CONCERT
Français

Dessin original de Gaël Dezothez
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S’inspirant des toiles de Dufy, lui-même grand voyageur, une conteuse et un musicien proposent aux enfants et à leurs parents de partir en mer depuis la plage de Sainte Adresse…
Après quelques détours contés par la cité océane d’hier et d’aujourd'hui, embarquez à bord du fameux Cargo noir, pour quelques voyages aux destinations mystérieuses comme l’île des N'ont qu’un œil et autres récits insolites…
Oreilles emportées par le vent des contes, n’oubliez pas de les réclamer en partant…
Contes : Muriel Bloch
Musiques : João Mota
En partenariat avec les Rencontres d’été – théâtre et lecture en Normandie
Biographies
Muriel Bloch est conteuse et auteure de nombreux recueils de contes. Elle a publié une trentaine de livres (Gallimard, Seuil, Syros, Naïve, Magnard, Thierry Magnier) et participe au renouveau du conte en France dès 1979. Elle raconte seule ou en musique, pour petits et grands, des contes du monde entier, mêlant des contes d’origine populaire et des contes littéraires, comme ceux du Cabinet des fées, ou des récits empruntés à la littérature. Elle anime des ateliers dans les théâtres, médiathèques, écoles… et travaille pour la radio, la télévision et des festivals en tant que programmatrice.
João Mota est né à Gabu, en République de Guinée-Bissau d’une mère peule et d’un père portugais. Après avoir été membre du célèbre Orquestra Super Mama Djombo, puis de l’Orchestra Produçao N’Kassa Cobra, il est contraint de quitter son pays en 1985. Il poursuit sa carrière au Portugal où il accompagne le grand chanteur Bana, puis en France auprès du Cabo Verdi Show, de Cesaria Evora, de Sam Mangwana, Manu Di Bango, les Touré Kounda, Fred Laser, Salif Keita, Sally Nyolo, les Gars de Kaliman, Angélique Kidjo...
Après quelques détours contés par la cité océane d’hier et d’aujourd'hui, embarquez à bord du fameux Cargo noir, pour quelques voyages aux destinations mystérieuses comme l’île des N'ont qu’un œil et autres récits insolites…
Oreilles emportées par le vent des contes, n’oubliez pas de les réclamer en partant…
Contes : Muriel Bloch
Musiques : João Mota
En partenariat avec les Rencontres d’été – théâtre et lecture en Normandie
Biographies
Muriel Bloch est conteuse et auteure de nombreux recueils de contes. Elle a publié une trentaine de livres (Gallimard, Seuil, Syros, Naïve, Magnard, Thierry Magnier) et participe au renouveau du conte en France dès 1979. Elle raconte seule ou en musique, pour petits et grands, des contes du monde entier, mêlant des contes d’origine populaire et des contes littéraires, comme ceux du Cabinet des fées, ou des récits empruntés à la littérature. Elle anime des ateliers dans les théâtres, médiathèques, écoles… et travaille pour la radio, la télévision et des festivals en tant que programmatrice.
João Mota est né à Gabu, en République de Guinée-Bissau d’une mère peule et d’un père portugais. Après avoir été membre du célèbre Orquestra Super Mama Djombo, puis de l’Orchestra Produçao N’Kassa Cobra, il est contraint de quitter son pays en 1985. Il poursuit sa carrière au Portugal où il accompagne le grand chanteur Bana, puis en France auprès du Cabo Verdi Show, de Cesaria Evora, de Sam Mangwana, Manu Di Bango, les Touré Kounda, Fred Laser, Salif Keita, Sally Nyolo, les Gars de Kaliman, Angélique Kidjo...
Date(s)
- 10 juillet 2019
Tarif(s)
Gratuit
Réservation obligatoire, aux heures d'ouverture du musée, à l'accueil et par téléphone au 02 35 19 62 72

Elfie Bonnardel . © Opéra de Rouen Normandie
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Les compositeurs de musique dite « savante » ne dédaignent pas les formes populaires ou folkloriques. Elles deviennent même parfois de remarquables sources d’inspiration.
Malcolm Arnold, cela ne vous dit rien ? Mais si, bien sûr ! C’est lui qui a composé la musique du Pont de la rivière Kwai pour laquelle il reçut un Oscar. Moins connus mais tout aussi séduisants, ses Three Shanties puisent leurs racines dans les chants marins populaires, dans une partition burlesque et plaisante. A l’origine pour violon et piano, la pièce en forme d’Habanera de Maurice Ravel, réarrangé par Clarke Kessler, revisite cette œuvre aux impressions hispaniques, en une version pour quintette à vents. C’est à l’Amérique du Sud que nous évoque la suite Belle époque de Julio Medaglia, traversée par un tango, une valse et un « chorinho ». Retour en Europe avec Ferenc Farkas qui s’inspire de danses hongroises du XVIIe siècle pour tenter de « recréer un style baroque hongrois « provincial » ». Un tour du monde des instruments à vents !
