DANSE
Français

Attitudes Habillées
Le MuMa est heureux d’accueillir de nouveau le festival Plein Phare, et à cette occasion la compagnie Balkis Moutashar pour sa pièce Attitudes habillées. Au cœur de l’exposition consacrée à l’abstraction, les corps des danseurs viendront dialoguer avec les formes abstraites des œuvres, mais aussi avec les lignes si particulières de l’architecture du musée… Un rapprochement dont on imagine qu’il pourra susciter une belle résonance, comme un moment hors du temps.
Une performance programmée dans le cadre du Festival Plein Phare
Présentation détaillée
Le cycle de créations Attitudes habillées propose un voyage dans l’histoire du vêtement, et de leur empreinte sur le corps.
Des corsets qui ont modifié organiquement le corps des femmes qui les portaient aux coiffes démesurées ou aux chaussures à plateaux fantastiques créant l’illusion de corps immenses, le vêtement a dessiné au fil du temps des silhouettes parfois spectaculaires, influant sur les possibilités de mouvement et de déplacement de ceux qui les portaient, sur leur façon d’être au monde, engageant d’emblée le corps dans la représentation. Attitudes habillées se propose de mettre au jour – voire de réinventer – la mémoire que les corps contemporains portent de cette histoire : des générations de corsets et de faux-culs en métal ont-elles laissé des traces dans les corps et les imaginaires contemporains ? Que découvre-t-on des corps d’aujourd’hui en revisitant ces objets ?
Ces questions ont donné lieu en 2020 à deux pièces distinctes, Attitudes habillées – les Soli et Attitudes habillées – le Quatuor.
Attitudes habillées – Les soli
Quatre soli comme autant d’études d’objets du passé par des corps d’aujourd’hui… pour des lieux chargés d’histoire
A partir de reconstitutions d’éléments de vêtements de différentes époques, et par un travail à la fois documentaire et imaginaire, quatre danseurs déploient quatre danses conçues comme des « études de cas » : comment bouger dans un corset 1900 ? Peut-on vraiment marcher avec des chopines vénitiennes du XVI° siècle ? Ne risque-t-on pas de s’étouffer dans le volume de manches gigots en velours… ? Que racontent les formes que dessinent ces objets, et quel imaginaire éveillent-elles en nous, spectateurs d’aujourd’hui ?
Conçus pour des espaces non dédiés à la danse mais plutôt à la conservation du patrimoine (musées, monuments historiques…), ces soli sont à la fois autonomes et pensés pour être présentés ensemble, dans les différents espaces du lieu qui les accueille. Ils résonnent alors avec les œuvres, les objets et l’architecture du lieu, dessinant à travers eux un parcours dans l’espace et dans le temps.
chorégraphie : Balkis Moutashar
interprétation : Clémence Galliard (ou Emma Gustafsson ou Lisa Robert), Balkis Moutashar, Vincent Delétang et Violette Wanty (ou Marie Barthélémy)
assistante à la chorégraphie : Emilie Cornillot
dramaturgie : Youness Anzane
costumes historiques : Natacha Béacet, Jasmine Comte, Christian Burle
vêtements contemporains (le quatuor) : Jennifer Chambaret, Shatamou
musique (les soli) : Niccolo Paganini / arrangements : Géraldine Foucault
création sonore (le quatuor) : Géraldine Foucault et Pierre-Damien Crosson
scénographie (le quatuor) : Claudine Bertomeu
création lumières (le quatuor) : Samuel Dosière
Production, coproductions et soutiens
Production : Association Kakemono
Coproductions : Les Soli : Ballet National de Marseille (accueil studio 2019), Compagnie Système Castafiore / Le quatuor : Ballet de Lorraine – CCN de Nancy (accueil studio 2020), CCN de Tours (accueil studio 2020), Compagnie Système Castafiore
Soutiens et résidences : Les Hivernales – CDCN d’Avignon, le Carreau du Temple et Micadanses, Charleroi Danse, KLAP Maison pour la danse à Marseille
Pour ce projet, la compagnie a reçu l’aide de la DRAC Provence-Alpes-Côte-d’Azur, de la Région Sud du Département des Bouches-du-Rhône et de la Ville de Marseille.
Ce projet a reçu l’aide de l’Adami.
Le MuMa est heureux d’accueillir de nouveau le festival Plein Phare, et à cette occasion la compagnie Balkis Moutashar pour sa pièce Attitudes habillées. Au cœur de l’exposition consacrée à l’abstraction, les corps des danseurs viendront dialoguer avec les formes abstraites des œuvres, mais aussi avec les lignes si particulières de l’architecture du musée… Un rapprochement dont on imagine qu’il pourra susciter une belle résonance, comme un moment hors du temps.
Une performance programmée dans le cadre du Festival Plein Phare

Présentation détaillée
Le cycle de créations Attitudes habillées propose un voyage dans l’histoire du vêtement, et de leur empreinte sur le corps.
Des corsets qui ont modifié organiquement le corps des femmes qui les portaient aux coiffes démesurées ou aux chaussures à plateaux fantastiques créant l’illusion de corps immenses, le vêtement a dessiné au fil du temps des silhouettes parfois spectaculaires, influant sur les possibilités de mouvement et de déplacement de ceux qui les portaient, sur leur façon d’être au monde, engageant d’emblée le corps dans la représentation. Attitudes habillées se propose de mettre au jour – voire de réinventer – la mémoire que les corps contemporains portent de cette histoire : des générations de corsets et de faux-culs en métal ont-elles laissé des traces dans les corps et les imaginaires contemporains ? Que découvre-t-on des corps d’aujourd’hui en revisitant ces objets ?
Ces questions ont donné lieu en 2020 à deux pièces distinctes, Attitudes habillées – les Soli et Attitudes habillées – le Quatuor.
Attitudes habillées – Les soli
Quatre soli comme autant d’études d’objets du passé par des corps d’aujourd’hui… pour des lieux chargés d’histoire
A partir de reconstitutions d’éléments de vêtements de différentes époques, et par un travail à la fois documentaire et imaginaire, quatre danseurs déploient quatre danses conçues comme des « études de cas » : comment bouger dans un corset 1900 ? Peut-on vraiment marcher avec des chopines vénitiennes du XVI° siècle ? Ne risque-t-on pas de s’étouffer dans le volume de manches gigots en velours… ? Que racontent les formes que dessinent ces objets, et quel imaginaire éveillent-elles en nous, spectateurs d’aujourd’hui ?
Conçus pour des espaces non dédiés à la danse mais plutôt à la conservation du patrimoine (musées, monuments historiques…), ces soli sont à la fois autonomes et pensés pour être présentés ensemble, dans les différents espaces du lieu qui les accueille. Ils résonnent alors avec les œuvres, les objets et l’architecture du lieu, dessinant à travers eux un parcours dans l’espace et dans le temps.
chorégraphie : Balkis Moutashar
interprétation : Clémence Galliard (ou Emma Gustafsson ou Lisa Robert), Balkis Moutashar, Vincent Delétang et Violette Wanty (ou Marie Barthélémy)
assistante à la chorégraphie : Emilie Cornillot
dramaturgie : Youness Anzane
costumes historiques : Natacha Béacet, Jasmine Comte, Christian Burle
vêtements contemporains (le quatuor) : Jennifer Chambaret, Shatamou
musique (les soli) : Niccolo Paganini / arrangements : Géraldine Foucault
création sonore (le quatuor) : Géraldine Foucault et Pierre-Damien Crosson
scénographie (le quatuor) : Claudine Bertomeu
création lumières (le quatuor) : Samuel Dosière
Production, coproductions et soutiens
Production : Association Kakemono
Coproductions : Les Soli : Ballet National de Marseille (accueil studio 2019), Compagnie Système Castafiore / Le quatuor : Ballet de Lorraine – CCN de Nancy (accueil studio 2020), CCN de Tours (accueil studio 2020), Compagnie Système Castafiore
Soutiens et résidences : Les Hivernales – CDCN d’Avignon, le Carreau du Temple et Micadanses, Charleroi Danse, KLAP Maison pour la danse à Marseille
Pour ce projet, la compagnie a reçu l’aide de la DRAC Provence-Alpes-Côte-d’Azur, de la Région Sud du Département des Bouches-du-Rhône et de la Ville de Marseille.
Ce projet a reçu l’aide de l’Adami.
Date(s)
- 26 novembre 2023
Tarif(s)
Gratuit
Sur réservation ici
à noter : Réservable 31 jours à l'avance
à noter : Réservable 31 jours à l'avance

