MuMa

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Evènement inédit, cette manifestation s'adresse aux entreprises et entrepreneurs qui souhaitent s'engager ou poursuivre leur engagement sur leur territoire. En présence de grands témoins et d'experts, venez découvrir toute la richesse des partenariats mécénat. Bien au-delà du levier fiscal, il s'agit d'une stratégie novatrice, créatrice de sens et de valeur. C'est aussi un levier d'engagement pour tous les citoyens qui souhaitent soutenir les initiatives d'intérêt général.
 
  • Découvrez les contours et les bénéfices du mécénat, en tant que véritable stratégie d'entreprise (RH, communication, ancrage local) et levier d'engagement citoyen, d'innovation sociale et de progrès sur les territoires.
  • Bénéficiez des témoignages et retours d'expériences des entreprises mécènes et entrepreneurs philanthropes de la région.
  • Repartez avec les "clés" pour vous lancer ou perfectionner votre pratique.
  • Échangez entre pairs lors d'un cocktail networking et allez à la rencontre d'experts, partenaires locaux et institutionnels qui répondront à vos questions.

En présence de Jean-Baptiste Gastinne, Maire du Havre et Léa Lassarat, Présidente de la CCI Seine-Estuaire

Inscrivez-vous ! *

Au programme :

18h30 : Mots d’accueil
- Jean-Baptiste Gastinne, Maire du Havre
- Léa Lassarat, Présidente de la CCI Seine-Estuaire

18h45 : Mais au fait le mécénat c'est quoi exactement ?
- Camille Marc, Directrice du développement d'Admical

18h55 : Table ronde - les entreprises engagées de la région
- Jean Amoyal, Dirigeant du Cabinet d’architecte éponyme
- Stéphanie Boutin, Directeur général adjoint communication, mécénat et sponsoring de la Matmut
- Guillaume Milert, Directeur de Ceacom

19h30 : Focus sur les actions de mécénat collectif
- Sophie Szklarek, Présidente du Club TPE-PME
- Léa Lassarat, Présidente du LH Club

19h45 : Vos contact régionaux
- Maiwen Tanon et Erik Declercq, délégués régionaux Admical en Normandie

19h50 : Clôture
- François Debiesse, Président d'Admical

20h : Cocktail – networking et visite de l'exposition Raoul Dufy au Havre
 
* inscription gratuite et obligatoire dans la limite des places disponibles
Paul-Marie BEAUNY. © Juliette Le Maoult
Paul-Marie BEAUNY. © Juliette Le Maoult

Dufy et la musique, ce n’est pas qu’une histoire personnelle, c’est aussi une affaire de peinture.
Né dans une famille de musiciens, la musique est partout, elle le nourrit depuis son plus jeune âge. Dès 1902, le motif de l’orchestre est présent dans son œuvre. En 1915, l’artiste peint un Hommage à Mozart, une  toile préfigurant la réalisation d’une grande série qu’il entreprendra à la fin de sa vie et dans laquelle il évoquera ses compositeurs préférés, leur rendant hommage et tentant de traduire plastiquement leurs univers musicaux. Une manière, pour Raoul Dufy, d’évoquer de façon plus générale la figure de l’artiste, du créateur, et de relire sa propre carrière dont l’essentiel est alors derrière lui.
En écho à cette série, et par ricochet, en forme d’hommage au peintre amoureux de la musique que Dufy était, nous avons eu envie d’imaginer un cycle de « Musiques à la carte » particulier. Et pour clore ce cycle, Wolfgang Amadeus Mozart sera au chœur d’un programme pour quatuor à cordes imaginé par le violoniste habitué du MuMa, Paul-Marie Beauny. L’instrumentiste réunira pour l’occasion un quatuor inédit et pour lequel il envisage un moment de musique directement relié à la peinture de Raoul Dufy  :
 
« Dans les chaleureux tons rouges de ses toiles en hommage à Mozart, le violon prédomine chez Raoul Dufy. Dufy représente-t-il le violon pour son attrait pictural, ou associe-t-il son admiration pour Mozart avec les instruments à cordes en général ? La forme du quatuor à cordes, héritée de Haydn, évolue ensuite grâce au génie de Mozart au cours de plus d’une vingtaine d’opus, rivalisant les uns avec les autres de juvénilité, d’intensité, de drame ou de sarcasmes… La clarté des formes, ces couleurs pures juxtaposées, et l’intensité de l’expression ne sont-elles pas, d’ailleurs, les caractéristiques des premiers fauvistes, dont Dufy fait partie ? » Paul-Marie Beauny
 
Programme :
- Wolfgang Amadeus Mozart, Quatuor n. 4 en Do M K 157
- Wolfgang Amadeus Mozart, Quatuor n. 15 en ré m K 421
 
Avec :
Paul-Marie Beauny et Izleh Henry, violons
Sandrine Dupé, alto
Clotilde Lacroix, violoncelle
Le quatuor joue sur instruments d’époque classique.
 
