même temps que le transport maritime. Si leurs conditions de travail dans les années 50 (VIVENT LES DOCKERS) sont très éloignées de celles d’aujourd’hui, certaines de leurs préoccupations résonnent singulièrement avec l’actualité récente.
En écho à l’exposition « Ports en vues » présentée au MuMa du 8 novembre 2025 au 5 avril 2026
Programme détaillé :
Karel Doing & Greg Pope, MAAS OBSERVATION, 1997 / 16mm / n&b / sonore / 11'00
Christophe Guérin, LE HAVRE : PORT, 2008 / Super8 numérisé / n&b / son / 6'00
Laura Kraning, PORT NOIR, 2014 / HD / n&b / sonore /11'00
Viktor Brim, MONOSCAPE, 2017 / 2K / couleur / sonore / 16'41
Robert Ménégoz, VIVENT LES DOCKERS, 1951 / 35 mm numérisé / n&b / sonore /15'00
Date(s)
- 03 décembre 2025
Tarif(s)
Gratuit

© Florence Lazar, 2024 / Sister Productions
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Il y a quelques années, le cyclone Dean a retourné le sol de la Martinique : un cimetière d’esclavisés a resurgi à Anse Bellay. À l’hôpital psychiatrique se formule l’idée d’associer ce bout de terre en lisière de mer à une démarche curative inédite. Le lieu cristallise des attentions multiples que le film fait exister ensemble. S’entremêlent alors la parole des vivants, le soin des corps, les esprits des morts et l’empreinte coloniale. C’est la relation d’un lieu à ses invisibles, à ses fragments dispersés, le récit des plantes, ce qu’elles ont vu, ce qui a été tu.
Dans le cadre du Mois du film documentaire
Programme détaillé :
Florence Lazar, Sous les feuilles, 2024 / vidéo HD / couleur / sonore / 61’00
>> En présence de la réalisatrice (sous réserve)
Dans le cadre du Mois du film documentaire
Programme détaillé :
Florence Lazar, Sous les feuilles, 2024 / vidéo HD / couleur / sonore / 61’00
>> En présence de la réalisatrice (sous réserve)
Date(s)
- 05 novembre 2025
Tarif(s)
Gratuit

©Georges Rey, Microfilm, 1979, Courtesy Light Cone
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Ces microfilms n’ont rien à voir avec la dimension des images, mais avec le « personnage » récurent de cette série, le microphone. Instrument indispensable à la capture du son, on ne le voit jamais (sauf erreur) : il est en dehors de l’image, cantonné hors-champ.
Pas facile de sortir de l’invisibilité… Sous prétexte de lui permettre enfin d’apparaître dans le cadre, on fait subir au micro toutes sortes de situations incongrues : on le place dans le nez, dans la bouche, on le balance interminablement, on l’envoie dans les airs ou bien dans l’eau du port.
Mais il finira par se rebeller…
En préambule de cette série, WEEKEND de Walter Ruttmann, un film sans images mais avec du son : la première occurrence de cinéma pour l’oreille.
Dans le cadre du festival Pour Les Oiseaux
Programme détaillé :
Walter Ruttmann, WEEKEND, 1930 / sonore / 11’00
Georges Rey , MICROFILM, 1979 / 16mm numérisé / couleur / sonore / 6' 00
Bertran-Berrenger, MICRO-NEZ, 1989 / vidéo / couleur / sonore / 0' 51
Bertran-Berrenger, OUVERTURE FERMETURE, 2000 / vidéo / couleur / sonore / 1' 45
Bertran-Berrenger , NIGHT SHOT, 2000 / vidéo / couleur / sonore / 1' 53
Bertran-Berrenger, LARSEN, 1999 / vidéo / couleur / sonore / 1' 42
Bertran-Berrenger, DUO PRECARIO, 2006 / vidéo / couleur / sonore / 1' 50
Victoria Keddie , LAV MIC, 2018 / vidéo / couleur / sonore / 3' 15
Félix Blume, SON SEUL WILDTRACK, 2012-2020 / vidéo / couleur / sonore / 14' 30
Norman McLaren, DISCOURS DE BIENVENUE DE NORMAN MCLAREN, 1960 / 35 mm numérisé / n&b / sonore / 9’00
Pas facile de sortir de l’invisibilité… Sous prétexte de lui permettre enfin d’apparaître dans le cadre, on fait subir au micro toutes sortes de situations incongrues : on le place dans le nez, dans la bouche, on le balance interminablement, on l’envoie dans les airs ou bien dans l’eau du port.