Au programme :
Three Shanties de Malcolm Arnold
Pièce en forme d’Habanera de Maurice Ravel
Danses hongroises du XVIIe siècle de Ferenc Farkas
Suite « Belle époque in Sud America » de Julio Medaglia
Avec :
Kouchyar Shahroudi à la flûte
Fabrice Rousson au hautbois
Naoko Yoshimura à la clarinette
Elfie Bonnardel au basson
Eric Lemardeley au cor
En partenariat avec l’Opéra de Rouen Normandie
Malcolm Arnold, cela ne vous dit rien ? Mais si, bien sûr ! C’est lui qui a composé la musique du Pont de la rivière Kwai pour laquelle il reçut un Oscar. Moins connus mais tout aussi séduisants, ses Three Shanties puisent leurs racines dans les chants marins populaires, dans une partition burlesque et plaisante. A l’origine pour violon et piano, la pièce en forme d’Habanera de Maurice Ravel, réarrangé par Clarke Kessler, revisite cette œuvre aux impressions hispaniques, en une version pour quintette à vents. C’est à l’Amérique du Sud que nous évoque la suite Belle époque de Julio Medaglia, traversée par un tango, une valse et un « chorinho ». Retour en Europe avec Ferenc Farkas qui s’inspire de danses hongroises du XVIIe siècle pour tenter de « recréer un style baroque hongrois « provincial » ». Un tour du monde des instruments à vents !
Au programme :
Three Shanties de Malcolm Arnold
Pièce en forme d’Habanera de Maurice Ravel
Danses hongroises du XVIIe siècle de Ferenc Farkas
Suite « Belle époque in Sud America » de Julio Medaglia
Avec :
Kouchyar Shahroudi à la flûte
Fabrice Rousson au hautbois
Naoko Yoshimura à la clarinette
Elfie Bonnardel au basson
Eric Lemardeley au cor
En partenariat avec l’Opéra de Rouen Normandie
Date(s)
- 06 juillet 2019
Tarif(s)
Gratuit
Réservation obligatoire, aux heures d'ouverture du musée, à l'accueil et par téléphone au 02 35 19 62 72

Paul-Marie BEAUNY. © Juliette Le Maoult
Dufy et la musique, ce n’est pas qu’une histoire personnelle, c’est aussi une affaire de peinture.
Né dans une famille de musiciens, la musique est partout, elle le nourrit depuis son plus jeune âge. Dès 1902, le motif de l’orchestre est présent dans son œuvre. En 1915, l’artiste peint un Hommage à Mozart, une toile préfigurant la réalisation d’une grande série qu’il entreprendra à la fin de sa vie et dans laquelle il évoquera ses compositeurs préférés, leur rendant hommage et tentant de traduire plastiquement leurs univers musicaux. Une manière, pour Raoul Dufy, d’évoquer de façon plus générale la figure de l’artiste, du créateur, et de relire sa propre carrière dont l’essentiel est alors derrière lui.
En écho à cette série, et par ricochet, en forme d’hommage au peintre amoureux de la musique que Dufy était, nous avons eu envie d’imaginer un cycle de « Musiques à la carte » particulier. Et pour clore ce cycle, Wolfgang Amadeus Mozart sera au chœur d’un programme pour quatuor à cordes imaginé par le violoniste habitué du MuMa, Paul-Marie Beauny. L’instrumentiste réunira pour l’occasion un quatuor inédit et pour lequel il envisage un moment de musique directement relié à la peinture de Raoul Dufy :
« Dans les chaleureux tons rouges de ses toiles en hommage à Mozart, le violon prédomine chez Raoul Dufy. Dufy représente-t-il le violon pour son attrait pictural, ou associe-t-il son admiration pour Mozart avec les instruments à cordes en général ? La forme du quatuor à cordes, héritée de Haydn, évolue ensuite grâce au génie de Mozart au cours de plus d’une vingtaine d’opus, rivalisant les uns avec les autres de juvénilité, d’intensité, de drame ou de sarcasmes… La clarté des formes, ces couleurs pures juxtaposées, et l’intensité de l’expression ne sont-elles pas, d’ailleurs, les caractéristiques des premiers fauvistes, dont Dufy fait partie ? » Paul-Marie Beauny
Programme :
- Wolfgang Amadeus Mozart, Quatuor n. 4 en Do M K 157
- Wolfgang Amadeus Mozart, Quatuor n. 15 en ré m K 421
Avec :
Paul-Marie Beauny et Izleh Henry, violons
Sandrine Dupé, alto
Clotilde Lacroix, violoncelle
Le quatuor joue sur instruments d’époque classique.
