45 minutes environ

Joaquin SOROLLA Y BASTIDA (1863-1923), Barque et groupe de femmes à Valence, 1894, huile sur toile, 47 x 67 cm. Limoges, Don E. Dubouché au musée national Adrien Dubouché, 1906, en dépôt au musée des Beaux-Arts de la ville. © Musée des Beaux-Arts de Limoges / Cl. G. Vergnenègre
Joaquin SOROLLA Y BASTIDA (1863-1923), Barque et groupe de femmes à Valence, 1894, huile sur toile, 47 x 67 cm. Limoges, Don E. Dubouché au musée national Adrien Dubouché, 1906, en dépôt au musée des Beaux-Arts de la ville. © Musée des Beaux-Arts de Limoges / Cl. G. Vergnenègre

Venez découvrir l’exposition Le vent. « Cela qui ne peut être peint » en compagnie d’une médiatrice culturelle du musée.
Joaquin SOROLLA Y BASTIDA (1863-1923), Barque et groupe de femmes à Valence, 1894, huile sur toile, 47 x 67 cm. Limoges, Don E. Dubouché au musée national Adrien Dubouché, 1906, en dépôt au musée des Beaux-Arts de la ville. © Musée des Beaux-Arts de Limoges / Cl. G. Vergnenègre
Joaquin SOROLLA Y BASTIDA (1863-1923), Barque et groupe de femmes à Valence, 1894, huile sur toile, 47 x 67 cm. Limoges, Don E. Dubouché au musée national Adrien Dubouché, 1906, en dépôt au musée des Beaux-Arts de la ville. © Musée des Beaux-Arts de Limoges / Cl. G. Vergnenègre

Venez découvrir l’exposition Le vent. « Cela qui ne peut être peint » en compagnie d’une médiatrice culturelle du musée.
Joaquin SOROLLA Y BASTIDA (1863-1923), Barque et groupe de femmes à Valence, 1894, huile sur toile, 47 x 67 cm. Limoges, Don E. Dubouché au musée national Adrien Dubouché, 1906, en dépôt au musée des Beaux-Arts de la ville. © Musée des Beaux-Arts de Limoges / Cl. G. Vergnenègre
Joaquin SOROLLA Y BASTIDA (1863-1923), Barque et groupe de femmes à Valence, 1894, huile sur toile, 47 x 67 cm. Limoges, Don E. Dubouché au musée national Adrien Dubouché, 1906, en dépôt au musée des Beaux-Arts de la ville. © Musée des Beaux-Arts de Limoges / Cl. G. Vergnenègre

Venez découvrir l’exposition Le vent. « Cela qui ne peut être peint » en compagnie d’une médiatrice culturelle du musée.
Daniel Isoir
Daniel Isoir

Toujours dans le cadre de À l’école de Charles Lhullier, le MuMa invite le pianiste Daniel Isoir pour un programme conçu autour de figures telles que César Franck ou Gabriel Fauré, et avec pour fil conducteur la notion de transmission. Un programme en construction à l’heure où nous publions ces lignes, et donc sous réserve de modifications.
Avec Daniel Isoir
Alice Cissokho, Patrick Dussart et Kouchyar Shahroudi. portrait Alice Cissokho : Patrick Hubschwerlin
Alice Cissokho, Patrick Dussart et Kouchyar Shahroudi. portrait Alice Cissokho : Patrick Hubschwerlin

Dans le cadre de l’exposition consacrée à Charles Lhullier, le MuMa a souhaité faire un clin d’œil au Café des Turcos, un tableau peint par l’artiste entre 1867 et 1868. Les accents orientalistes de cette œuvre renvoient au goût dont a fait preuve toute une époque pour un ailleurs, plus ou moins lointain, direction le Sud et l’Est. Au-delà de l’exotisme, c’est un intérêt pour « l’Autre », sa culture, ses traditions… qui transparaît.
 
Avec pour point de départ la Sonate pour flûte, alto et harpe de Debussy, œuvre emblématique impressionniste et fondatrice pour cette formation si riche en nuances et couleurs, le concert chemine entre les siècles et les continents.
Les regards tournés vers le passé, Saint Saëns et la fin du XIXème siècle, et le romantisme français.
Et projections dans l'avenir et l'ailleurs avec l'univers poétique du japonais Toru Takemitsu et son trio And Then I Knew it was Wind, évocation des attributs du vent dans le monde naturel et dans notre inconscient.
 