Mais il finira par se rebeller…
En préambule de cette série, WEEKEND de Walter Ruttmann, un film sans images mais avec du son : la première occurrence de cinéma pour l’oreille.
Dans le cadre du festival Pour Les Oiseaux
Programme détaillé :
Walter Ruttmann, WEEKEND, 1930 / sonore / 11’00
Georges Rey , MICROFILM, 1979 / 16mm numérisé / couleur / sonore / 6' 00
Bertran-Berrenger, MICRO-NEZ, 1989 / vidéo / couleur / sonore / 0' 51
Bertran-Berrenger, OUVERTURE FERMETURE, 2000 / vidéo / couleur / sonore / 1' 45
Bertran-Berrenger , NIGHT SHOT, 2000 / vidéo / couleur / sonore / 1' 53
Bertran-Berrenger, LARSEN, 1999 / vidéo / couleur / sonore / 1' 42
Bertran-Berrenger, DUO PRECARIO, 2006 / vidéo / couleur / sonore / 1' 50
Victoria Keddie , LAV MIC, 2018 / vidéo / couleur / sonore / 3' 15
Félix Blume, SON SEUL WILDTRACK, 2012-2020 / vidéo / couleur / sonore / 14' 30
Norman McLaren, DISCOURS DE BIENVENUE DE NORMAN MCLAREN, 1960 / 35 mm numérisé / n&b / sonore / 9’00
Date(s)
- 01 octobre 2025
Tarif(s)
Gratuit

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A l'occasion de l'exposition « Paquebots 1913-1942. Une esthétique transatlantique », le MuMa accueille Jean-Marie Chatelier et Olivier Lecoeur pour la projection de leur ciné-concert produit en partenariat avec Normandie Images et French Lines et compagnie. A partir d'images d'archives, les deux artistes ont travaillé à la construction d'une vision sensible de l'histoire maritime havraise.
Ouverture des portes à 20h (possibilité de visiter l’exposition « Paquebots 1913-1942. Une esthétique transatlantique »)
Début du ciné-concert à 20h30 précises
Il sera suivi d’un échange avec son réalisateur et d’autres intervenants.
En partenariat avec Normandie Images et French Lines et compagnie
Ouverture des portes à 20h (possibilité de visiter l’exposition « Paquebots 1913-1942. Une esthétique transatlantique »)
Début du ciné-concert à 20h30 précises
Il sera suivi d’un échange avec son réalisateur et d’autres intervenants.
En partenariat avec Normandie Images et French Lines et compagnie
Date(s)
- 19 septembre 2025
Tarif(s)
Gratuit
COMPLET
Ouverture des portes à 20h (possibilité de visiter l’exposition « Paquebots 1913-1942. Une esthétique transatlantique »)
Début du ciné-concert à 20h30 précises
Il sera suivi d’un échange avec son réalisateur et d’autres intervenants.
Ouverture des portes à 20h (possibilité de visiter l’exposition « Paquebots 1913-1942. Une esthétique transatlantique »)
Début du ciné-concert à 20h30 précises
Il sera suivi d’un échange avec son réalisateur et d’autres intervenants.

© Marie Voignier / Capricci Films / L' Âge d’or / L' Espace croisé
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Au sud-est du Cameroun, un homme arpente la jungle et les berges boueuses des rivières depuis plusieurs années à la recherche d’un animal inconnu de la zoologie : le Mokélé-Mbembé. Les pygmées que l’explorateur rencontre au cours de ses expéditions décrivent cet animal comme une sorte de rhinocéros à queue de crocodile et à tête de serpent.
