CONCERT
Français

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Le Festival PiedNu se transforme et devient Pour les oiseaux. Et le MuMa continue de l’accompagner en accueillant deux duos pour deux concerts qui promettent de beaux échanges, avec la clarinette en fil conducteur.
Jeudi 30 septembre, 12h15
Duo Marion Buisset / François Lebègue
La rencontre entre une accordéoniste et un clarinettiste, sur le terrain de l'exploration des sons aux mélanges multiples des instruments utilisés (accordéon, clarinettes et saxophone soprano), le tout dans le champ contemporain d'une improvisation toujours à l'écriture, n'allait pas de soi !
Le chemin est tracé, le débroussaillage a eu lieu et l'objectif d'un enregistrement en studio, après quelques présentations publiques, s'annonce !
Les différents et nombreux registres de l'accordéon s'accordent aux sonorités variées des instruments à vent choisis dans une recherche de nouveaux horizons sonores.
Jeudi 30 septembre, 12h15
Duo Marion Buisset / François Lebègue
La rencontre entre une accordéoniste et un clarinettiste, sur le terrain de l'exploration des sons aux mélanges multiples des instruments utilisés (accordéon, clarinettes et saxophone soprano), le tout dans le champ contemporain d'une improvisation toujours à l'écriture, n'allait pas de soi !
Le chemin est tracé, le débroussaillage a eu lieu et l'objectif d'un enregistrement en studio, après quelques présentations publiques, s'annonce !
Les différents et nombreux registres de l'accordéon s'accordent aux sonorités variées des instruments à vent choisis dans une recherche de nouveaux horizons sonores.
Autre recontre musicale : le dimanche 3 octobre, 17h30
Duo Xavière Fertin / Louis Frères
Date(s)
- 30 septembre 2021
Tarif(s)
Gratuit
Sur inscription : https://affluences.com/muma-musee-dart-moderne-andre-malraux/reservation
(catégorie « Evénement / EVENEMENT : concert pour les oiseaux »)
Nombre de places disponibles : fonction des jauges applicables à la date de l’événement.
Port du masque obligatoire
(catégorie « Evénement / EVENEMENT : concert pour les oiseaux »)
Nombre de places disponibles : fonction des jauges applicables à la date de l’événement.
Port du masque obligatoire

. © Droits réservés
Une guitare entre les mains, deux autres posées à ses pieds, quelques ressorts, résonateurs, couteaux, archets ou jouets divers pour que vibrent les cordes et sympathisent les résonnances, Greg Malcolm use d'un matériel changeant et d'une grande variété de timbres pour aboutir à une forme hypnotique fondée sur la réitération de mélodies impalpables auréolées de drones acoustiques. Ce musicien, qui nous vient de Nouvelle-Zélande, aime à penser que chaque son obéit à un mouvement précis et dépend également de l'outil choisi dans l'instant. Quelque part entre blues, musique répétitive et approche cagienne de l'instrument préparé, son univers évoque à la fois l'infinitude du désert et les cahots de la piste.
Avec :
Greg Malcolm, guitares
A savoir : au moment du concert, le montage de la nouvelle exposition du MuMa battra son plein. Le concert pourrait de ce fait être programmé en salle de conférence en fonction des conditions d’avancement du montage.
Dans le cadre du festival PiedNu
Avec :
Greg Malcolm, guitares
A savoir : au moment du concert, le montage de la nouvelle exposition du MuMa battra son plein. Le concert pourrait de ce fait être programmé en salle de conférence en fonction des conditions d’avancement du montage.
Dans le cadre du festival PiedNu
Date(s)
- 05 avril 2020
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

. © Droits réservés
Entre cuivres, pierres et peaux, bruissements de fougères et souffle incandescent, percussions et saxophones puisent l'organicité de leur chant à la source d'une nature en pleine vibration. Du vent dans les arbres à l'eau ruisselant sur les roches, leur imaginaire se nourrit de paysages et dissipe dans l'instant la fulgurance poétique de résonnances immédiates aussi furtives qu'essentielles.
Avec :
Mathieu Bec et Guy-Frank Pellerin Saxa Petra : percussions, saxophone
A savoir : au moment du concert, le montage de la nouvelle exposition du MuMa battra son plein. Le concert pourrait de ce fait être programmé en salle de conférence en fonction des conditions d’avancement du montage.