Né dans une famille de musiciens, la musique est partout, elle le nourrit depuis son plus jeune âge. Dès 1902, le motif de l’orchestre est présent dans son œuvre. En 1915, l’artiste peint un Hommage à Mozart, une toile préfigurant la réalisation d’une grande série qu’il entreprendra à la fin de sa vie et dans laquelle il évoquera ses compositeurs préférés, leur rendant hommage et tentant de traduire plastiquement leurs univers musicaux. Une manière, pour Raoul Dufy, d’évoquer de façon plus générale la figure de l’artiste, du créateur, et de relire sa propre carrière dont l’essentiel est alors derrière lui.
En écho à cette série, et par ricochet, en forme d’hommage au peintre amoureux de la musique que Dufy était, nous avons eu envie d’imaginer un cycle de « Musiques à la carte » particulier. Et pour clore ce cycle, Wolfgang Amadeus Mozart sera au chœur d’un programme pour quatuor à cordes imaginé par le violoniste habitué du MuMa, Paul-Marie Beauny. L’instrumentiste réunira pour l’occasion un quatuor inédit et pour lequel il envisage un moment de musique directement relié à la peinture de Raoul Dufy :
« Dans les chaleureux tons rouges de ses toiles en hommage à Mozart, le violon prédomine chez Raoul Dufy. Dufy représente-t-il le violon pour son attrait pictural, ou associe-t-il son admiration pour Mozart avec les instruments à cordes en général ? La forme du quatuor à cordes, héritée de Haydn, évolue ensuite grâce au génie de Mozart au cours de plus d’une vingtaine d’opus, rivalisant les uns avec les autres de juvénilité, d’intensité, de drame ou de sarcasmes… La clarté des formes, ces couleurs pures juxtaposées, et l’intensité de l’expression ne sont-elles pas, d’ailleurs, les caractéristiques des premiers fauvistes, dont Dufy fait partie ? » Paul-Marie Beauny
Programme :
- Wolfgang Amadeus Mozart, Quatuor n. 4 en Do M K 157
- Wolfgang Amadeus Mozart, Quatuor n. 15 en ré m K 421
Avec :
Paul-Marie Beauny et Izleh Henry, violons
Sandrine Dupé, alto
Clotilde Lacroix, violoncelle
Le quatuor joue sur instruments d’époque classique.

Izleh Henry

Clotilde Lacroix

Sandrine Dupé
Date(s)
- 24 octobre 2019
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

Daniel Isoir
Dufy et la musique, ce n’est pas qu’une histoire personnelle, c’est aussi une affaire de peinture. Né dans une famille de musiciens, la musique est partout, elle le nourrit depuis son plus jeune âge. Dès 1902, le motif de l’orchestre est présent dans son œuvre. En 1915, l’artiste peint un Hommage à Mozart, une toile préfigurant la réalisation d’une grande série qu’il entreprendra à la fin de sa vie et dans laquelle il évoquera ses compositeurs préférés, leur rendant hommage et tentant de traduire plastiquement leurs univers musicaux. Une manière, pour Raoul Dufy, d’évoquer de façon plus générale la figure de l’artiste, du créateur, et de relire sa propre carrière dont l’essentiel est alors derrière lui.
En écho à cette série, et par ricochet, en forme d’hommage au peintre amoureux de la musique que Dufy était, nous avons eu envie d’imaginer un cycle de « Musiques à la carte » particulier. Le cycle continue, après Chopin et Bach, par un programme dédié à Claude Debussy et quelques uns de ses contemporains.
Par Daniel Isoir, piano
En écho à cette série, et par ricochet, en forme d’hommage au peintre amoureux de la musique que Dufy était, nous avons eu envie d’imaginer un cycle de « Musiques à la carte » particulier. Le cycle continue, après Chopin et Bach, par un programme dédié à Claude Debussy et quelques uns de ses contemporains.