Certains affirment l’avoir déjà rencontré près de la rivière. Animal mythologique ou animal réel ? L’explorateur est depuis longtemps convaincu de l’existence de cette bête. Il nous entraîne dans une quête acharnée pour trouver des traces de l’animal ou des témoignages de son existence dans un univers où le vraisemblable se mêle au légendaire, nous ramenant aux sources de la croyance et de la fiction.
Programme détaillé :
L'Hypothèse du Mokélé-Mbembé de Marie Voignier
France • 2011 • 78 minutes • HDV • Couleur
Avec Michel Ballot
Et Jean-Claude Bembo, Etienne Bembo, Patrice Lumumba, Lucien Abagui Iya, Lucien Betti, Janvier, Rémy Boudou, Roger Assamoni, François De Sarre, Gislain Adoumadjeli, Anourou Ousman, Traore, Anatole, Clément Banga.
Réalisation, image, montage : Marie Voignier
Son, montage son, mixage : Thomas Fourel
Assistante réalisation : Stefanie Baumann
Etalonnage : Julien Bisschop
Production : Capricci Films, L’Âge d’or et L’Espace Croisé
Certains affirment l’avoir déjà rencontré près de la rivière. Animal mythologique ou animal réel ? L’explorateur est depuis longtemps convaincu de l’existence de cette bête. Il nous entraîne dans une quête acharnée pour trouver des traces de l’animal ou des témoignages de son existence dans un univers où le vraisemblable se mêle au légendaire, nous ramenant aux sources de la croyance et de la fiction.
Programme détaillé :
L'Hypothèse du Mokélé-Mbembé de Marie Voignier
France • 2011 • 78 minutes • HDV • Couleur
Avec Michel Ballot
Et Jean-Claude Bembo, Etienne Bembo, Patrice Lumumba, Lucien Abagui Iya, Lucien Betti, Janvier, Rémy Boudou, Roger Assamoni, François De Sarre, Gislain Adoumadjeli, Anourou Ousman, Traore, Anatole, Clément Banga.
Réalisation, image, montage : Marie Voignier
Son, montage son, mixage : Thomas Fourel
Assistante réalisation : Stefanie Baumann
Etalonnage : Julien Bisschop
Production : Capricci Films, L’Âge d’or et L’Espace Croisé
Date(s)
- 07 mai 2025
Tarif(s)
Gratuit

MANHATTA (Charles Sheeler & Paul Strand, 1921) © DR
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La ville, espace de flux, de rencontres, lieu de tous les possibles, expression de la modernité, a toujours inspiré les cinéastes de toutes tendances. New York, paradigme de la métropole moderne dont le pouvoir de fascination extrême continue d’attirer toutes les avant-gardes artistiques, a été la ville où le cinéma underground - loin des studios d’Hollywood - a acquis droit de cité sous l’impulsion de Jonas Mekas.
C’est à New York que ce sont tournés certains films parmi les plus radicaux de l’histoire du cinéma, tel Empire d’Andy Warhol, monument filmique (8 heures de plan fixe) à propos d’un monument urbain (l’Empire State Building).
Entre documentaire et expérimental, ce programme regroupe six films, six visions de New-York sur plus d’un siècle.
En présence de la réalisatrice Viktoria Schmid.
En écho à la programmation de Marie-Pierre Bonniol "La Ville" les 4 et 5 avril au Volcan
Programme détaillé :
Charles Sheeler & Paul Strand, MANHATTA
1921 / 16mm / n&b / silencieux / 9' 00
Marie MENKEN, GO GO GO
1962-1964 / 16 mm /couleur / silencieux / 11' 30
Viktoria Schmid, NYC RGB
2023 / 16mm / couleur / sonore / 7' 11
Francis Thompson, N.Y., N.Y.