Attendez-moi © Etienne Cuppens
Attendez-moi !
Solo pour Zouzou
Pendant le second confinement, le MuMa décidait de laisser ses espaces à disposition d’artistes pour continuer de faire vivre le musée.
C’est dans ce contexte que nous avons accueilli la BaZooKa pour un moment de travail complètement libre. Dans l’instant, nous ne savions pas que cette résidence aboutirait à un spectacle. Mais c’est bien ce qui arrive aujourd’hui. De cette période compliquée pour un lieu public, parce que vidé de ses visiteurs, est née une performance, que nous sommes heureux de vous présenter, là d’où elle a émergé !
Extraits de différents dossiers de présentation du spectacle :
1-
« Zouzou, elle au moins, elle serait juste ! Parce qu’elle serait détachée de tout jugement, elle ferait ce qu’elle sent, elle en aurait rien à foutre du public, de... qui regarde, ce que les autres pensent. Elle ne chercherait pas à impressionner, elle s’en foutrait qu’on la respecte, elle ferait sa vie. Oui, Zouzou, ce serait vraiment l’interprète parfaite, l’être le plus abandonné et le plus incarné en même temps. »
Est-ce que revivre ses souvenirs d’enfance peut créer une danse ?
Raviver des sensations solaires comme autant de pages d’un journal intime. Laisser remonter à la surface une danse enfouie dans les profondeurs d’une nappe phréatique qui ne demandait qu’à être réveillée.
Une danse légère qu’on pourrait avoir dans les jambes, comme ça, sans force, jusqu’à la fin de sa vie…
2-
Attendez-moi
Tout a commencé au MuMa alors que le musée est fermé au public pendant le deuxième confinement.
L’expo temporaire est accrochée, aucun visiteur pour en profiter et lui répondre.
Seule la lumière qui trace sa course, transforme les volumes du musée, augmente ou réduit les ombres dans un déplacement invisible et implacable.
Pas vraiment de silence tant la soufflerie du musée est bruyante, mais un calme vraiment particulier.
L’espace vierge.
Un appel à la transgression.
Glisser dans cet espace sur des rollers est la première idée qui vient. Fendre l’air, nue. S’emparer d’une liberté bridée par les contraintes de la pandémie. Reprendre son souffle comme après une apnée prolongée.
Le nom de l’exposition « Voyage d’Hiver » a immédiatement ravivé le souvenir de ma confrontation à la neige, la montagne, le ski… une horreur. J’avais 5 ans.
Je suis partie de cet épisode puis j’ai remonté le fil vers des souvenirs plus anciens. J’y ai trouvé l’insouciance, la nature, les promenades avec les animaux, des champs immenses pour une petite fille qui passait ses journées à faire des expériences physiques simples et captivantes, les sens ouverts. La liberté.
Il s’est dégagé de ce cheminement un langage tout nouveau pour moi, un corps libre, alerte, détendu, solaire, plein.
Paradoxalement, ce langage qui m’apparaît comme nouveau semble en réalité être mon premier langage, le plus profondément ancré, ma nappe phréatique.
Une danse première que j’espère danser encore longtemps.
Conception et réalisation : La BaZooKa, Sarah Crépin & Etienne Cuppens
Interprétation : Sarah Crépin
Musiques : Paisaje Cubano Con Rumba (Leo Brouwer), Elf dance (Moondog), Für Fritz (Moondog), Tout l’Amour (A. Salvet/B. Botkin/G. Garfield/G. Bertret/P. Murtagh).
Production et diffusion : Emilie Podevin
Administration : Diane Ribouillard
Communication : Louise Lorieux
Production : La BaZooKa
Résidences : MuMa, Musée d’art Moderne du Havre
Remerciements : Le Phare, Centre Chorégraphique National du Havre-Normandie (dir. Emmanuelle Vo-Dinh) / Kiddam Riidim Collectif 1.6
La BaZooKa est conventionnée pour l’ensemble de son projet artistique par la Ville du Havre, la Région Normandie & le Ministère de la Culture (DRAC Normandie).
Solo pour Zouzou
Pendant le second confinement, le MuMa décidait de laisser ses espaces à disposition d’artistes pour continuer de faire vivre le musée.
C’est dans ce contexte que nous avons accueilli la BaZooKa pour un moment de travail complètement libre. Dans l’instant, nous ne savions pas que cette résidence aboutirait à un spectacle. Mais c’est bien ce qui arrive aujourd’hui. De cette période compliquée pour un lieu public, parce que vidé de ses visiteurs, est née une performance, que nous sommes heureux de vous présenter, là d’où elle a émergé !
Extraits de différents dossiers de présentation du spectacle :

Attendez-moi © Alban Van Wassenhove
« Zouzou, elle au moins, elle serait juste ! Parce qu’elle serait détachée de tout jugement, elle ferait ce qu’elle sent, elle en aurait rien à foutre du public, de... qui regarde, ce que les autres pensent. Elle ne chercherait pas à impressionner, elle s’en foutrait qu’on la respecte, elle ferait sa vie. Oui, Zouzou, ce serait vraiment l’interprète parfaite, l’être le plus abandonné et le plus incarné en même temps. »
Est-ce que revivre ses souvenirs d’enfance peut créer une danse ?
Raviver des sensations solaires comme autant de pages d’un journal intime. Laisser remonter à la surface une danse enfouie dans les profondeurs d’une nappe phréatique qui ne demandait qu’à être réveillée.
Une danse légère qu’on pourrait avoir dans les jambes, comme ça, sans force, jusqu’à la fin de sa vie…