Dans le cadre du festival PiedNu
Avec :
Mathieu Bec et Guy-Frank Pellerin Saxa Petra : percussions, saxophone
A savoir : au moment du concert, le montage de la nouvelle exposition du MuMa battra son plein. Le concert pourrait de ce fait être programmé en salle de conférence en fonction des conditions d’avancement du montage.
Dans le cadre du festival PiedNu
Date(s)
- 29 mars 2020
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

. © Droits réservés
Benjamin Bondonneau est un musicien plasticien qui pétrit les matières sonores ou picturales avec la même puissance qu'il construit sa maison ou retourne sa terre de Dordogne. Improvisateur militant, il inscrit sa clarinette dans les contextes les plus divers, du solo intégral au Grand Ensemble… Un artiste en phase avec le réel qui apprécie plus que tout l'intimité du soliloque et la complicité d'un public à l'écoute.
Avec :
Benjamin Bondonneau, clarinette
A savoir : au moment du concert, le montage de la nouvelle exposition du MuMa battra son plein. Le concert pourrait de ce fait être programmé en salle de conférence en fonction des conditions d’avancement du montage.
Dans le cadre du festival PiedNu
Avec :
Benjamin Bondonneau, clarinette
A savoir : au moment du concert, le montage de la nouvelle exposition du MuMa battra son plein. Le concert pourrait de ce fait être programmé en salle de conférence en fonction des conditions d’avancement du montage.
Dans le cadre du festival PiedNu
Date(s)
- 29 mars 2020
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

Waveparty. © Laurent Philippe
Dans le cadre du Festival Pharenheit en vue de la préparation de la Waveparty* proposée dans le cadre du festival le samedi 8 février 2020.
Le Before
David Monceau (Olyphant), qui a composé la musique de la Waveparty à partir de musiques existantes, revient sur le procédé de transformation et de métamorphose de chacun des morceaux afin de créer continuité et fluidité ! Pour ce « Before Wavebreak » nous écouterons ainsi le grand mix opéré pour la transe finale de la Waveparty !
Le Wavebreak
Pour vous préparer à la Waveparty proposée dans le cadre du Festival Pharenheit, différents temps de transmission sont proposés les jours qui précèdent la soirée de clôture pour vous permettre de découvrir à chaque fois deux danses différentes qui composeront cette « transe participative » d’Emmanuelle Vo-Dinh pour la clôture du festival Pharenheit…
Renseignements auprès du Phare au 02 35 26 23 00 ou contact@lephare-ccn.fr
* Waveparty est né pendant le festival Pharenheit de l'an passé. Superbe succès. Waveparty revient conclure le festival 2020. Alors Waveparty s'enrichit. On a donc une party : chacun, chacune, est invité à rentrer dans la danse. Waveparty est une joyeuse expérience à vivre, plutôt qu'un spectacle auquel assister. On y goûte à la wave. La vague : cette houle des corps, ce chaloupé des émotions, qui, à force de répétitions, au fil des variations, débouchent sur une sorte de transe. Nul besoin d'une quelconque expertise en danse pour se jeter dans ce flux. C'est une traversée, débordante d'énergie. La soirée se pare du rituel du maquillage. C'est pour mieux intégrer cette joyeuse tribu ! Un atelier préalable est conseillé : juste deux heures pour assimiler des pas, des figures très simples, inventés par Emmanuelle Vo-Dinh. Elles s’intitulent Vagues, Totem, Sacre, Flower Power… Il n'est aucune sensation qui n'éveille tout un imaginaire. Grisant. Flotter, s'élancer, surfer : tous ensemble vers un bonheur partagé au sommet de la soirée.
— Gérard Mayen
En partenariat avec Le Phare – CCN du Havre
Retrouvez toute la programmation du festival Pharenheit sur : www.pharenheit.fr
Le Before
David Monceau (Olyphant), qui a composé la musique de la Waveparty à partir de musiques existantes, revient sur le procédé de transformation et de métamorphose de chacun des morceaux afin de créer continuité et fluidité ! Pour ce « Before Wavebreak » nous écouterons ainsi le grand mix opéré pour la transe finale de la Waveparty !
