MuMa

Pierre-Auguste RENOIR (1841-1919), Portrait de Nini Lopez, 1876, huile sur toile, 54 x 39 cm. © MuMa Le Havre / David Fogel
Pierre-Auguste RENOIR (1841-1919), Portrait de Nini Lopez, 1876, huile sur toile, 54 x 39 cm. © MuMa Le Havre / David Fogel

A l’occasion de la Journée internationale pour le droit des femmes, nous vous proposons de rendre hommage à Hélène Senn-Foulds qui, par son importante donation d’œuvres, a permis au MuMa de réunir la plus importante collection impressionniste en région. Monet, Renoir, mais aussi Vallotton ou encore Nicolas de Staël comptent parmi les artistes que nous pouvons admirer aujourd’hui au musée grâce à la générosité de cette femme. Le temps de cette visite, nous ne cesserons de répéter : « Merci Hélène ! »
Pierre-Auguste RENOIR (1841-1919), Portrait de Nini Lopez, 1876, huile sur toile, 54 x 39 cm. © MuMa Le Havre / David Fogel
Pierre-Auguste RENOIR (1841-1919), Portrait de Nini Lopez, 1876, huile sur toile, 54 x 39 cm. © MuMa Le Havre / David Fogel

A l’occasion de la Journée internationale pour le droit des femmes, nous vous proposons de rendre hommage à Hélène Senn-Foulds qui, par son importante donation d’œuvres, a permis au MuMa de réunir la plus importante collection impressionniste en région. Monet, Renoir, mais aussi Vallotton ou encore Nicolas de Staël comptent parmi les artistes que nous pouvons admirer aujourd’hui au musée grâce à la générosité de cette femme. Le temps de cette visite, nous ne cesserons de répéter : « Merci Hélène ! »
. © Droits réservés
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Une guitare entre les mains, deux autres posées à ses pieds, quelques ressorts, résonateurs, couteaux, archets ou jouets divers pour que vibrent les cordes et sympathisent les résonnances, Greg Malcolm use d'un matériel changeant et d'une grande variété de timbres pour aboutir à  une forme hypnotique fondée sur la réitération de mélodies impalpables auréolées de drones acoustiques. Ce musicien, qui nous vient de Nouvelle-Zélande, aime à  penser que chaque son obéit à  un mouvement précis et dépend également de l'outil choisi dans l'instant. Quelque part entre blues, musique répétitive et approche cagienne de l'instrument préparé, son univers évoque à la fois l'infinitude du désert et les cahots de la piste.
 
Avec :
Greg Malcolm, guitares
 
A savoir : au moment du concert, le montage de la nouvelle exposition du MuMa battra son plein. Le concert pourrait de ce fait être programmé en salle de conférence en fonction des conditions d’avancement du montage.

Dans le cadre du festival PiedNu
. © Droits réservés
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Entre cuivres, pierres et peaux, bruissements de fougères et souffle incandescent, percussions et saxophones puisent l'organicité de leur chant à la source d'une nature en pleine vibration. Du vent dans les arbres à l'eau ruisselant sur les roches, leur imaginaire se nourrit de paysages et dissipe dans l'instant la fulgurance poétique de résonnances immédiates aussi furtives qu'essentielles.
 
Avec :
Mathieu Bec et Guy-Frank Pellerin Saxa Petra : percussions, saxophone
 
A savoir : au moment du concert, le montage de la nouvelle exposition du MuMa battra son plein. Le concert pourrait de ce fait être programmé en salle de conférence en fonction des conditions d’avancement du montage.

Dans le cadre du festival PiedNu
. © Droits réservés
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Benjamin Bondonneau est un musicien plasticien qui pétrit les matières sonores ou picturales avec la même puissance qu'il construit sa maison ou retourne sa terre de Dordogne. Improvisateur militant, il inscrit sa clarinette dans les contextes les plus divers, du solo intégral au Grand Ensemble… Un artiste en phase avec le réel qui apprécie plus que tout l'intimité du soliloque et la complicité d'un public à l'écoute.
 
