18 h 00

. © Compagnie Davaï
S’inspirant entre autres des lettres inédites de sa collection personnelle, Philippe Piguet, arrière-petit-fils d'Alice Hoschedé, dresse le portrait de Claude Monet par le biais de la correspondance du peintre et de celle de sa femme. Pour ce faire, il donne vie à deux personnages : une étudiante russe et un professeur devenu aveugle. A travers leur rencontre et leurs échanges se dessine la figure de l’artiste et de l’homme, nait la question de la place de l’art dans la vie du peintre, comme dans la nôtre. En quête d’une vérité sur le peintre, les personnages se découvrent également eux-mêmes.
Compagnie Davaï
Un texte de Philippe Piguet
Mise en scène par Eric Da Costa
Avec Maxence Mailfort et Aurélie Valetoux
Lumières Mathieu Charvot
Avec le soutien de L’ETABLE – Compagnie des Petits Champs, résidences de création
Compagnie Davaï
Un texte de Philippe Piguet
Mise en scène par Eric Da Costa
Avec Maxence Mailfort et Aurélie Valetoux
Lumières Mathieu Charvot
Avec le soutien de L’ETABLE – Compagnie des Petits Champs, résidences de création
Date(s)
- samedi 03 septembre 2016
- dimanche 04 septembre 2016
Tarif(s)
Gratuit
Réservation obligatoire, aux heures d'ouverture du musée, à l'accueil et par téléphone au 02 35 19 62 72

Jacques Perconte, Hyper Soleils, 2015
Rencontre avec Bidhan Jacobs, Docteur en études cinématographiques, chargé de cours à l’Université Paris 3 Sorbonne Nouvelle, auteur d’une Thèse à paraître cette année aux Presses Universitaires du Septentrion sous le titre Esthétique du signal, et codirecteur avec Nicole Brenez du Cinéma critique. De l’argentique au numérique, voies et formes de l’objection visuelle (Presses de la Sorbonne, 2010)
Le signal est l’essence même du son et de l’image numérique : de l’information matérielle invisible à l’oeil nu, codifiée et circulant à travers les technologies filmiques de l’âge du Web. Son accès, d’une importance capitale, est en mode protégé (Friedrich Kittler). D’un côté les outils numériques sont construits comme des boîtes noires au coeur desquelles le traitement du signal est soigneusement rendu opaque et inaccessible. De l’autre, les entreprises privées et les services d’intelligence des gouvernements disposent d’une puissance technologique illimitée d’interception et d’investigation des signaux pour mener leurs opérations de surveillance et de profilage à l’échelle planétaire. Récusant ce paradoxe, certains artistes tels Pierre-Yves Cruaud, HC Gilje, Paolo Gioli, Benjamin Muzzin, Jacques Perconte, Leighton Pierce, Joost Rekveld, Sadia Sadia, Jérôme Schlomoff, développent l’intelligence du signal : ils passent ainsi de son traitement régulé selon des normes audiovisuelles à son expérimentation pour en libérer les ressources plastiques inexploitées et exprimer toutes les strates de sensibilité de l’artiste.
Le signal est l’essence même du son et de l’image numérique : de l’information matérielle invisible à l’oeil nu, codifiée et circulant à travers les technologies filmiques de l’âge du Web. Son accès, d’une importance capitale, est en mode protégé (Friedrich Kittler). D’un côté les outils numériques sont construits comme des boîtes noires au coeur desquelles le traitement du signal est soigneusement rendu opaque et inaccessible. De l’autre, les entreprises privées et les services d’intelligence des gouvernements disposent d’une puissance technologique illimitée d’interception et d’investigation des signaux pour mener leurs opérations de surveillance et de profilage à l’échelle planétaire. Récusant ce paradoxe, certains artistes tels Pierre-Yves Cruaud, HC Gilje, Paolo Gioli, Benjamin Muzzin, Jacques Perconte, Leighton Pierce, Joost Rekveld, Sadia Sadia, Jérôme Schlomoff, développent l’intelligence du signal : ils passent ainsi de son traitement régulé selon des normes audiovisuelles à son expérimentation pour en libérer les ressources plastiques inexploitées et exprimer toutes les strates de sensibilité de l’artiste.
Date(s)
- 18 mai 2016
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