Le Wavebreak
Pour vous préparer à la Waveparty proposée dans le cadre du Festival Pharenheit, différents temps de transmission sont proposés les jours qui précèdent la soirée de clôture pour vous permettre de découvrir à chaque fois deux danses différentes qui composeront cette « transe participative » d’Emmanuelle Vo-Dinh pour la clôture du festival Pharenheit…
Renseignements auprès du Phare au 02 35 26 23 00 ou contact@lephare-ccn.fr
* Waveparty est né pendant le festival Pharenheit de l'an passé. Superbe succès. Waveparty revient conclure le festival 2020. Alors Waveparty s'enrichit. On a donc une party : chacun, chacune, est invité à rentrer dans la danse. Waveparty est une joyeuse expérience à vivre, plutôt qu'un spectacle auquel assister. On y goûte à la wave. La vague : cette houle des corps, ce chaloupé des émotions, qui, à force de répétitions, au fil des variations, débouchent sur une sorte de transe. Nul besoin d'une quelconque expertise en danse pour se jeter dans ce flux. C'est une traversée, débordante d'énergie. La soirée se pare du rituel du maquillage. C'est pour mieux intégrer cette joyeuse tribu ! Un atelier préalable est conseillé : juste deux heures pour assimiler des pas, des figures très simples, inventés par Emmanuelle Vo-Dinh. Elles s’intitulent Vagues, Totem, Sacre, Flower Power… Il n'est aucune sensation qui n'éveille tout un imaginaire. Grisant. Flotter, s'élancer, surfer : tous ensemble vers un bonheur partagé au sommet de la soirée.
— Gérard Mayen
En partenariat avec Le Phare – CCN du Havre
Retrouvez toute la programmation du festival Pharenheit sur : www.pharenheit.fr

Date(s)
- 06 février 2020
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
Attention : information et réservations pour la Waveparty du samedi 8 février auprès du Phare au 02.35.26.23.00
LIEN EXTERNE

Les Discordantes Augmentées
Les Discordantes « augmentées »
Revisiter l'Histoire des industries dans leur période florissante allant de la fin du XIXe siècle au début du XXe siècle, leur activité, leurs atmosphères, autour desquels des bassins de vie se sont créés, rythmant la vie de plusieurs générations de Normands, a permis au trio Les Discordantes Augmentées, par une immersion totale sur des sites encore en activité, de retracer l'activité dense de cette époque à travers le son.
S'inscrire dans un aspect de la démarche de Reynold Arnould, à savoir rendre l'art accessible à toutes les couches de la société, et tenter de retranscrire l'ambiance sonore des ateliers d'usine dans un objectif de transmission aux jeunes générations, tel est le défi que s'est lancé le trio en créant cette pièce de musique mixte sous forme de performance nourrie de témoignages et de sons collectés dans le milieu industriel normand.
La performance s'inspire des répertoires et techniques issus des musiques nouvelles : musique contemporaine, expérimentale, improvisée, électro-acoustique et acousmatique.
Safa Azzoug, saxophones
Amélie Grould, percussions
Hubert Michel, électronique
Revisiter l'Histoire des industries dans leur période florissante allant de la fin du XIXe siècle au début du XXe siècle, leur activité, leurs atmosphères, autour desquels des bassins de vie se sont créés, rythmant la vie de plusieurs générations de Normands, a permis au trio Les Discordantes Augmentées, par une immersion totale sur des sites encore en activité, de retracer l'activité dense de cette époque à travers le son.
S'inscrire dans un aspect de la démarche de Reynold Arnould, à savoir rendre l'art accessible à toutes les couches de la société, et tenter de retranscrire l'ambiance sonore des ateliers d'usine dans un objectif de transmission aux jeunes générations, tel est le défi que s'est lancé le trio en créant cette pièce de musique mixte sous forme de performance nourrie de témoignages et de sons collectés dans le milieu industriel normand.
La performance s'inspire des répertoires et techniques issus des musiques nouvelles : musique contemporaine, expérimentale, improvisée, électro-acoustique et acousmatique.