Avec :
Benjamin Bondonneau, clarinette
 
A savoir : au moment du concert, le montage de la nouvelle exposition du MuMa battra son plein. Le concert pourrait de ce fait être programmé en salle de conférence en fonction des conditions d’avancement du montage.

Dans le cadre du festival PiedNu
10000 Gestes - MIF / © Tristram Kenton - MIF, 2017
10000 Gestes - MIF / © Tristram Kenton - MIF, 2017

Ce programme fait suite à l’annulation de
À bras-le-corps en raison d’une blessure.

En prologue à la représentation du 4 février à l’Opéra de Rouen Normandie, Boris Charmatz et terrain proposent des extraits en solo et trio de 10000 gestes, interprétés par Dimitri Chamblas, Tatiana Julien et Solène Wachter.

Pour ce spectacle j’imagine une forêt chorégraphique dans laquelle aucun geste n’est jamais répété par aucun des danseurs en présence. 10000 gestes qui ne seront visibles qu’une seule fois, disparus aussitôt que tracés, comme une ode à l’impermanence de l’art de la danse. Cette pluie de mouvements, qui pourrait être un data-projet généré par des listes de paramètres numérisés seront au contraire générés artisanalement, à même le corps des interprètes, de manière absolument subjective. À l’hypnose visuelle de la boulimie de  mouvement correspondra un versant méditatif, voire mélancolique : le « don » de mouvements condamnés à la disparition symbolique. — Boris Charmatz
 

Chorégraphie : Boris Charmatz
Interprétation : Dimitri Chamblas, Tatiana Julien et Solène Wachter
Régie : Iannis Japiot
Matériaux sonores : Requiem en ré mineur K.626 de Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791), interprété par l’Orchestre Philharmonique de Vienne, direction Herbert von Karajan,
enregistré au Musikverein (Vienne) en 1986 (1987 Polydor International GmbH, Hambourg ; enregistrements de terrain par Mathieu Morel à Mayfield Depot, Manchester
Production et diffusion : terrain

terrain est soutenu par le Ministère de la Culture – Direction Générale de la Création Artistique, et la Région Hauts-de-France. Dans le cadre de son implantation en Hauts-de-France, terrain est associé à l’Opéra de Lille, au phénix scène nationale de Valenciennes, et à la Maison de la Culture d’Amiens.

Boris Charmatz est également artiste accompagné par Charleroi danse (Belgique) durant trois années, de 2018 à 2021.

Danseur, chorégraphe et directeur artistique de terrain, Boris Charmatz soumet la danse à des contraintes formelles qui redéfinissent le champ de ses possibilités.
De 2009 à 2018, Boris Charmatz dirige le Musée de la danse - Centre chorégraphique national de Rennes et de Bretagne, puis lance terrain, structure implantée dans la région Hauts-de-France en janvier 2019.
D’Aatt enen tionon (1996) à infini (2019), il signe un série de pièces qui ont fait date, en parallèle de ses activités d’interprète et d’improvisateur (notamment avec Médéric Collignon, Anne Teresa De Keersmaeker et Tino Sehgal).
Artiste associé de l’édition 2011 du Festival d’Avignon, il ycréé enfant, pièce pour 26 enfants et 9 danseurs.
Invité au MoMA (New York) en 2013, à la Tate Modern (Londres) en 2012 et 2015, à l’Opéra de Paris en 2015, il y présente des versions inédites et in situ des projets chorégraphiques À bras-le-corps, Levée des conflits,
manger, Roman Photo, expo zéro et 20 danseurs pour le XXe siècle.
Il signe également le projet Fous de danse, une invitation à vivre la danse sous toutes ses formes de midi à minuit dans l’espace public, qui connaîtra trois éditions à Rennes (2015, 2016 et 2018) et d’autres à Brest, Berlin et Paris (en 2017).
Boris Charmatz a été artiste associé de la Volksbühne durant la saison 2017-2018.