Lucile Chaufour & Bernhard Braunstein, Sleeping Image, 2014. Supersonicglide
« Kenny Burrell disait du blues qu’il est un « train lancé dans la nuit ». C’est de là dont nous sommes partis, d’un paysage désolé sous l’orage que les flashs blancs des éclairs révèlent dans la nuit. Paysage du mal-être et révélation splendide, le blues est l’inadéquation intime qu’il faut résoudre, une exhortation à ne pas renoncer à sa vérité. Car ce qui nous intéresse ici, ce n’est pas la passivité mortifère du sentiment dépressif mais le potentiel de transformation que cet état recèle. C’est cette expérience que nous vous proposons de partager. » Lucile Chaufour & Bernhard Braunstein
Durant une année, entre la France, la Suisse et l’Autriche, plusieurs lieux culturels accueillent le projet Blues. Chaque fois, une nouvelle série est élaborée avec le public et réalisée par les auteurs. Le film Sleeping Image, qui lui est associé, permet d’appréhender l’univers des deux auteurs et d’expérimenter cette forme particulière qui travaille sur l’inconscient, le rémanent, le fantomatique.
Programme :
Lucile Chaufour & Bernhard Braunstein, Sleeping Image, 2014, 27’
Lucile Chaufour & Bernhard Braunstein, Blues série 1, 2015, 47’’
Lucile Chaufour & Bernhard Braunstein, Blues série 2, 2015, 42’’
Avec la complicité du Théâtre de l’Impossible
Durant une année, entre la France, la Suisse et l’Autriche, plusieurs lieux culturels accueillent le projet Blues. Chaque fois, une nouvelle série est élaborée avec le public et réalisée par les auteurs. Le film Sleeping Image, qui lui est associé, permet d’appréhender l’univers des deux auteurs et d’expérimenter cette forme particulière qui travaille sur l’inconscient, le rémanent, le fantomatique.
Programme :
Lucile Chaufour & Bernhard Braunstein, Sleeping Image, 2014, 27’
Lucile Chaufour & Bernhard Braunstein, Blues série 1, 2015, 47’’
Lucile Chaufour & Bernhard Braunstein, Blues série 2, 2015, 42’’
Avec la complicité du Théâtre de l’Impossible
Date(s)
- 20 avril 2016
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

Florence Lazar, Kamen, 2014. Sister Productions
Depuis plusieurs années, en République Serbe de Bosnie se construit un passé fabriqué de toutes pièces. Cela se traduit très concrètement par l’élévation d’églises bâties à l’image d’anciennes églises, l’exhumation de fausses ruines archéologiques et le démantèlement d’habitations pour alimenter en pierres « authentiques » la construction, à l’est du pays, d’un faux village ancien qui va devenir un site culturel et touristique.
Kamen, terme qui signifie « pierre » en bosniaque, en serbe et en croate, interroge l’état d’une société d’après-guerre, qui établit ses nouveaux fondements nationaux et religieux sur un déni et un effacement de la mémoire d’un peuple, par la réécriture et la falsification de sa propre histoire. Le film présente des témoignages de déportés de Trebinje et Visegrad, et il évoque les récents remodelages d’une partie du paysage bosniaque comme moyen de renforcer le mythe d’un héritage exclusivement serbe dans la région.
Programme :
Florence Lazar, Kamen, 2014, 65
Dans le cadre du Mois de l’architecture contemporaine en Normandie.
Kamen, terme qui signifie « pierre » en bosniaque, en serbe et en croate, interroge l’état d’une société d’après-guerre, qui établit ses nouveaux fondements nationaux et religieux sur un déni et un effacement de la mémoire d’un peuple, par la réécriture et la falsification de sa propre histoire. Le film présente des témoignages de déportés de Trebinje et Visegrad, et il évoque les récents remodelages d’une partie du paysage bosniaque comme moyen de renforcer le mythe d’un héritage exclusivement serbe dans la région.
Programme :
Florence Lazar, Kamen, 2014, 65
Dans le cadre du Mois de l’architecture contemporaine en Normandie.
Date(s)
- 16 mars 2016
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

