Exposition temporaire

Philippe DE GOBERT (1946), LH, 1789, 2020, tirage numérique 2/3, 110 x 168 cm. Courtesy Galerie Aline Vidal. © Philippe De Gobert © Adagp, Paris 2021
Philippe DE GOBERT (1946), LH, 1789, 2020, tirage numérique 2/3, 110 x 168 cm. Courtesy Galerie Aline Vidal. © Philippe De Gobert © Adagp, Paris 2021

Né de l’envie de partager autrement, plus longtemps… ce rendez-vous nous permettra de vous présenter de façon inédite les collections permanentes du musée ou bien encore l’exposition temporaire du moment. Menées par les médiatrices du musée, ou en partenariat avec d’autres, ces visites seront placées sous le signe de la découverte, de la curiosité… voire de la surprise !
 
Les artistes et la mer, cap au Havre
La mer et le port sont, comme l’architecture Perret aujourd’hui, des éléments indissociables de l’identité visuelle du Havre. De Camille Pissarro à Philippe De Gobert en passant par Raoul Dufy, tour d’horizon des représentations de la cité océane par des artistes d’ici et d’ailleurs.
Par Bénédicte Marin
Philippe DE GOBERT (1946), LH 2034, 2020, tirage numérique 1/3, 148 x 104 cm. Courtesy Galerie Aline Vidal. © Philippe De Gobert © Adagp, Paris 2021
Philippe DE GOBERT (1946), LH 2034, 2020, tirage numérique 1/3, 148 x 104 cm. Courtesy Galerie Aline Vidal. © Philippe De Gobert © Adagp, Paris 2021

Découvrez l'exposition Philippe De Gobert. Du merveilleux en architecture au conte photographique, en compagnie d'une médiatrice culturelle du musée.
Philippe DE GOBERT (1946), LH 2034, 2020, tirage numérique 1/3, 148 x 104 cm. Courtesy Galerie Aline Vidal. © Philippe De Gobert © Adagp, Paris 2021
Philippe DE GOBERT (1946), LH 2034, 2020, tirage numérique 1/3, 148 x 104 cm. Courtesy Galerie Aline Vidal. © Philippe De Gobert © Adagp, Paris 2021

Découvrez l'exposition Philippe De Gobert. Du merveilleux en architecture au conte photographique, en compagnie d'une médiatrice culturelle du musée.
Philippe DE GOBERT (1946), LH 2034, 2020, tirage numérique 1/3, 148 x 104 cm. Courtesy Galerie Aline Vidal. © Philippe De Gobert © Adagp, Paris 2021
Philippe DE GOBERT (1946), LH 2034, 2020, tirage numérique 1/3, 148 x 104 cm. Courtesy Galerie Aline Vidal. © Philippe De Gobert © Adagp, Paris 2021

Découvrez l'exposition Philippe De Gobert. Du merveilleux en architecture au conte photographique, en compagnie d'une médiatrice culturelle du musée.
Philippe DE GOBERT (1946), LH 2034, 2020, tirage numérique 1/3, 148 x 104 cm. Courtesy Galerie Aline Vidal. © Philippe De Gobert © Adagp, Paris 2021
Philippe DE GOBERT (1946), LH 2034, 2020, tirage numérique 1/3, 148 x 104 cm. Courtesy Galerie Aline Vidal. © Philippe De Gobert © Adagp, Paris 2021

Découvrez l'exposition Philippe De Gobert. Du merveilleux en architecture au conte photographique, en compagnie d'une médiatrice culturelle du musée.
Philippe DE GOBERT (1946), LH 2034, 2020, tirage numérique 1/3, 148 x 104 cm. Courtesy Galerie Aline Vidal. © Philippe De Gobert © Adagp, Paris 2021
Philippe DE GOBERT (1946), LH 2034, 2020, tirage numérique 1/3, 148 x 104 cm. Courtesy Galerie Aline Vidal. © Philippe De Gobert © Adagp, Paris 2021

Découvrez l'exposition Philippe De Gobert. Du merveilleux en architecture au conte photographique, en compagnie d'une médiatrice culturelle du musée.
Maxime Maufra, Féérie nocturne - Exposition universelle 1900,, 1900,, huile sur toile, 65,5 x 81,3 cm,. Reims. © C. Devleeschauwer
Maxime Maufra, Féérie nocturne - Exposition universelle 1900,, 1900,, huile sur toile, 65,5 x 81,3 cm,. Reims. © C. Devleeschauwer

La formule évolue ! Retrouvez désormais chaque dimanche les médiatrices du MuMa en salle d’exposition. A votre disposition, elles répondront à vos questions et prendront le temps d’échanger avec vous autour des œuvres de l’exposition « Nuits électriques », au gré de vos envies et de vos besoins !
 Le Chant du styrène d'Alain Resnais (1957). © Droits réservés
Le Chant du styrène d'Alain Resnais (1957). © Droits réservés
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Autour de l’exposition Reynold Arnould, et avec le concours et la participation de Gwenaële Rot et François Vatin, spécialistes du peintre, le MuMa vous propose un ensemble de trois événements qui viendront donner un aperçu de l’œuvre d’Arnould et du contexte dans lequel sa peinture trouve sa plus juste expression : la modernité de l’après-seconde guerre mondiale.

