1 heure environ

Découvrez l'exposition "Jacqueline Salmon. Du vent, du ciel, de la mer..." présentée au MuMa, du 19 novembre 2016 au 23 avril 2017, en compagnie d'une médiatrice du musée.
Date(s)
- dimanche 20 novembre 2016
- dimanche 04 décembre 2016
- dimanche 11 décembre 2016
- dimanche 18 décembre 2016
- dimanche 08 janvier 2017
- dimanche 15 janvier 2017
- dimanche 05 février 2017
- dimanche 12 février 2017
- dimanche 19 février 2017
- dimanche 05 mars 2017
- dimanche 12 mars 2017
- dimanche 19 mars 2017
- dimanche 02 avril 2017
- dimanche 09 avril 2017
- dimanche 16 avril 2017
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

Birds of paradise
« Autour de relevés de chants d'oiseaux d'Olivier Messiaen, les compositions d'Olivier Py créent un univers foisonnant, aux multiples couleurs, une musique faite d'improvisation organique autant que d'une profusion d'idées rythmiques et mélodiques…
Formé de complices de longue date aux parcours croisés, le trio “Birds of Paradise” invite à une musique joyeuse, intense et surprenante. Un jazz résolument contemporain à la liberté réinventée à chaque instant !
Après un premier album très bien accueilli et une série de beaux concerts, le deuxième album du groupe, « Black Fables » sortira au printemps 2017... »
« Olivier Messiaen déclarait : « Les oiseaux ont tout inventé, le chromatisme et le diatonisme, les quarts de tons, et même l’improvisation collective. »
En plus de son œuvre musicale, Olivier Messiaen a laissé un remarquable travail de relevés de chants d’oiseaux. Ce travail, omniprésent dans son langage musical, a inspiré de nombreuses pages de son œuvre et constitue un témoignage unique de son oreille sur cette nature musicale spontanée et colorée qu’il affectionnait tant.
Les compositions d’Olivier Py pour ce projet sont inspirées par certains fragments des transcriptions de Messiaen, ou dérivent plus librement de la vivacité de leur geste musical. Autour de ce matériel musical exceptionnel, les propositions varient : rythme, harmonie, timbres, formes,… comme autant de regards possibles sur cette matière foisonnante et sur les possibilités de la mettre en musique.
Le résultat est une musique multiple, un jazz résolument contemporain, à la fois libre et structuré par un vocabulaire exigeant. »
Olivier Py (Saxophones, compositions)
Franck Vaillant (Batterie) et Jean-Philippe Morel (Contrebasse)
Formé de complices de longue date aux parcours croisés, le trio “Birds of Paradise” invite à une musique joyeuse, intense et surprenante. Un jazz résolument contemporain à la liberté réinventée à chaque instant !
Après un premier album très bien accueilli et une série de beaux concerts, le deuxième album du groupe, « Black Fables » sortira au printemps 2017... »
« Olivier Messiaen déclarait : « Les oiseaux ont tout inventé, le chromatisme et le diatonisme, les quarts de tons, et même l’improvisation collective. »
En plus de son œuvre musicale, Olivier Messiaen a laissé un remarquable travail de relevés de chants d’oiseaux. Ce travail, omniprésent dans son langage musical, a inspiré de nombreuses pages de son œuvre et constitue un témoignage unique de son oreille sur cette nature musicale spontanée et colorée qu’il affectionnait tant.
Les compositions d’Olivier Py pour ce projet sont inspirées par certains fragments des transcriptions de Messiaen, ou dérivent plus librement de la vivacité de leur geste musical. Autour de ce matériel musical exceptionnel, les propositions varient : rythme, harmonie, timbres, formes,… comme autant de regards possibles sur cette matière foisonnante et sur les possibilités de la mettre en musique.
Le résultat est une musique multiple, un jazz résolument contemporain, à la fois libre et structuré par un vocabulaire exigeant. »
Olivier Py (Saxophones, compositions)
Franck Vaillant (Batterie) et Jean-Philippe Morel (Contrebasse)
Date(s)
- 15 avril 2017
Tarif(s)
Gratuit
Réservation obligatoire, aux heures d'ouverture du musée, à l'accueil et par téléphone au 02 35 19 62 72

