18 h 00

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"Claudel, une femme de génie ? La réception artistique de son oeuvre : compréhensions, incompréhensions"

par Barbara Musetti, docteur en histoire de l'art, enseignante à l'Ecole du Louvre
 
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"L'esthétique de l'intime : l'enfance, l'amour, le désarroi"

par Barbara Musetti, docteur en histoire de l'art, enseignante à l'Ecole du Louvre
 
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"L'oeuvre de Camille Claudel dans l'art de son époque : dettes, souvenirs, échanges"

par Barbara Musetti, docteur en histoire de l'art, enseignante à l'Ecole du Louvre
 
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"De Camille à Claudel : l'inédit parcours d'une artiste"

par Barbara Musetti, docteur en histoire de l'art, enseignante à l'Ecole du Louvre
 

Florence Guilbert Bréard, du Muséum du Havre, vous concocte une mise en place d’aquariums dans l’atelier du MuMa. Accompagnée des médiatrices du MuMa, elle vous proposera une découverte de ces mondes sous-marins miniatures, que vous pourrez également croquer, dessiner, esquisser !
Pour en savoir plus : le site du Muséum.
 
Charles-Alexandre LESUEUR (1778-1846), Etoile de mer Anseropoda rosacea, Non datée - probablement entre 1804 et 1815, aquarelle, 30 x 46,5 cm. Le Havre
Charles-Alexandre LESUEUR (1778-1846), Etoile de mer Anseropoda rosacea, Non datée - probablement entre 1804 et 1815, aquarelle, 30 x 46,5 cm. Le Havre
Hélène Latour. © David Morganti
Hélène Latour. © David Morganti

Le MuMa invite l’Opéra de Rouen Normandie qui vous concocte une immersion dans l’univers des compositeurs-marins tels Albert Roussel ou Jean Cras.
               
Au programme :
Jean Cras, Trio à cordes
Benjamin Godard, Trio à cordes (Ballade, Dans les bois, Rêve, Scherzo)
Albert Roussel, Trio
 
Avec :
Teona Kharadze au violon,  Stéphanie Lalizet à l’alto, et Hélène Latour au violoncelle

En savoir plus : le site de l'Opéra de Rouen.
Affiche Studio AKATRE
Affiche Studio AKATRE
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Pour cette 14ème édition de la Nuit des musées, le MuMa vous propose une expédition à faire en famille pour explorer les mondes sous-marins, réels ou imaginaires, présentés et représentés dans  l’exposition Né(e)s de l’écume et des rêves.
Au programme, des rendez-vous accessibles notamment aux plus jeunes, avec :
  • Un atelier « aquarium à croquer »
  • Un conte « à écouter et à regarder »
  • De la musique pour se laisser bercer par un drôle de « Carnaval des animaux »
  • Et bien d’autres choses encore…
Jack Smith, The Yellow Sequence, 1963-1965, détail © Courtesy of Jack Smith Archive and Gladstone Gallery, New York and Brussels
Jack Smith, The Yellow Sequence, 1963-1965, détail © Courtesy of Jack Smith Archive and Gladstone Gallery, New York and Brussels
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Peut-on considérer un film un texte ? Après tout – l’étymologie nous l’apprend – le mot volumen, issu du latin volvo, renvoie au geste qui consiste à envelopper. Le papyrus ne serait pas loin d’une bobine de film.
De cette observation, résolument matérielle, on peut instituer un parallèle entre les deux supports. Mais qu’en est-il de cet objet si spécifique, le « film d’artiste » (ou encore le « film expérimental ») ? Présentés souvent sous des configurations multiples, variables, autrefois soumis à des manipulations d’auteur, les films d’artistes apparaissent comme des textes résolument instables. En s’emparant de quelques notions de la philologie littéraire, cette présentation se propose de revenir, à travers une série d’exemples (Jack Smith, Wallace Berman, Barbara Rubin), sur les modes d’existence de ces œuvres à la trajectoire singulière, afin d’interroger leur possible transmission au futur.
 