Attendez-moi © Etienne Cuppens
Attendez-moi
Tout a commencé au MuMa alors que le musée est fermé au public pendant le deuxième confinement.
L’expo temporaire est accrochée, aucun visiteur pour en profiter et lui répondre.
Seule la lumière qui trace sa course, transforme les volumes du musée, augmente ou réduit les ombres dans un déplacement invisible et implacable.
Pas vraiment de silence tant la soufflerie du musée est bruyante, mais un calme vraiment particulier.
L’espace vierge.
Un appel à la transgression.
Glisser dans cet espace sur des rollers est la première idée qui vient. Fendre l’air, nue. S’emparer d’une liberté bridée par les contraintes de la pandémie. Reprendre son souffle comme après une apnée prolongée.
Le nom de l’exposition « Voyage d’Hiver » a immédiatement ravivé le souvenir de ma confrontation à la neige, la montagne, le ski… une horreur. J’avais 5 ans.
Je suis partie de cet épisode puis j’ai remonté le fil vers des souvenirs plus anciens. J’y ai trouvé l’insouciance, la nature, les promenades avec les animaux, des champs immenses pour une petite fille qui passait ses journées à faire des expériences physiques simples et captivantes, les sens ouverts. La liberté.
Il s’est dégagé de ce cheminement un langage tout nouveau pour moi, un corps libre, alerte, détendu, solaire, plein.
Paradoxalement, ce langage qui m’apparaît comme nouveau semble en réalité être mon premier langage, le plus profondément ancré, ma nappe phréatique.
Une danse première que j’espère danser encore longtemps.
Conception et réalisation : La BaZooKa, Sarah Crépin & Etienne Cuppens
Interprétation : Sarah Crépin
Musiques : Paisaje Cubano Con Rumba (Leo Brouwer), Elf dance (Moondog), Für Fritz (Moondog), Tout l’Amour (A. Salvet/B. Botkin/G. Garfield/G. Bertret/P. Murtagh).
Production et diffusion : Emilie Podevin
Administration : Diane Ribouillard
Communication : Louise Lorieux
Production : La BaZooKa
Résidences : MuMa, Musée d’art Moderne du Havre
Remerciements : Le Phare, Centre Chorégraphique National du Havre-Normandie (dir. Emmanuelle Vo-Dinh) / Kiddam Riidim Collectif 1.6
La BaZooKa est conventionnée pour l’ensemble de son projet artistique par la Ville du Havre, la Région Normandie & le Ministère de la Culture (DRAC Normandie).
Date(s)
- 29 janvier 2023
Tarif(s)
Gratuit
Sur réservation ici :
Vendredi 27 janvier 2023 à 18h / Complet
Samedi 28 janvier 2023 à 14h30 / Complet
Dimanche 29 janvier 2023 à 10h
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur
Vendredi 27 janvier 2023 à 18h / Complet
Samedi 28 janvier 2023 à 14h30 / Complet
Dimanche 29 janvier 2023 à 10h
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur

Attendez-moi © Etienne Cuppens
Attendez-moi !
Solo pour Zouzou
Pendant le second confinement, le MuMa décidait de laisser ses espaces à disposition d’artistes pour continuer de faire vivre le musée.
C’est dans ce contexte que nous avons accueilli la BaZooKa pour un moment de travail complètement libre. Dans l’instant, nous ne savions pas que cette résidence aboutirait à un spectacle. Mais c’est bien ce qui arrive aujourd’hui. De cette période compliquée pour un lieu public, parce que vidé de ses visiteurs, est née une performance, que nous sommes heureux de vous présenter, là d’où elle a émergé !
Extraits de différents dossiers de présentation du spectacle :
1-
« Zouzou, elle au moins, elle serait juste ! Parce qu’elle serait détachée de tout jugement, elle ferait ce qu’elle sent, elle en aurait rien à foutre du public, de... qui regarde, ce que les autres pensent. Elle ne chercherait pas à impressionner, elle s’en foutrait qu’on la respecte, elle ferait sa vie. Oui, Zouzou, ce serait vraiment l’interprète parfaite, l’être le plus abandonné et le plus incarné en même temps. »
Est-ce que revivre ses souvenirs d’enfance peut créer une danse ?
Raviver des sensations solaires comme autant de pages d’un journal intime. Laisser remonter à la surface une danse enfouie dans les profondeurs d’une nappe phréatique qui ne demandait qu’à être réveillée.
Une danse légère qu’on pourrait avoir dans les jambes, comme ça, sans force, jusqu’à la fin de sa vie…
2-
Attendez-moi
Tout a commencé au MuMa alors que le musée est fermé au public pendant le deuxième confinement.
L’expo temporaire est accrochée, aucun visiteur pour en profiter et lui répondre.
Seule la lumière qui trace sa course, transforme les volumes du musée, augmente ou réduit les ombres dans un déplacement invisible et implacable.
Pas vraiment de silence tant la soufflerie du musée est bruyante, mais un calme vraiment particulier.
L’espace vierge.
Un appel à la transgression.
Glisser dans cet espace sur des rollers est la première idée qui vient. Fendre l’air, nue. S’emparer d’une liberté bridée par les contraintes de la pandémie. Reprendre son souffle comme après une apnée prolongée.
Le nom de l’exposition « Voyage d’Hiver » a immédiatement ravivé le souvenir de ma confrontation à la neige, la montagne, le ski… une horreur. J’avais 5 ans.
Je suis partie de cet épisode puis j’ai remonté le fil vers des souvenirs plus anciens. J’y ai trouvé l’insouciance, la nature, les promenades avec les animaux, des champs immenses pour une petite fille qui passait ses journées à faire des expériences physiques simples et captivantes, les sens ouverts. La liberté.
Il s’est dégagé de ce cheminement un langage tout nouveau pour moi, un corps libre, alerte, détendu, solaire, plein.
Paradoxalement, ce langage qui m’apparaît comme nouveau semble en réalité être mon premier langage, le plus profondément ancré, ma nappe phréatique.
Une danse première que j’espère danser encore longtemps.
Conception et réalisation : La BaZooKa, Sarah Crépin & Etienne Cuppens
Interprétation : Sarah Crépin
Musiques : Paisaje Cubano Con Rumba (Leo Brouwer), Elf dance (Moondog), Für Fritz (Moondog), Tout l’Amour (A. Salvet/B. Botkin/G. Garfield/G. Bertret/P. Murtagh).
Production et diffusion : Emilie Podevin
Administration : Diane Ribouillard
Communication : Louise Lorieux
Production : La BaZooKa
Résidences : MuMa, Musée d’art Moderne du Havre
Remerciements : Le Phare, Centre Chorégraphique National du Havre-Normandie (dir. Emmanuelle Vo-Dinh) / Kiddam Riidim Collectif 1.6
La BaZooKa est conventionnée pour l’ensemble de son projet artistique par la Ville du Havre, la Région Normandie & le Ministère de la Culture (DRAC Normandie).
Solo pour Zouzou
Pendant le second confinement, le MuMa décidait de laisser ses espaces à disposition d’artistes pour continuer de faire vivre le musée.
C’est dans ce contexte que nous avons accueilli la BaZooKa pour un moment de travail complètement libre. Dans l’instant, nous ne savions pas que cette résidence aboutirait à un spectacle. Mais c’est bien ce qui arrive aujourd’hui. De cette période compliquée pour un lieu public, parce que vidé de ses visiteurs, est née une performance, que nous sommes heureux de vous présenter, là d’où elle a émergé !
Extraits de différents dossiers de présentation du spectacle :