Tales of a Sea Cow . © Etienne de France 2012
- -
Rencontre avec Bidhan Jacobs
Bidhan Jacobs est Docteur en études cinématographiques, chercheur postdoctoral au Labex Arts-H2H, Paris 8 - ENSLL et enseignant à Paris-Est Marne-la-Vallée et Paris 3 Sorbonne-Nouvelle. Il est l’auteur d’une thèse à paraître aux Presses Universitaires du Septentrion sous le titre Esthétique du signal, et codirecteur avec Nicole Brenez du Cinéma critique.
De l’argentique au numérique, voies et formes de l’objection visuelle (Presses de la Sorbonne, 2010)
Le signal est l’essence même du son et de l’image numérique : de l’information matérielle invisible à l’œil nu, codifiée et circulant à travers les technologies filmiques de l’âge du Web. Son accès, d’une importance capitale, est en mode protégé (Friedrich Kittler). D’un côté les outils numériques sont construits comme des boîtes noires au cœur desquelles le traitement du signal est soigneusement rendu opaque et inaccessible. De l’autre, les entreprises privées et les services d’intelligence des gouvernements disposent d’une puissance technologique illimitée d’interception et d’investigation des signaux pour mener leurs opérations de surveillance et de profilage à l’échelle planétaire. Récusant ce paradoxe, certains artistes tels Pierre-Yves Cruaud, HC Gilje, Paolo Gioli, Gaëlle Cintré, Jacques Perconte, Leighton Pierce, Joost Rekveld, Sadia Sadia, Jérôme Schlomoff, développent l’intelligence du signal : ils passent ainsi de son traitement régulé selon des normes audiovisuelles à son expérimentation pour en libérer les ressources plastiques inexploitées et exprimer toutes les strates de sensibilité de l’artiste.
Bidhan Jacobs est Docteur en études cinématographiques, chercheur postdoctoral au Labex Arts-H2H, Paris 8 - ENSLL et enseignant à Paris-Est Marne-la-Vallée et Paris 3 Sorbonne-Nouvelle. Il est l’auteur d’une thèse à paraître aux Presses Universitaires du Septentrion sous le titre Esthétique du signal, et codirecteur avec Nicole Brenez du Cinéma critique.
De l’argentique au numérique, voies et formes de l’objection visuelle (Presses de la Sorbonne, 2010)
Le signal est l’essence même du son et de l’image numérique : de l’information matérielle invisible à l’œil nu, codifiée et circulant à travers les technologies filmiques de l’âge du Web. Son accès, d’une importance capitale, est en mode protégé (Friedrich Kittler). D’un côté les outils numériques sont construits comme des boîtes noires au cœur desquelles le traitement du signal est soigneusement rendu opaque et inaccessible. De l’autre, les entreprises privées et les services d’intelligence des gouvernements disposent d’une puissance technologique illimitée d’interception et d’investigation des signaux pour mener leurs opérations de surveillance et de profilage à l’échelle planétaire. Récusant ce paradoxe, certains artistes tels Pierre-Yves Cruaud, HC Gilje, Paolo Gioli, Gaëlle Cintré, Jacques Perconte, Leighton Pierce, Joost Rekveld, Sadia Sadia, Jérôme Schlomoff, développent l’intelligence du signal : ils passent ainsi de son traitement régulé selon des normes audiovisuelles à son expérimentation pour en libérer les ressources plastiques inexploitées et exprimer toutes les strates de sensibilité de l’artiste.
Date(s)
- 17 mai 2017
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

