1 heure environ

Albert MARQUET (1875-1947), Herblay. Automne. Le Remorqueur, 1919, huile sur carton entoilé, 33 x 41 cm. Le Havre, musée d’art moderne André Malraux, donation famille Siegfried, 2020. © MuMa Le Havre / Charles Maslard
Albert MARQUET (1875-1947), Herblay. Automne. Le Remorqueur, 1919, huile sur carton entoilé, 33 x 41 cm. Le Havre, musée d’art moderne André Malraux, donation famille Siegfried, 2020. © MuMa Le Havre / Charles Maslard

Événement sous réserve de l’évolution de la situation sanitaire

Voyage dans les collections


A l’occasion de l’accrochage renouvelé des collections permanentes du MuMa, une médiatrice vous emmène à la découverte d’œuvres emblématiques de ces collections mais aussi d’autres peintures, gravures ou photographies du musée rarement présentées au public.
Albert MARQUET (1875-1947), Herblay. Automne. Le Remorqueur, 1919, huile sur carton entoilé, 33 x 41 cm. Le Havre, musée d’art moderne André Malraux, donation famille Siegfried, 2020. © MuMa Le Havre / Charles Maslard
Albert MARQUET (1875-1947), Herblay. Automne. Le Remorqueur, 1919, huile sur carton entoilé, 33 x 41 cm. Le Havre, musée d’art moderne André Malraux, donation famille Siegfried, 2020. © MuMa Le Havre / Charles Maslard

Événement sous réserve de l’évolution de la situation sanitaire

Voyage dans les collections


A l’occasion de l’accrochage renouvelé des collections permanentes du MuMa, une médiatrice vous emmène à la découverte d’œuvres emblématiques de ces collections mais aussi d’autres peintures, gravures ou photographies du musée rarement présentées au public.
. © Arianne Olthaar
. © Arianne Olthaar
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En écho à l’exposition Nuits électriques qui s'est tenu cet été au MuMa.

Des Nuits électriques de Berlin, Londres et Prague, filmées en 1928 par Eugène Deslaw à l’aube glauque des sinistres banlieues saisies par Thomas Köner, Nocturama se déroule comme autant de visions de la nuit urbaine.
Usines de la zone industrielle de Montréal, train suspendu – celui d’Alice dans les Villes, enseignes lumineuses de Tokyo ou de San Francisco, rues désertes de l’East End londonien participent à ce spectacle nocturne où les lumières électriques recomposent l’espace urbain : la ville se métamorphose, se faisant tour à tour stimulante, inquiétante, inspirante.

Programme :
Emilie Serri, À l’est des vents, 2009, 6’06
Richard Tuohy, Ginza strip, 2014, 9’00
Paul Clipson, Chorus, 2009, 7’00
Eugène Deslaw, Nuits électriques, 1928, 13’00
Arianne Olthaar, Schwebebahn, 2016, 3’38
Théodora Barat, Or anything at all except the dark pavement, 2011, 5’00
Emily Richardson, Nocturne, 2002, 5’00
Thomas Köner, Suburbs of the void, 2004, 13’00
 
Une fois par mois, d’octobre à mai, le MuMa invite le public à explorer le vaste territoire de l’image en mouvement* avec MuMaBoX.
Ce rendez-vous régulier propose de porter un regard sur des oeuvres dont la richesse et la diversité ouvrent des horizons nouveaux : dans une logique de décloisonnement des genres et des supports, pionniers et jeunes artistes de toutes provenances se côtoient dans cet espace de diffusion ouvert à tous.
Au fil des années, la programmation s’est nourrie d’événements réguliers : la saison ouvre avec la rencontre d’un artiste et se clôt avec celle d’un chercheur. Entre les deux, se succèdent projections consacrées au film documentaire, séances thématiques ou monographiques qui peuvent faire écho aux expositions du musée.