Attendez-moi © Alban Van Wassenhove
« Zouzou, elle au moins, elle serait juste ! Parce qu’elle serait détachée de tout jugement, elle ferait ce qu’elle sent, elle en aurait rien à foutre du public, de... qui regarde, ce que les autres pensent. Elle ne chercherait pas à impressionner, elle s’en foutrait qu’on la respecte, elle ferait sa vie. Oui, Zouzou, ce serait vraiment l’interprète parfaite, l’être le plus abandonné et le plus incarné en même temps. »
Est-ce que revivre ses souvenirs d’enfance peut créer une danse ?
Raviver des sensations solaires comme autant de pages d’un journal intime. Laisser remonter à la surface une danse enfouie dans les profondeurs d’une nappe phréatique qui ne demandait qu’à être réveillée.
Une danse légère qu’on pourrait avoir dans les jambes, comme ça, sans force, jusqu’à la fin de sa vie…

Attendez-moi © Etienne Cuppens
Attendez-moi
Tout a commencé au MuMa alors que le musée est fermé au public pendant le deuxième confinement.
L’expo temporaire est accrochée, aucun visiteur pour en profiter et lui répondre.
Seule la lumière qui trace sa course, transforme les volumes du musée, augmente ou réduit les ombres dans un déplacement invisible et implacable.
Pas vraiment de silence tant la soufflerie du musée est bruyante, mais un calme vraiment particulier.
L’espace vierge.
Un appel à la transgression.
Glisser dans cet espace sur des rollers est la première idée qui vient. Fendre l’air, nue. S’emparer d’une liberté bridée par les contraintes de la pandémie. Reprendre son souffle comme après une apnée prolongée.
Le nom de l’exposition « Voyage d’Hiver » a immédiatement ravivé le souvenir de ma confrontation à la neige, la montagne, le ski… une horreur. J’avais 5 ans.
Je suis partie de cet épisode puis j’ai remonté le fil vers des souvenirs plus anciens. J’y ai trouvé l’insouciance, la nature, les promenades avec les animaux, des champs immenses pour une petite fille qui passait ses journées à faire des expériences physiques simples et captivantes, les sens ouverts. La liberté.
Il s’est dégagé de ce cheminement un langage tout nouveau pour moi, un corps libre, alerte, détendu, solaire, plein.
Paradoxalement, ce langage qui m’apparaît comme nouveau semble en réalité être mon premier langage, le plus profondément ancré, ma nappe phréatique.
Une danse première que j’espère danser encore longtemps.
Conception et réalisation : La BaZooKa, Sarah Crépin & Etienne Cuppens
Interprétation : Sarah Crépin
Musiques : Paisaje Cubano Con Rumba (Leo Brouwer), Elf dance (Moondog), Für Fritz (Moondog), Tout l’Amour (A. Salvet/B. Botkin/G. Garfield/G. Bertret/P. Murtagh).
Production et diffusion : Emilie Podevin
Administration : Diane Ribouillard
Communication : Louise Lorieux
Production : La BaZooKa
Résidences : MuMa, Musée d’art Moderne du Havre
Remerciements : Le Phare, Centre Chorégraphique National du Havre-Normandie (dir. Emmanuelle Vo-Dinh) / Kiddam Riidim Collectif 1.6
La BaZooKa est conventionnée pour l’ensemble de son projet artistique par la Ville du Havre, la Région Normandie & le Ministère de la Culture (DRAC Normandie).
Date(s)
- 28 janvier 2023
Tarif(s)
Gratuit
Sur réservation ici :
Vendredi 27 janvier 2023 à 18h / Complet
Samedi 28 janvier 2023 à 14h30 / Complet
Dimanche 29 janvier 2023 à 10h
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur
Vendredi 27 janvier 2023 à 18h / Complet
Samedi 28 janvier 2023 à 14h30 / Complet
Dimanche 29 janvier 2023 à 10h
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur

Attendez-moi © Etienne Cuppens
Attendez-moi !
Solo pour Zouzou
Pendant le second confinement, le MuMa décidait de laisser ses espaces à disposition d’artistes pour continuer de faire vivre le musée.
C’est dans ce contexte que nous avons accueilli la BaZooKa pour un moment de travail complètement libre. Dans l’instant, nous ne savions pas que cette résidence aboutirait à un spectacle. Mais c’est bien ce qui arrive aujourd’hui. De cette période compliquée pour un lieu public, parce que vidé de ses visiteurs, est née une performance, que nous sommes heureux de vous présenter, là d’où elle a émergé !
Extraits de différents dossiers de présentation du spectacle :
1-
« Zouzou, elle au moins, elle serait juste ! Parce qu’elle serait détachée de tout jugement, elle ferait ce qu’elle sent, elle en aurait rien à foutre du public, de... qui regarde, ce que les autres pensent. Elle ne chercherait pas à impressionner, elle s’en foutrait qu’on la respecte, elle ferait sa vie. Oui, Zouzou, ce serait vraiment l’interprète parfaite, l’être le plus abandonné et le plus incarné en même temps. »
Est-ce que revivre ses souvenirs d’enfance peut créer une danse ?
Raviver des sensations solaires comme autant de pages d’un journal intime. Laisser remonter à la surface une danse enfouie dans les profondeurs d’une nappe phréatique qui ne demandait qu’à être réveillée.
Une danse légère qu’on pourrait avoir dans les jambes, comme ça, sans force, jusqu’à la fin de sa vie…
2-
Attendez-moi
Tout a commencé au MuMa alors que le musée est fermé au public pendant le deuxième confinement.
L’expo temporaire est accrochée, aucun visiteur pour en profiter et lui répondre.
Seule la lumière qui trace sa course, transforme les volumes du musée, augmente ou réduit les ombres dans un déplacement invisible et implacable.
Pas vraiment de silence tant la soufflerie du musée est bruyante, mais un calme vraiment particulier.
L’espace vierge.
Un appel à la transgression.
Glisser dans cet espace sur des rollers est la première idée qui vient. Fendre l’air, nue. S’emparer d’une liberté bridée par les contraintes de la pandémie. Reprendre son souffle comme après une apnée prolongée.
Le nom de l’exposition « Voyage d’Hiver » a immédiatement ravivé le souvenir de ma confrontation à la neige, la montagne, le ski… une horreur. J’avais 5 ans.
Je suis partie de cet épisode puis j’ai remonté le fil vers des souvenirs plus anciens. J’y ai trouvé l’insouciance, la nature, les promenades avec les animaux, des champs immenses pour une petite fille qui passait ses journées à faire des expériences physiques simples et captivantes, les sens ouverts. La liberté.
Il s’est dégagé de ce cheminement un langage tout nouveau pour moi, un corps libre, alerte, détendu, solaire, plein.
Paradoxalement, ce langage qui m’apparaît comme nouveau semble en réalité être mon premier langage, le plus profondément ancré, ma nappe phréatique.
Une danse première que j’espère danser encore longtemps.
Conception et réalisation : La BaZooKa, Sarah Crépin & Etienne Cuppens
Interprétation : Sarah Crépin
Musiques : Paisaje Cubano Con Rumba (Leo Brouwer), Elf dance (Moondog), Für Fritz (Moondog), Tout l’Amour (A. Salvet/B. Botkin/G. Garfield/G. Bertret/P. Murtagh).
Production et diffusion : Emilie Podevin
Administration : Diane Ribouillard
Communication : Louise Lorieux
Production : La BaZooKa
Résidences : MuMa, Musée d’art Moderne du Havre
Remerciements : Le Phare, Centre Chorégraphique National du Havre-Normandie (dir. Emmanuelle Vo-Dinh) / Kiddam Riidim Collectif 1.6
La BaZooKa est conventionnée pour l’ensemble de son projet artistique par la Ville du Havre, la Région Normandie & le Ministère de la Culture (DRAC Normandie).
Solo pour Zouzou
Pendant le second confinement, le MuMa décidait de laisser ses espaces à disposition d’artistes pour continuer de faire vivre le musée.
C’est dans ce contexte que nous avons accueilli la BaZooKa pour un moment de travail complètement libre. Dans l’instant, nous ne savions pas que cette résidence aboutirait à un spectacle. Mais c’est bien ce qui arrive aujourd’hui. De cette période compliquée pour un lieu public, parce que vidé de ses visiteurs, est née une performance, que nous sommes heureux de vous présenter, là d’où elle a émergé !
Extraits de différents dossiers de présentation du spectacle :