Par Daniel Isoir, piano
Date(s)
- 26 septembre 2019
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

Anaël Rousseau. © Opéra de Rouen Normandie
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Dufy et la musique, ce n’est pas qu’une histoire personnelle, c’est aussi une affaire de peinture. Né dans une famille de musiciens, la musique est partout, elle le nourrit depuis son plus jeune âge. Dès 1902, le motif de l’orchestre est présent dans son œuvre. En 1915, l’artiste peint un Hommage à Mozart, une toile préfigurant la réalisation d’une grande série qu’il entreprendra à la fin de sa vie et dans laquelle il évoquera ses compositeurs préférés, leur rendant hommage et tentant de traduire plastiquement leurs univers musicaux. Une manière, pour Raoul Dufy, d’évoquer de façon plus générale la figure de l’artiste, du créateur, et de relire sa propre carrière dont l’essentiel est alors derrière lui.
En écho à cette série, et par ricochet, en forme d’hommage au peintre amoureux de la musique que Dufy était, nous avons eu envie d’imaginer un cycle de « Musiques à la carte » particulier. Après un rendez-vous consacré à Chopin, nous enchainerons avec Jean-Sébastien Bach et quelques Suites pour violoncelle sélectionnées par Anaël Rousseau, violoncelliste à l’Opéra de Rouen Normandie.
Par Anaël Rousseau
En partenariat avec l’Opéra de Rouen Normandie
Biographie d’Anaël Rousseau
Anaël Rousseau étudie le violoncelle au Mans, puis au CNR de Paris où il obtient un premier prix de violoncelle, cycle Supérieur. Lauréat et premier prix des concours Bellan et UFAM en Honneur / Excellence, il entre ensuite au CNSM de Paris où il remporte un Premier prix d’instrument, bénéficiant aussi des conseils de Gary Hoffman, Arto Noras, Klaus Heitz, du quatuor Enesco, Christian Ivaldi, Alain Meunier… Parallèlement, il suit la classe de violoncelle baroque du CNSM avec Christophe Coin et enrichit son expérience de musique ancienne en master-class avec Anner Bylsma. Passionné d’orchestre, il participe plusieurs fois aux sessions de l’Orchestre Français des Jeunes (Marek Janowski, Jesús Lopez-Cobos) avant de remporter le concours de violoncelle solo de l’Opéra de Rouen Normandie en 2000. Invité de la Fondation Royaumont, il participe en 2009 aux Fenêtres sur Cour dans le cadre des Voix Célestes (voix, orgue, harpe et cordes). Il poursuit aussi une activité de chambriste, Japon, Normandie…
Anaël Rousseau joue un violoncelle de 1992 par Franck Ravatin.
En écho à cette série, et par ricochet, en forme d’hommage au peintre amoureux de la musique que Dufy était, nous avons eu envie d’imaginer un cycle de « Musiques à la carte » particulier. Après un rendez-vous consacré à Chopin, nous enchainerons avec Jean-Sébastien Bach et quelques Suites pour violoncelle sélectionnées par Anaël Rousseau, violoncelliste à l’Opéra de Rouen Normandie.
Par Anaël Rousseau
En partenariat avec l’Opéra de Rouen Normandie
Biographie d’Anaël Rousseau
Anaël Rousseau étudie le violoncelle au Mans, puis au CNR de Paris où il obtient un premier prix de violoncelle, cycle Supérieur. Lauréat et premier prix des concours Bellan et UFAM en Honneur / Excellence, il entre ensuite au CNSM de Paris où il remporte un Premier prix d’instrument, bénéficiant aussi des conseils de Gary Hoffman, Arto Noras, Klaus Heitz, du quatuor Enesco, Christian Ivaldi, Alain Meunier… Parallèlement, il suit la classe de violoncelle baroque du CNSM avec Christophe Coin et enrichit son expérience de musique ancienne en master-class avec Anner Bylsma. Passionné d’orchestre, il participe plusieurs fois aux sessions de l’Orchestre Français des Jeunes (Marek Janowski, Jesús Lopez-Cobos) avant de remporter le concours de violoncelle solo de l’Opéra de Rouen Normandie en 2000. Invité de la Fondation Royaumont, il participe en 2009 aux Fenêtres sur Cour dans le cadre des Voix Célestes (voix, orgue, harpe et cordes). Il poursuit aussi une activité de chambriste, Japon, Normandie…
Anaël Rousseau joue un violoncelle de 1992 par Franck Ravatin.
Date(s)
- 11 juillet 2019
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

Daniel Isoir
Dufy et la musique, ce n’est pas qu’une histoire personnelle, c’est aussi une affaire de peinture. Né dans une famille de musiciens, la musique est partout, elle le nourrit depuis son plus jeune âge. Dès 1902, le motif de l’orchestre est présent dans son œuvre. En 1915, l’artiste peint un Hommage à Mozart, une toile préfigurant la réalisation d’une grande série qu’il entreprendra à la fin de sa vie et dans laquelle il évoquera ses compositeurs préférés, leur rendant hommage et tentant de traduire plastiquement leurs univers musicaux. Une manière, pour Raoul Dufy, d’évoquer de façon plus générale la figure de l’artiste, du créateur, et de relire sa propre carrière dont l’essentiel est alors derrière lui.