Pour cette 11e saison, le partenariat avec l’ESADHaR se poursuit. Il permet d’intégrer le cycle de projections dans le cursus des étudiants qui peuvent ainsi valoriser leur expérience de MuMaBoX, dispositif exceptionnel pour un musée de province.
* cinéma de recherche, expérimental, art vidéo, animation, documentaire…

Programmation : Christophe Guérin
Pour recevoir la lettre d’information électronique : mumabox@laposte.net
. © Christophe Guérin
. © Christophe Guérin
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10 ans. 10 ans déjà que MuMaBoX nous régale d’images en tout genre. Pour le plaisir, oui. Mais pas uniquement. 
À bien y regarder de près, le programme s’est imposé, saison après saison, comme le cœur d’une réflexion aux multiples facettes. Il s’est agi de faire découvrir, posant des jalons historiques et conceptuels, la diversité de « l’image en mouvement ». Il s’est agi de donner corps, proposant des projections de tous ordres, à la matérialité et à la technicité de ce champ. Il s’est agi enfin de donner la parole – donner la parole à des artistes de tous horizons à travers leurs films, donner la parole à des réalisateurs à propos de leur travail, donner la parole, aussi, aux spectateurs de MuMaBoX, pour soulever des interrogations, exprimer un étonnement, proposer un point de vue… 
Pour le MuMa, ces cycles de projection sont devenus l’un des pivots essentiels de son ouverture aux publics et aux créateurs.
Alors, pas peu fier de ce programme – car il faut dire aussi son caractère unique : qui peut s’enorgueillir en France aujourd’hui de proposer des projections de films rares dans leur format d’origine et gratuitement, excepté dans certaines salles parisiennes ? – et pour marquer le début de cette 11e saison, nous vous proposons une sélection très (très) subjective de films ayant jalonnés ces dix années. Un point, non pas final, mais virgule, posé là pour tout à la fois clore un chapitre de l’histoire de MuMaBoX et en entamer un autre, que nous espérons aussi réjouissant, ouvert, exigeant, curieux et généreux… que le premier.
 
Une fois par mois, d’octobre à mai, le MuMa invite le public à explorer le vaste territoire de l’image en mouvement* avec MuMaBoX.
Ce rendez-vous régulier propose de porter un regard sur des oeuvres dont la richesse et la diversité ouvrent des horizons nouveaux : dans une logique de décloisonnement des genres et des supports, pionniers et jeunes artistes de toutes provenances se côtoient dans cet espace de diffusion ouvert à tous.
Au fil des années, la programmation s’est nourrie d’événements réguliers : la saison ouvre avec la rencontre d’un artiste et se clôt avec celle d’un chercheur. Entre les deux, se succèdent projections consacrées au film documentaire, séances thématiques ou monographiques qui peuvent faire écho aux expositions du musée.

Pour cette 11e saison, le partenariat avec l’ESADHaR se poursuit. Il permet d’intégrer le cycle de projections dans le cursus des étudiants qui peuvent ainsi valoriser leur expérience de MuMaBoX, dispositif exceptionnel pour un musée de province.
* cinéma de recherche, expérimental, art vidéo, animation, documentaire…

Programmation : Christophe Guérin
Pour recevoir la lettre d’information électronique : mumabox@laposte.net
Théophile-Alexandre Steinlen, Le 14 juillet 1895, 1895, huile sur toile, 38 x 46 cm. Genève. © Studio Monique Bernaz, Genève
Théophile-Alexandre Steinlen, Le 14 juillet 1895, 1895, huile sur toile, 38 x 46 cm. Genève. © Studio Monique Bernaz, Genève
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La formule évolue ! Retrouvez désormais chaque dimanche les médiatrices du MuMa en salle d’exposition. A votre disposition, elles répondront à vos questions et prendront le temps d’échanger avec vous autour des œuvres de l’exposition « Nuits électriques », au gré de vos envies et de vos besoins !
Théophile-Alexandre Steinlen, Le 14 juillet 1895, 1895, huile sur toile, 38 x 46 cm. Genève. © Studio Monique Bernaz, Genève
Théophile-Alexandre Steinlen, Le 14 juillet 1895, 1895, huile sur toile, 38 x 46 cm. Genève. © Studio Monique Bernaz, Genève
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La formule évolue ! Retrouvez désormais chaque dimanche les médiatrices du MuMa en salle d’exposition. A votre disposition, elles répondront à vos questions et prendront le temps d’échanger avec vous autour des œuvres de l’exposition « Nuits électriques », au gré de vos envies et de vos besoins !
Pierre-Auguste RENOIR (1841-1919), Portrait de Nini Lopez, 1876, huile sur toile, 54 x 39 cm. © MuMa Le Havre / David Fogel
Pierre-Auguste RENOIR (1841-1919), Portrait de Nini Lopez, 1876, huile sur toile, 54 x 39 cm. © MuMa Le Havre / David Fogel