Attendez-moi © Alban Van Wassenhove
« Zouzou, elle au moins, elle serait juste ! Parce qu’elle serait détachée de tout jugement, elle ferait ce qu’elle sent, elle en aurait rien à foutre du public, de... qui regarde, ce que les autres pensent. Elle ne chercherait pas à impressionner, elle s’en foutrait qu’on la respecte, elle ferait sa vie. Oui, Zouzou, ce serait vraiment l’interprète parfaite, l’être le plus abandonné et le plus incarné en même temps. »
Est-ce que revivre ses souvenirs d’enfance peut créer une danse ?
Raviver des sensations solaires comme autant de pages d’un journal intime. Laisser remonter à la surface une danse enfouie dans les profondeurs d’une nappe phréatique qui ne demandait qu’à être réveillée.
Une danse légère qu’on pourrait avoir dans les jambes, comme ça, sans force, jusqu’à la fin de sa vie…

Attendez-moi © Etienne Cuppens
Attendez-moi
Tout a commencé au MuMa alors que le musée est fermé au public pendant le deuxième confinement.
L’expo temporaire est accrochée, aucun visiteur pour en profiter et lui répondre.
Seule la lumière qui trace sa course, transforme les volumes du musée, augmente ou réduit les ombres dans un déplacement invisible et implacable.
Pas vraiment de silence tant la soufflerie du musée est bruyante, mais un calme vraiment particulier.
L’espace vierge.
Un appel à la transgression.
Glisser dans cet espace sur des rollers est la première idée qui vient. Fendre l’air, nue. S’emparer d’une liberté bridée par les contraintes de la pandémie. Reprendre son souffle comme après une apnée prolongée.
Le nom de l’exposition « Voyage d’Hiver » a immédiatement ravivé le souvenir de ma confrontation à la neige, la montagne, le ski… une horreur. J’avais 5 ans.
Je suis partie de cet épisode puis j’ai remonté le fil vers des souvenirs plus anciens. J’y ai trouvé l’insouciance, la nature, les promenades avec les animaux, des champs immenses pour une petite fille qui passait ses journées à faire des expériences physiques simples et captivantes, les sens ouverts. La liberté.
Il s’est dégagé de ce cheminement un langage tout nouveau pour moi, un corps libre, alerte, détendu, solaire, plein.
Paradoxalement, ce langage qui m’apparaît comme nouveau semble en réalité être mon premier langage, le plus profondément ancré, ma nappe phréatique.
Une danse première que j’espère danser encore longtemps.
Conception et réalisation : La BaZooKa, Sarah Crépin & Etienne Cuppens
Interprétation : Sarah Crépin
Musiques : Paisaje Cubano Con Rumba (Leo Brouwer), Elf dance (Moondog), Für Fritz (Moondog), Tout l’Amour (A. Salvet/B. Botkin/G. Garfield/G. Bertret/P. Murtagh).
Production et diffusion : Emilie Podevin
Administration : Diane Ribouillard
Communication : Louise Lorieux
Production : La BaZooKa
Résidences : MuMa, Musée d’art Moderne du Havre
Remerciements : Le Phare, Centre Chorégraphique National du Havre-Normandie (dir. Emmanuelle Vo-Dinh) / Kiddam Riidim Collectif 1.6
La BaZooKa est conventionnée pour l’ensemble de son projet artistique par la Ville du Havre, la Région Normandie & le Ministère de la Culture (DRAC Normandie).
Date(s)
- 27 janvier 2023
Tarif(s)
Gratuit
Sur réservation ici :
Vendredi 27 janvier 2023 à 18h / Complet
Samedi 28 janvier 2023 à 14h30 / Complet
Dimanche 29 janvier 2023 à 10h
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur
Vendredi 27 janvier 2023 à 18h / Complet
Samedi 28 janvier 2023 à 14h30 / Complet
Dimanche 29 janvier 2023 à 10h
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur

Essaimer © Laure Delamotte-Legrand
Essaimer
Nous poursuivons nos échanges avec la chorégraphe et interprète Margot Dorléans, toujours dans le cadre du Festival Plein Phare.
Ce samedi 3 décembre, elle nous présentera, avec son équipe, une étape de travail* autour d’une pièce en cours de création, Essaimer dont le projet résonne lui aussi avec les œuvres accueillies au MuMa cette année, et plus largement, avec celles de ses collections permanentes, fortement imprégnées des questions liées au paysage et à ses éléments.
« Ce projet est le fruit d’une démarche qui cherche à se rapprocher d’un paysage et à y inscrire le corps en mouvement.
Comment nous servir du corps pour rencontrer le paysage, l’habiter, le faire entrer en nous pour en célébrer la nature ?
En rassemblant une équipe pluridisciplinaire il s’agit d’œuvrer à construire ensemble un univers sensible autour de la matérialité du roseau comme une invitation à ressentir et à vivre le territoire pour mieux repenser nos manières de l’habiter. Cette recherche aboutira à la création d’une vidéo-danse in-situ et à une performance ex-situ conçue comme une installation immersive où les différents matériaux (sonores, vidéo, plastiques et chorégraphiques) dialoguent ensemble pour donner à vivre le paysage autrement. »
*Création prévue à l’automne 2023
>>> Teaser du Festival Plein Phare <<<
En partenariat avec Le Phare – Centre chorégraphique du Havre Normandie
https://www.lephare-ccn.fr/
Conception, Chorégraphie et Interprétation Margot Dorléans
En collaboration avec (distribution en cours) :
Flora Pilet et Véronique Weil, danseuses,
Clément Edouard, musicien,
Laure Delamotte-Legrand, photographe / vidéaste et plasticienne,
David Baptista, architecte (Association Rozeau),
Bureau Les Yeux Dans Les Mots, administration de production
Production Du Vivant Sous Les Plis
Avec le soutien du CCN de Caen en Normandie, La Réserve Naturelle de l’Estuaire de la Seine, Cie Arkanso et Le Trident Scène nationale de Cherbourg-en-Cotentin (Festival Regards Dansants), L’Étincelle, Théâtre(s) de la Ville de Rouen, Territoires Pionniers I Maison de l’architecture - Normandie
La compagnie Du Vivant Sous Les Plis est soutenue par la DRAC Normandie, la Région Normandie, le Département de Seine-Maritime, la Ville du Havre et l’ODIA Normandie
Nous poursuivons nos échanges avec la chorégraphe et interprète Margot Dorléans, toujours dans le cadre du Festival Plein Phare.
Ce samedi 3 décembre, elle nous présentera, avec son équipe, une étape de travail* autour d’une pièce en cours de création, Essaimer dont le projet résonne lui aussi avec les œuvres accueillies au MuMa cette année, et plus largement, avec celles de ses collections permanentes, fortement imprégnées des questions liées au paysage et à ses éléments.
« Ce projet est le fruit d’une démarche qui cherche à se rapprocher d’un paysage et à y inscrire le corps en mouvement.
Comment nous servir du corps pour rencontrer le paysage, l’habiter, le faire entrer en nous pour en célébrer la nature ?
En rassemblant une équipe pluridisciplinaire il s’agit d’œuvrer à construire ensemble un univers sensible autour de la matérialité du roseau comme une invitation à ressentir et à vivre le territoire pour mieux repenser nos manières de l’habiter. Cette recherche aboutira à la création d’une vidéo-danse in-situ et à une performance ex-situ conçue comme une installation immersive où les différents matériaux (sonores, vidéo, plastiques et chorégraphiques) dialoguent ensemble pour donner à vivre le paysage autrement. »
*Création prévue à l’automne 2023
>>> Teaser du Festival Plein Phare <<<
En partenariat avec Le Phare – Centre chorégraphique du Havre Normandie
https://www.lephare-ccn.fr/
Conception, Chorégraphie et Interprétation Margot Dorléans
En collaboration avec (distribution en cours) :
Flora Pilet et Véronique Weil, danseuses,
Clément Edouard, musicien,
Laure Delamotte-Legrand, photographe / vidéaste et plasticienne,
David Baptista, architecte (Association Rozeau),
Bureau Les Yeux Dans Les Mots, administration de production
Production Du Vivant Sous Les Plis
Avec le soutien du CCN de Caen en Normandie, La Réserve Naturelle de l’Estuaire de la Seine, Cie Arkanso et Le Trident Scène nationale de Cherbourg-en-Cotentin (Festival Regards Dansants), L’Étincelle, Théâtre(s) de la Ville de Rouen, Territoires Pionniers I Maison de l’architecture - Normandie
La compagnie Du Vivant Sous Les Plis est soutenue par la DRAC Normandie, la Région Normandie, le Département de Seine-Maritime, la Ville du Havre et l’ODIA Normandie
Date(s)
- 03 décembre 2022
Tarif(s)
Gratuit
Sur réservation ici / COMPLET
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur

Incarnation © Laure Delamotte-Legrand
Incarnation
Dans le cadre du Festival Plein Phare, le MuMa accueille de nouveau la chorégraphe et interprète Margot Dorléans avec qui se tisse un dialogue sur plusieurs temps forts.
Elle propose ici son solo Incarnation :
« Incarnation est un dispositif immersif pour une danseuse, une œuvre plastique et une composition sonore où la voix s’incarne, et prend la forme d’un chant intérieur qui transforme le corps et l’espace. Une plongée par la vibration vocale au cœur des espaces corporels symboliques d’une vie interne féminine : l’espace du bassin et celui des cordes vocales, lieu physique de l’expression. Une création comme un chant intérieur d’une identité féminine. »
Une pièce qui résonnera particulièrement avec les œuvres présentées à partir du 26 novembre dans le cadre de l’exposition Météorologiques au MuMa.
>>> Teaser du Festival Plein Phare <<<
En partenariat avec Le Phare – Centre chorégraphique du Havre Normandie
https://www.lephare-ccn.fr/
Conception, chorégraphie et interprétation : Margot Dorléans
En collaboration avec :
Laure Delamotte-Legrand, scénographie
Laurent Durupt, musique
Mael Iger, lumière
Joël Cornet et Romain Renault, construction et régie générale
Jean-Baptiste Veyret-Logerias, accompagnement vocal et regard extérieur
Maxime Guillon-Roi-Sans-Sac, assistanat et regard extérieur
Salina Dumay, costume
Bureau Les Yeux Dans Les Mots, administration de production
Production Du Vivant Sous Les Plis
Coproductions Le Volcan - Scène nationale du Havre en partenariat avec Le Théâtre des Bains Douches et Le Phare - CCN du Havre Normandie ; Chorège / CDCN Falaise Normandie
Soutien à la production CCN de Caen en Normandie / direction Alban Richard
Accueil en résidence Les Franciscaines – Deauville ; L’Etincelle – Théâtre(s) de la Ville de Rouen ; La Bazooka au Wine and Beer - Le Havre ; Théâtre des Bains Douches - Le Havre
Le projet est subventionné par la DRAC Normandie, la Région Normandie et le Département de Seine-Maritime.
La compagnie Du Vivant Sous Les Plis est soutenue par la DRAC Normandie, la Région Normandie, le Département de Seine-Maritime, la Ville du Havre et l’ODIA Normandie.
Dans le cadre du Festival Plein Phare, le MuMa accueille de nouveau la chorégraphe et interprète Margot Dorléans avec qui se tisse un dialogue sur plusieurs temps forts.
Elle propose ici son solo Incarnation :
« Incarnation est un dispositif immersif pour une danseuse, une œuvre plastique et une composition sonore où la voix s’incarne, et prend la forme d’un chant intérieur qui transforme le corps et l’espace. Une plongée par la vibration vocale au cœur des espaces corporels symboliques d’une vie interne féminine : l’espace du bassin et celui des cordes vocales, lieu physique de l’expression. Une création comme un chant intérieur d’une identité féminine. »
Une pièce qui résonnera particulièrement avec les œuvres présentées à partir du 26 novembre dans le cadre de l’exposition Météorologiques au MuMa.
>>> Teaser du Festival Plein Phare <<<
En partenariat avec Le Phare – Centre chorégraphique du Havre Normandie
https://www.lephare-ccn.fr/
Conception, chorégraphie et interprétation : Margot Dorléans
En collaboration avec :
Laure Delamotte-Legrand, scénographie
Laurent Durupt, musique
Mael Iger, lumière
Joël Cornet et Romain Renault, construction et régie générale
Jean-Baptiste Veyret-Logerias, accompagnement vocal et regard extérieur
Maxime Guillon-Roi-Sans-Sac, assistanat et regard extérieur
Salina Dumay, costume
Bureau Les Yeux Dans Les Mots, administration de production
Production Du Vivant Sous Les Plis
Coproductions Le Volcan - Scène nationale du Havre en partenariat avec Le Théâtre des Bains Douches et Le Phare - CCN du Havre Normandie ; Chorège / CDCN Falaise Normandie
Soutien à la production CCN de Caen en Normandie / direction Alban Richard
Accueil en résidence Les Franciscaines – Deauville ; L’Etincelle – Théâtre(s) de la Ville de Rouen ; La Bazooka au Wine and Beer - Le Havre ; Théâtre des Bains Douches - Le Havre
Le projet est subventionné par la DRAC Normandie, la Région Normandie et le Département de Seine-Maritime.
La compagnie Du Vivant Sous Les Plis est soutenue par la DRAC Normandie, la Région Normandie, le Département de Seine-Maritime, la Ville du Havre et l’ODIA Normandie.
Date(s)
- 22 novembre 2022
Tarif(s)
Gratuit
Sur réservation ici / COMPLET
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur

. © Olivier.Biks
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Une performance participative familiale
Le MuMa accueille la compagnie Sac de Nœuds pour un moment créatif et festif, à vivre en famille :
« De grands lés de papiers blancs sont posés au sol et investissent différents espaces d’un lieu. Invitation à voyager par la danse et le graphisme, les Parcours Choré-graphites prennent la forme d'atelier-performance où chaque participant devient acteur. Un casque audio sur les oreilles, vous serez guidés par des consignes simples : déambuler, s'arrêter, accélérer, se munir d'un pastel gras, dessiner des points… Temps de partage ludique et collectif où chacun peut être acteur et spectateur du projet en train de se faire, un moment dansé unique où émerge une œuvre plastique commune. »
Conception : Solenne Pitou
Interprètes et guides : Solenne Pitou et Anne-Laure Mascio
Bande son et technique : Studio des Docks – Eric Docteur
Production Compagnie Sac de Noeuds
Création avec le soutien de la Région Normandie, de la Ville du Havre et du Volcan - Scène Nationale du Havre.
Le MuMa accueille la compagnie Sac de Nœuds pour un moment créatif et festif, à vivre en famille :
« De grands lés de papiers blancs sont posés au sol et investissent différents espaces d’un lieu. Invitation à voyager par la danse et le graphisme, les Parcours Choré-graphites prennent la forme d'atelier-performance où chaque participant devient acteur. Un casque audio sur les oreilles, vous serez guidés par des consignes simples : déambuler, s'arrêter, accélérer, se munir d'un pastel gras, dessiner des points… Temps de partage ludique et collectif où chacun peut être acteur et spectateur du projet en train de se faire, un moment dansé unique où émerge une œuvre plastique commune. »
Conception : Solenne Pitou
Interprètes et guides : Solenne Pitou et Anne-Laure Mascio
Bande son et technique : Studio des Docks – Eric Docteur
Production Compagnie Sac de Noeuds
Création avec le soutien de la Région Normandie, de la Ville du Havre et du Volcan - Scène Nationale du Havre.
Date(s)
- 22 décembre 2021
Tarif(s)
Gratuit
Sur inscription : https://affluences.com/muma-musee-dart-moderne-andre-malraux/reservation
(catégorie « Evénement / Parcours choré-graphite »)
A partir de 5 ans
Nombre de places disponibles : fonction des jauges applicables à la date de l’événement
Port du masque fortement conseillé à partir de 6 ans, obligatoire à partir de 12 ans
(catégorie « Evénement / Parcours choré-graphite »)
A partir de 5 ans
Nombre de places disponibles : fonction des jauges applicables à la date de l’événement
Port du masque fortement conseillé à partir de 6 ans, obligatoire à partir de 12 ans

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Pour les vacances de printemps, le MuMa a proposé aux enfants et aux plus grands un atelier danse « à distance » diffusé chaque jour sur YouTube et Facebook.
A faire et refaire quand vous voudrez !
Accessibles à tous, et rassurez-vous, le tutu n’est pas obligatoire !
Sans crayon mais avec tes jambes,
Sans pinceau mais avec tes bras,
Sans atelier mais dans ta chambre ou ton salon,
Suis le mouvement pour faire danser les tableaux !
Remerciements :
La danseuse et chorégraphe Solenne Pitou
La Compagnie Sac de Nœuds
Choix du tableau et interprétation orale : Marie, responsable des publics
Toute l’équipe du service des publics du MuMa
Images & Montage : Service numérique du MuMa Le Havre
A faire et refaire quand vous voudrez !
Accessibles à tous, et rassurez-vous, le tutu n’est pas obligatoire !
Sans crayon mais avec tes jambes,
Sans pinceau mais avec tes bras,
Sans atelier mais dans ta chambre ou ton salon,
Suis le mouvement pour faire danser les tableaux !
Remerciements :
La danseuse et chorégraphe Solenne Pitou
La Compagnie Sac de Nœuds
Choix du tableau et interprétation orale : Marie, responsable des publics
Toute l’équipe du service des publics du MuMa
Images & Montage : Service numérique du MuMa Le Havre