Izleh Henry
Izleh Henry
 
Clotilde Lacroix
Clotilde Lacroix
 
Sandrine Dupé
Sandrine Dupé
Daniel Isoir
Daniel Isoir

Dufy et la musique, ce n’est pas qu’une histoire personnelle, c’est aussi une affaire de peinture. Né dans une famille de musiciens, la musique est partout, elle le nourrit depuis son plus jeune âge. Dès 1902, le motif de l’orchestre est présent dans son œuvre. En 1915, l’artiste peint un Hommage à Mozart, une  toile préfigurant la réalisation d’une grande série qu’il entreprendra à la fin de sa vie et dans laquelle il évoquera ses compositeurs préférés, leur rendant hommage et tentant de traduire plastiquement leurs univers musicaux. Une manière, pour Raoul Dufy, d’évoquer de façon plus générale la figure de l’artiste, du créateur, et de relire sa propre carrière dont l’essentiel est alors derrière lui.
En écho à cette série, et par ricochet, en forme d’hommage au peintre amoureux de la musique que Dufy était, nous avons eu envie d’imaginer un cycle de « Musiques à la carte » particulier. Le cycle continue, après Chopin et Bach, par un programme dédié à Claude Debussy et quelques uns de ses contemporains.
 
Par Daniel Isoir, piano
Anaël Rousseau. © Opéra de Rouen Normandie
Anaël Rousseau. © Opéra de Rouen Normandie
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Dufy et la musique, ce n’est pas qu’une histoire personnelle, c’est aussi une affaire de peinture. Né dans une famille de musiciens, la musique est partout, elle le nourrit depuis son plus jeune âge. Dès 1902, le motif de l’orchestre est présent dans son œuvre. En 1915, l’artiste peint un Hommage à Mozart, une  toile préfigurant la réalisation d’une grande série qu’il entreprendra à la fin de sa vie et dans laquelle il évoquera ses compositeurs préférés, leur rendant hommage et tentant de traduire plastiquement leurs univers musicaux. Une manière, pour Raoul Dufy, d’évoquer de façon plus générale la figure de l’artiste, du créateur, et de relire sa propre carrière dont l’essentiel est alors derrière lui.
En écho à cette série, et par ricochet, en forme d’hommage au peintre amoureux de la musique que Dufy était, nous avons eu envie d’imaginer un cycle de « Musiques à la carte » particulier. Après un rendez-vous consacré à Chopin, nous enchainerons avec Jean-Sébastien Bach et quelques Suites pour violoncelle sélectionnées par Anaël Rousseau, violoncelliste à l’Opéra de Rouen Normandie.
 
Par Anaël Rousseau
En partenariat avec l’Opéra de Rouen Normandie
 
Biographie d’Anaël Rousseau
Anaël Rousseau étudie le violoncelle au Mans, puis au CNR de Paris où il obtient un premier prix de violoncelle, cycle Supérieur. Lauréat et premier prix des concours Bellan et UFAM en Honneur / Excellence, il entre ensuite au CNSM de Paris où il remporte un Premier prix d’instrument, bénéficiant aussi des conseils de Gary Hoffman, Arto Noras, Klaus Heitz, du quatuor Enesco, Christian Ivaldi, Alain Meunier… Parallèlement, il suit la classe de violoncelle baroque du CNSM avec Christophe Coin et enrichit son expérience de musique ancienne en master-class avec Anner Bylsma. Passionné d’orchestre, il participe plusieurs fois aux sessions de l’Orchestre Français des Jeunes (Marek Janowski, Jesús Lopez-Cobos) avant de remporter le concours de violoncelle solo de l’Opéra de Rouen Normandie en 2000. Invité de la Fondation Royaumont, il participe en 2009 aux Fenêtres sur Cour dans le cadre des Voix Célestes (voix, orgue, harpe et cordes). Il poursuit aussi une activité de chambriste, Japon, Normandie…
Anaël Rousseau joue un violoncelle de 1992 par Franck Ravatin.
Daniel Isoir
Daniel Isoir