En écho à cette série, et par ricochet, en forme d’hommage au peintre amoureux de la musique que Dufy était, nous avons eu envie d’imaginer un cycle de « Musiques à la carte » particulier. Le premier de ces rendez-vous sera consacré à Frédéric Chopin, et c’est au pianiste Daniel Isoir que nous avons confié le soin de concocter un programme autour de ce compositeur et pianiste fameux de la période romantique.
Par Daniel Isoir, piano
En écho à cette série, et par ricochet, en forme d’hommage au peintre amoureux de la musique que Dufy était, nous avons eu envie d’imaginer un cycle de « Musiques à la carte » particulier. Le premier de ces rendez-vous sera consacré à Frédéric Chopin, et c’est au pianiste Daniel Isoir que nous avons confié le soin de concocter un programme autour de ce compositeur et pianiste fameux de la période romantique.
Par Daniel Isoir, piano
Date(s)
- 13 juin 2019
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

© Laurent Bréard / Ville du Havre
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Retrouvez au MuMa ce concert dessiné né de la résidence d’Agnès Maupré dans les Cyclades dans le cadre du programme de La Bande des Havrais, et créé à l’occasion du festival littéraire Le Goût des Autres en janvier 2019.
Avec le groupe Esprit Chien (Agnès Maupré, Philippe d’Albret et Jean-Philippe Le Saint) et le dessinateur Singeon
Extrait du programme du Goût des Autres :
« Férue de mythologie grecque depuis fort longtemps, la créatrice de bande dessinée Agnès Maupré rêvait depuis longtemps d’une grande fresque voyageuse émaillée de rencontres avec des monstres mélancoliques. La Bande des Havrais a donné corps à ses envies à travers une résidence d’écriture dans les Cyclades et un accompagnement par le Studio Honolulu. Il est ressorti de cette résidence un projet hybride de bande dessinée musicale, accompagné de chansons du groupe Esprit chien. Le livre et les chansons retracent l’histoire de deux jeunes filles en quête de leur identité et du père qu’elles n’ont jamais rencontré, le grand Zeus. Mais les dieux sont fuyants, surtout pour leurs enfants, et on ne les rencontre pas sur simple demande. Heureusement, d’autres bâtards traînent leurs égarements sur les routes poussiéreuses et pourront peut-être les aider à savoir qui elles sont, à défaut de savoir d’où elles viennent… Le concert dessiné au Goût des Autres, accompagné de l’auteur de bande dessinée Singeon et de sa plume voluptueuse est une première restitution de ce périple initiatique mythologique et musical. »
Extraits du dossier de présentation :
« Zeus est un dieu, c’est même le roi des dieux. Or ni les rois ni les dieux ne font les meilleurs pères. Ce qu’ils savent faire surtout, c’est semer des bâtards. Et que deviennent-ils, ces bâtards, ces enfants abandonnés, ces grains de poussière sous la semelle divine, quand ils sont en âge de se dresser et de lever le poing? Ils tournent en rond, ils boxent le vide, cherchent qui ils sont, parfois se trouvent, parfois se perdent. Ils sont comme vous et moi, tout simplement humains…
Le projet « Bâtards » est un projet hybride mêlant musique, écriture et dessin. Né d’une résidence en Grèce soutenue par La Bande des Havrais, il se décline sous plusieurs formes:
- Une bande dessinée, scénario et dessin d’Agnès Maupré, accompagnée de chansons dʼEsprit Chien, à paraître aux éditions Dupuis
- Un concert dessiné avec des images de Singeon sur des musiques dʼEsprit Chien
Un esprit chien dans un corps chien!
Esprit Chien est un groupe d’électro-pop-canine à textes formé en 2015 entre Marseille et le Havre. Au départ formé de Philippe d'Albret, Agnès Maupré et Sharmila Naudou, il a troqué Marseille pour Toulouse et Sharmila pour JP le Saint. Mais il est toujours question d’aboyer le nez au vent. Certaines choses ne changent pas…
Le groupe s'est produit en concert à Marseille et au Havre où il a, entre autres, participé à l’édition 2017 du festival WE LOVE LH. La résidence « la Bande des Havrais » lui a donné un nouveau souffle en lui permettant de transporter son goût de la magie et de la métamorphose dans la poussière des Cyclades et de jouer avec leur panthéon de déités foutraques, composant un récit hybride fait de bande dessinée et de chanson. Le studio Honolulu, au Havre, a contribué à mettre tout ça en forme et une première représentation du concert dessiné a eu lieu au festival littéraire Le Goût des Autres sous le titre Les Fils cachés de Zeus.