 
Dans le cadre du festival Pharenheit

Le projet du Phare est porté par une équipe artistique, administrative et technique permanente et intermittente, qui oeuvre à la réalisation du festival Pharenheit. Nous remercions l’équipe du MuMa pour son engagement.
 
10000 Gestes - MIF / © Tristram Kenton - MIF, 2017
10000 Gestes - MIF / © Tristram Kenton - MIF, 2017

Ce programme fait suite à l’annulation de
À bras-le-corps en raison d’une blessure.

En prologue à la représentation du 4 février à l’Opéra de Rouen Normandie, Boris Charmatz et terrain proposent des extraits en solo et trio de 10000 gestes, interprétés par Dimitri Chamblas, Tatiana Julien et Solène Wachter.

Pour ce spectacle j’imagine une forêt chorégraphique dans laquelle aucun geste n’est jamais répété par aucun des danseurs en présence. 10000 gestes qui ne seront visibles qu’une seule fois, disparus aussitôt que tracés, comme une ode à l’impermanence de l’art de la danse. Cette pluie de mouvements, qui pourrait être un data-projet généré par des listes de paramètres numérisés seront au contraire générés artisanalement, à même le corps des interprètes, de manière absolument subjective. À l’hypnose visuelle de la boulimie de  mouvement correspondra un versant méditatif, voire mélancolique : le « don » de mouvements condamnés à la disparition symbolique. — Boris Charmatz
 

Chorégraphie : Boris Charmatz
Interprétation : Dimitri Chamblas, Tatiana Julien et Solène Wachter
Régie : Iannis Japiot
Matériaux sonores : Requiem en ré mineur K.626 de Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791), interprété par l’Orchestre Philharmonique de Vienne, direction Herbert von Karajan,
enregistré au Musikverein (Vienne) en 1986 (1987 Polydor International GmbH, Hambourg ; enregistrements de terrain par Mathieu Morel à Mayfield Depot, Manchester
Production et diffusion : terrain

terrain est soutenu par le Ministère de la Culture – Direction Générale de la Création Artistique, et la Région Hauts-de-France. Dans le cadre de son implantation en Hauts-de-France, terrain est associé à l’Opéra de Lille, au phénix scène nationale de Valenciennes, et à la Maison de la Culture d’Amiens.

Boris Charmatz est également artiste accompagné par Charleroi danse (Belgique) durant trois années, de 2018 à 2021.

Danseur, chorégraphe et directeur artistique de terrain, Boris Charmatz soumet la danse à des contraintes formelles qui redéfinissent le champ de ses possibilités.
De 2009 à 2018, Boris Charmatz dirige le Musée de la danse - Centre chorégraphique national de Rennes et de Bretagne, puis lance terrain, structure implantée dans la région Hauts-de-France en janvier 2019.
D’Aatt enen tionon (1996) à infini (2019), il signe un série de pièces qui ont fait date, en parallèle de ses activités d’interprète et d’improvisateur (notamment avec Médéric Collignon, Anne Teresa De Keersmaeker et Tino Sehgal).
Artiste associé de l’édition 2011 du Festival d’Avignon, il ycréé enfant, pièce pour 26 enfants et 9 danseurs.
Invité au MoMA (New York) en 2013, à la Tate Modern (Londres) en 2012 et 2015, à l’Opéra de Paris en 2015, il y présente des versions inédites et in situ des projets chorégraphiques À bras-le-corps, Levée des conflits,
manger, Roman Photo, expo zéro et 20 danseurs pour le XXe siècle.
Il signe également le projet Fous de danse, une invitation à vivre la danse sous toutes ses formes de midi à minuit dans l’espace public, qui connaîtra trois éditions à Rennes (2015, 2016 et 2018) et d’autres à Brest, Berlin et Paris (en 2017).
Boris Charmatz a été artiste associé de la Volksbühne durant la saison 2017-2018.