Gary Beydler, Hand held day, 1974. Light Cone
L’histoire du cinéma est jalonnée de films dans lesquels le miroir n’est pas qu’un simple élément du décor mais est investi d’une fonction narrative ou symbolique. Espace de représentation contenu dans celui de l’écran, son rôle est alors de dévoiler une autre dimension spatiale ou temporelle.
Dans une approche expérimentale du cinéma, le miroir comme dispositif réflexif est davantage utilisé dans sa dimension concrète que métaphorique et devient le sujet du film : la surface spéculaire dénonce la transparence cinématographique, la fameuse « fenêtre sur le monde » chère à André Bazin et manifeste son pouvoir d’illusion, infiniment poétique.
Ce programme donnera lieu à diverses spéculations sur l’autoportrait, la mémoire, le paysage, mais aussi sur la présence de miroirs dans le cinéma hollywoodien qui révèlent un double où la mise en scène narcissique est nourrie de doutes et d’angoisse.
Programme :
Dietmar Brehm, Kamera, 1997, 9’
Gary Beydler, Hand held day, 1974, 6’
Stephen Broomer, Memory worked by mirrors, 2011, 2’
Maki Satake, Catoptric light, 2010, 4’
Ben Russell, Trypps #7 (Badlands), 2010, 10’
Milena Gierke, Entgegen, 1999, 3’
Christoph Girardet & Matthias Müller, Kristall, 2006, 14’30
Siegfried A. Fruhauf, Mirror mechanics, 2005, 7’3
Dans une approche expérimentale du cinéma, le miroir comme dispositif réflexif est davantage utilisé dans sa dimension concrète que métaphorique et devient le sujet du film : la surface spéculaire dénonce la transparence cinématographique, la fameuse « fenêtre sur le monde » chère à André Bazin et manifeste son pouvoir d’illusion, infiniment poétique.
Ce programme donnera lieu à diverses spéculations sur l’autoportrait, la mémoire, le paysage, mais aussi sur la présence de miroirs dans le cinéma hollywoodien qui révèlent un double où la mise en scène narcissique est nourrie de doutes et d’angoisse.
Programme :
Dietmar Brehm, Kamera, 1997, 9’
Gary Beydler, Hand held day, 1974, 6’
Stephen Broomer, Memory worked by mirrors, 2011, 2’
Maki Satake, Catoptric light, 2010, 4’
Ben Russell, Trypps #7 (Badlands), 2010, 10’
Milena Gierke, Entgegen, 1999, 3’
Christoph Girardet & Matthias Müller, Kristall, 2006, 14’30
Siegfried A. Fruhauf, Mirror mechanics, 2005, 7’3
Date(s)
- 24 février 2016
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

Maureen Fazendeiro, Motu Maeva, 2014. dist. G.R.E.C.
« Un portrait de Sonja, aventurière du XXe siècle, habitante d’une île qu’elle a elle-même façonnée : Motu Maeva. En un prologue bruissant de chants d’oiseaux, l’on glisse sur l’eau verte et dense jusqu’à un bout de terre indéfini, abris merveilleux et bricolé d’une vieille femme, lieu hors du temps et des cartes. Motu Maeva est le nom de cet îlot d’où vont se déployer des souvenirs heureux, et quelques autres, qu’on devine plus douloureux : un fort beau voyage, celui d’une vie, à travers l’Afrique, l’Asie, la Polynésie. Sans s’embarrasser d’exposer une quelconque chronologie ou de suivre un itinéraire précis, au fil des souvenirs qui mêlent ensemble et sans hiérarchie, grands moments de l’existence et petites anecdotes, ce portrait, en forme de voyage ou d’inventaire, procède d’un incessant mouvement. On saute en une coupe franche du Tchad à l’Indochine, à Tahiti. On s’arrête un instant, on écoute une chanson, pour repartir quelques années plus loin, ou plus tôt. » Cécile Guénot, FIDMarseille 2014
Programme :
Maureen Fazendeiro, Motu Maeva, 2014, 42’
Programme :
Maureen Fazendeiro, Motu Maeva, 2014, 42’
Date(s)
- 13 janvier 2016
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

