45 minutes environ

Honoré DAUMIER (1808-1879), Eh! bien en regardant ce tableau de près on finit par y découvrir des qualités, on voit que la couleur est bonne, 1865, dessin. Marseille. Ville de Marseille
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A l’occasion du Week-end Télérama, le MuMa vous propose des visites à deux voix qui rythmeront votre découverte du musée. Laissez-vous accompagner par un comédien et une médiatrice, et par ce qu’ils vous raconteront de l’impressionnisme.
Si aujourd’hui la peinture impressionniste fait assez largement l’unanimité, il est intéressant de se rappeler que les artistes de ce mouvement n’ont pas toujours joui d’un tel engouement, notamment à leurs débuts. Grâce à ces visites, replongeons-nous dans la critique d’art de la fin du XIXe siècle, entre plumes acerbes et discours élogieux.
Rendez-vous à l’accueil du musée
Gratuit sur présentation du pass Week-end Musées Télérama ou sur présentation du billet d’entrée
Si aujourd’hui la peinture impressionniste fait assez largement l’unanimité, il est intéressant de se rappeler que les artistes de ce mouvement n’ont pas toujours joui d’un tel engouement, notamment à leurs débuts. Grâce à ces visites, replongeons-nous dans la critique d’art de la fin du XIXe siècle, entre plumes acerbes et discours élogieux.
Rendez-vous à l’accueil du musée
Gratuit sur présentation du pass Week-end Musées Télérama ou sur présentation du billet d’entrée
Date(s)
- samedi 18 mars 2017
- dimanche 19 mars 2017
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

Honoré DAUMIER (1808-1879), Eh! bien en regardant ce tableau de près on finit par y découvrir des qualités, on voit que la couleur est bonne, 1865, dessin. Marseille. Ville de Marseille
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A l’occasion du Week-end Télérama, le MuMa vous propose des visites à deux voix qui rythmeront votre découverte du musée. Laissez-vous accompagner par un comédien et une médiatrice, et par ce qu’ils vous raconteront de l’impressionnisme.
Si aujourd’hui la peinture impressionniste fait assez largement l’unanimité, il est intéressant de se rappeler que les artistes de ce mouvement n’ont pas toujours joui d’un tel engouement, notamment à leurs débuts. Grâce à ces visites, replongeons-nous dans la critique d’art de la fin du XIXe siècle, entre plumes acerbes et discours élogieux.
Rendez-vous à l’accueil du musée
Gratuit sur présentation du pass Week-end Musées Télérama ou sur présentation du billet d’entrée
Si aujourd’hui la peinture impressionniste fait assez largement l’unanimité, il est intéressant de se rappeler que les artistes de ce mouvement n’ont pas toujours joui d’un tel engouement, notamment à leurs débuts. Grâce à ces visites, replongeons-nous dans la critique d’art de la fin du XIXe siècle, entre plumes acerbes et discours élogieux.
Rendez-vous à l’accueil du musée
Gratuit sur présentation du pass Week-end Musées Télérama ou sur présentation du billet d’entrée
Date(s)
- samedi 18 mars 2017
- dimanche 19 mars 2017
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

Alfred Charles WEBER (1862-1922), Portrait du père de l'artiste en marin, 1887, huile sur toile, 173,5 x 106 cm. Le Havre Musée d’art moderne André Malraux. © MuMa Le Havre
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A quelques jours de l’ouverture de l’exposition consacrée à Pierre et Gilles, ressortons l’œuvre d’Alfred-Charles Weber, Portrait du père de l’artiste en marin, des réserves du MuMa. Existe-t-il une iconographie du marin à travers les arts ? A quels symboles fait-elle référence et quelle est sa signification pour les artistes d’hier et d’aujourd’hui ? Naviguons d’œuvre en œuvre pour répondre à ces questions.
Date(s)
- 11 mai 2017
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

Edgar DEGAS (1834-1917), Les Blanchisseuses, ca. 1870-1872, huile sur toile, 15 x 21 cm. © Ministère de la Culture et de la Communication / Didier Plowy
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Retour sur la rocambolesque aventure des Blanchisseuses, volées, envolées et réapparues après 38 ans d’absence. Qui sont ces femmes représentées ? Quand l’œuvre a-t-elle été exécutée ? Quelle est sa place dans l’œuvre de Degas ? Exploration et hypothèses.
Date(s)
- 06 avril 2017
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

. © Caroline Robillard
En compagnie de Ambre, venez essayer un nouveau dispositif sonore au cœur de l’exposition Jacqueline Salmon. Du vent du ciel et de la mer : une écoute au creux de l’oreille, pour se laisser immerger dans l’univers créatif du collectif Alhambra Lab, inspiré pour cette création de celui de la photographe.
En partenariat avec L’Invitation au voyage.
En partenariat avec L’Invitation au voyage.
Date(s)
- 20 avril 2017
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

