18 h 00

Juan Gris - Portrait of Pablo Picasso, Institut d’art de Chicago, Chicago ( Etats-Unis)
REGARDS CROISÉS
Aux avant-gardes : Picasso, Juan Gris, Miro, Dali
par Hélène de Panafieu, historienne de l’art, conférencière
Aux avant-gardes : Picasso, Juan Gris, Miro, Dali
par Hélène de Panafieu, historienne de l’art, conférencière
Date(s)
- 14 décembre 2017
Conférence accessible uniquement aux adhérents de l'association des Amis du musée d'art moderne André Malraux (AMAM)

Santiago Rusiñol - Péniches sur la Seine
REGARDS CROISÉS
Peintres de la colonie espagnole à Paris
Par Agnès du Vachat, docteur en histoire de l’art, chercheur associée à l’Ecole Nationale Supérieure du Paysage de Versailles
Peintres de la colonie espagnole à Paris
Par Agnès du Vachat, docteur en histoire de l’art, chercheur associée à l’Ecole Nationale Supérieure du Paysage de Versailles
Date(s)
- 07 décembre 2017
Conférence accessible uniquement aux adhérents de l'association des Amis du musée d'art moderne André Malraux (AMAM)

El pintor Francisco de Goya, Vicente López Portaña (1826) Musée du Prado, Madrid
REGARDS CROISÉS
Goya ou l'Espagne dévoilée
Par Hélène de Panafieu, historienne de l’art, conférencière
Goya ou l'Espagne dévoilée
Par Hélène de Panafieu, historienne de l’art, conférencière
Date(s)
- 30 novembre 2017
Conférence accessible uniquement aux adhérents de l'association des Amis du musée d'art moderne André Malraux (AMAM)

Cathédrale de Séville
REGARDS CROISÉS
Le baroque dans le monde hispanique
Par Araceli Guillaume-Alonso, professeure émérite de l'Université Paris-Sorbonne - Histoire et Civilisation de l'Espagne moderne
Le baroque dans le monde hispanique
Par Araceli Guillaume-Alonso, professeure émérite de l'Université Paris-Sorbonne - Histoire et Civilisation de l'Espagne moderne
Date(s)
- 23 novembre 2017
Conférence accessible uniquement aux adhérents de l'association des Amis du musée d'art moderne André Malraux (AMAM)

Attribué à Eugenio Cajés, Portrait de Lope de Vega
REGARDS CROISÉS
Le portrait espagnol dans le contexte européen à l'âge classique
Par Araceli Guillaume-Alonso, professeure émérite de l'Université Paris-Sorbonne - Histoire et Civilisation de l'Espagne moderne
Le portrait espagnol dans le contexte européen à l'âge classique
Par Araceli Guillaume-Alonso, professeure émérite de l'Université Paris-Sorbonne - Histoire et Civilisation de l'Espagne moderne
Date(s)
- 09 novembre 2017
Conférence accessible uniquement aux adhérents de l'association des Amis du musée d'art moderne André Malraux (AMAM)

Vue intérieure des jardins du Généralife, L'Alhambra (Grenade)
REGARDS CROISÉS
Histoire du jardin arabe et de sa diffusion en Espagne
Par Agnès du Vachat, docteur en histoire de l’art, chercheur associée à l’Ecole Nationale Supérieure du Paysage de Versailles
Histoire du jardin arabe et de sa diffusion en Espagne
Par Agnès du Vachat, docteur en histoire de l’art, chercheur associée à l’Ecole Nationale Supérieure du Paysage de Versailles
Date(s)
- 19 octobre 2017
Conférence accessible uniquement aux adhérents de l'association des Amis du musée d'art moderne André Malraux (AMAM)

