45 minutes environ

Ferdinand Loyen du Puigaudeau, La Lanterne magique ou Le Panorama du Czar à Paris, 1896, huile sur toile, 44 x 65 cm. Collection particulière. © Couton Veyrac Jamault- L’hôtel des ventes de Nantes
Ferdinand Loyen du Puigaudeau, La Lanterne magique ou Le Panorama du Czar à Paris, 1896, huile sur toile, 44 x 65 cm. Collection particulière. © Couton Veyrac Jamault- L’hôtel des ventes de Nantes

Du mardi au vendredi, retrouvez-nous pour un rendez-vous en petit comité pour profiter de l’exposition en compagnie d’une médiatrice du musée.
Au programme, 5 œuvres à découvrir en une quarantaine de minutes. 
Ferdinand Loyen du Puigaudeau, La Lanterne magique ou Le Panorama du Czar à Paris, 1896, huile sur toile, 44 x 65 cm. Collection particulière. © Couton Veyrac Jamault- L’hôtel des ventes de Nantes
Ferdinand Loyen du Puigaudeau, La Lanterne magique ou Le Panorama du Czar à Paris, 1896, huile sur toile, 44 x 65 cm. Collection particulière. © Couton Veyrac Jamault- L’hôtel des ventes de Nantes

Du mardi au vendredi, retrouvez-nous pour un rendez-vous en petit comité pour profiter de l’exposition en compagnie d’une médiatrice du musée.
Au programme, 5 œuvres à découvrir en une quarantaine de minutes. 
Ferdinand Loyen du Puigaudeau, La Lanterne magique ou Le Panorama du Czar à Paris, 1896, huile sur toile, 44 x 65 cm. Collection particulière. © Couton Veyrac Jamault- L’hôtel des ventes de Nantes
Ferdinand Loyen du Puigaudeau, La Lanterne magique ou Le Panorama du Czar à Paris, 1896, huile sur toile, 44 x 65 cm. Collection particulière. © Couton Veyrac Jamault- L’hôtel des ventes de Nantes

Du mardi au vendredi, retrouvez-nous pour un rendez-vous en petit comité pour profiter de l’exposition en compagnie d’une médiatrice du musée.
Au programme, 5 œuvres à découvrir en une quarantaine de minutes. 
Ferdinand Loyen du Puigaudeau, La Lanterne magique ou Le Panorama du Czar à Paris, 1896, huile sur toile, 44 x 65 cm. Collection particulière. © Couton Veyrac Jamault- L’hôtel des ventes de Nantes
Ferdinand Loyen du Puigaudeau, La Lanterne magique ou Le Panorama du Czar à Paris, 1896, huile sur toile, 44 x 65 cm. Collection particulière. © Couton Veyrac Jamault- L’hôtel des ventes de Nantes

Du mardi au vendredi, retrouvez-nous pour un rendez-vous en petit comité pour profiter de l’exposition en compagnie d’une médiatrice du musée.
Au programme, 5 œuvres à découvrir en une quarantaine de minutes. 
Ferdinand Loyen du Puigaudeau, La Lanterne magique ou Le Panorama du Czar à Paris, 1896, huile sur toile, 44 x 65 cm. Collection particulière. © Couton Veyrac Jamault- L’hôtel des ventes de Nantes
Ferdinand Loyen du Puigaudeau, La Lanterne magique ou Le Panorama du Czar à Paris, 1896, huile sur toile, 44 x 65 cm. Collection particulière. © Couton Veyrac Jamault- L’hôtel des ventes de Nantes

Du mardi au vendredi, retrouvez-nous pour un rendez-vous en petit comité pour profiter de l’exposition en compagnie d’une médiatrice du musée.
Au programme, 5 œuvres à découvrir en une quarantaine de minutes. 
Ferdinand Loyen du Puigaudeau, La Lanterne magique ou Le Panorama du Czar à Paris, 1896, huile sur toile, 44 x 65 cm. Collection particulière. © Couton Veyrac Jamault- L’hôtel des ventes de Nantes
Ferdinand Loyen du Puigaudeau, La Lanterne magique ou Le Panorama du Czar à Paris, 1896, huile sur toile, 44 x 65 cm. Collection particulière. © Couton Veyrac Jamault- L’hôtel des ventes de Nantes

Du mardi au vendredi, retrouvez-nous pour un rendez-vous en petit comité pour profiter de l’exposition en compagnie d’une médiatrice du musée.
Au programme, 5 œuvres à découvrir en une quarantaine de minutes. 
Les Discordantes Augmentées
Les Discordantes Augmentées

Les Discordantes « augmentées »
 
Revisiter l'Histoire des industries dans leur période florissante allant de la fin du XIXe siècle au début du XXe siècle, leur activité, leurs atmosphères, autour desquels des bassins de vie se sont créés, rythmant la vie de plusieurs générations de Normands, a permis au trio Les Discordantes Augmentées, par une immersion totale sur des sites encore en activité, de retracer l'activité dense de cette époque à travers le son.
S'inscrire dans un aspect de la démarche de Reynold Arnould, à savoir rendre l'art accessible à toutes les couches de la société, et tenter de retranscrire l'ambiance sonore des ateliers d'usine dans un objectif de transmission aux jeunes générations, tel est le défi que s'est lancé le trio en créant cette pièce de musique mixte sous forme de performance nourrie de témoignages et de sons collectés dans le milieu industriel normand.
La performance s'inspire des répertoires et techniques issus des musiques nouvelles : musique contemporaine, expérimentale, improvisée, électro-acoustique et acousmatique.
 
