Exposition temporaire

. © MuMa Le Havre / Claire Palué
Découvrez l'exposition Raoul Dufy au Havre présentée au MuMa du 18 mai au 03 novembre 2019, en compagnie d'une médiatrice du musée.
Date(s)
- dimanche 19 mai 2019
- dimanche 26 mai 2019
- dimanche 02 juin 2019
- dimanche 09 juin 2019
- dimanche 23 juin 2019
- dimanche 30 juin 2019
- dimanche 07 juillet 2019
- dimanche 21 juillet 2019
- dimanche 28 juillet 2019
- dimanche 04 août 2019
- dimanche 11 août 2019
- dimanche 18 août 2019
- dimanche 25 août 2019
- dimanche 01 septembre 2019
- dimanche 08 septembre 2019
- dimanche 15 septembre 2019
- dimanche 29 septembre 2019
- dimanche 06 octobre 2019
- dimanche 13 octobre 2019
- dimanche 20 octobre 2019
- dimanche 03 novembre 2019
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
Rendez-vous à l’accueil du musée. Possibilité de s'inscrire 60 minutes avant l'heure de la visite directement sur place auprès du personnel d'accueil.
Sur présentation du billet d’entrée, dans la limite des places disponibles (25 places par visite).
Si le nombre minimum de 6 personnes n’est pas atteint, nous nous réservons le droit d’annuler la visite et de la remplacer par une simple introduction.
Attention : pas de visite le jeudi 11 juillet, le dimanche 14 juillet, le dimanche 22 septembre, le jeudi 15 août
Sur présentation du billet d’entrée, dans la limite des places disponibles (25 places par visite).
Si le nombre minimum de 6 personnes n’est pas atteint, nous nous réservons le droit d’annuler la visite et de la remplacer par une simple introduction.
Attention : pas de visite le jeudi 11 juillet, le dimanche 14 juillet, le dimanche 22 septembre, le jeudi 15 août

. © MuMa Le Havre / Claire Palué
Découvrez l'exposition Raoul Dufy au Havre présentée au MuMa du 18 mai au 03 novembre 2019, en compagnie d'une médiatrice du musée.
Date(s)
- dimanche 19 mai 2019
- dimanche 26 mai 2019
- dimanche 02 juin 2019
- dimanche 09 juin 2019
- dimanche 16 juin 2019
- dimanche 23 juin 2019
- dimanche 30 juin 2019
- dimanche 07 juillet 2019
- dimanche 21 juillet 2019
- dimanche 28 juillet 2019
- dimanche 04 août 2019
- dimanche 11 août 2019
- dimanche 18 août 2019
- dimanche 25 août 2019
- dimanche 01 septembre 2019
- dimanche 08 septembre 2019
- dimanche 15 septembre 2019
- dimanche 29 septembre 2019
- dimanche 06 octobre 2019
- dimanche 13 octobre 2019
- dimanche 20 octobre 2019
- dimanche 27 octobre 2019
- dimanche 03 novembre 2019
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
Rendez-vous à l’accueil du musée. Possibilité de s'inscrire 60 minutes avant l'heure de la visite directement sur place auprès du personnel d'accueil.
Sur présentation du billet d’entrée, dans la limite des places disponibles (25 places par visite).
Si le nombre minimum de 6 personnes n’est pas atteint, nous nous réservons le droit d’annuler la visite et de la remplacer par une simple introduction.
Attention : pas de visite le jeudi 11 juillet, le dimanche 14 juillet, le dimanche 22 septembre, le jeudi 15 août
Sur présentation du billet d’entrée, dans la limite des places disponibles (25 places par visite).
Si le nombre minimum de 6 personnes n’est pas atteint, nous nous réservons le droit d’annuler la visite et de la remplacer par une simple introduction.
Attention : pas de visite le jeudi 11 juillet, le dimanche 14 juillet, le dimanche 22 septembre, le jeudi 15 août

. © MuMa Le Havre / Juliette Houliere
Depuis 2013, le MuMa propose de façon systématique pour chacune de ses expositions temporaires, des visites commentées traduites en Langue des Signes Française. Une médiatrice du MuMa, accompagnée d’une interprète LSF, vous accompagne à cette occasion, à la découverte des œuvres présentées, dans un esprit d’échange et de dialogue
Date(s)
- 06 avril 2019
Tarif(s)
Gratuit
Rendez-vous à l’accueil du musée