Peter Delpeut, Lyrisch Nitraat, 1990, dist. Light Cone
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Une fois par mois, d'octobre à mai, le MuMa invite le public à explorer le vaste territoire de l'image en mouvement (cinéma de recherche, expérimental, art vidéo, animation, documentaire...) avec MuMaBoX.
Lyrisch Nitraat est une évocation de l’histoire du cinéma, plus émotionnelle que didactique, faite de mélodrames, de romances et de lyrisme. Deux lignes thématiques s’y dessinent: l’obsession du regard et de la mort, la matérialité éphémère de la pellicule. Plus qu’une œuvre nostalgique,
Lyrisch Nitraat est une invitation à voir ce matériel filmique ancien et à en faire un usage nouveau. La décomposition chimique du nitrate a laissé des traces irréversibles, mais la maîtrise du cadrage, de la mise en scène, de la couleur, de la lumière, du jeu des acteurs, dont font montre ces pionniers du cinéma, est source de plaisir.
Les fragments de films utilisés dans Lyrisch Nitraat proviennent tous de la collection de Jean Desmet (1875-1956), un des premiers distributeurs de films hollandais, qui comprend des films, fictions ou documentaires, européens et américains. À la mort de Desmet, sa collection a été léguée au Nederlands Filmmuseum.
Programme :
Peter Delpeut, Lyrisch Nitraat, 1990, 50’
Lyrisch Nitraat est une évocation de l’histoire du cinéma, plus émotionnelle que didactique, faite de mélodrames, de romances et de lyrisme. Deux lignes thématiques s’y dessinent: l’obsession du regard et de la mort, la matérialité éphémère de la pellicule. Plus qu’une œuvre nostalgique,
Lyrisch Nitraat est une invitation à voir ce matériel filmique ancien et à en faire un usage nouveau. La décomposition chimique du nitrate a laissé des traces irréversibles, mais la maîtrise du cadrage, de la mise en scène, de la couleur, de la lumière, du jeu des acteurs, dont font montre ces pionniers du cinéma, est source de plaisir.
Les fragments de films utilisés dans Lyrisch Nitraat proviennent tous de la collection de Jean Desmet (1875-1956), un des premiers distributeurs de films hollandais, qui comprend des films, fictions ou documentaires, européens et américains. À la mort de Desmet, sa collection a été léguée au Nederlands Filmmuseum.
Programme :
Peter Delpeut, Lyrisch Nitraat, 1990, 50’
Date(s)
- 17 janvier 2018
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

Maki Satake, Vestige of life, 2008-2009, dist. Light Cone
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Une fois par mois, d'octobre à mai, le MuMa invite le public à explorer le vaste territoire de l'image en mouvement (cinéma de recherche, expérimental, art vidéo, animation, documentaire...) avec MuMaBoX.
Ce programme sera consacré à la mémoire, telle qu’elle peut être convoquée au vu des objets, des images, des vestiges de la vie vécue dans lesquels le temps enfuit semble capturé.
Jonas Mekas revisite le Williamsburg de sa jeunesse, celui de ses premiers pas de cinéaste ; Maki Satake revient dans la maison désertée de ses grands-parents, qui semblent pourtant présents grâce aux archives de l’artiste. Le film devient alors l’espace de la jointure entre passé et présent mais aussi celui de la mémoire des lieux et des êtres. John Smith évoque ainsi son père dans un registre volontiers ironique alors que Barbara Meter réanime avec lyrisme ses photographies de famille. Enfin, à partir de found footage, Jay Rosenblatt nous propose un récit universel que nous partageons au-delà de nos singularités : celui du temps de la vie qui s’écoule de la naissance à la mort.
Programme :
Jonas Mekas, Williamsburg, Brooklyn, 2003, 15’
Barbara Meter, Appearances, 2000, 18’
Maki Satake, Vestige of life, 2008-2009, 12’
John Smith, Dad’s Stick, 2012, 4’ 53
Jay Rosenblatt, The D Train, 2010-2011, 4’ 45
Ce programme sera consacré à la mémoire, telle qu’elle peut être convoquée au vu des objets, des images, des vestiges de la vie vécue dans lesquels le temps enfuit semble capturé.
Jonas Mekas revisite le Williamsburg de sa jeunesse, celui de ses premiers pas de cinéaste ; Maki Satake revient dans la maison désertée de ses grands-parents, qui semblent pourtant présents grâce aux archives de l’artiste. Le film devient alors l’espace de la jointure entre passé et présent mais aussi celui de la mémoire des lieux et des êtres. John Smith évoque ainsi son père dans un registre volontiers ironique alors que Barbara Meter réanime avec lyrisme ses photographies de famille. Enfin, à partir de found footage, Jay Rosenblatt nous propose un récit universel que nous partageons au-delà de nos singularités : celui du temps de la vie qui s’écoule de la naissance à la mort.
Programme :
Jonas Mekas, Williamsburg, Brooklyn, 2003, 15’
Barbara Meter, Appearances, 2000, 18’
Maki Satake, Vestige of life, 2008-2009, 12’
John Smith, Dad’s Stick, 2012, 4’ 53
Jay Rosenblatt, The D Train, 2010-2011, 4’ 45
Date(s)
- 13 décembre 2017
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