. ©Laurent Philippe
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Sous l’impulsion de l’Office du tourisme du Havre - Le Havre Etretat Tourisme, une nouvelle édition de la Nuit du tourisme s’organise. Elle sera l’occasion pour le MuMa de vous proposer deux rendez-vous exceptionnels et inédits, deux rendez-vous qui permettront chacun de faire l’expérience de nos Nuits électriques… de nuit !
A 21h30
Sprint in situ
Les nuits sont « électriques » dans les peintures qu’il est possible de découvrir en ce moment au MuMa ! Et c’est en écho à cet univers que nous avons imaginé une troisième nocturne. Cette fois-ci, invitation a été lancée Emmanuelle Vo-Dinh, chorégraphe et directrice du Phare, centre chorégraphique du Havre.
Pour le MuMa, Emmanuelle Vo-Dinh reprend une pièce emblématique de son répertoire, Sprint, qui met en scène Maeva Cunci dans un solo ombreux et énergique à la fois. Le souffle, la course, à l’image de nos « nuits électriques », rythment et construisent l’espace.
Durée : 40 min. environ
A partir de 19h15
Des visites… dans le noir
Les médiatrices du MuMa vous proposent de découvrir l’exposition, toutes lumières éteintes. Elles vous guideront à travers nos Nuits électriques petit groupe par petit groupe pour des visites inédites et originales : à la lampe torche, en chuchotant…
Durée : 30 min. environ
Détail des visites :
Au musée, dans la nuit, tout semble possible !
Présentation détaillée de Sprint in situ
La danse moderne a osé des choses formidables. Comme s'en tenir à un geste. Un seul. Ne s'attacher qu'à lui. Le mettre à l'épreuve. En tirer tous les possibles. Sprint, d'Emmanuelle Vo-Dinh est une course, "rien qu'une course" autour du plateau, dont son interprète proche, Maeva Cunci, relève le défi, cinquante minutes durant. Où le regard est tenu en haleine, sur une ligne de tension extrême, aux palpitations toujours relancées.
C'est le rythme implacable. Le souffle qui gronde. Le port de buste qui s'infléchit. La trajectoire qui dévie. La pause qui s'accorde. L'obstination qui se ressaisit. Le lâcher qui surgit. Et l'âme qui divague. Le but toujours enfui. Vienne la danseuse à s'accorder un long arrêt : alors un allant tournoyant rémanent continue d'empreindre le regard spectateur. Expérience saisissante. Où l'on craignait l'ennui, s'ouvre l'horizon, vertigineux.
Les variations de l'être, en ses gestes, sont infinies. L'accumulation, la répétition, en révèlent plus, et toujours d'autre encore. C'est qu'on n'a pas affaire à des artistes occupés à des simagrées, jouant un rôle et brodant de jolies figures. Dans Sprint, la vérité se donne entière à ce qu'on est en train d'éprouver.
Conception : Emmanuelle Vo-Dinh
Interprétation : Maeva Cunci
Lumières et scénographie : Françoise Michel
Univers sonore : Olyphant
Costumes : Corine Petitpierre
Réalisation des costumes : Anne Tesson
Production : Le Phare, Centre chorégraphique national du Havre Normandie
Coproduction : Rencontres Chorégraphiques Internationales de Seine-Saint-Denis, Centre National de la Danse (Pantin)
Le Phare, Centre chorégraphique national du Havre Normandie, est subventionné par la DRAC Normandie / Ministère de la Culture, la Région Normandie, la Ville du Havre et le Département de Seine-Maritime.
Attention,
le musée ne sera pas ouvert à la visite libre.
Tous les rendez-vous proposés pour l’occasion
se feront impérativement sur réservation.
le musée ne sera pas ouvert à la visite libre.
Tous les rendez-vous proposés pour l’occasion
se feront impérativement sur réservation.
A 21h30
Sprint in situ
Les nuits sont « électriques » dans les peintures qu’il est possible de découvrir en ce moment au MuMa ! Et c’est en écho à cet univers que nous avons imaginé une troisième nocturne. Cette fois-ci, invitation a été lancée Emmanuelle Vo-Dinh, chorégraphe et directrice du Phare, centre chorégraphique du Havre.
Pour le MuMa, Emmanuelle Vo-Dinh reprend une pièce emblématique de son répertoire, Sprint, qui met en scène Maeva Cunci dans un solo ombreux et énergique à la fois. Le souffle, la course, à l’image de nos « nuits électriques », rythment et construisent l’espace.
Durée : 40 min. environ
A partir de 19h15
Des visites… dans le noir
Les médiatrices du MuMa vous proposent de découvrir l’exposition, toutes lumières éteintes. Elles vous guideront à travers nos Nuits électriques petit groupe par petit groupe pour des visites inédites et originales : à la lampe torche, en chuchotant…
Durée : 30 min. environ
Détail des visites :
- 19h15 : Sous la lampe, et avec les bruits de ces nuits-là, faire parler trois peintres de leurs Nuits parmi les plus mystérieuses…
- 19h45 : L’obscurité… les œuvres… : laissez libre cours à votre imagination.
- 20h15 : Filles de joie, les mal-nommées… L’envers du décor dépeint par les écrivains. (à partir de 12 ans)
- 20h45 : L’obscurité… les œuvres… : laissez libre cours à votre imagination.
- 21h15 : Sous la lampe, et avec les bruits de ces nuits-là, faire parler trois peintres de leurs Nuits parmi les plus mystérieuses…
- 21h45 : Filles de joie, les mal-nommées… L’envers du décor dépeint par les écrivains. (à partir de 12 ans)
- 22h15 : Le musée. La nuit. Pas un mot, pas un bruit.
- 22h45 : Le musée. La nuit. Pas un mot, pas un bruit.
Au musée, dans la nuit, tout semble possible !
Présentation détaillée de Sprint in situ
La danse moderne a osé des choses formidables. Comme s'en tenir à un geste. Un seul. Ne s'attacher qu'à lui. Le mettre à l'épreuve. En tirer tous les possibles. Sprint, d'Emmanuelle Vo-Dinh est une course, "rien qu'une course" autour du plateau, dont son interprète proche, Maeva Cunci, relève le défi, cinquante minutes durant. Où le regard est tenu en haleine, sur une ligne de tension extrême, aux palpitations toujours relancées.
C'est le rythme implacable. Le souffle qui gronde. Le port de buste qui s'infléchit. La trajectoire qui dévie. La pause qui s'accorde. L'obstination qui se ressaisit. Le lâcher qui surgit. Et l'âme qui divague. Le but toujours enfui. Vienne la danseuse à s'accorder un long arrêt : alors un allant tournoyant rémanent continue d'empreindre le regard spectateur. Expérience saisissante. Où l'on craignait l'ennui, s'ouvre l'horizon, vertigineux.
Les variations de l'être, en ses gestes, sont infinies. L'accumulation, la répétition, en révèlent plus, et toujours d'autre encore. C'est qu'on n'a pas affaire à des artistes occupés à des simagrées, jouant un rôle et brodant de jolies figures. Dans Sprint, la vérité se donne entière à ce qu'on est en train d'éprouver.
Conception : Emmanuelle Vo-Dinh
Interprétation : Maeva Cunci
Lumières et scénographie : Françoise Michel
Univers sonore : Olyphant
Costumes : Corine Petitpierre
Réalisation des costumes : Anne Tesson
Production : Le Phare, Centre chorégraphique national du Havre Normandie
Coproduction : Rencontres Chorégraphiques Internationales de Seine-Saint-Denis, Centre National de la Danse (Pantin)
Le Phare, Centre chorégraphique national du Havre Normandie, est subventionné par la DRAC Normandie / Ministère de la Culture, la Région Normandie, la Ville du Havre et le Département de Seine-Maritime.
Date(s)
- 03 octobre 2020
Tarif(s)
Gratuit
Sur inscription : https://affluences.com/muma-musee-dart-moderne-andre-malraux/reservation
(catégories « événement » ou « visite focus »)
Port du masque obligatoire
(catégories « événement » ou « visite focus »)
Port du masque obligatoire

. ©Micheline Lelièvre
Pour entamer le dense week-end des Journées du Patrimoine, le MuMa a le plaisir de proposer la performance Clair de Nuit du collectif Pignon sur rue.
« Clair de nuit est une performance construite en résonance avec l'exposition Nuits électriques. C'est un voyage entre la nuit, les lumières, les perceptions et imaginaires auxquels cela renvoie. Du mystère aux moments festifs, de la mer à la ville en passant par la campagne, Clair de nuit est conçu pour créer une profondeur de champ poétique à quelques œuvres sélectionnées parmi celles exposées. »
Chorégraphie : Micheline Lelièvre
Musique : Alexandre Roure
Danse : Célia Abitabile, Violette Angé, Micheline Lelièvre
« Clair de nuit est une performance construite en résonance avec l'exposition Nuits électriques. C'est un voyage entre la nuit, les lumières, les perceptions et imaginaires auxquels cela renvoie. Du mystère aux moments festifs, de la mer à la ville en passant par la campagne, Clair de nuit est conçu pour créer une profondeur de champ poétique à quelques œuvres sélectionnées parmi celles exposées. »
Chorégraphie : Micheline Lelièvre
Musique : Alexandre Roure
Danse : Célia Abitabile, Violette Angé, Micheline Lelièvre
Date(s)
- 18 septembre 2020
Tarif(s)
Gratuit
Sur inscription : https://affluences.com/muma-musee-dart-moderne-andre-malraux/reservation
(catégorie « événement »)
Port du masque obligatoire
(catégorie « événement »)
Port du masque obligatoire