. © MuMa Le Havre / Juliette Houliere
Depuis 2013, le MuMa propose de façon systématique pour chacune de ses expositions temporaires, des visites commentées traduites en Langue des Signes Française. Une médiatrice du MuMa, accompagnée d’une interprète LSF, vous accompagne à cette occasion, à la découverte des œuvres présentées, dans un esprit d’échange et de dialogue
Date(s)
- 26 mars 2019
Tarif(s)
Gratuit
Rendez-vous à l’accueil du musée

© Maroussia Vossen
- -
A l’occasion de la présentation de « Still », exposition consacrée à l’œuvre photographique de Trine Søndergaard, le MuMa convie la danseuse Maroussia Vossen à explorer les espaces du musée pour dialoguer avec les photographies de la jeune artiste danoise.
Maroussia Vossen, un parcours
« Après avoir découvert la danse à l’âge de 5 ans, comprenant dès lors que c’est dans le mouvement plutôt que dans la parole que résiderait son langage, Maroussia Vossen est formée à la technique classique auprès de Lucien Legrand de l’Opéra de Paris, puis dans le cadre de l’association « Danse et culture » créée par Jean Dorcy, mais elle s’imprègne également d’autres techniques avec des personnalités aussi diverses que Ginette Bastien, Linda Diamond, Trudy Kressel ou Herns Duplan. (…)
Le travail et le parcours de Maroussia Vossen sont surtout marqués par son dialogue ininterrompu avec des artistes extérieurs à la danse.
Habituée sans doute dès son enfance, durant laquelle elle côtoie les nombreux créateurs, écrivains et intellectuels qui entourent sa mère, à tisser des liens entre son imaginaire personnel et d’autres univers poétiques, la danseuse tout au long de sa carrière nourrit des fidélités remarquables tant avec des musiciens qu’avec des plasticiens, écrivains ou des cinéastes souvent très réputés dans leurs domaines respectifs.
C’est ainsi que Maroussia Vossen, depuis près de 40 ans, au fil de ses rencontres artistiques, improvise des danses en solo à l’invitation d’autres créateurs et interprètes, dans les lieux les plus divers. Elle vient offrir – souvent dans des espaces atypiques, jardins, places ou cloîtres, galeries et musées -, ses correspondances, au sens baudelairien : gestes, pas, regards, sons et couleurs grâce à elle se répondent, « comme de longs échos qui de loin se confondent ».
(…)
Invitée par les plasticiens – Nicole Nicolas, Patrick Lefèvre, Tony Soulié, Jill Galliéni ou Michelle Knoblauch, par exemple –, Maroussia Vossen chaque fois sait finement souligner leur geste plastique ou les formes créées par la peinture ou la sculpture, et livrer en échange sa chorégraphie improvisée qui, dans un jeu subtil entre proximité et distance avec les œuvres exposées, en propose au public une perception unique et privilégiée.
Enfin, on ne peut omettre de mentionner le cinéaste et photographe Chris Marker qui fut jusqu’à sa récente disparition une figure marquante de la vie de Maroussia Vossen et a souvent capté sa danse de son œil aiguisé.
« Danser toujours », se promettait la petite fille. Même pour soi seule. Même en silence. Même sans effet. De fait, la danse pour Maroussia Vossen est moins une action qu’un mode : sa manière d’être au monde, en noir, en rouge ou vêtue d’une robe dessinée par Sonia Delaunay, et d’y traverser le temps. « Poésie de l’instant – dit-elle – , elle est l’intention, la magie. L’instant ne s’apprend pas, il est vie pure. C’est un jeu éphémère, une naissance, le partage du moment présent. » Une naissance jamais totalement accomplie et donc toujours à revivre ou à susciter de nouveau. Comme la marche toujours s’impose, conduisant sans cesse ailleurs cette « danseuse piétonne », libre de tout encombrement et même, pourrait-on croire, de tout passé. » Laurent Sebillotte, janvier 2013