(…)
Singeon naît en 1982 à Fort de France, sur l'île de la Martinique, et y passe son enfance à rêver de bande dessinée. Après un bac littéraire, il s'installe à Paris en 1999 pour y étudier la communication visuelle et le graphisme. Il intègre ensuite l'École Nationale Supérieure des Beaux-Arts où il réalise un titanesque livre collectif en sérigraphie : Constance. Il se lance dans divers blogs, œuvre pour des fanzines, tel Dopututto, dessine des story-boards pour le cinéma d'animation, notamment La Mécanique du Coeur de Mathias Malzieu, et participe à la revue Lapin... Ses travaux, étranges et virtuoses, témoignent de son goût pour les artistes anglo-saxons, de Jim Woodring à Joe Daly en passant par Will Sweeney. Sauvetages, paru en 2011 chez Cornélius, en propose un recueil peuplé de singes et de princesses. Sa rencontre avec Marguerite Abouet lui donne l'occasion de mettre ses talents au service d'un long récit en bande dessinée. Bienvenue, aux éditions Gallimard, est son premier livre. Une première collaboration, Tristan et Yseult (Gallimard, 2017), le lie à Agnès Maupré. Les « Bâtards » leur donnent l’occasion de se retrouver… »
Avec le groupe Esprit Chien (Agnès Maupré, Philippe d’Albret et Jean-Philippe Le Saint) et le dessinateur Singeon
Extrait du programme du Goût des Autres :
« Férue de mythologie grecque depuis fort longtemps, la créatrice de bande dessinée Agnès Maupré rêvait depuis longtemps d’une grande fresque voyageuse émaillée de rencontres avec des monstres mélancoliques. La Bande des Havrais a donné corps à ses envies à travers une résidence d’écriture dans les Cyclades et un accompagnement par le Studio Honolulu. Il est ressorti de cette résidence un projet hybride de bande dessinée musicale, accompagné de chansons du groupe Esprit chien. Le livre et les chansons retracent l’histoire de deux jeunes filles en quête de leur identité et du père qu’elles n’ont jamais rencontré, le grand Zeus. Mais les dieux sont fuyants, surtout pour leurs enfants, et on ne les rencontre pas sur simple demande. Heureusement, d’autres bâtards traînent leurs égarements sur les routes poussiéreuses et pourront peut-être les aider à savoir qui elles sont, à défaut de savoir d’où elles viennent… Le concert dessiné au Goût des Autres, accompagné de l’auteur de bande dessinée Singeon et de sa plume voluptueuse est une première restitution de ce périple initiatique mythologique et musical. »
Extraits du dossier de présentation :
« Zeus est un dieu, c’est même le roi des dieux. Or ni les rois ni les dieux ne font les meilleurs pères. Ce qu’ils savent faire surtout, c’est semer des bâtards. Et que deviennent-ils, ces bâtards, ces enfants abandonnés, ces grains de poussière sous la semelle divine, quand ils sont en âge de se dresser et de lever le poing? Ils tournent en rond, ils boxent le vide, cherchent qui ils sont, parfois se trouvent, parfois se perdent. Ils sont comme vous et moi, tout simplement humains…
Le projet « Bâtards » est un projet hybride mêlant musique, écriture et dessin. Né d’une résidence en Grèce soutenue par La Bande des Havrais, il se décline sous plusieurs formes:
- Une bande dessinée, scénario et dessin d’Agnès Maupré, accompagnée de chansons dʼEsprit Chien, à paraître aux éditions Dupuis
- Un concert dessiné avec des images de Singeon sur des musiques dʼEsprit Chien
Un esprit chien dans un corps chien!
Esprit Chien est un groupe d’électro-pop-canine à textes formé en 2015 entre Marseille et le Havre. Au départ formé de Philippe d'Albret, Agnès Maupré et Sharmila Naudou, il a troqué Marseille pour Toulouse et Sharmila pour JP le Saint. Mais il est toujours question d’aboyer le nez au vent. Certaines choses ne changent pas…
Le groupe s'est produit en concert à Marseille et au Havre où il a, entre autres, participé à l’édition 2017 du festival WE LOVE LH. La résidence « la Bande des Havrais » lui a donné un nouveau souffle en lui permettant de transporter son goût de la magie et de la métamorphose dans la poussière des Cyclades et de jouer avec leur panthéon de déités foutraques, composant un récit hybride fait de bande dessinée et de chanson. Le studio Honolulu, au Havre, a contribué à mettre tout ça en forme et une première représentation du concert dessiné a eu lieu au festival littéraire Le Goût des Autres sous le titre Les Fils cachés de Zeus.