Avec Alice Cissokho, Patrick Dussart et Kouchyar Shahroudi.
. © Olivier.Biks
. © Olivier.Biks
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Une performance participative familiale
 
Le MuMa accueille la compagnie Sac de Nœuds pour un moment créatif et festif, à vivre en famille :
 
« De grands lés de papiers blancs sont posés au sol et investissent différents espaces d’un lieu. Invitation à voyager par la danse et le graphisme, les Parcours Choré-graphites prennent la forme d'atelier-performance où chaque participant devient acteur. Un casque audio sur les oreilles, vous serez guidés par des consignes simples : déambuler, s'arrêter, accélérer, se munir d'un pastel gras, dessiner des points… Temps de partage ludique et collectif où chacun peut être acteur et spectateur du projet en train de se faire, un moment dansé unique où émerge une œuvre plastique commune. »
 
Conception : Solenne Pitou
Interprètes et guides : Solenne Pitou et Anne-Laure Mascio
Bande son et technique : Studio des Docks – Eric Docteur
 
Production Compagnie Sac de Noeuds
Création avec le soutien de la Région Normandie, de la Ville du Havre et du Volcan - Scène Nationale du Havre.
Véronique ELLENA (1966), Lever de lune, porte Océane , 2007, photographie, 80 x 100 cm. Le Havre, Musée d'art moderne André Malraux, achat de la Ville, 2010. © MuMa Le Havre / Véronique Ellena
Véronique ELLENA (1966), Lever de lune, porte Océane , 2007, photographie, 80 x 100 cm. Le Havre, Musée d'art moderne André Malraux, achat de la Ville, 2010. © MuMa Le Havre / Véronique Ellena

Événement sous réserve de l’évolution de la situation sanitaire

Venez en famille découvrir les œuvres du MuMa accompagnés par une médiatrice du musée à travers l’accrochage renouvelé des collections permanentes - l’occasion de faire connaissance avec certaines peintures, gravures ou photographies jusqu’alors gardées au chaud dans les réserves.
Cécile Mainardi . © Gilles Dacquin
Cécile Mainardi . © Gilles Dacquin

Geneviève Asse est identifiée aujourd’hui par une couleur incomparable, le « bleu Asse », dont elle décline les innombrables modulations. Pour ouvrir le dialogue et entrer en résonance avec l’une de ses œuvres, Ouverture II : la voix et les poèmes de Cécile Mainardi, la mer au loin… et la magie opère.
 
Cécile Mainardi est « exo-poète ». Parmi ses œuvres  poétiques : La Blondeur, Je suis une grande Actriste, L’Immaculé Conceptuel, Rose Activité Mortelle, Idéogrammes Acryliques... Autant d’ouvrages où elle tourne autour d’un point de sidération depuis lequel le langage ne semble renvoyer qu’à son propre mirage. Depuis cinq ans, elle concentre toutefois sa pratique du côté de l’image et de la situation parlée, comme si toute ses œuvres textuelles n'avaient été qu'un liminaire conceptuel à ce geste désormais décisif de déplacer le poème dans l'art.
 
Cécile Mainardi revisitera ici le bestiaire qu’elle n’a jamais voulu ni même pensé écrire, mais qui se trouve néanmoins diffracté dans ses différents ouvrages…
 
Un événement programmé dans le cadre du festival Terres de Paroles
Ferdinand Loyen du Puigaudeau, La Lanterne magique ou Le Panorama du Czar à Paris, 1896, huile sur toile, 44 x 65 cm. Collection particulière. © Couton Veyrac Jamault- L’hôtel des ventes de Nantes
Ferdinand Loyen du Puigaudeau, La Lanterne magique ou Le Panorama du Czar à Paris, 1896, huile sur toile, 44 x 65 cm. Collection particulière. © Couton Veyrac Jamault- L’hôtel des ventes de Nantes

Du mardi au vendredi, retrouvez-nous pour un rendez-vous en petit comité pour profiter de l’exposition en compagnie d’une médiatrice du musée.
Au programme, 5 œuvres à découvrir en une quarantaine de minutes. 
Ferdinand Loyen du Puigaudeau, La Lanterne magique ou Le Panorama du Czar à Paris, 1896, huile sur toile, 44 x 65 cm. Collection particulière. © Couton Veyrac Jamault- L’hôtel des ventes de Nantes
Ferdinand Loyen du Puigaudeau, La Lanterne magique ou Le Panorama du Czar à Paris, 1896, huile sur toile, 44 x 65 cm. Collection particulière. © Couton Veyrac Jamault- L’hôtel des ventes de Nantes

Du mardi au vendredi, retrouvez-nous pour un rendez-vous en petit comité pour profiter de l’exposition en compagnie d’une médiatrice du musée.
Au programme, 5 œuvres à découvrir en une quarantaine de minutes. 

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