Safa Azzoug, saxophones
Amélie Grould, percussions
Hubert Michel, électronique
. © ManLef
. © ManLef

A l’occasion du festival Piano is not dead, et en écho à l’ouverture prochaine de l’exposition temporaire du MuMa consacrée à Reynold Arnould, le MuMa invite le duo Iana pour une expérience musicale hors-norme autour de deux pianos.
 
« En ce début du XXIe siècle, bousculer les consciences demeure indispensable. Quand tout est design-é, aseptisé et sous contrôle, la beauté de l’aspérité, la plongée dans le bienveillant inconnu restent de mise. Loin de tomber dans l’incantation, Iana préfère la décantation, le dé-chanté à l’en-chanté – ou plutôt l’en-chantier à l’enchanté. L’entendement s’y voit chahuté, l’inconscient décrypte tout absolument.
Deux femmes, porteuses d’histoires musicales polychromes. Deux pianos, formation dont les potentialités sont loin d’avoir été toutes révélées. Deux parcours aux tracés apparemment parallèles, mais qui convergent vers un même horizon, leur domaine de prédilection se rapprochant sans cesse depuis un demi-siècle – Christine Wodrascka est une figure fameuse des scènes de l’improvisation libre, attirée par la musique contemporaine, pendant que la fréquentation des œuvres de Ligeti, Cage, Crumb, Harvey, etc. a porté tout naturellement Betty Hovette hors des portées fixes de la partition écrite.
Leur rencontre s’est d’abord apparentée à un laboratoire de recherche musicale ayant vite mis en évidence une nécessité commune : occuper l’espace sonore par des moyens minimaux – non sans aller jusqu’à la démarche des minimalistes américains – en évitant tout éparpillement ; mais aussi aller au bout d’une intention de jeu par l’exploration obsessionnelle d’un geste, d’une grappe sonore, etc. Cela pour un déploiement d’énergie sans dérive ni complaisance. Se trouve alors mise en jeu par les musiciennes une certaine forme d’endurance physique, avec l’espoir de susciter chez l’auditeur son écoute la plus active.
Iana met également en acte un décloisonnement des genres et des univers musicaux, une recherche transidiomatiques, dé-compartimentée, que rien ne comprime : autant au travers qu’en travers !
Leurs improvisations ne « disent » rien. L’intention n’est pas de « raconter une histoire ». Elles se contentent de mettre en jeu des complexions sonores, de faire se télescoper des particules de musique formant un noyau insolite pour engendrer tout un monde lointain, laissant toute latitude à l’auditeur pour greffer ses propres fantasmagories. »
Extrait du dossier de présentation
 
Duo Iana :
Christine Wodrascka et Betty Hovette
, pianos
 
Dans le cadre du festival Piano is not dead
 
Le MuMa tient à remercier Paul-Etienne Berlioz, facteur et accordeur de piano, créateur et partenaire essentiel de ce festival, ainsi que le festival PiedNu,  et en particulier Emmanuel Lalande et Joël Pagier pour leurs belles suggestions.
Daniel Isoir
Daniel Isoir

Dufy et la musique, ce n’est pas qu’une histoire personnelle, c’est aussi une affaire de peinture. Né dans une famille de musiciens, la musique est partout, elle le nourrit depuis son plus jeune âge. Dès 1902, le motif de l’orchestre est présent dans son œuvre. En 1915, l’artiste peint un Hommage à Mozart, une  toile préfigurant la réalisation d’une grande série qu’il entreprendra à la fin de sa vie et dans laquelle il évoquera ses compositeurs préférés, leur rendant hommage et tentant de traduire plastiquement leurs univers musicaux. Une manière, pour Raoul Dufy, d’évoquer de façon plus générale la figure de l’artiste, du créateur, et de relire sa propre carrière dont l’essentiel est alors derrière lui.
En écho à cette série, et par ricochet, en forme d’hommage au peintre amoureux de la musique que Dufy était, nous avons eu envie d’imaginer un cycle de « Musiques à la carte » particulier. Le cycle continue, après Chopin et Bach, par un programme dédié à Claude Debussy et quelques uns de ses contemporains.
 
Par Daniel Isoir, piano
Daniel Isoir
Daniel Isoir

Dufy et la musique, ce n’est pas qu’une histoire personnelle, c’est aussi une affaire de peinture. Né dans une famille de musiciens, la musique est partout, elle le nourrit depuis son plus jeune âge. Dès 1902, le motif de l’orchestre est présent dans son œuvre. En 1915, l’artiste peint un Hommage à Mozart, une  toile préfigurant la réalisation d’une grande série qu’il entreprendra à la fin de sa vie et dans laquelle il évoquera ses compositeurs préférés, leur rendant hommage et tentant de traduire plastiquement leurs univers musicaux. Une manière, pour Raoul Dufy, d’évoquer de façon plus générale la figure de l’artiste, du créateur, et de relire sa propre carrière dont l’essentiel est alors derrière lui.
En écho à cette série, et par ricochet, en forme d’hommage au peintre amoureux de la musique que Dufy était, nous avons eu envie d’imaginer un cycle de « Musiques à la carte » particulier. Le premier de ces rendez-vous sera consacré à Frédéric Chopin, et c’est au pianiste Daniel Isoir que nous avons confié le soin de concocter un programme autour de ce compositeur et pianiste fameux de la période romantique.

Par Daniel Isoir, piano

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