(…)
Singeon naît en 1982 à Fort de France, sur l'île de la Martinique, et y passe son enfance à rêver de bande dessinée. Après un bac littéraire, il s'installe à Paris en 1999 pour y étudier la communication visuelle et le graphisme. Il intègre ensuite l'École Nationale Supérieure des Beaux-Arts où il réalise un titanesque livre collectif en sérigraphie : Constance. Il se lance dans divers blogs, œuvre pour des fanzines, tel Dopututto, dessine des story-boards pour le cinéma d'animation, notamment La Mécanique du Coeur de Mathias Malzieu, et participe à la revue Lapin... Ses travaux, étranges et virtuoses, témoignent de son goût pour les artistes anglo-saxons, de Jim Woodring à Joe Daly en passant par Will Sweeney. Sauvetages, paru en 2011 chez Cornélius, en propose un recueil peuplé de singes et de princesses. Sa rencontre avec Marguerite Abouet lui donne l'occasion de mettre ses talents au service d'un long récit en bande dessinée. Bienvenue, aux éditions Gallimard, est son premier livre. Une première collaboration, Tristan et Yseult (Gallimard, 2017), le lie à Agnès Maupré. Les « Bâtards » leur donnent l’occasion de se retrouver… »
Date(s)
- 24 février 2019
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

© Seijiro Murayama
« S'il en est un dont on ne risque pas d'imaginer ce qu'il va pouvoir nous inventer, c'est bien le percussionniste Seijiro Murayama ! Déjà, le terme de percussions demeure en lui-même sujet à caution puisqu'il use désormais autant de sa voix haut-perchée que de cette caisse-claire sur laquelle il peut asséner les plus cinglantes frappes. Un type improbable, aussi imprévisible que généreux, qui tint la batterie dans Ruins, le gang proto-punk de Yamatsuka Eye, ou Fushitsusha, le trio apocalyptique de Keiji Haino, mais affirmait encore, en 2012, qu'on ne peut plus s'offrir le luxe du minimalisme après le désastre de Fukushima… Un personnage absolu, en quelque sorte ! »
Joël Pagier
En partenariat avec le Festival PiedNu
Retrouvez toute la programmation du festival sur piednu.fr
Joël Pagier
En partenariat avec le Festival PiedNu
Retrouvez toute la programmation du festival sur piednu.fr
Date(s)
- 23 mars 2019
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

© Ken Ueno & Vincent Daoud
« Sound artist, compositeur et vocaliste, Ken Ueno s'est spécialisé dans les techniques permettant d'étendre les possibilités de son instrument : chants diphonique, de gorge ou circulaire, multiphoniques, registres extrêmes... De son côté, le saxophoniste Vincent Daoud, qui travaille étroitement avec de nombreux compositeurs, enrichit ses recherches sonores par une pratique régulière de l'improvisation. Ensemble, ils considèrent l'espace architectural du MuMa, font entendre le musée d'une manière inouïe en y occupant des endroits spécifiques et en développant une pratique instrumentale innovante. Par la qualité de leur collaboration, tant humaine que musicale, ils souhaitent célébrer à travers cette performance et dans l'espoir d'une société meilleure le potentiel d'empathie du genre humain. »
Joël Pagier
Biographies
Lauréat du prix de Rome et du prix de Berlin, Ken Ueno est compositeur, vocaliste, "sound artist" et enseigne actuellement la composition à l'université de Californie à Berkeley. En tant que vocaliste, il s'est spécialisé dans les techniques permettant d'étendre les possibilités de son instrument (chant diphonique, "chant de gorge", "chant circulaire", multiphoniques, registres extrêmes...), Sa musique a pu être entendue ces dernières années en Amérique du nord (Lincoln Center et Metropolitan Museum of Art à New York, Kennedy Center à Washington...) en Europe (MusikTriennale Köln Festival, Muziekgebouw Amsterdam, Ars Musica à Strasbourg, Warsaw Autumn...) et en Asie (Thailand Philharmonic Orchestra, Murai Masanari Memorial Museum, Tokyo, Phoenix Hall, Osaka...). Ken est au bénéfice d'un diplôme de doctorat de l'Université de Harvard. Un CD monographique de ses trois concertos a été produit par le label Bmop.