Leïla Férault-Levy, Luce, à propos de Jean Vigo, 2016, dist. La Huit
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Une fois par mois, d'octobre à mai, le MuMa invite le public à explorer le vaste territoire de l'image en mouvement (cinéma de recherche, expérimental, art vidéo, animation, documentaire...) avec MuMaBoX.
« Le temps d’une journée, Luce Vigo ouvre pour la première fois à son fils la malle aux archives de ses parents, morts quand elle était enfant. Les mots de Luce retracent la vie de cinéma de Jean Vigo et de ceux qui l’accompagnaient : Stork, Kaufman, Dulac ou Painlevé. De cet héritage, Luce n’en comprit le poids terrible qu’à l’âge de 14 ans. Et elle qui devint ensuite mère et enseignante réussit à en tirer – par la force – une seconde vie de cinéma : la sienne. Une vie passée à défendre les films, à les montrer. » Vincent Poli, Catalogue FID 2017
« Luce me présente son fils, je lui parle du projet de film, d’ouvrir la malle et là, j’ai vu ses yeux briller et il m’a dit : « Ah oui, la malle va s’ouvrir… » Quelle chance ! » Leïla Férault-Lévy
Programme :
Leïla Férault-Levy, Luce, à propos de Jean Vigo, 2016, 67’
En présence de la réalisatrice
Dans le cadre du Mois du film documentaire en partenariat avec Lire au Havre, la bibliothèque et le service culturel de l’université du Havre, le festival Du Grain à démoudre, l’association Cannibale Peluche et le Pôle Image Haute- Normandie
« Le temps d’une journée, Luce Vigo ouvre pour la première fois à son fils la malle aux archives de ses parents, morts quand elle était enfant. Les mots de Luce retracent la vie de cinéma de Jean Vigo et de ceux qui l’accompagnaient : Stork, Kaufman, Dulac ou Painlevé. De cet héritage, Luce n’en comprit le poids terrible qu’à l’âge de 14 ans. Et elle qui devint ensuite mère et enseignante réussit à en tirer – par la force – une seconde vie de cinéma : la sienne. Une vie passée à défendre les films, à les montrer. » Vincent Poli, Catalogue FID 2017
« Luce me présente son fils, je lui parle du projet de film, d’ouvrir la malle et là, j’ai vu ses yeux briller et il m’a dit : « Ah oui, la malle va s’ouvrir… » Quelle chance ! » Leïla Férault-Lévy
Programme :
Leïla Férault-Levy, Luce, à propos de Jean Vigo, 2016, 67’
En présence de la réalisatrice
Dans le cadre du Mois du film documentaire en partenariat avec Lire au Havre, la bibliothèque et le service culturel de l’université du Havre, le festival Du Grain à démoudre, l’association Cannibale Peluche et le Pôle Image Haute- Normandie
Date(s)
- 15 novembre 2017
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
LIEN EXTERNE

Ado Arrietta, Les Intrigues de Sylvia Couski, 1974, dist. Capricci
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Une fois par mois, d'octobre à mai, le MuMa invite le public à explorer le vaste territoire de l'image en mouvement (cinéma de recherche, expérimental, art vidéo, animation, documentaire...) avec MuMaBoX.
Dans le sillage de Mai 68, Adolpho Arrietta devient le premier cinéaste underground. Son univers de conte de fées se peuple de nouveaux anges : ses amis travestis, les Gazolines dont Marie France, seront les héroïnes des Intrigues de Sylvia Couski. Les thèmes du cinéma d’Arrietta se précisent : des artistes rêvent de devenir à leur tour des œuvres d’art, le corps est envisagé comme le site d’une nouvelle création, l’identité est inventée de toutes pièces.
« Avec Les Intrigues de Sylvia Couski, c’est un Arrietta transfiguré qui surgit de son cocon. Le Paris artiste, à mi-chemin de Hollywood-Babylone et des naïades de tous sexes de la Factory warholienne, y célèbre ses rites, se déguise, se grime, et laisse poindre de-ci de-là, lorsqu’un rimmel coule sur un visage ou qu’une star déambule seule dans un parc, des effluves d’angoisse. Jamais Paris n’avait été ainsi filmé, jamais un tel luxe de paillettes, de strass n’illumina la morosité de ses façades. » Raphaël Bassan
Programme :
Ado Arrietta, Les intrigues de Sylvia Couski, 1974, 71’
Dans le sillage de Mai 68, Adolpho Arrietta devient le premier cinéaste underground. Son univers de conte de fées se peuple de nouveaux anges : ses amis travestis, les Gazolines dont Marie France, seront les héroïnes des Intrigues de Sylvia Couski. Les thèmes du cinéma d’Arrietta se précisent : des artistes rêvent de devenir à leur tour des œuvres d’art, le corps est envisagé comme le site d’une nouvelle création, l’identité est inventée de toutes pièces.
« Avec Les Intrigues de Sylvia Couski, c’est un Arrietta transfiguré qui surgit de son cocon. Le Paris artiste, à mi-chemin de Hollywood-Babylone et des naïades de tous sexes de la Factory warholienne, y célèbre ses rites, se déguise, se grime, et laisse poindre de-ci de-là, lorsqu’un rimmel coule sur un visage ou qu’une star déambule seule dans un parc, des effluves d’angoisse. Jamais Paris n’avait été ainsi filmé, jamais un tel luxe de paillettes, de strass n’illumina la morosité de ses façades. » Raphaël Bassan
Programme :
Ado Arrietta, Les intrigues de Sylvia Couski, 1974, 71’
Date(s)
- 11 octobre 2017
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.