Maroussia Vossen, un parcours
« Après avoir découvert la danse à l’âge de 5 ans, comprenant dès lors que c’est dans le mouvement plutôt que dans la parole que résiderait son langage, Maroussia Vossen est formée à la technique classique auprès de Lucien Legrand de l’Opéra de Paris, puis dans le cadre de l’association « Danse et culture » créée par Jean Dorcy, mais elle s’imprègne également d’autres techniques avec des personnalités aussi diverses que Ginette Bastien, Linda Diamond, Trudy Kressel ou Herns Duplan. (…)
Le travail et le parcours de Maroussia Vossen sont surtout marqués par son dialogue ininterrompu avec des artistes extérieurs à la danse.
Habituée sans doute dès son enfance, durant laquelle elle côtoie les nombreux créateurs, écrivains et intellectuels qui entourent sa mère, à tisser des liens entre son imaginaire personnel et d’autres univers poétiques, la danseuse tout au long de sa carrière nourrit des fidélités remarquables tant avec des musiciens qu’avec des plasticiens, écrivains ou des cinéastes souvent très réputés dans leurs domaines respectifs.
C’est ainsi que Maroussia Vossen, depuis près de 40 ans, au fil de ses rencontres artistiques, improvise des danses en solo à l’invitation d’autres créateurs et interprètes, dans les lieux les plus divers. Elle vient offrir – souvent dans des espaces atypiques, jardins, places ou cloîtres, galeries et musées -, ses correspondances, au sens baudelairien : gestes, pas, regards, sons et couleurs grâce à elle se répondent, « comme de longs échos qui de loin se confondent ».
(…)
Invitée par les plasticiens – Nicole Nicolas, Patrick Lefèvre, Tony Soulié, Jill Galliéni ou Michelle Knoblauch, par exemple –, Maroussia Vossen chaque fois sait finement souligner leur geste plastique ou les formes créées par la peinture ou la sculpture, et livrer en échange sa chorégraphie improvisée qui, dans un jeu subtil entre proximité et distance avec les œuvres exposées, en propose au public une perception unique et privilégiée.
Enfin, on ne peut omettre de mentionner le cinéaste et photographe Chris Marker qui fut jusqu’à sa récente disparition une figure marquante de la vie de Maroussia Vossen et a souvent capté sa danse de son œil aiguisé.
« Danser toujours », se promettait la petite fille. Même pour soi seule. Même en silence. Même sans effet. De fait, la danse pour Maroussia Vossen est moins une action qu’un mode : sa manière d’être au monde, en noir, en rouge ou vêtue d’une robe dessinée par Sonia Delaunay, et d’y traverser le temps. « Poésie de l’instant – dit-elle – , elle est l’intention, la magie. L’instant ne s’apprend pas, il est vie pure. C’est un jeu éphémère, une naissance, le partage du moment présent. » Une naissance jamais totalement accomplie et donc toujours à revivre ou à susciter de nouveau. Comme la marche toujours s’impose, conduisant sans cesse ailleurs cette « danseuse piétonne », libre de tout encombrement et même, pourrait-on croire, de tout passé. » Laurent Sebillotte, janvier 2013
Date(s)
- 19 janvier 2019
Tarif(s)
Gratuit
Réservation obligatoire, aux heures d'ouverture du musée, à l'accueil et par téléphone au 02 35 19 62 72