Rencontre avec Enrico Camporesi, boursier postdoctoral de la Terra Foundation à l’Institut national d’histoire de l’art à Paris. Il a conçu et organisé des programmations film/vidéo et des expositions en France et à l’international. Il est l’auteur de Futurs de l’obsolescence, un essai sur la restauration du film d’artiste (à paraître en 2018 aux Éditions Mimésis).

Programme :
Jack Smith, The Yellow Sequence, 1963-1965, 16 mm, coul., son sur fichier num., 15’. Distribution : Light Cone, Paris
Wallace Berman, Aleph, 1956-1966, 16 mm, coul./nb, sil., 7’30. Distribution : LUX, Londres

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Esther Urlus, Konrad & Kurfurst, 2013-2014, dist. Light Cone
Esther Urlus, Konrad & Kurfurst, 2013-2014, dist. Light Cone
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Une fois par mois, d'octobre à mai, le MuMa invite le public à explorer le vaste territoire de l'image en mouvement (cinéma de recherche, expérimental, art vidéo, animation, documentaire...) avec MuMaBoX.

Ces visions subaquatiques vous sont proposées comme un prélude à l’exposition Né(e)s de l’écume et des rêves qui se tiendra au MuMa du 5 mai au 9 septembre 2018.
Visions oniriques où d’indistinctes présences apparaissent à travers le voile du rêve, insaisissables objets dérobés au désir (L’Étoile de mer, Alleluia).
Images remontées des profondeurs de l’Histoire, comme ces archives repêchées, sauvées de l’oubli, réanimées par le geste créateur qui les plonge dans l’eau de Javel (La Pêche miraculeuse) ou le bain primitif de la photochimie (Konrad & Kurfurst).
Vues macroscopiques de la faune sous-marine (Oursins) à travers l’objectif de la caméra du génial Jean Painlevé, pionnier du cinéma scientifique, amoureux de la mer et fondateur en 1934 du Club des Sous l’Eau, premier club de plongée sous-marine.
 
Programme :
Man Ray, L’Étoile de mer, 1928, 18’
Christophe Guérin, Alleluia, 2004, 9’
Cécile Fontaine, La Pêche miraculeuse, 1995, 10’
Esther Urlus, Konrad & Kurfurst, 2013-2014, 7’
Jean Painlevé, Oursins, 1954, 11’
Guillaume Meigneux, Habitations légèrement modifiées, 2015, dist. Cellulo Prod
Guillaume Meigneux, Habitations légèrement modifiées, 2015, dist. Cellulo Prod
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Une fois par mois, d'octobre à mai, le MuMa invite le public à explorer le vaste territoire de l'image en mouvement (cinéma de recherche, expérimental, art vidéo, animation, documentaire...) avec MuMaBoX.

« Architecte DPLG, je m’intéresse depuis quelques années à la mise en image de problématiques spatiales et de leurs répercussions sur l’homme et son quotidien. Quels liens et quelles expériences nous relient à nos espaces de vie ? Comment ces derniers nous conditionnent-ils et à l’inverse comment les exploitons-nous au-delà du schème fonctionnel pour lequel ils ont été conçus ?
Habitations Légèrement Modifiées est un film qui me permet de dévoiler ce qui résiste à la perturbation, ce qui persiste au-delà du changement. Dévoiler, c’est-à-dire retirer de « la vie de tous les jours » ce que le temps et l’habitude déposent pour en extraire l’essence. Un film sur le quotidien immuable pris dans l’impermanence des choses. Il ne s’agit pas d’un film sur l’architecture, mais d’un film d’architecture, dans le sens où le réel sujet du film n’est ni le projet, ni les architectes, mais l’espace en transformation et son influence sur la vie des habitants. » Guillaume Meigneux
 
Programme :
Guillaume Meigneux, Habitations légèrement modifiées, 2013, 76’

En écho au Mois de l’architecture contemporaine en Normandie

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