18 h 00
Le Pop Art anglais
Par Dominique Smith, Directeur du Département d'Anglais à la Faculté des Affaires Internationales, Université du Havre, enseignante en histoire de l’art anglais et australien
Par Dominique Smith, Directeur du Département d'Anglais à la Faculté des Affaires Internationales, Université du Havre, enseignante en histoire de l’art anglais et australien
Vers un art photographique : l’influence de la peinture préraphaélite
Par Hélène Orain, doctorante en histoire de l’art à l’Université Paris I-Panthéon Sorbonne
Par Hélène Orain, doctorante en histoire de l’art à l’Université Paris I-Panthéon Sorbonne
Le Préraphaélisme : à la recherche d’un idéal
Par Carole Rabiller, doctorante en histoire de l’art à l’Université Paris IV-Sorbonne
Par Carole Rabiller, doctorante en histoire de l’art à l’Université Paris IV-Sorbonne
Peindre la société victorienne : 1837 - 1901
Par Carole Rabiller, doctorante en histoire de l’art à l’Université Paris IV-Sorbonne
Par Carole Rabiller, doctorante en histoire de l’art à l’Université Paris IV-Sorbonne
Turner et Constable : les deux voies de la peinture anglaise
Par Pierre Wat, Professeur des universités à l’Université Paris I-Panthéon Sorbonne
Par Pierre Wat, Professeur des universités à l’Université Paris I-Panthéon Sorbonne
Le paysage dans la peinture anglaise : 1750 - 1850
Par Pierre Wat, historien et critique d’art, Professeur des universités à l’Université Paris I-Panthéon Sorbonne
Par Pierre Wat, historien et critique d’art, Professeur des universités à l’Université Paris I-Panthéon Sorbonne
Les ambitions du portrait anglais au XVIIIe siècle
Par Deborah Waintraub, doctorante en histoire de l’art à l’Université Paris I-Panthéon Sorbonne
Par Deborah Waintraub, doctorante en histoire de l’art à l’Université Paris I-Panthéon Sorbonne
Agathe Blondel. © Opéra de Rouen Haute Normandie / David Morganti
Forme la plus achevée de la musique de chambre, le quatuor à cordes a souvent permis aux compositeurs de donner le meilleur de leur inspiration. Avec ce programme, les musiciens nous proposent trois chefs-d’œuvre de la musique savante. La partition de Mozart conclut le cycle des six quatuors dédiés à Josef Haydn. Avec Rosamunde, Franz Schubert se place sur un pied d’égalité avec Beethoven et donne le coup d’envoi d’un siècle de musique romantique.
Programme :
Musiciens : Jane Peters, Hervé Walczak Le Sauder (Violons), Agathe Blondel (Alto) et Florent Audibert (Violoncelle)
En partenariat avec l’Opéra de Rouen Haute Normandie
Programme :
- Wolfgang Amadeus Mozart, Quatuor Les Dissonances
- Franz Schubert, Quatuor Rosamunde
- Anton Webern, Six Bagatelles
Musiciens : Jane Peters, Hervé Walczak Le Sauder (Violons), Agathe Blondel (Alto) et Florent Audibert (Violoncelle)
En partenariat avec l’Opéra de Rouen Haute Normandie
Date(s)
- 13 juin 2015
Tarif(s)
Gratuit
Réservation obligatoire, aux heures d'ouverture du musée, à l'accueil et par téléphone au 02 35 19 62 72
La famille Pédron devant La Danse d'André Derain. © Droits réservés
Geraldine Lefebvre, attachée de conservation au MuMa, est invitée par l'association des Amis du Musée d'art moderne André Malraux (AMAM) pour une conférence intitulée : « Léon Pédron, un « ami de la peinture moderne » dans l’entre-deux-guerres au Havre ».
Léon Pédron, négociant en café, coton et laine du Havre constitue une importante collection de peintures modernes entre 1914 et 1926, année de la dispersion d’une grande partie de sa collection en salle des ventes. En 1914, Pédron fait la connaissance d’Emile Othon Friesz, peintre havrais, ami de Dufy et Braque, auquel il confie la responsabilité de constituer sa collection d’art en échange d’une mensualité. Des œuvres de Boudin, Corot, Cézanne, Derain, van Gogh, Gauguin, Guys, Marquet, Redon, Utrillo, Vlaminck composent cette remarquable collection. La vie de Léon Pédron est un vibrant témoignage de l’amitié et du respect qu’il portait à son ami Friesz et à l’ensemble des artistes.
Léon Pédron, négociant en café, coton et laine du Havre constitue une importante collection de peintures modernes entre 1914 et 1926, année de la dispersion d’une grande partie de sa collection en salle des ventes. En 1914, Pédron fait la connaissance d’Emile Othon Friesz, peintre havrais, ami de Dufy et Braque, auquel il confie la responsabilité de constituer sa collection d’art en échange d’une mensualité. Des œuvres de Boudin, Corot, Cézanne, Derain, van Gogh, Gauguin, Guys, Marquet, Redon, Utrillo, Vlaminck composent cette remarquable collection. La vie de Léon Pédron est un vibrant témoignage de l’amitié et du respect qu’il portait à son ami Friesz et à l’ensemble des artistes.
Date(s)
- 09 avril 2015
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
Jacques Perconte, Après le feu, 2010, dist. Light Cone
Rencontre avec Vincent Deville, Maître de conférences en cinéma à l’Université Paul-Valéry Montpellier 3, auteur du livre Les formes du montage dans le cinéma d’avant-garde (PUR, 2014).
La palingénésie désigne une régénération après une mort apparente. Au cinéma, la renaissance de la nature peut apparaître au niveau du motif, de la forme du film ou de l’image elle-même. Par exemple dans le retour de la végétation parmi les ruines et les traumas de l’Histoire (Resnais, Pollet, Herzog). Dans les passages et échanges d’une forme de vie à une autre, d’un règne à un autre, grâce à un usage discontinu et rythmique du montage (Stan Brakhage filme la décomposition du cadavre de son chien au milieu d’un bois; Rose Lowder tisse entre elles les images du minéral, du végétal, de l’animal et du monde humain).
Ou encore quand l’image numérique, qui semblait contrainte à la plus grande ressemblance avec le monde et à une qualité de définition toujours accrue, laisse soudain émerger de l’abstrait, de l’informe et de l’aléatoire, comme un retour de la nature et du vivant au sein du dispositif technologique (Jacques Perconte).
Programme :
La palingénésie désigne une régénération après une mort apparente. Au cinéma, la renaissance de la nature peut apparaître au niveau du motif, de la forme du film ou de l’image elle-même. Par exemple dans le retour de la végétation parmi les ruines et les traumas de l’Histoire (Resnais, Pollet, Herzog). Dans les passages et échanges d’une forme de vie à une autre, d’un règne à un autre, grâce à un usage discontinu et rythmique du montage (Stan Brakhage filme la décomposition du cadavre de son chien au milieu d’un bois; Rose Lowder tisse entre elles les images du minéral, du végétal, de l’animal et du monde humain).
Ou encore quand l’image numérique, qui semblait contrainte à la plus grande ressemblance avec le monde et à une qualité de définition toujours accrue, laisse soudain émerger de l’abstrait, de l’informe et de l’aléatoire, comme un retour de la nature et du vivant au sein du dispositif technologique (Jacques Perconte).
Programme :
- Stan Brakhage, Sirius Remembered, 1959, 11’
- Rose Lowder, Bouquets écologiques 21-30, 2001-2005, 14’
- Jacques Perconte, Après le feu, 2010, 7’
Date(s)
- 13 mai 2015
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.