Formidable écho à l’œuvre de Reynold Arnould que ce court métrage d’Alain Resnais ! Le MuMa vous propose de le découvrir en intégralité – une manière originale de s’immerger dans l’œuvre et le parcours du peintre à l’honneur sur ses cimaises.
 
Le Chant du Styrène, documentaire d’Alain Resnais (1957 – Couleur – Durée 13 minutes)
Production : Les Films de la Pléiade
Musique de Georges Delerue et Pierre Barbaud
Texte par Raymond Queneau, lu par Pierre Dux
 
A propos du film d’Alain Resnais :
« Une visite des usines Péchiney guidée par un commentaire de Raymond Queneau en forme de poème pastiche en alexandrins. Le fabricant de polystyrène avait commandé ce film qui devait être à la gloire de ce « noble matériau entièrement créé par l’homme ». Alain Resnais, qui sentait confusément qu’il existait un rapport entre l’Alexandrin et le Cinémascope, propose un film totalement surréaliste sur une musique de Pierre Barbaud, l’inventeur de la musique algorithmique. Le chant du styrène est un objet esthétique d’une impressionnante perfection, mais aussi un objet très paradoxal, où l’accumulation des contraintes engendre de surprenantes solutions. » fiche des Films du jeudi
 
« Si le court métrage n’existait pas, Alain Resnais l'aurais sûrement inventé. (...)
 Jamais, je crois, depuis ceux d'Eisenstein, un film n'a été aussi scientifiquement médité que Le Chant du Styrène.
Le Chant du styrène, c'est quatorze mois de travail pour un film de quatorze minutes sur les matières plastiques. C'est aussi un texte de Raymond Queneau qui rend chaque image tashlinesque en y introduisant le fameux décalage cher à Renoir. Et le résultat est là, en cinémascope colorié: des plans si profondément rivés les uns aux autres malgré l'absence de tout personnage vivant, dont en se privant de la facilité des raccords sur un effet dramatique, une centaine de plans, dis-je, si harmonieusement soudés entre eux qu'ils donnent la fantastique sensation de n'être qu'un seul long plan-séquence, un seul et jupitérien travelling dont le phrasé prodigieux n'est pas sans évoquer les grandes cantates de Jean-Sébastien Bach. » Jean-Luc Godard
Reynold Arnould peignant Passage, 1964. Passage, peinture de Reynold Arnould, une des 18 compositions monumentales réalisées pour l’École nationale d’enseignement technique de Caucriauville (Le Havre) Carte de voeux 1965, 13,5 x 16,5 cm. Photographie collée sur carton Collection Rot-Vatin
Reynold Arnould peignant Passage, 1964. Passage, peinture de Reynold Arnould, une des 18 compositions monumentales réalisées pour l’École nationale d’enseignement technique de Caucriauville (Le Havre) Carte de voeux 1965, 13,5 x 16,5 cm. Photographie collée sur carton Collection Rot-Vatin

Autour de l’exposition Reynold Arnould, et avec le concours et la participation de Gwenaële Rot et François Vatin, spécialistes du peintre, le MuMa vous propose un ensemble de trois événements qui viendront donner un aperçu de l’œuvre d’Arnould et du contexte dans lequel sa peinture trouve sa plus juste expression : la modernité de l’après-seconde guerre mondiale.

Le MuMa invite François Vatin et Gwenaële Rot pour évoquer ce qui, au Havre, reste de l’œuvre mural du peintre : des fresques que l’on peut retrouver par exemple dans l’enceinte du lycée Schuman-Perret ou bien encore dans les locaux du GPMH mais qui ne sont pas toujours accessibles au grand public. Se pose alors la question de leur visibilité et celle de leur sauvegarde, pour que ce patrimoine essentiel de l’histoire locale soit mieux connu des havrais.
. © MuMa Le Havre / Juliette Houliere
. © MuMa Le Havre / Juliette Houliere

Depuis 2013, le MuMa propose de façon systématique pour chacune de ses expositions temporaires, des visites commentées traduites en Langue des Signes Française. Une médiatrice du MuMa, accompagnée d’une interprète LSF, vous accompagne à cette occasion, à la découverte des œuvres présentées, dans un esprit d’échange et de dialogue

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