A l’occasion de la Journée internationale pour le droit des femmes, nous vous proposons de rendre hommage à Hélène Senn-Foulds qui, par son importante donation d’œuvres, a permis au MuMa de réunir la plus importante collection impressionniste en région. Monet, Renoir, mais aussi Vallotton ou encore Nicolas de Staël comptent parmi les artistes que nous pouvons admirer aujourd’hui au musée grâce à la générosité de cette femme. Le temps de cette visite, nous ne cesserons de répéter : « Merci Hélène ! »
Pierre-Auguste RENOIR (1841-1919), Portrait de Nini Lopez, 1876, huile sur toile, 54 x 39 cm. © MuMa Le Havre / David Fogel
Pierre-Auguste RENOIR (1841-1919), Portrait de Nini Lopez, 1876, huile sur toile, 54 x 39 cm. © MuMa Le Havre / David Fogel

A l’occasion de la Journée internationale pour le droit des femmes, nous vous proposons de rendre hommage à Hélène Senn-Foulds qui, par son importante donation d’œuvres, a permis au MuMa de réunir la plus importante collection impressionniste en région. Monet, Renoir, mais aussi Vallotton ou encore Nicolas de Staël comptent parmi les artistes que nous pouvons admirer aujourd’hui au musée grâce à la générosité de cette femme. Le temps de cette visite, nous ne cesserons de répéter : « Merci Hélène ! »
. © Droits réservés
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Une guitare entre les mains, deux autres posées à ses pieds, quelques ressorts, résonateurs, couteaux, archets ou jouets divers pour que vibrent les cordes et sympathisent les résonnances, Greg Malcolm use d'un matériel changeant et d'une grande variété de timbres pour aboutir à  une forme hypnotique fondée sur la réitération de mélodies impalpables auréolées de drones acoustiques. Ce musicien, qui nous vient de Nouvelle-Zélande, aime à  penser que chaque son obéit à  un mouvement précis et dépend également de l'outil choisi dans l'instant. Quelque part entre blues, musique répétitive et approche cagienne de l'instrument préparé, son univers évoque à la fois l'infinitude du désert et les cahots de la piste.
 
Avec :
Greg Malcolm, guitares
 
A savoir : au moment du concert, le montage de la nouvelle exposition du MuMa battra son plein. Le concert pourrait de ce fait être programmé en salle de conférence en fonction des conditions d’avancement du montage.

Dans le cadre du festival PiedNu
. © Droits réservés
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Entre cuivres, pierres et peaux, bruissements de fougères et souffle incandescent, percussions et saxophones puisent l'organicité de leur chant à la source d'une nature en pleine vibration. Du vent dans les arbres à l'eau ruisselant sur les roches, leur imaginaire se nourrit de paysages et dissipe dans l'instant la fulgurance poétique de résonnances immédiates aussi furtives qu'essentielles.
 
Avec :
Mathieu Bec et Guy-Frank Pellerin Saxa Petra : percussions, saxophone
 
A savoir : au moment du concert, le montage de la nouvelle exposition du MuMa battra son plein. Le concert pourrait de ce fait être programmé en salle de conférence en fonction des conditions d’avancement du montage.

Dans le cadre du festival PiedNu

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