Exposition temporaire


Depuis 2013, le MuMa propose de façon systématique pour chacune de ses expositions temporaires, des visites commentées traduites en Langue des Signes Française. Une médiatrice du MuMa, accompagnée d’une interprète LSF, vous accompagne à cette occasion, à la découverte des œuvres présentées, dans un esprit d’échange et de dialogue.
Daniel Isoir
Daniel Isoir

Toujours dans le cadre de À l’école de Charles Lhullier, le MuMa invite le pianiste Daniel Isoir pour un programme conçu autour de figures telles que César Franck ou Gabriel Fauré, et avec pour fil conducteur la notion de transmission. Un programme en construction à l’heure où nous publions ces lignes, et donc sous réserve de modifications.
Avec Daniel Isoir
Alice Cissokho, Patrick Dussart et Kouchyar Shahroudi. portrait Alice Cissokho : Patrick Hubschwerlin
Alice Cissokho, Patrick Dussart et Kouchyar Shahroudi. portrait Alice Cissokho : Patrick Hubschwerlin

Dans le cadre de l’exposition consacrée à Charles Lhullier, le MuMa a souhaité faire un clin d’œil au Café des Turcos, un tableau peint par l’artiste entre 1867 et 1868. Les accents orientalistes de cette œuvre renvoient au goût dont a fait preuve toute une époque pour un ailleurs, plus ou moins lointain, direction le Sud et l’Est. Au-delà de l’exotisme, c’est un intérêt pour « l’Autre », sa culture, ses traditions… qui transparaît.
 
Avec pour point de départ la Sonate pour flûte, alto et harpe de Debussy, œuvre emblématique impressionniste et fondatrice pour cette formation si riche en nuances et couleurs, le concert chemine entre les siècles et les continents.
Les regards tournés vers le passé, Saint Saëns et la fin du XIXème siècle, et le romantisme français.
Et projections dans l'avenir et l'ailleurs avec l'univers poétique du japonais Toru Takemitsu et son trio And Then I Knew it was Wind, évocation des attributs du vent dans le monde naturel et dans notre inconscient.
 
Avec Alice Cissokho, Patrick Dussart et Kouchyar Shahroudi.
Charles LHULLIER dit aussi LHUILLIER (1824-1898), Silhouette de femme cueillant des fleurs dans un champ, 2nde moitié du XIXe siècle, huile sur toile, 24,6 x 32,7 cm. MuMa Le Havre, Musée d’art moderne André Malraux. © MuMa Le Havre / Charles Maslard
Charles LHULLIER dit aussi LHUILLIER (1824-1898), Silhouette de femme cueillant des fleurs dans un champ, 2nde moitié du XIXe siècle, huile sur toile, 24,6 x 32,7 cm. MuMa Le Havre, Musée d’art moderne André Malraux. © MuMa Le Havre / Charles Maslard

Venez découvrir l’exposition À l’école de Charles Lhullier en compagnie d’une médiatrice culturelle du musée.
Charles LHULLIER dit aussi LHUILLIER (1824-1898), Silhouette de femme cueillant des fleurs dans un champ, 2nde moitié du XIXe siècle, huile sur toile, 24,6 x 32,7 cm. MuMa Le Havre, Musée d’art moderne André Malraux. © MuMa Le Havre / Charles Maslard
Charles LHULLIER dit aussi LHUILLIER (1824-1898), Silhouette de femme cueillant des fleurs dans un champ, 2nde moitié du XIXe siècle, huile sur toile, 24,6 x 32,7 cm. MuMa Le Havre, Musée d’art moderne André Malraux. © MuMa Le Havre / Charles Maslard

Venez découvrir l’exposition À l’école de Charles Lhullier en compagnie d’une médiatrice culturelle du musée.

Depuis 2013, le MuMa propose de façon systématique pour chacune de ses expositions temporaires, des visites commentées traduites en Langue des Signes Française. Une médiatrice du MuMa, accompagnée d’une interprète LSF, vous accompagne à cette occasion, à la découverte des œuvres présentées, dans un esprit d’échange et de dialogue

Depuis 2013, le MuMa propose de façon systématique pour chacune de ses expositions temporaires, des visites commentées traduites en Langue des Signes Française. Une médiatrice du MuMa, accompagnée d’une interprète LSF, vous accompagne à cette occasion, à la découverte des œuvres présentées, dans un esprit d’échange et de dialogue
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En partenariat avec les Rencontres d’été – Théâtre et lecture en Normandie, le MuMa accueille Septembre Tiberghien, jeune critique d’art installée à Bruxelles. En écho au texte qu’elle publie dans le catalogue de l’exposition Philippe De Gobert. Du merveilleux en architecture au conte photographique, elle viendra évoquer le travail si singulier de l’artiste mis à l’honneur cette année dans nos salles.
 
Septembre Tiberghien est critique d’art et commissaire indépendante. Elle vit à Bruxelles et collabore régulièrement avec les revues l’art même, Flux News, H-art et le journal Hippocampe. Depuis 2010, elle fait partie de l’association Portraits la galerie, qui soutient la création émergente. Elle s’intéresse aux pratiques artistiques nomades, qui font preuve de résistance et entretiennent un rapport au monde poétique.
 
En partenariat avec les Rencontres d’été – Théâtre et lecture en Normandie
. © François Trocquet
. © François Trocquet

Né de l’envie de partager autrement, plus longtemps… ce rendez-vous nous permettra de vous présenter de façon inédite les collections permanentes du musée ou bien encore l’exposition temporaire du moment. Menées par les médiatrices du musée, ou en partenariat avec d’autres, ces visites seront placées sous le signe de la découverte, de la curiosité… voire de la surprise !

Des artistes/Des cyclistes
Visite et rencontre, par Jeanne Busato avec François Trocquet
 
Un moment singulier pour découvrir ensemble l’exposition de Philippe De Gobert au MuMa…puis à vos pédales pour retrouver l’artiste havrais François Trocquet qui nous fait le plaisir de nous accueillir dans son atelier !
 
A noter :
Le trajet du MuMa à l’atelier de François Troquet se fera à vélo.
Les vélos vous seront prêtés au musée.  Merci Lia !
Hubert ROBERT (1733-1808), Vue près du forum de Trajan à Rome, 18e siècle, sanguine sur papier vélin, 48,5 x 34 cm. Le Havre, musée d’art moderne André Malraux, achat de la ville en 1886. © MuMa Le Havre / Florian Kleinefenn
Hubert ROBERT (1733-1808), Vue près du forum de Trajan à Rome, 18e siècle, sanguine sur papier vélin, 48,5 x 34 cm. Le Havre, musée d’art moderne André Malraux, achat de la ville en 1886. © MuMa Le Havre / Florian Kleinefenn

Né de l’envie de partager autrement, plus longtemps… ce rendez-vous nous permettra de vous présenter de façon inédite les collections permanentes du musée ou bien encore l’exposition temporaire du moment. Menées par les médiatrices du musée, ou en partenariat avec d’autres, ces visites seront placées sous le signe de la découverte, de la curiosité… voire de la surprise !
 
La poétique des ruines
Ruines rêvées ou réelles, les scènes de désastre ont fasciné les artistes depuis le XVIIIe siècle et ont été une source d’inspiration particulièrement foisonnante.
Par Karine Martin de Beaucé

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