. © Conservatoire Arthur Honegger
Par Mirella GIARDELLI
Le clavecin est un instrument de musique à cordes muni d'un ou plusieurs claviers dont chacune des cordes est pincée par un dispositif nommé sautereau (à la différence du piano où la corde est frappée par un marteau).
Il est l’instrument privilégié de la musique baroque, pour lequel les plus grands compositeurs de l’époque ont écrit : Bach, Scarlatti, Rameau…
Enseigné depuis septembre 2016 au Conservatoire Honegger, sa présence régulière au Havre va désormais permettre et faciliter l’éclosion d’une vie de la musique ancienne dans la cité océane.
L’instrument qui sera joué a été fabriqué en 2016 par le facteur néerlandais KLOP.
En partenariat avec le Conservatoire Arthur Honegger.
Le clavecin est un instrument de musique à cordes muni d'un ou plusieurs claviers dont chacune des cordes est pincée par un dispositif nommé sautereau (à la différence du piano où la corde est frappée par un marteau).
Il est l’instrument privilégié de la musique baroque, pour lequel les plus grands compositeurs de l’époque ont écrit : Bach, Scarlatti, Rameau…
Enseigné depuis septembre 2016 au Conservatoire Honegger, sa présence régulière au Havre va désormais permettre et faciliter l’éclosion d’une vie de la musique ancienne dans la cité océane.
L’instrument qui sera joué a été fabriqué en 2016 par le facteur néerlandais KLOP.
En partenariat avec le Conservatoire Arthur Honegger.

Date(s)
- 16 février 2017
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

Ramon Lopez et Christine Wodrascka, Album Aux portes du matin, 2001
Comme chaque année, le MuMa accueille le festival PiedNu du jeudi 23 au dimanche 26 mars 2017. Différents concerts auront lieu dans les espaces d’exposition du musée à cette occasion.
Christine Wodrascka, piano
Ramon Lopez, percussions
Ce duo existe depuis 2000 : leur premier concert a été leur premier enregistrement « Aux Portes du Matin » élu parmi les 100 meilleurs cd de l’année. Cette association est une évidence et ne se lasse pas de continuer d’exister.
« Ensemble, Christine Wodrascka et Ramon Lopez inventent avec souplesse et générosité de fascinants paysages tour à tour traversés d'une sombre et puissante énergie ou d'une mystérieuse intériorité. Dans leur univers poétique, le percuteur et le mélodiste ne sont pas (le plus souvent) celui ou celle que l'on croit. Entre les caisses, toms et fûts aux peaux soigneusement accordées et la foisonnante frénésie des cymbales de l’un, l'autre insinue la plénitude d'une syntaxe épanouie et libre sur le clavier et à l’intérieur de l’instrument, ainsi que l’expressivité de petites cellules percussives rythmées par une fougue et une sensibilité exceptionnelles. »
Gérard Rouy
Christine Wodrascka, piano
Ramon Lopez, percussions
Ce duo existe depuis 2000 : leur premier concert a été leur premier enregistrement « Aux Portes du Matin » élu parmi les 100 meilleurs cd de l’année. Cette association est une évidence et ne se lasse pas de continuer d’exister.
« Ensemble, Christine Wodrascka et Ramon Lopez inventent avec souplesse et générosité de fascinants paysages tour à tour traversés d'une sombre et puissante énergie ou d'une mystérieuse intériorité. Dans leur univers poétique, le percuteur et le mélodiste ne sont pas (le plus souvent) celui ou celle que l'on croit. Entre les caisses, toms et fûts aux peaux soigneusement accordées et la foisonnante frénésie des cymbales de l’un, l'autre insinue la plénitude d'une syntaxe épanouie et libre sur le clavier et à l’intérieur de l’instrument, ainsi que l’expressivité de petites cellules percussives rythmées par une fougue et une sensibilité exceptionnelles. »
Gérard Rouy
Date(s)
- 25 mars 2017
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