Vincent Daoud, saxophoniste, est passionné par le processus de création. Il travaille étroitement avec de nombreux compositeurs pour la réalisation et la diffusion d'un nouveau répertoire incluant le saxophone, en Suisse (son lieu de résidence) et à l'étranger. Dans le même temps, des projets d'improvisation viennent ponctuer et enrichir ses recherches sonores. Le quintet d'improvisation libre «Ensemble 5», a récemment vu la sortie de son disque «Solstice» (Leo records) salué par la critique. Des concerts avec des musiciens venus d'horizons divers (Gilberto Gil, Zaz, Mathieu Chédid, Marcel Khalife, George Lewis, Ramon Lopez, Garth Knox, Steve Potts, François Janneau, Christian Wolff, Ken Ueno, Jonas Kocher, Dragos Tara, Jacques Demierre, Big Band de l'Université de Lausanne...) permettent de renouveler son intérêt pour ce mode d'expression. Vincent est diplômé des Conservatoires de Boulogne-Billancourt, Lausanne et Berne. Par ailleurs, il est au bénéfice d'un Bachelor en Sciences Politiques de l'Université de Lausanne, et termine un Master en Sociologie.
En partenariat avec le Festival PiedNu
Retrouvez toute la programmation du festival sur piednu.fr
Joël Pagier
Biographies
Lauréat du prix de Rome et du prix de Berlin, Ken Ueno est compositeur, vocaliste, "sound artist" et enseigne actuellement la composition à l'université de Californie à Berkeley. En tant que vocaliste, il s'est spécialisé dans les techniques permettant d'étendre les possibilités de son instrument (chant diphonique, "chant de gorge", "chant circulaire", multiphoniques, registres extrêmes...), Sa musique a pu être entendue ces dernières années en Amérique du nord (Lincoln Center et Metropolitan Museum of Art à New York, Kennedy Center à Washington...) en Europe (MusikTriennale Köln Festival, Muziekgebouw Amsterdam, Ars Musica à Strasbourg, Warsaw Autumn...) et en Asie (Thailand Philharmonic Orchestra, Murai Masanari Memorial Museum, Tokyo, Phoenix Hall, Osaka...). Ken est au bénéfice d'un diplôme de doctorat de l'Université de Harvard. Un CD monographique de ses trois concertos a été produit par le label Bmop.
Vincent Daoud, saxophoniste, est passionné par le processus de création. Il travaille étroitement avec de nombreux compositeurs pour la réalisation et la diffusion d'un nouveau répertoire incluant le saxophone, en Suisse (son lieu de résidence) et à l'étranger. Dans le même temps, des projets d'improvisation viennent ponctuer et enrichir ses recherches sonores. Le quintet d'improvisation libre «Ensemble 5», a récemment vu la sortie de son disque «Solstice» (Leo records) salué par la critique. Des concerts avec des musiciens venus d'horizons divers (Gilberto Gil, Zaz, Mathieu Chédid, Marcel Khalife, George Lewis, Ramon Lopez, Garth Knox, Steve Potts, François Janneau, Christian Wolff, Ken Ueno, Jonas Kocher, Dragos Tara, Jacques Demierre, Big Band de l'Université de Lausanne...) permettent de renouveler son intérêt pour ce mode d'expression. Vincent est diplômé des Conservatoires de Boulogne-Billancourt, Lausanne et Berne. Par ailleurs, il est au bénéfice d'un Bachelor en Sciences Politiques de l'Université de Lausanne, et termine un Master en Sociologie.
En partenariat avec le Festival PiedNu
Retrouvez toute la programmation du festival sur piednu.fr
Date(s)
- 23 mars 2019
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

. © Poley Luard et Brav
Le programme de résidence de La Bande des Havrais qui expose aujourd’hui au MuMa a permis à plusieurs musiciens de partir créer ou se produire à l’étranger, de se rencontrer et d’avoir envie de travailler ensemble. Nous rassemblons deux d’entre eux pour un concert unique, aux couleurs musicales variées, mais dont le point commun est celui là : avoir été nourri de ces ailleurs. Nous y entendrons le rappeur Brav, dont le parcours s’accélère depuis sa série de concerts en appartements donnés dans toute l’Europe, et Juliette Richards, alias White Welvet, qui sort ces temps-ci divers titres et clips qui n’auraient pas vu le jour sans son expérience de création à Liverpool.
Date(s)
- 13 mars 2019
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
Entrée dans la limite des places disponibles (attention, jauge limitée)
Ouverture des portes à 18h30
Ouverture des portes à 18h30