David Bryant & Karl Lemieux, Quiet Zone, 2014. © David Bryant & Karl Lemieux
- -
Bien que les films qui composent ce programme donnent à voir des mondes tout à fait réels, ils pourraient être autant de chapitres d’une fiction dystopique, autant de visions d’une planète en perdition : nature fantasmée, envahissante, post-apocalyptique (Wayward fronds), nature saccagée (Le Pays dévasté), humains exilés, contraints de trouver refuge dans des zones de silence radio (Quiet Zone), paysage désolé, ruines sinistres et inquiétantes d’une ancienne station radar (Cobra Mist). Enfin, une Gotham City lugubre disparaît dans un ultime cataclysme (Black Rain White Scars) qui n’est pas sans rappeler La Tempête de William Shakespeare dont s’inspira Aldous Huxley pour le titre de son roman Brave New World (Le Meilleur des Mondes).
Il s’agit pourtant de la réalité de notre monde contemporain dans lequel l’espèce humaine semble créer les conditions de sa propre disparition.
Fern Silva, Wayward Fronds, 2014, 13’15
Emmanuel Lefrant, Le Pays dévasté, 2015, 11’30
David Bryant & Karl Lemieux, Quiet Zone, 2014, 14’
Emily Richardson, Cobra Mist, 2008, 7’
Lukas Marxt, Black Rain White Scars, 2014, 9’
Il s’agit pourtant de la réalité de notre monde contemporain dans lequel l’espèce humaine semble créer les conditions de sa propre disparition.
Fern Silva, Wayward Fronds, 2014, 13’15
Emmanuel Lefrant, Le Pays dévasté, 2015, 11’30
David Bryant & Karl Lemieux, Quiet Zone, 2014, 14’
Emily Richardson, Cobra Mist, 2008, 7’
Lukas Marxt, Black Rain White Scars, 2014, 9’
Date(s)
- 26 avril 2017
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

Jacques Perconte, Ettrick, 2015. © Jacques Perconte - dist. Light Cone
- -
« Le chemin que nous prenons mène au cœur de la forêt d’Ettrick. C’est une plongée dans une terre textile que nous entreprenons. Une terre où l’homme, la machine et la nature entretiennent une relation complexe qui dessine leur avenir. En glissant par la poésie entre la brutalité de la matière et le sublime du paysage, nous portons ce regard attentif qui incarne la stabilité de notre désir de vivre profondément en paix.
Spectateurs trop conscients d’une impuissance de nos mouvements, nous savons que la nature, elle, trouvera son chemin. »
Richard Aschrowan, Alchemy film festival Catalogue 2015
Jacques Perconte, Ettrick, 2015, 57’
Spectateurs trop conscients d’une impuissance de nos mouvements, nous savons que la nature, elle, trouvera son chemin. »
Richard Aschrowan, Alchemy film festival Catalogue 2015
Jacques Perconte, Ettrick, 2015, 57’
Date(s)
- 15 mars 2017
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

Marie Menken, Andy Warhol, 1965. © Marie Menken - dist. Light Cone
- -
Le 22 février 1987, Andy Warhol mourait à 58 ans des suites d’une banale opération de la vésicule biliaire. Trente ans après sa mort, Warhol reste une superstar des ventes et des fréquentations d’exposition et sa notoriété va bien au-delà du monde de l’art.
Ce programme lui rend hommage avec trois films réalisés par des cinéastes qui l’ont bien connu dans le New York des années 60 et plus tard. Andy Warhol de Marie Menken nous plonge dans l’univers de la Factory où l’artiste, assisté par Gérard Malanga, est au travail sur ses œuvres en cours : boîtes de Brillo, sérigraphies de fleurs et portraits de Jackie sont produits en continu. Les deux films suivants sont de Jonas Mekas : Award Presentation to Andy Warhol et Scenes from the life of Andy Warhol, tranches de vies saisies de 1965 à 1982 où l’on croise également des personnalités comme Allen Ginsberg, Yoko Ono, John Lennon, Barbara Rubin, Caroline Kennedy ...
Marie Menken, Andy Warhol, 1965, 22’
Jonas Mekas, Award Presentation to Andy Warhol, 1964, 12’
Jonas Mekas, Scenes from the life of Andy Warhol, 1963-1990, 37’
Ce programme lui rend hommage avec trois films réalisés par des cinéastes qui l’ont bien connu dans le New York des années 60 et plus tard. Andy Warhol de Marie Menken nous plonge dans l’univers de la Factory où l’artiste, assisté par Gérard Malanga, est au travail sur ses œuvres en cours : boîtes de Brillo, sérigraphies de fleurs et portraits de Jackie sont produits en continu. Les deux films suivants sont de Jonas Mekas : Award Presentation to Andy Warhol et Scenes from the life of Andy Warhol, tranches de vies saisies de 1965 à 1982 où l’on croise également des personnalités comme Allen Ginsberg, Yoko Ono, John Lennon, Barbara Rubin, Caroline Kennedy ...
Marie Menken, Andy Warhol, 1965, 22’
Jonas Mekas, Award Presentation to Andy Warhol, 1964, 12’
Jonas Mekas, Scenes from the life of Andy Warhol, 1963-1990, 37’
Date(s)
- 08 février 2017
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