Dufy et la musique, ce n’est pas qu’une histoire personnelle, c’est aussi une affaire de peinture. Né dans une famille de musiciens, la musique est partout, elle le nourrit depuis son plus jeune âge. Dès 1902, le motif de l’orchestre est présent dans son œuvre. En 1915, l’artiste peint un Hommage à Mozart, une  toile préfigurant la réalisation d’une grande série qu’il entreprendra à la fin de sa vie et dans laquelle il évoquera ses compositeurs préférés, leur rendant hommage et tentant de traduire plastiquement leurs univers musicaux. Une manière, pour Raoul Dufy, d’évoquer de façon plus générale la figure de l’artiste, du créateur, et de relire sa propre carrière dont l’essentiel est alors derrière lui.
En écho à cette série, et par ricochet, en forme d’hommage au peintre amoureux de la musique que Dufy était, nous avons eu envie d’imaginer un cycle de « Musiques à la carte » particulier. Le premier de ces rendez-vous sera consacré à Frédéric Chopin, et c’est au pianiste Daniel Isoir que nous avons confié le soin de concocter un programme autour de ce compositeur et pianiste fameux de la période romantique.

Par Daniel Isoir, piano
Festina Lente. © David Flores Rubio
Festina Lente. © David Flores Rubio

Une Installation chorégraphique interactive… Qui est spectateur ? Qui est interprète ? Une performance où les frontières oscillent… Le public donne des impulsions aux danseurs et les met en mouvement. Ce qui apparait au début comme un simple jeu, révèle, au fur et à mesure que la pièce se déroule et que le temps et l’espace se matérialisent, différentes manières de faire face aux attentes… Avec une joyeuse facilité, Festina Lente génère sa dynamique dans l’instant.
 
Dans cette recréation de Festina Lente avec les élèves du Conservatoire Arthur Honegger, les chorégraphes Malgven Gerbes & David Brandstätter, en collaboration avec les élèves, intègreront des aspects des peintures de l’artiste Raoul Dufy pour une correspondance visuelle entre les gestes et l’exposition qui aura lieu.

Processus :
« En Corée, alors que nous étions professeurs invités par la Korean National University of arts, nous nous sommes retrouvés lors d’une pause en compagnie de notre ami et collègue Makoto Matshushima. Celui-ci évolue depuis toujours entre danse, théâtre et arts visuels. Il nous introduit alors à un jeu de compte : dans un groupe, une personne annonce un numéro à la fois ; si 2 personnes énoncent un nombre en même temps, le jeu repart à zéro, et le décompte recommence avec le chiffre 1, l’objectif étant d’arriver à 100. Ce jeu est régulièrement utilisé pour échauffer la qualité d’écoute et la clarté des interventions entre acteurs. Nous avons immédiatement été séduits par la qualité d’attention résultant de cet exercice, et quelques mois plus tard, à la fabrik Potsdam, avec 10 danseurs et amis, nous avons utilisé ce décompte pour construire des trames de jeux, entre compositions et improvisations. Suite à une présentation informelle, nous avons décidé que ce serait finalement le public qui devrait compter et ainsi faire intégralement partie de la pièce ; Festina Lente - Se hâter lentement est née. » Malgven Gerbes & David Brandstätter

Presse :
« La danse peut être subversive de façon subtile: le croisement de regards entre le public et les danseurs dans la pièce Festina Lente - se hâter lentement crée une communauté temporaire qui doit être toujours renégociée (...). » Tanz Raum Berlin
« Festina Lente, est une pièce chorégraphique magique qui laisse le choix au spectateur de s’écouter, d’écouter les autres et de se laisser porter par le rythme de la danse (…) Pour le public, c’est comme une nouvelle histoire qui recommence à chaque fois. » La Dépêche, Normandie

En partenariat avec Le Phare et le Conservatoire Arthur Honegger
 






Projet, chorégraphie : Malgven Gerbes et David Brandstätter, shifts - art en movement
Musique : Ruth Wiesenfeld
Suivi de production : Alix Pellet
 
Avec les élèves : Chloé Lopez, Ilona Pauvreau, Audrey Delamare, Zélie Dos Santos, Juliette Lallemant, Juliette Leblond, Isaé Lecarpentier, Quentin Pons et Anna Wozniak
Collaboration pédagogique : Tania Croquet et Céline Quédeville, Conservatoire Arthur Honegger
 
Coordination : Laëtitia Passard , Le Phare Ccn du Havre Normandie
 
Festina Lente - Dufy est une re-création à partie d’une PRODUCTION shifts – art in movement
réalisée dans le cadre de l’association d’artistes 2019-2021 avec Le Phare, Ccn du Havre Normandie
Festina Lente. © David Flores Rubio
Festina Lente. © David Flores Rubio

Une Installation chorégraphique interactive… Qui est spectateur ? Qui est interprète ? Une performance où les frontières oscillent… Le public donne des impulsions aux danseurs et les met en mouvement. Ce qui apparait au début comme un simple jeu, révèle, au fur et à mesure que la pièce se déroule et que le temps et l’espace se matérialisent, différentes manières de faire face aux attentes… Avec une joyeuse facilité, Festina Lente génère sa dynamique dans l’instant.
 