Safa Azzoug, saxophones
Amélie Grould, percussions
Hubert Michel, électronique
Date(s)
- 16 janvier 2020
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

. © ManLef
A l’occasion du festival Piano is not dead, et en écho à l’ouverture prochaine de l’exposition temporaire du MuMa consacrée à Reynold Arnould, le MuMa invite le duo Iana pour une expérience musicale hors-norme autour de deux pianos.
« En ce début du XXIe siècle, bousculer les consciences demeure indispensable. Quand tout est design-é, aseptisé et sous contrôle, la beauté de l’aspérité, la plongée dans le bienveillant inconnu restent de mise. Loin de tomber dans l’incantation, Iana préfère la décantation, le dé-chanté à l’en-chanté – ou plutôt l’en-chantier à l’enchanté. L’entendement s’y voit chahuté, l’inconscient décrypte tout absolument.
Deux femmes, porteuses d’histoires musicales polychromes. Deux pianos, formation dont les potentialités sont loin d’avoir été toutes révélées. Deux parcours aux tracés apparemment parallèles, mais qui convergent vers un même horizon, leur domaine de prédilection se rapprochant sans cesse depuis un demi-siècle – Christine Wodrascka est une figure fameuse des scènes de l’improvisation libre, attirée par la musique contemporaine, pendant que la fréquentation des œuvres de Ligeti, Cage, Crumb, Harvey, etc. a porté tout naturellement Betty Hovette hors des portées fixes de la partition écrite.
Leur rencontre s’est d’abord apparentée à un laboratoire de recherche musicale ayant vite mis en évidence une nécessité commune : occuper l’espace sonore par des moyens minimaux – non sans aller jusqu’à la démarche des minimalistes américains – en évitant tout éparpillement ; mais aussi aller au bout d’une intention de jeu par l’exploration obsessionnelle d’un geste, d’une grappe sonore, etc. Cela pour un déploiement d’énergie sans dérive ni complaisance. Se trouve alors mise en jeu par les musiciennes une certaine forme d’endurance physique, avec l’espoir de susciter chez l’auditeur son écoute la plus active.
Iana met également en acte un décloisonnement des genres et des univers musicaux, une recherche transidiomatiques, dé-compartimentée, que rien ne comprime : autant au travers qu’en travers !
Leurs improvisations ne « disent » rien. L’intention n’est pas de « raconter une histoire ». Elles se contentent de mettre en jeu des complexions sonores, de faire se télescoper des particules de musique formant un noyau insolite pour engendrer tout un monde lointain, laissant toute latitude à l’auditeur pour greffer ses propres fantasmagories. »
Extrait du dossier de présentation
Duo Iana :
Christine Wodrascka et Betty Hovette, pianos
Dans le cadre du festival Piano is not dead
Le MuMa tient à remercier Paul-Etienne Berlioz, facteur et accordeur de piano, créateur et partenaire essentiel de ce festival, ainsi que le festival PiedNu, et en particulier Emmanuel Lalande et Joël Pagier pour leurs belles suggestions.
« En ce début du XXIe siècle, bousculer les consciences demeure indispensable. Quand tout est design-é, aseptisé et sous contrôle, la beauté de l’aspérité, la plongée dans le bienveillant inconnu restent de mise. Loin de tomber dans l’incantation, Iana préfère la décantation, le dé-chanté à l’en-chanté – ou plutôt l’en-chantier à l’enchanté. L’entendement s’y voit chahuté, l’inconscient décrypte tout absolument.
Deux femmes, porteuses d’histoires musicales polychromes. Deux pianos, formation dont les potentialités sont loin d’avoir été toutes révélées. Deux parcours aux tracés apparemment parallèles, mais qui convergent vers un même horizon, leur domaine de prédilection se rapprochant sans cesse depuis un demi-siècle – Christine Wodrascka est une figure fameuse des scènes de l’improvisation libre, attirée par la musique contemporaine, pendant que la fréquentation des œuvres de Ligeti, Cage, Crumb, Harvey, etc. a porté tout naturellement Betty Hovette hors des portées fixes de la partition écrite.