Comme chaque année, le MuMa accueille le festival PiedNu du jeudi 23 au dimanche 26 mars 2017. Différents concerts auront lieu dans les espaces d’exposition du musée à cette occasion.
Der Riss
Elise Dabrowski, voix, contrebasse
Claudine Simon, piano préparé
« Une contrebasse, une voix et un piano se donnent Rendez-vous pour improviser ensemble, et pourtant elles ne sont que deux sur scène. Le subterfuge, c'est Elise Dabrowski qui le crée en se dédoublant. Elle est chanteuse tout autant que contrebassiste, et ce n'est pas d'aujourd'hui... La pianiste Claudine Simon partage avec Elise Dabrowski l'art du dédoublement. Son piano, elle le bouscule et l'associe à des aventures et compagnonnages qui l'emmènent souvent vers la danse, le théâtre, le cinéma, la vidéo et les arts plastiques.
Riss, c’est le nom de ce nouveau duo formé. RISS comme faille ou fissure : la faille qui laisse entrer et circuler l’air et permet la communication entre quantité d’univers musicaux. Les deux musiciennes en effet n’ont pas envie de se fixer sur une approche de la musique et une seule. Ce qu’elles cultivent par dessus tout, ce sont les passerelles, les chemins croisés. » Anne Montaron
Création le 26/05/2016 à l’Atelier du Plateau à Paris dans le cadre du DA festival.
Der Riss
Elise Dabrowski, voix, contrebasse
Claudine Simon, piano préparé
« Une contrebasse, une voix et un piano se donnent Rendez-vous pour improviser ensemble, et pourtant elles ne sont que deux sur scène. Le subterfuge, c'est Elise Dabrowski qui le crée en se dédoublant. Elle est chanteuse tout autant que contrebassiste, et ce n'est pas d'aujourd'hui... La pianiste Claudine Simon partage avec Elise Dabrowski l'art du dédoublement. Son piano, elle le bouscule et l'associe à des aventures et compagnonnages qui l'emmènent souvent vers la danse, le théâtre, le cinéma, la vidéo et les arts plastiques.
Riss, c’est le nom de ce nouveau duo formé. RISS comme faille ou fissure : la faille qui laisse entrer et circuler l’air et permet la communication entre quantité d’univers musicaux. Les deux musiciennes en effet n’ont pas envie de se fixer sur une approche de la musique et une seule. Ce qu’elles cultivent par dessus tout, ce sont les passerelles, les chemins croisés. » Anne Montaron
Création le 26/05/2016 à l’Atelier du Plateau à Paris dans le cadre du DA festival.
Date(s)
- 26 mars 2017
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

Comme chaque année, le MuMa accueille le festival PiedNu du jeudi 23 au dimanche 26 mars 2017. Différents concerts auront lieu dans les espaces d’exposition du musée à cette occasion.
Laurent Matheron, saxophone
« Saxophoniste, il étend son instrumentarium en créant des sculptures sonores. Interprète, la musique contemporaine et la création sont ses terrains de jeu favoris. Il joue également le répertoire germanique de l'Entre-deux-guerres. Sa pratique de l'improvisation s'enrichit des univers sonores des compositeurs qu'il interprète, et il intéresse ces derniers aux sons inouïs de ses sculptures. François Rossé, Damien Charron, Philippe Laval, Bruno Giner ont écrit pour ses instruments. Il a étudié avec Alain Bouhey à l’École Normale de Musique de Paris (Diplôme Supérieur de Concertiste) et Yochk'o Seffer (l'initiateur du concept de sculptures sonores) et a été fortement marqué par leur recherche scriptorale. Membre de l'Ensemble de Saxophones Français, du Septuor de Saxophones, il est membre fondateur des ensembles Inscape et Hinterland. Il enseigne au conservatoire de Corbeil-Essonnes (91). La pédagogie de Robert Pichaureau est à la base de son enseignement. »
« Sans doute le solo permet-il de rassembler ce qui nous semble essentiel.
On emporte avec soi des saxophones, de vieux tubes, des partitions, deux ou trois textes, afin que quelques instants de musique nous traversent.
La musique de François Rossé, dont l'univers ne cesse de s'élargir à mesure qu'on le pratique, dialoguera avec les fantômes de Joseph Conrad ou de Varlam Chalamov. Mais peut-être le compositeur, à travers d'autres voix, aura-t-il le dernier mot... »
Laurent Matheron, saxophone
« Saxophoniste, il étend son instrumentarium en créant des sculptures sonores. Interprète, la musique contemporaine et la création sont ses terrains de jeu favoris. Il joue également le répertoire germanique de l'Entre-deux-guerres. Sa pratique de l'improvisation s'enrichit des univers sonores des compositeurs qu'il interprète, et il intéresse ces derniers aux sons inouïs de ses sculptures. François Rossé, Damien Charron, Philippe Laval, Bruno Giner ont écrit pour ses instruments. Il a étudié avec Alain Bouhey à l’École Normale de Musique de Paris (Diplôme Supérieur de Concertiste) et Yochk'o Seffer (l'initiateur du concept de sculptures sonores) et a été fortement marqué par leur recherche scriptorale. Membre de l'Ensemble de Saxophones Français, du Septuor de Saxophones, il est membre fondateur des ensembles Inscape et Hinterland. Il enseigne au conservatoire de Corbeil-Essonnes (91). La pédagogie de Robert Pichaureau est à la base de son enseignement. »
« Sans doute le solo permet-il de rassembler ce qui nous semble essentiel.
On emporte avec soi des saxophones, de vieux tubes, des partitions, deux ou trois textes, afin que quelques instants de musique nous traversent.
La musique de François Rossé, dont l'univers ne cesse de s'élargir à mesure qu'on le pratique, dialoguera avec les fantômes de Joseph Conrad ou de Varlam Chalamov. Mais peut-être le compositeur, à travers d'autres voix, aura-t-il le dernier mot... »
Date(s)
- 23 mars 2017
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

Guillaume Romain FOUACE (1837-1895), À la cuisine Nature morte , 1894, huile sur toile, 181 x 128 cm. Le Havre, musée d’art moderne André Malraux. © MuMa Le Havre / Charles Maslard
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Date(s)
- 02 mars 2017
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.