© Maroussia Vossen
- -
A l’occasion de la présentation de « Still », exposition consacrée à l’œuvre photographique de Trine Søndergaard, le MuMa convie la danseuse Maroussia Vossen à explorer les espaces du musée pour dialoguer avec les photographies de la jeune artiste danoise.
Maroussia Vossen, un parcours
« Après avoir découvert la danse à l’âge de 5 ans, comprenant dès lors que c’est dans le mouvement plutôt que dans la parole que résiderait son langage, Maroussia Vossen est formée à la technique classique auprès de Lucien Legrand de l’Opéra de Paris, puis dans le cadre de l’association « Danse et culture » créée par Jean Dorcy, mais elle s’imprègne également d’autres techniques avec des personnalités aussi diverses que Ginette Bastien, Linda Diamond, Trudy Kressel ou Herns Duplan. (…)
Le travail et le parcours de Maroussia Vossen sont surtout marqués par son dialogue ininterrompu avec des artistes extérieurs à la danse.
Habituée sans doute dès son enfance, durant laquelle elle côtoie les nombreux créateurs, écrivains et intellectuels qui entourent sa mère, à tisser des liens entre son imaginaire personnel et d’autres univers poétiques, la danseuse tout au long de sa carrière nourrit des fidélités remarquables tant avec des musiciens qu’avec des plasticiens, écrivains ou des cinéastes souvent très réputés dans leurs domaines respectifs.
C’est ainsi que Maroussia Vossen, depuis près de 40 ans, au fil de ses rencontres artistiques, improvise des danses en solo à l’invitation d’autres créateurs et interprètes, dans les lieux les plus divers. Elle vient offrir – souvent dans des espaces atypiques, jardins, places ou cloîtres, galeries et musées -, ses correspondances, au sens baudelairien : gestes, pas, regards, sons et couleurs grâce à elle se répondent, « comme de longs échos qui de loin se confondent ».
(…)
Invitée par les plasticiens – Nicole Nicolas, Patrick Lefèvre, Tony Soulié, Jill Galliéni ou Michelle Knoblauch, par exemple –, Maroussia Vossen chaque fois sait finement souligner leur geste plastique ou les formes créées par la peinture ou la sculpture, et livrer en échange sa chorégraphie improvisée qui, dans un jeu subtil entre proximité et distance avec les œuvres exposées, en propose au public une perception unique et privilégiée.
Enfin, on ne peut omettre de mentionner le cinéaste et photographe Chris Marker qui fut jusqu’à sa récente disparition une figure marquante de la vie de Maroussia Vossen et a souvent capté sa danse de son œil aiguisé.
« Danser toujours », se promettait la petite fille. Même pour soi seule. Même en silence. Même sans effet. De fait, la danse pour Maroussia Vossen est moins une action qu’un mode : sa manière d’être au monde, en noir, en rouge ou vêtue d’une robe dessinée par Sonia Delaunay, et d’y traverser le temps. « Poésie de l’instant – dit-elle – , elle est l’intention, la magie. L’instant ne s’apprend pas, il est vie pure. C’est un jeu éphémère, une naissance, le partage du moment présent. » Une naissance jamais totalement accomplie et donc toujours à revivre ou à susciter de nouveau. Comme la marche toujours s’impose, conduisant sans cesse ailleurs cette « danseuse piétonne », libre de tout encombrement et même, pourrait-on croire, de tout passé. » Laurent Sebillotte, janvier 2013
Maroussia Vossen, un parcours
« Après avoir découvert la danse à l’âge de 5 ans, comprenant dès lors que c’est dans le mouvement plutôt que dans la parole que résiderait son langage, Maroussia Vossen est formée à la technique classique auprès de Lucien Legrand de l’Opéra de Paris, puis dans le cadre de l’association « Danse et culture » créée par Jean Dorcy, mais elle s’imprègne également d’autres techniques avec des personnalités aussi diverses que Ginette Bastien, Linda Diamond, Trudy Kressel ou Herns Duplan. (…)
Le travail et le parcours de Maroussia Vossen sont surtout marqués par son dialogue ininterrompu avec des artistes extérieurs à la danse.
Habituée sans doute dès son enfance, durant laquelle elle côtoie les nombreux créateurs, écrivains et intellectuels qui entourent sa mère, à tisser des liens entre son imaginaire personnel et d’autres univers poétiques, la danseuse tout au long de sa carrière nourrit des fidélités remarquables tant avec des musiciens qu’avec des plasticiens, écrivains ou des cinéastes souvent très réputés dans leurs domaines respectifs.
C’est ainsi que Maroussia Vossen, depuis près de 40 ans, au fil de ses rencontres artistiques, improvise des danses en solo à l’invitation d’autres créateurs et interprètes, dans les lieux les plus divers. Elle vient offrir – souvent dans des espaces atypiques, jardins, places ou cloîtres, galeries et musées -, ses correspondances, au sens baudelairien : gestes, pas, regards, sons et couleurs grâce à elle se répondent, « comme de longs échos qui de loin se confondent ».
(…)
Invitée par les plasticiens – Nicole Nicolas, Patrick Lefèvre, Tony Soulié, Jill Galliéni ou Michelle Knoblauch, par exemple –, Maroussia Vossen chaque fois sait finement souligner leur geste plastique ou les formes créées par la peinture ou la sculpture, et livrer en échange sa chorégraphie improvisée qui, dans un jeu subtil entre proximité et distance avec les œuvres exposées, en propose au public une perception unique et privilégiée.
Enfin, on ne peut omettre de mentionner le cinéaste et photographe Chris Marker qui fut jusqu’à sa récente disparition une figure marquante de la vie de Maroussia Vossen et a souvent capté sa danse de son œil aiguisé.
« Danser toujours », se promettait la petite fille. Même pour soi seule. Même en silence. Même sans effet. De fait, la danse pour Maroussia Vossen est moins une action qu’un mode : sa manière d’être au monde, en noir, en rouge ou vêtue d’une robe dessinée par Sonia Delaunay, et d’y traverser le temps. « Poésie de l’instant – dit-elle – , elle est l’intention, la magie. L’instant ne s’apprend pas, il est vie pure. C’est un jeu éphémère, une naissance, le partage du moment présent. » Une naissance jamais totalement accomplie et donc toujours à revivre ou à susciter de nouveau. Comme la marche toujours s’impose, conduisant sans cesse ailleurs cette « danseuse piétonne », libre de tout encombrement et même, pourrait-on croire, de tout passé. » Laurent Sebillotte, janvier 2013
Date(s)
- 19 janvier 2019
Tarif(s)
Gratuit
Réservation obligatoire, aux heures d'ouverture du musée, à l'accueil et par téléphone au 02 35 19 62 72