1957 / 16 mm numérisé / couleur / sonore / 15’
Robert Cahen, LE DEUXIÈME JOUR
1988 / vidéo / couleur / sonore / 08’00
Raphaël Maze, TO BETSY FROM BETSY (WHO TURNS TOMORROW 65 -T STILL ALIVE)
2008 / vidéo / n&b / sonore / 8' 00
C’est à New York que ce sont tournés certains films parmi les plus radicaux de l’histoire du cinéma, tel Empire d’Andy Warhol, monument filmique (8 heures de plan fixe) à propos d’un monument urbain (l’Empire State Building).
Entre documentaire et expérimental, ce programme regroupe six films, six visions de New-York sur plus d’un siècle.
En présence de la réalisatrice Viktoria Schmid.
En écho à la programmation de Marie-Pierre Bonniol "La Ville" les 4 et 5 avril au Volcan
Programme détaillé :
Charles Sheeler & Paul Strand, MANHATTA
1921 / 16mm / n&b / silencieux / 9' 00
Marie MENKEN, GO GO GO
1962-1964 / 16 mm /couleur / silencieux / 11' 30
Viktoria Schmid, NYC RGB
2023 / 16mm / couleur / sonore / 7' 11
Francis Thompson, N.Y., N.Y.
1957 / 16 mm numérisé / couleur / sonore / 15’
Robert Cahen, LE DEUXIÈME JOUR
1988 / vidéo / couleur / sonore / 08’00
Raphaël Maze, TO BETSY FROM BETSY (WHO TURNS TOMORROW 65 -T STILL ALIVE)
2008 / vidéo / n&b / sonore / 8' 00
Date(s)
- 02 avril 2025
Tarif(s)
Gratuit

JARDIN D'ÉTÉ (Philippe Cote, 2012) / courtesy Light Cone
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Le jardin, espace réel de la vie végétale, plus ou moins organisé, pour le plaisir de nos sens. Morceau de nature où l’on observe les variations de la lumière et des saisons… Espace de création cher aux artistes, source d’inspiration jamais tarie, qui nous fait percevoir la beauté, la puissance et la fragilité du vivant.
Le film comme jardin, c’est l’expérience de la lumière qui chatoie à travers les fleurs, les feuilles, qui fait scintiller les grains d’argent de la pellicule. C’est la combinaison des images, comme des essences. C’est le témoignage précieux de la vie qui bat près de nous.
« J'ai voulu voir si je pouvais faire un film qui était en soi un jardin : un film qui, comme le monde des plantes, se déploierait et s’étendrait lorsque la lumière approche. » Nathaniel Dorsky
En écho à la programmation de Marie-Pierre Bonniol "Le Jardin" les 7 et 8 mars au Volcan
Programme détaillé :
Philippe Cote, JARDIN D'ÉTÉ
2012 / Super 8mm numérisé / coul-n&b / sonore / 17' 30
Helena Gouveia Monteiro, PURKYNE'S DUSK
2020-2021 / Super 8mm numérisé / coul-n&b / silencieux / 9' 09
Nathaniel Dorsky, SPRING
2013 / 16mm / couleur / silencieux / 23' 00
Rose Lowder, BOUQUETS 31-40
2014-2022 / 16mm / couleur / silencieux / 10' 34
Le film comme jardin, c’est l’expérience de la lumière qui chatoie à travers les fleurs, les feuilles, qui fait scintiller les grains d’argent de la pellicule. C’est la combinaison des images, comme des essences. C’est le témoignage précieux de la vie qui bat près de nous.