Dans cette recréation de Festina Lente avec les élèves du Conservatoire Arthur Honegger, les chorégraphes Malgven Gerbes & David Brandstätter, en collaboration avec les élèves, intègreront des aspects des peintures de l’artiste Raoul Dufy pour une correspondance visuelle entre les gestes et l’exposition qui aura lieu.

Processus :
« En Corée, alors que nous étions professeurs invités par la Korean National University of arts, nous nous sommes retrouvés lors d’une pause en compagnie de notre ami et collègue Makoto Matshushima. Celui-ci évolue depuis toujours entre danse, théâtre et arts visuels. Il nous introduit alors à un jeu de compte : dans un groupe, une personne annonce un numéro à la fois ; si 2 personnes énoncent un nombre en même temps, le jeu repart à zéro, et le décompte recommence avec le chiffre 1, l’objectif étant d’arriver à 100. Ce jeu est régulièrement utilisé pour échauffer la qualité d’écoute et la clarté des interventions entre acteurs. Nous avons immédiatement été séduits par la qualité d’attention résultant de cet exercice, et quelques mois plus tard, à la fabrik Potsdam, avec 10 danseurs et amis, nous avons utilisé ce décompte pour construire des trames de jeux, entre compositions et improvisations. Suite à une présentation informelle, nous avons décidé que ce serait finalement le public qui devrait compter et ainsi faire intégralement partie de la pièce ; Festina Lente - Se hâter lentement est née. » Malgven Gerbes & David Brandstätter

Presse :
« La danse peut être subversive de façon subtile: le croisement de regards entre le public et les danseurs dans la pièce Festina Lente - se hâter lentement crée une communauté temporaire qui doit être toujours renégociée (...). » Tanz Raum Berlin
« Festina Lente, est une pièce chorégraphique magique qui laisse le choix au spectateur de s’écouter, d’écouter les autres et de se laisser porter par le rythme de la danse (…) Pour le public, c’est comme une nouvelle histoire qui recommence à chaque fois. » La Dépêche, Normandie

En partenariat avec Le Phare et le Conservatoire Arthur Honegger
 






Projet, chorégraphie : Malgven Gerbes et David Brandstätter, shifts - art en movement
Musique : Ruth Wiesenfeld
Suivi de production : Alix Pellet
 
Avec les élèves : Chloé Lopez, Ilona Pauvreau, Audrey Delamare, Zélie Dos Santos, Juliette Lallemant, Juliette Leblond, Isaé Lecarpentier, Quentin Pons et Anna Wozniak
Collaboration pédagogique : Tania Croquet et Céline Quédeville, Conservatoire Arthur Honegger
 
Coordination : Laëtitia Passard , Le Phare Ccn du Havre Normandie
 
Festina Lente - Dufy est une re-création à partie d’une PRODUCTION shifts – art in movement
réalisée dans le cadre de l’association d’artistes 2019-2021 avec Le Phare, Ccn du Havre Normandie
. © MuMa Le Havre / Juliette Houliere
. © MuMa Le Havre / Juliette Houliere

Depuis 2013, le MuMa propose de façon systématique pour chacune de ses expositions temporaires, des visites commentées traduites en Langue des Signes Française. Une médiatrice du MuMa, accompagnée d’une interprète LSF, vous accompagne à cette occasion, à la découverte des œuvres présentées, dans un esprit d’échange et de dialogue
. © MuMa Le Havre / Juliette Houliere
. © MuMa Le Havre / Juliette Houliere

Depuis 2013, le MuMa propose de façon systématique pour chacune de ses expositions temporaires, des visites commentées traduites en Langue des Signes Française. Une médiatrice du MuMa, accompagnée d’une interprète LSF, vous accompagne à cette occasion, à la découverte des œuvres présentées, dans un esprit d’échange et de dialogue
. © MuMa Le Havre / Claire Palué
. © MuMa Le Havre / Claire Palué

Découvrez l'exposition Raoul Dufy au Havre présentée au MuMa du 18 mai au 03 novembre 2019, en compagnie d'une médiatrice du musée.

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