Patrick Galais © Catherine Merdy
Le MuMa vous propose, en toute intimité, de partager avec Patrick Galais, alias Pat Batrix, auteur-photographe, le regard qu’il porte sur les images de Trine Søndergaard. L'exposition temporaire du musée, Trine Søndergaard - Still, met en effet le travail de cette dernière à l’honneur. Patrick Galais questionnera donc cette œuvre photographique, en nourrissant son approche toute personnelle de références multiples qui apporteront un éclairage inédit aux photographies.
Date(s)
- 08 décembre 2018
Tarif(s)
Gratuit
Réservation obligatoire, aux heures d'ouverture du musée, à l'accueil et par téléphone au 02 35 19 62 72
LIEN EXTERNE

Patrick Galais © Catherine Merdy
Le MuMa vous propose, en toute intimité, de partager avec Patrick Galais, alias Pat Batrix, auteur-photographe, le regard qu’il porte sur les images de Trine Søndergaard. L'exposition temporaire du musée, Trine Søndergaard - Still, met en effet le travail de cette dernière à l’honneur. Patrick Galais questionnera donc cette œuvre photographique, en nourrissant son approche toute personnelle de références multiples qui apporteront un éclairage inédit aux photographies.
Date(s)
- 08 décembre 2018
Tarif(s)
Gratuit
Réservation obligatoire, aux heures d'ouverture du musée, à l'accueil et par téléphone au 02 35 19 62 72
LIEN EXTERNE

Exposition Trine Sondergaard - Still. © Simon Saint-Jal
Découvrez l'exposition Trine Søndergaard - Still présentée au MuMa du 13 octobre 2018 au 27 janvier 2019, en compagnie d'une médiatrice du musée.
Date(s)
- dimanche 28 octobre 2018
- dimanche 04 novembre 2018
- dimanche 25 novembre 2018
- dimanche 02 décembre 2018
- dimanche 16 décembre 2018
- dimanche 13 janvier 2019
- dimanche 20 janvier 2019
- dimanche 27 janvier 2019
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
Rendez-vous à l’accueil du musée. Sur présentation du billet d’entrée

. © MuMa Le Havre / Juliette Houliere
Depuis 2013, le MuMa propose de façon systématique pour chacune de ses expositions temporaires, des visites commentées traduites en Langue des Signes Française. Une médiatrice du MuMa, accompagnée d’une interprète LSF, vous accompagne à cette occasion, à la découverte des œuvres présentées, dans un esprit d’échange et de dialogue
Date(s)
- 22 janvier 2019
Tarif(s)
Gratuit
Rendez-vous à l’accueil du musée