« J'ai voulu voir si je pouvais faire un film qui était en soi un jardin : un film qui, comme le monde des plantes, se déploierait et s’étendrait lorsque la lumière approche. » Nathaniel Dorsky
En écho à la programmation de Marie-Pierre Bonniol "Le Jardin" les 7 et 8 mars au Volcan
Programme détaillé :
Philippe Cote, JARDIN D'ÉTÉ
2012 / Super 8mm numérisé / coul-n&b / sonore / 17' 30
Helena Gouveia Monteiro, PURKYNE'S DUSK
2020-2021 / Super 8mm numérisé / coul-n&b / silencieux / 9' 09
Nathaniel Dorsky, SPRING
2013 / 16mm / couleur / silencieux / 23' 00
Rose Lowder, BOUQUETS 31-40
2014-2022 / 16mm / couleur / silencieux / 10' 34
Date(s)
- 05 mars 2025
Tarif(s)
Gratuit

La vache qui rumine © Georges Rey, 1969 / courtesy Light Cone
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Ce que raconte toute l'histoire de l’animal au cinéma, c’est bien sûr celle du regard que portent sur lui ceux qui l’ont filmé. Or ce regard, et celui de la société humaine sur les bêtes, sauvages ou domestiquées, a évolué depuis les débuts du cinéma et même avant - avec les travaux de Marey et Muybridge sur le mouvement des animaux…
Dans ce second bestiaire de la saison, l’accent sera mis sur l’observation de l’animal dans son milieu naturel : l’oiseau migrateur dans le ciel, la grenouille dans la mare, la vache dans le pré, l’humain en société… Mais aussi sous l’œil du microscope, quand la caméra est dotée d’un objectif qui magnifie le petit, le minuscule, c’est le mystère de la présence animale qui envahit tout l’écran, nous renvoyant dans la nuit des temps de nos origines.
Programme détaillé :
Daniel BURKHARDT, MIGRANTS, 2021 / 4K / couleur / sonore / 5' 30
Julia Parks, ALL FLESH IS GRASS, 2023 / 16mm / couleur / sonore / 9435
Florian Fischer & Johannes Krell, STILL LIFE, 2014 / HD / couleur / sonore / 12' 11
Giuseppe Boccassini, LA NOTTE SALVA, 2019 / Mini DV / coul-n&b / sonore / 11' 53
Amy Halpern, FIRE BELLY, 2021 / 16mm / couleur / silencieux / 3' 00
Rose Lowder, HABITAT BATRACIEN, 2006 / 16mm / couleur / silencieux / 8' 31
Cécile Fontaine, LION LIGHT, 1996 / 16mm / n&b / silencieux / 2' 30
Georges Rey, LA VACHE QUI RUMINE, 1969 / 16mm / n&b / silencieux / 3' 00
Dans ce second bestiaire de la saison, l’accent sera mis sur l’observation de l’animal dans son milieu naturel : l’oiseau migrateur dans le ciel, la grenouille dans la mare, la vache dans le pré, l’humain en société… Mais aussi sous l’œil du microscope, quand la caméra est dotée d’un objectif qui magnifie le petit, le minuscule, c’est le mystère de la présence animale qui envahit tout l’écran, nous renvoyant dans la nuit des temps de nos origines.
Programme détaillé :
Daniel BURKHARDT, MIGRANTS, 2021 / 4K / couleur / sonore / 5' 30
Julia Parks, ALL FLESH IS GRASS, 2023 / 16mm / couleur / sonore / 9435
Florian Fischer & Johannes Krell, STILL LIFE, 2014 / HD / couleur / sonore / 12' 11
Giuseppe Boccassini, LA NOTTE SALVA, 2019 / Mini DV / coul-n&b / sonore / 11' 53
Amy Halpern, FIRE BELLY, 2021 / 16mm / couleur / silencieux / 3' 00
Rose Lowder, HABITAT BATRACIEN, 2006 / 16mm / couleur / silencieux / 8' 31
Cécile Fontaine, LION LIGHT, 1996 / 16mm / n&b / silencieux / 2' 30
Georges Rey, LA VACHE QUI RUMINE, 1969 / 16mm / n&b / silencieux / 3' 00
Date(s)
- 05 février 2025
Tarif(s)
Gratuit