Leur rencontre s’est d’abord apparentée à un laboratoire de recherche musicale ayant vite mis en évidence une nécessité commune : occuper l’espace sonore par des moyens minimaux – non sans aller jusqu’à la démarche des minimalistes américains – en évitant tout éparpillement ; mais aussi aller au bout d’une intention de jeu par l’exploration obsessionnelle d’un geste, d’une grappe sonore, etc. Cela pour un déploiement d’énergie sans dérive ni complaisance. Se trouve alors mise en jeu par les musiciennes une certaine forme d’endurance physique, avec l’espoir de susciter chez l’auditeur son écoute la plus active.
Iana met également en acte un décloisonnement des genres et des univers musicaux, une recherche transidiomatiques, dé-compartimentée, que rien ne comprime : autant au travers qu’en travers !
Leurs improvisations ne « disent » rien. L’intention n’est pas de « raconter une histoire ». Elles se contentent de mettre en jeu des complexions sonores, de faire se télescoper des particules de musique formant un noyau insolite pour engendrer tout un monde lointain, laissant toute latitude à l’auditeur pour greffer ses propres fantasmagories. »
Extrait du dossier de présentation
Duo Iana :
Christine Wodrascka et Betty Hovette, pianos
Dans le cadre du festival Piano is not dead

Date(s)
- 28 novembre 2019
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
LIEN EXTERNE

Pauline Lambert
Comme chaque année, le MuMa participe aux Journées européennes du patrimoine :
Voir le programme complet
Musique :
En partenariat avec le Conservatoire Arthur Honegger du Havre, le MuMa accueille Pauline Lambert, ancienne élève du Conservatoire aujourd’hui étudiante au Conservatoire Royal de Musique de Bruxelles. En ces Journées du patrimoine placées sous le signe du divertissement, cet interprète vous proposera de courts moments musicaux venant dialoguer avec les œuvres de Raoul Dufy au cœur même de l’exposition qui lui est actuellement consacré. Pauline Lambert consacrera ses interventions à JS. Bach avec la Suite en ré mineur pour violoncelle seul.
Pauline Lambert à propos de son choix de pièce pour violoncelle :
« La deuxième Suite en ré mineur pour violoncelle seul de Jean-Sébastien BACH est extraite des 6 suites pour violoncelle seul, œuvre majeure du répertoire pour violoncelle de l’époque baroque. Cette suite respecte le schéma traditionnel des suites de Bach et se compose d’un prélude suivi de trois mouvements de danses stylises (une allemande, une courante, une sarabande), puis de deux menuets. La suite s’achève sur une gigue. Le prélude est imprègné de mélancolie et annonce les mouvements contrastes de chaque pièce qui compose la Suite. »
Horaires des concerts de Pauline Lambert :
Voir le programme complet
Musique :
En partenariat avec le Conservatoire Arthur Honegger du Havre, le MuMa accueille Pauline Lambert, ancienne élève du Conservatoire aujourd’hui étudiante au Conservatoire Royal de Musique de Bruxelles. En ces Journées du patrimoine placées sous le signe du divertissement, cet interprète vous proposera de courts moments musicaux venant dialoguer avec les œuvres de Raoul Dufy au cœur même de l’exposition qui lui est actuellement consacré. Pauline Lambert consacrera ses interventions à JS. Bach avec la Suite en ré mineur pour violoncelle seul.
Pauline Lambert à propos de son choix de pièce pour violoncelle :
« La deuxième Suite en ré mineur pour violoncelle seul de Jean-Sébastien BACH est extraite des 6 suites pour violoncelle seul, œuvre majeure du répertoire pour violoncelle de l’époque baroque. Cette suite respecte le schéma traditionnel des suites de Bach et se compose d’un prélude suivi de trois mouvements de danses stylises (une allemande, une courante, une sarabande), puis de deux menuets. La suite s’achève sur une gigue. Le prélude est imprègné de mélancolie et annonce les mouvements contrastes de chaque pièce qui compose la Suite. »
Horaires des concerts de Pauline Lambert :
- Dimanche 22 septembre à 17h30
- Dimanche 22 septembre à 18h30
Date(s)
- 22 septembre 2019
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
Attention, pour certains rendez-vous, le nombre de places sera limité. Rendez-vous en salle d’exposition au gré de votre déambulation
LIEN EXTERNE

Raoul DUFY (1877-1953), Le Violon rouge, 1949, huile sur toile, 22,5 x 27,5 cm. © MuMa Le Havre / David Fogel — © ADAGP, Paris, 2013
Comme chaque année, le MuMa participe aux Journées européennes du patrimoine :
Voir le programme complet
Musique :
En partenariat avec le Conservatoire Arthur Honegger du Havre, le MuMa accueille Clara Delafosse, jeune altiste en devenir. En ces Journées du patrimoine placées sous le signe du divertissement, cet interprète vous proposera de courts moments musicaux venant dialoguer avec les œuvres de Raoul Dufy au cœur même de l’exposition qui lui est actuellement consacré. Clara Delafosse a fait le choix d’interpréter la Première sonate pour violon, presto de JS Bach et Fantaisie n°10, premier mouvement de GP Telemann.