Walker Evans, Travel Notes, 1932. dist. Light Cone
Bernard Plossu revient au MuMa avec Le Havre en noir et blanc. Sa pratique de la photographie et du cinéma (le Voyage mexicain suivi du road-movie californien filmés en Super 8 en 1966) est largement associée à celle du voyage comme expérience, qui permet de vivre physiquement le monde - au risque d’en revenir changé.
Est-ce un hasard si ce programme débute par l’un des rares films d’un autre photographe, l’illustre Walker Evans, qui comme Bernard Plossu a transcendé le style documentaire ?
Travel Notes, tourné sur un trois-mâts en route pour Tahiti sera la première étape d’un itinéraire filmique qui passera par le Mexique, la Grèce, le Yémen, Bali pour s’achever sur la route du grand ouest étasunien. Voyons ces films comme les pages d’un carnet de voyage qui nous restitue la diversité du monde, de ses paysages et de ses habitants, nous faisant partager autant d’expériences humaines et artistiques.
Programme :
Walker Evans, Travel Notes, 1932, 12’
Chick Strand, Guacamole, 1976, 10’15
Barbara Meter, Greece to me, 2001, 10’
Christopher Becks, Parallax, 2008, 6’
Stephen Broomer, Balinese Rebar, 2011, 3’32
Fern Silva, Tender feet, 2013, 10’
Dans le cadre de l’exposition « Bernard Plossu. Le Havre en noir et blanc »
Est-ce un hasard si ce programme débute par l’un des rares films d’un autre photographe, l’illustre Walker Evans, qui comme Bernard Plossu a transcendé le style documentaire ?
Travel Notes, tourné sur un trois-mâts en route pour Tahiti sera la première étape d’un itinéraire filmique qui passera par le Mexique, la Grèce, le Yémen, Bali pour s’achever sur la route du grand ouest étasunien. Voyons ces films comme les pages d’un carnet de voyage qui nous restitue la diversité du monde, de ses paysages et de ses habitants, nous faisant partager autant d’expériences humaines et artistiques.
Programme :
Walker Evans, Travel Notes, 1932, 12’
Chick Strand, Guacamole, 1976, 10’15
Barbara Meter, Greece to me, 2001, 10’
Christopher Becks, Parallax, 2008, 6’
Stephen Broomer, Balinese Rebar, 2011, 3’32
Fern Silva, Tender feet, 2013, 10’
Dans le cadre de l’exposition « Bernard Plossu. Le Havre en noir et blanc »
Date(s)
- 16 décembre 2015
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

Safia Benhaim, La Fièvre, 2014
Maroc, février 2011.
Une nuit de fièvre, une enfant perçoit la présence d’un fantôme : c’est une exilée politique, de retour dans son pays natal après une longue absence. Dans le noir et les délires de la fièvre, récit muet, voix sans corps et visions s’entremêlent. L’enfant d’aujourd’hui et le fantôme de la femme se confondent, en un voyage dans l’espace et le temps qui va mener l’exilée politique à une étrange bâtisse, à sa mémoire perdue. Le récit de la décolonisation et de luttes oubliées ressurgit, avant que de nouvelles luttes, celles du « printemps arabe » au Maroc, submergent le passé.
Programme :
Safia Benhaim, La Fièvre, 2014, 40'
En présence de la réalisatrice.
Dans le cadre du Mois du film documentaire en partenariat avec la bibliothèque municipale Armand Salacrou, la bibliothèque et le service culturel de l’université du Havre, le festival Du Grain à démoudre et l’association Cannibale Peluche.
Une nuit de fièvre, une enfant perçoit la présence d’un fantôme : c’est une exilée politique, de retour dans son pays natal après une longue absence. Dans le noir et les délires de la fièvre, récit muet, voix sans corps et visions s’entremêlent. L’enfant d’aujourd’hui et le fantôme de la femme se confondent, en un voyage dans l’espace et le temps qui va mener l’exilée politique à une étrange bâtisse, à sa mémoire perdue. Le récit de la décolonisation et de luttes oubliées ressurgit, avant que de nouvelles luttes, celles du « printemps arabe » au Maroc, submergent le passé.
Programme :
Safia Benhaim, La Fièvre, 2014, 40'
En présence de la réalisatrice.
Dans le cadre du Mois du film documentaire en partenariat avec la bibliothèque municipale Armand Salacrou, la bibliothèque et le service culturel de l’université du Havre, le festival Du Grain à démoudre et l’association Cannibale Peluche.
Date(s)
- 18 novembre 2015
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