Depuis 2013, le MuMa propose de façon systématique pour chacune de ses expositions temporaires, des visites commentées traduites en Langue des Signes Française. Une médiatrice du MuMa, accompagnée d’une interprète LSF, vous accompagne à cette occasion, à la découverte des œuvres présentées, dans un esprit d’échange et de dialogue.
Rendez-vous à l'accueil du musée.
Rendez-vous à l'accueil du musée.
Date(s)
- 28 janvier 2017
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

Depuis 2013, le MuMa propose de façon systématique pour chacune de ses expositions temporaires, des visites commentées traduites en Langue des Signes Française. Une médiatrice du MuMa, accompagnée d’une interprète LSF, vous accompagne à cette occasion, à la découverte des œuvres présentées, dans un esprit d’échange et de dialogue.
Rendez-vous à l'accueil du musée.
Rendez-vous à l'accueil du musée.
Date(s)
- 09 janvier 2017
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

Dans les arbres. © Andreas Ulvo
« Auteur de deux excellents disques aux enchantements magiques sans fin sur le très high standard label ECM, le quartet Dans Les Arbres délivre une musique à l’approche acoustique radicale, explorant et exposant de manière superbe des sonorités et textures sonnant souvent électroniques, voir composées. Le jeu et l’écoute des membres de Dans Les Arbres sont d’un niveau qualitatif rarement atteint.
Réunis autour de Ivar Grydeland et de Ingar Zach, tous deux agitateurs-activistes primordiaux de la scène norvégienne improvisée (créateurs entres autres de l’important label SOFA), et avec la présence de l’extraordinaire clarinettiste Xavier Charles (que l’on retrouve, entres autres, dans le The Ex Orchestra et le contest of pleasures) et le pianiste Christian Wallumrod (ECM), Dans Les Arbres combine une approche profondément et foncièrement intuitive, dans la meilleure veine du genre, avec des échos de Cage et de la New-York School. Une compréhension télépathique confondante avec pour résultat un projet considéré à juste titre comme un incontournable de la musique improvisée. »
Sixto de la cave 12, Genève
Christian Wallumrød (piano)
Ivar Grydeland (guitare)
Ingar Zach (percussions)
Xavier Charles (clarinette)
Réunis autour de Ivar Grydeland et de Ingar Zach, tous deux agitateurs-activistes primordiaux de la scène norvégienne improvisée (créateurs entres autres de l’important label SOFA), et avec la présence de l’extraordinaire clarinettiste Xavier Charles (que l’on retrouve, entres autres, dans le The Ex Orchestra et le contest of pleasures) et le pianiste Christian Wallumrod (ECM), Dans Les Arbres combine une approche profondément et foncièrement intuitive, dans la meilleure veine du genre, avec des échos de Cage et de la New-York School. Une compréhension télépathique confondante avec pour résultat un projet considéré à juste titre comme un incontournable de la musique improvisée. »
Sixto de la cave 12, Genève
Christian Wallumrød (piano)
Ivar Grydeland (guitare)
Ingar Zach (percussions)
Xavier Charles (clarinette)
Date(s)
- 18 février 2017
Tarif(s)
Gratuit
Réservation obligatoire, aux heures d'ouverture du musée, à l'accueil et par téléphone au 02 35 19 62 72

Découvrez l'exposition "Jacqueline Salmon. Du vent, du ciel, de la mer..." présentée au MuMa, du 19 novembre 2016 au 23 avril 2017, en compagnie d'une médiatrice du musée.
Date(s)
- dimanche 22 janvier 2017
- dimanche 26 février 2017
- dimanche 26 mars 2017
- dimanche 23 avril 2017
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.