Horaires des concerts de Clara Delafosse :
Voir le programme complet
Musique :
En partenariat avec le Conservatoire Arthur Honegger du Havre, le MuMa accueille Clara Delafosse, jeune altiste en devenir. En ces Journées du patrimoine placées sous le signe du divertissement, cet interprète vous proposera de courts moments musicaux venant dialoguer avec les œuvres de Raoul Dufy au cœur même de l’exposition qui lui est actuellement consacré. Clara Delafosse a fait le choix d’interpréter la Première sonate pour violon, presto de JS Bach et Fantaisie n°10, premier mouvement de GP Telemann.
Horaires des concerts de Clara Delafosse :
- Dimanche 22 septembre à 14h30
- Dimanche 22 septembre à 15h30
- Dimanche 22 septembre à 16h30
Date(s)
- 22 septembre 2019
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
Attention, pour certains rendez-vous, le nombre de places sera limité. Rendez-vous en salle d’exposition au gré de votre déambulation
LIEN EXTERNE

. © Playground Paris
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Comme chaque année, le MuMa participe aux Journées européennes du patrimoine qui auront pour thème cette année Arts et Divertissements !
Programme détaillé :
SAMEDI
Visites
Gratuit - Durée : 15 min. environ - Rendez-vous à l’accueil du MuMa
Double programme de visites en ce samedi des Journées du Patrimoine 2019 : les rendez-vous de 14h, 15h, 16h, 17h et 18h seront consacrés à l’exposition en cours mettant à l’honneur le peintre Raoul Dufy.
Les créneaux de 14h30, 15h30, 16h30, 17h30 et 18h30 permettront, quant à eux, de mettre en lumière les œuvres nouvellement arrivées dans les collections du MuMa : une peinture de Georges Braque léguée par Florence Malraux et un tableau d’Albert Marquet acquis grâce à un financement exceptionnel.
Thèmes des visites :
Horaires des visites :
DIMANCHE
Musique
Gratuit - Durée : 15-20 min. chaque session - Rendez-vous en salle d’exposition au gré de votre déambulation
En partenariat avec le Conservatoire Arthur Honegger du Havre, le MuMa accueille Clara Delafosse, jeune altiste en devenir ainsi que Pauline Lambert, ancienne élève du Conservatoire aujourd’hui étudiante au Conservatoire Royal de Musique de Bruxelles.
En ces Journées du patrimoine placées sous le signe du divertissement, les interprètes vous proposeront de courts moments musicaux venant dialoguer avec les œuvres de Raoul Dufy au cœur même de l’exposition qui lui est actuellement consacré. Clara Delafosse a fait le choix d’interpréter des extraits de Telemann. Quant à Pauline Lambert, c’est à Bach qu’elle consacrera ses interventions.
Horaires des concerts :
Visites
Gratuit - Durée : 15 min. environ - Rendez-vous à l’accueil du MuMa
L’actualité du MuMa, c’est bien sûr l’exposition Dufy au Havre qui se poursuit. L’une des visites proposées ce dimanche des Journées du Patrimoine sera l’occasion de revenir sur l’histoire du legs que l’épouse du peintre a rendu possible et qui s’est avéré être une chance exceptionnelle pour l’enrichissement des collections du musée.