Helga Fanderl, Gelbe Blätter (Feuilles jaunes)
« Je présente un programme composé d’une sélection de 22 films très courts, en Super 8 et en 16 mm. Par un libre jeu de correspondances et de résonances un « film » éphémère et unique prend forme au cours de la projection qui se fait à partir de la salle. Le son du projecteur s’entend. Mes films muets évoquent à la fois la présence de l’objet et la mienne en train de filmer. Je trouve ce que je filme en me promenant avec ma caméra, attentive et réceptive à la réalité. Chaque objet impose au film une forme particulière. Les films captent le moment d’une communication animée et s’inspirent de rythmes trouvés. Je filme de façon concentrée et directe, d’un seul geste. La caméra est l’instrument de création in situ. Il n’y a pas de montage ultérieur. Le film individuel garde la chronologie des prises de vue. Le spectateur partage ainsi mon regard et mes décisions et fait l’expérience intense d’un cosmos filmique où il peut facilement perdre la notion habituelle du temps et de l’espace. » Helga Fanderl
Programme :
- en Super 8 :
Carrousel au Jardin d’Acclimatation
Trains de marchandises
Lousias
Sculptures dans la brume
Plantes
Après le feu II
Valse de noces
Arbre à kakis en hiver
- en 16 mm :
Oiseaux au Checkpoint
Charlie
Berlin Est
Tunnel
De l’Empire State
Building
Tortelloni
Eaux violentes
Ours blanc
Panthère de Chine
Feuilles mortes
Rouille
Containers
Verres
Feuilles jaunes
Fleuve
En présence de l’artiste
Dans le cadre du 50e anniversaire du Super 8
Programme :
- en Super 8 :
Carrousel au Jardin d’Acclimatation
Trains de marchandises
Lousias
Sculptures dans la brume
Plantes
Après le feu II
Valse de noces
Arbre à kakis en hiver
- en 16 mm :
Oiseaux au Checkpoint
Charlie
Berlin Est
Tunnel
De l’Empire State
Building
Tortelloni
Eaux violentes
Ours blanc
Panthère de Chine
Feuilles mortes
Rouille
Containers
Verres
Feuilles jaunes
Fleuve
En présence de l’artiste
Dans le cadre du 50e anniversaire du Super 8
Date(s)
- 14 octobre 2015
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

Elena Pease. © David Morganti
- -
Si ce concert propose quatuor et septuor, c’est un trio qu’il faut ici présenter, celui du dramaturge Bertolt Brecht et des musiciens Hanns Eisler et Kurt Weill. Une même sensibilité politique unit ces trois hommes aux destins parallèles et chargés d’exils. Après les succès des années vingt, si l’on songe à l’Opéra de Quat’sous, la fuite du nazisme entraînera nos artistes dans un long périple avec arrêt prolongé aux États-Unis. Arrêt définitif pour Kurt Weill qui meurt à New-York en 1950 mais nouvel exil pour Brecht et Eisler, chassés après la guerre par le maccarthysme qui les réexpédie en Allemagne. Les musiciens de l’Orchestre nous font découvrir la trop rare musique de chambre de ces compositeurs portés vers le théâtre, et l’accompagnent de textes de Brecht.
Au programme :
Hanns Eisler, Septuor n°1
Hanns Eisler, Septuor n°2 « Circus »
Kurt Weill, Quatuor à cordes
Et lecture de textes de Bertolt Brecht
Avec : Tristan Benveniste, Elena Pease (Violons), Stéphanie Lalizet (Alto), Hélène Latour (Violoncelle), Kouchyar Shahroudi (Flûte), Naoko Yoshimura (Clarinette), Batiste Arcaix (Basson) et Claire Chauffour (Récitante)
En partenariat avec l’Opéra de Rouen Normandie
Au programme :
Hanns Eisler, Septuor n°1
Hanns Eisler, Septuor n°2 « Circus »
Kurt Weill, Quatuor à cordes
Et lecture de textes de Bertolt Brecht
Avec : Tristan Benveniste, Elena Pease (Violons), Stéphanie Lalizet (Alto), Hélène Latour (Violoncelle), Kouchyar Shahroudi (Flûte), Naoko Yoshimura (Clarinette), Batiste Arcaix (Basson) et Claire Chauffour (Récitante)
En partenariat avec l’Opéra de Rouen Normandie
Date(s)
- 12 décembre 2015
Tarif(s)
Gratuit
Réservation obligatoire, aux heures d'ouverture du musée, à l'accueil et par téléphone au 02 35 19 62 72