 
Dans le cadre du festival Pharenheit

Le projet du Phare est porté par une équipe artistique, administrative et technique permanente et intermittente, qui oeuvre à la réalisation du festival Pharenheit. Nous remercions l’équipe du MuMa pour son engagement.
 
Waveparty. © Laurent Philippe
Waveparty. © Laurent Philippe

Dans le cadre du Festival Pharenheit en vue de la préparation de la Waveparty* proposée dans le cadre du festival le samedi 8 février 2020.
 
Le Before
David Monceau (Olyphant), qui a composé la musique de la Waveparty à partir de musiques existantes, revient sur le procédé de transformation et de métamorphose de chacun des morceaux afin de créer continuité et fluidité ! Pour ce « Before Wavebreak » nous écouterons ainsi le grand mix opéré pour la transe finale de la Waveparty !
 
Le Wavebreak
Pour vous préparer à la Waveparty proposée dans le cadre du Festival Pharenheit, différents temps de transmission sont proposés les jours qui précèdent la soirée de clôture pour vous permettre de découvrir à chaque fois deux danses différentes qui composeront cette « transe participative » d’Emmanuelle Vo-Dinh pour la clôture du festival Pharenheit…
 
Renseignements auprès du Phare au 02 35 26 23 00 ou contact@lephare-ccn.fr
 
* Waveparty est né pendant le festival Pharenheit de l'an passé. Superbe succès. Waveparty revient conclure le festival 2020. Alors Waveparty s'enrichit. On a donc une party : chacun, chacune, est invité à rentrer dans la danse. Waveparty est une joyeuse expérience à vivre, plutôt qu'un spectacle auquel assister. On y goûte à la wave. La vague : cette houle des corps, ce chaloupé des émotions, qui, à force de répétitions, au fil des variations, débouchent sur une sorte de transe. Nul besoin d'une quelconque expertise en danse pour se jeter dans ce flux. C'est une traversée, débordante d'énergie. La soirée se pare du rituel du maquillage. C'est pour mieux intégrer cette joyeuse tribu ! Un atelier préalable est conseillé : juste deux heures pour assimiler des pas, des figures très simples, inventés par Emmanuelle Vo-Dinh. Elles s’intitulent Vagues, Totem, Sacre, Flower Power… Il n'est aucune sensation qui n'éveille tout un imaginaire. Grisant. Flotter, s'élancer, surfer : tous ensemble vers un bonheur partagé au sommet de la soirée.
— Gérard Mayen

En partenariat avec Le Phare – CCN du Havre
Retrouvez toute la programmation du festival Pharenheit sur : www.pharenheit.fr

 
© Terrain / Boris Charmatz
© Terrain / Boris Charmatz

Ce programme est annulé en raison d’une blessure
Il est remplacé par 10000 gestes, extraits.

« Déjà un quart de siècle… En 1993, c'est d'un grand coup d'épaule dans la porte, que deux danseurs de moins de vingt ans signalaient leur entrée tonitruante dans le cercle des chorégraphes déterminés à bousculer les usages installés de la danse. Boris Charmatz et Dimitri Chamblas se jetaient dans À bras-le-corps.

Agrippés, batailleurs, sans rien enjoliver de l'effort ou la sueur, ils se flanquaient au sol, dans le risque et sans crainte, explosés au ras des spectateurs, dont les rangs les cernaient sur quatre côtés. Sans échappatoire. Et sans esquive. Si Dimitri Chamblas bifurqua ensuite, Boris Charmatz n'a plus cessé de réinventer l'art chorégraphique, en résonance majeure dans son temps, par exemple en concevant l'étonnant Musée de la danse au CCN de Rennes.