Et justement, autre actualité marquante pour le MuMa, une nouvelle œuvre, acquise récemment, vient compléter un ensemble déjà conséquent d’œuvres d’Albert Marquet. Une autre visite sera donc consacrée au peintre et à ses quelques peintures présentes actuellement sur nos cimaises.
Horaires des visites :
Programme détaillé :
SAMEDI
Visites
Gratuit - Durée : 15 min. environ - Rendez-vous à l’accueil du MuMa
Double programme de visites en ce samedi des Journées du Patrimoine 2019 : les rendez-vous de 14h, 15h, 16h, 17h et 18h seront consacrés à l’exposition en cours mettant à l’honneur le peintre Raoul Dufy.
Les créneaux de 14h30, 15h30, 16h30, 17h30 et 18h30 permettront, quant à eux, de mettre en lumière les œuvres nouvellement arrivées dans les collections du MuMa : une peinture de Georges Braque léguée par Florence Malraux et un tableau d’Albert Marquet acquis grâce à un financement exceptionnel.
Thèmes des visites :
- Dufy et les monuments havrais par Bénédicte Marin
- En matière de matière ! par Jeanne Busato
- Merci Emilienne par Gaëlle Cornec
- Marquet, les quais de grande solitude par Patricia Devaux-Delettre
Horaires des visites :
- 14h - 16h - 18h : Dufy et les monuments havrais par Bénédicte Marin
- 14h30 - 16h30 - 18h30 : En matière de matière ! par Jeanne Busato
- 15h - 17h : Merci Emilienne par Gaëlle Cornec
- 15h30 - 17h30 : Marquet, les quais de grande solitude par Patricia Devaux-Delettre
DIMANCHE
Musique
Gratuit - Durée : 15-20 min. chaque session - Rendez-vous en salle d’exposition au gré de votre déambulation
En partenariat avec le Conservatoire Arthur Honegger du Havre, le MuMa accueille Clara Delafosse, jeune altiste en devenir ainsi que Pauline Lambert, ancienne élève du Conservatoire aujourd’hui étudiante au Conservatoire Royal de Musique de Bruxelles.
En ces Journées du patrimoine placées sous le signe du divertissement, les interprètes vous proposeront de courts moments musicaux venant dialoguer avec les œuvres de Raoul Dufy au cœur même de l’exposition qui lui est actuellement consacré. Clara Delafosse a fait le choix d’interpréter des extraits de Telemann. Quant à Pauline Lambert, c’est à Bach qu’elle consacrera ses interventions.
Horaires des concerts :
- 14h30 : Clara Delafosse, Première sonate pour violon, presto, JS Bach et Fantaisie n°10, premier mouvement, GP Telemann
- 15h30 : Clara Delafosse, Première sonate pour violon, presto, JS Bach et Fantaisie n°10, premier mouvement, GP Telemann
- 16h30 : Clara Delafosse, Première sonate pour violon, presto, JS Bach et Fantaisie n°10, premier mouvement, GP Telemann
- 17h30 : Pauline Lambert, Suite en ré mineur pour violoncelle seul, JS Bach
- 18h30 : Pauline Lambert, Suite en ré mineur pour violoncelle seul, JS Bach
Visites
Gratuit - Durée : 15 min. environ - Rendez-vous à l’accueil du MuMa
L’actualité du MuMa, c’est bien sûr l’exposition Dufy au Havre qui se poursuit. L’une des visites proposées ce dimanche des Journées du Patrimoine sera l’occasion de revenir sur l’histoire du legs que l’épouse du peintre a rendu possible et qui s’est avéré être une chance exceptionnelle pour l’enrichissement des collections du musée.
Et justement, autre actualité marquante pour le MuMa, une nouvelle œuvre, acquise récemment, vient compléter un ensemble déjà conséquent d’œuvres d’Albert Marquet. Une autre visite sera donc consacrée au peintre et à ses quelques peintures présentes actuellement sur nos cimaises.
Horaires des visites :
- 14h - 16h - 18h : Merci Emilienne par Gaëlle Cornec
- 15h - 17h : Marquet, les quais de grande solitude par Patricia Devaux-Delettre
Date(s)
- du 21 septembre 2019 au 22 septembre 2019
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
Attention, pour certains rendez-vous, le nombre de places sera limité.