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Berlin, die Sinfonie der Grosstadt de Walter Ruttmann est sans doute le film le plus représentatif du courant de la Nouvelle Objectivité, qui domine les années 20 en Allemagne et se caractérise par sa volonté de représenter le réel sans fard. Avec les moyens de la caméra documentaire et du montage, ce film symphonie de 1927 présente la vie et le rythme de la nouvelle métropole de Berlin, de l'aube à la nuit. L'esthétique de la modernité, imposée par le mouvement Dada, se prolonge dans cet hymne à la vitalité de la capitale alors en plein essor. Influencé par le cinéma soviétique, mais aussi par son expérience du "film absolu" ou abstrait, Walter Ruttmann explore un nouvel environnement urbain, récemment industrialisé, où rapidité, communication, machinisme, simultanéité et mouvements de foule sont les nouveaux mots d'ordre…
Programme détaillé :
Ruttmann BERLIN, SYMPHONIE D’UNE GRANDE VILLE 1927 / 35 mm / n&b / silencieux / 77’00
Programme détaillé :
Ruttmann BERLIN, SYMPHONIE D’UNE GRANDE VILLE 1927 / 35 mm / n&b / silencieux / 77’00
Date(s)
- 08 janvier 2025
Tarif(s)
Gratuit
Entrée libre, rendez-vous à l’accueil du musée
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur
Evenement Facebook juste ici
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur
Evenement Facebook juste ici

Last Lost (Eve Heller 1996), courtesy Light Cone
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Ce que raconte toute histoire de l’animal au cinéma, c’est bien sûr celle du regard que portent sur lui ceux qui l’ont filmé. Or ce regard, et celui de la société humaine sur les bêtes, sauvages ou domestiquées, a évolué depuis les débuts du cinéma et même avant - avec les travaux de Marey et Muybridge sur le mouvement des animaux - en particulier sous la pression des défenseurs de la cause animale.
Dans ce premier des deux bestiaires cinématographiques de la saison, l’accent sera mis sur l’interaction entre l’homme et l’animal, celui-ci étant soumis au projet humain : acteur involontaire de vidéos partagées sur les réseaux (le dressage des chiens) ou d’un home-movie revisité (le singe de foire), de fictions hollywoodiennes ou politiques (la révolte des rats), l’animal « crève l’écran » et parfois crève à l’écran.
Programme détaillé :
Neozoon GOOD BOY - BAD BOY 2011 / Vidéo / couleur / sonore / 3' 10
Christoph Girardet & Matthias Müller NO ANIMAL 2022 / 2K / coul-n&b / sonore / 21' 03
Eve Heller LAST LOST 1996 / 16mm / couleur / sonore / 13' 00
Joyce Wieland RAT LIFE AND DIET IN NORTH AMERICA 1969 / 16mm / couleur / sonore / 16' 01
Guillaume Mazloum PREMIERE FRACTION 2015 / 16mm / n&b / sonore / 5' 00
Stan Brakhage CRICKET REQUIEM 1999 / 16mm / couleur / silencieux / 3' 00
Dans ce premier des deux bestiaires cinématographiques de la saison, l’accent sera mis sur l’interaction entre l’homme et l’animal, celui-ci étant soumis au projet humain : acteur involontaire de vidéos partagées sur les réseaux (le dressage des chiens) ou d’un home-movie revisité (le singe de foire), de fictions hollywoodiennes ou politiques (la révolte des rats), l’animal « crève l’écran » et parfois crève à l’écran.
Programme détaillé :
Neozoon GOOD BOY - BAD BOY 2011 / Vidéo / couleur / sonore / 3' 10
Christoph Girardet & Matthias Müller NO ANIMAL 2022 / 2K / coul-n&b / sonore / 21' 03
Eve Heller LAST LOST 1996 / 16mm / couleur / sonore / 13' 00
Joyce Wieland RAT LIFE AND DIET IN NORTH AMERICA 1969 / 16mm / couleur / sonore / 16' 01
Guillaume Mazloum PREMIERE FRACTION 2015 / 16mm / n&b / sonore / 5' 00
Stan Brakhage CRICKET REQUIEM 1999 / 16mm / couleur / silencieux / 3' 00
Date(s)
- 04 décembre 2024
Tarif(s)
Gratuit
Entrée libre, rendez-vous à l’accueil du musée
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur
Evenement Facebook juste ici
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur
Evenement Facebook juste ici