Or les deux s'étaient juré de ne jamais abandonner leur À bras-le-corps. Ayant par ailleurs accepté de le transmettre à deux étoiles du Ballet de l'Opéra de Paris – consécration s'il en est – ça n'est pas rien de retrouver ces deux quadragénaires confirmés, toujours éperdus dans la rage savante d'un duo qui fut révolutionnaire. Hors théâtre, le cadre du Musée André Malraux leur fournira une aire exacte. » Gérard Mayen
 
chorégraphie et interprétation : Dimitri Chamblas, Boris Charmatz
lumières : Yves Godin
régie lumière : Iannis Japiot
matériaux sonores : Paganini Caprices, n°1, 10 et 16 Itzhak Perlman (violon) ; Emi Classics CDC 7 471 71 2

À BRAS-LE-CORPS de Boris Charmatz et Dimitri Chamblas
production et diffusion terrain 
une production edna (1993)
coproduction Villa Gillet-Lyon
remerciements Renaud Lapperousaz, Madjid Hakimi
Terrain est soutenu par le Ministère de la Culture – Direction Générale de la Création Artistique, et la Région Hauts-de-France.
Dans le cadre de son implantation en Hauts-de-France, Terrain est associé à l’Opéra de Lille, au phénix scène nationale de Valenciennes, et à la Maison de la Culture d’Amiens.
Boris Charmatz est également artiste accompagné par Charleroi danse (Belgique) durant trois années, de 2018 à 2021.

 
Dans le cadre du festival Pharenheit
 
© Terrain / Boris Charmatz
© Terrain / Boris Charmatz

Ce programme est annulé en raison d’une blessure
Il est remplacé par 10000 gestes, extraits.

« Déjà un quart de siècle… En 1993, c'est d'un grand coup d'épaule dans la porte, que deux danseurs de moins de vingt ans signalaient leur entrée tonitruante dans le cercle des chorégraphes déterminés à bousculer les usages installés de la danse. Boris Charmatz et Dimitri Chamblas se jetaient dans À bras-le-corps.

Agrippés, batailleurs, sans rien enjoliver de l'effort ou la sueur, ils se flanquaient au sol, dans le risque et sans crainte, explosés au ras des spectateurs, dont les rangs les cernaient sur quatre côtés. Sans échappatoire. Et sans esquive. Si Dimitri Chamblas bifurqua ensuite, Boris Charmatz n'a plus cessé de réinventer l'art chorégraphique, en résonance majeure dans son temps, par exemple en concevant l'étonnant Musée de la danse au CCN de Rennes.

Or les deux s'étaient juré de ne jamais abandonner leur À bras-le-corps. Ayant par ailleurs accepté de le transmettre à deux étoiles du Ballet de l'Opéra de Paris – consécration s'il en est – ça n'est pas rien de retrouver ces deux quadragénaires confirmés, toujours éperdus dans la rage savante d'un duo qui fut révolutionnaire. Hors théâtre, le cadre du Musée André Malraux leur fournira une aire exacte. » Gérard Mayen
 
chorégraphie et interprétation : Dimitri Chamblas, Boris Charmatz
lumières : Yves Godin
régie lumière : Iannis Japiot
matériaux sonores : Paganini Caprices, n°1, 10 et 16 Itzhak Perlman (violon) ; Emi Classics CDC 7 471 71 2

À BRAS-LE-CORPS de Boris Charmatz et Dimitri Chamblas
production et diffusion terrain 
une production edna (1993)
coproduction Villa Gillet-Lyon
remerciements Renaud Lapperousaz, Madjid Hakimi
Terrain est soutenu par le Ministère de la Culture – Direction Générale de la Création Artistique, et la Région Hauts-de-France.
Dans le cadre de son implantation en Hauts-de-France, Terrain est associé à l’Opéra de Lille, au phénix scène nationale de Valenciennes, et à la Maison de la Culture d’Amiens.
Boris Charmatz est également artiste accompagné par Charleroi danse (Belgique) durant trois années, de 2018 à 2021.

 
Dans le cadre du festival Pharenheit
 

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