Adultes / Adolescents
Français
© Gaëlle Rouard
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En présence de la cinéaste
Pour sa 100ème, MuMaBoX invite Gaëlle Rouard, fidèle du programme et surtout créatrice unique.
Filmé et projeté en 16mm, le dernier opus de Gaëlle Rouard se déroule en deux actes.
D’abord « Prélude », où l’intrigue s’ancre dans un paysage en ombres chinoises, irisées, pleines de sensations. Foisonnement d’herbes hirsutes, et parmi elles la touche rose d’un chardon se détache et se goûte comme un bonbon acidulé, tel le papillon qui le butine. Chaque plan se contemple comme un tableau vivant, clair-obscur, rembrandtesque. La vie s’incarne dans l’émulsion tel un commencement. Pourtant ce sont les ténèbres et la mort qui invitent à la méditation, comme nous l’indique « Oraison », le titre du deuxième acte. Le prisme du celluloïd révèle les perceptions, il donne à voir la poésie et la force narrative de l’abstraction. Une belle métaphore du cinéma argentique que Gaëlle Rouard élabore dans son propre laboratoire. Elle y expérimente depuis de longues années des techniques particulières qui rendent son travail unique.
Programme détaillé :
Gaëlle Rouard, Darkness, darkness burning bright, 2021 (16mm / couleur / sonore / 69'00)
MuMaBoX fête sa 100ème !
Depuis 2010, ce sont 100 séances qui ont été proposées par le MuMa, 100 projections consacrées à un cinéma « différent », un cinéma que l’on ne peut voir dans les circuits commerciaux traditionnels.
A l’origine du projet, un constat : le cinéma et l’art vidéo sont devenus, au fil du 20ème siècle, des arts majeurs, reconnus comme formes artistiques essentielles de l’art contemporain. Le MuMa a souhaité les rendre plus visibles, en les intégrant à ses expositions temporaires (Nuages, Images sur commande…). Mais il s’agit ensuite de multiplier et diversifier l’offre des films montrés : naît MuMaBoX, un programme innovant, sans équivalent en province. D’octobre à mai, un mercredi par mois, la salle de conférence du MuMa est transformée en boîte noire pour accueillir une projection.
Au programme : art vidéo et cinéma, en argentique ou numérique. Expérimental ou documentaire. Séances monographiques ou thématiques. Courts ou longs métrages. Films « historiques » ou nouvellement sortis. Artistes confirmés et nouvelle génération…
Le champ des œuvres exploré se caractérise par une grande diversité ! Variété qui se retrouve dans les supports – car autre particularité du programme : les films, dans la mesure du possible, sont diffusés dans leur format d’origine. Pour ce faire, c’est le projecteur 16 mm qui prend le relais du vidéoprojecteur.
Ainsi, c’est une exploration du riche et vaste champ de l’image « en mouvement » qui est proposée, un territoire composé de formes multiples, issues de pratiques variées, et dans le respect des œuvres.
Depuis plus de 10 ans, la programmation de MuMaBoX a été confiée à Christophe Guérin. Cinéaste, il a réalisé une vingtaine de films qui circulent dans le circuit des festivals internationaux et des espaces d’exposition. Très impliqué dans la mouvance du cinéma expérimental, il est par ailleurs trésorier de Light Cone, un des plus importants distributeurs européens de cinéma expérimental, et fait profiter le public de MuMaBoX de son large réseau composé d’artistes, programmateurs, universitaires, distributeurs…
Un souvenir, par Christophe Guérin
« La première, en octobre 2010. J’avais choisi de montrer des vidéos de Bill Viola, un nom connu pour lancer le projet. Ce fut un succès immédiat (plus de 80 personnes !) qui nous a donné confiance pour la suite. Cela s’est consolidé avec le temps : MuMaBoX est devenu cet espace de partage où le public, curieux et exigeant, fidèle et sans cesse renouvelé est pour beaucoup dans la réussite et la belle longévité de ce projet.
Et puis toutes les projections en compagnie des artistes, en particulier les grandes cinéastes du cinéma argentique que sont Cécile Fontaine, Helga Fanderl, Rose Lowder et bien sûr Gaëlle Rouard, qui nous fait le plaisir de revenir au MuMa avec son dernier film. C’est associé à la douce musique du projecteur, à la beauté sans pareille de l’image argentique.
Enfin, les séances en présence de Jacques Perconte, qui a beaucoup tourné dans notre région et dont les films émerveillent le public. Il est venu trois fois à MuMaBoX. »
Pour sa 100ème, MuMaBoX invite Gaëlle Rouard, fidèle du programme et surtout créatrice unique.
Filmé et projeté en 16mm, le dernier opus de Gaëlle Rouard se déroule en deux actes.
D’abord « Prélude », où l’intrigue s’ancre dans un paysage en ombres chinoises, irisées, pleines de sensations. Foisonnement d’herbes hirsutes, et parmi elles la touche rose d’un chardon se détache et se goûte comme un bonbon acidulé, tel le papillon qui le butine. Chaque plan se contemple comme un tableau vivant, clair-obscur, rembrandtesque. La vie s’incarne dans l’émulsion tel un commencement. Pourtant ce sont les ténèbres et la mort qui invitent à la méditation, comme nous l’indique « Oraison », le titre du deuxième acte. Le prisme du celluloïd révèle les perceptions, il donne à voir la poésie et la force narrative de l’abstraction. Une belle métaphore du cinéma argentique que Gaëlle Rouard élabore dans son propre laboratoire. Elle y expérimente depuis de longues années des techniques particulières qui rendent son travail unique.
Programme détaillé :
Gaëlle Rouard, Darkness, darkness burning bright, 2021 (16mm / couleur / sonore / 69'00)
MuMaBoX fête sa 100ème !
Depuis 2010, ce sont 100 séances qui ont été proposées par le MuMa, 100 projections consacrées à un cinéma « différent », un cinéma que l’on ne peut voir dans les circuits commerciaux traditionnels.
Au programme : art vidéo et cinéma, en argentique ou numérique. Expérimental ou documentaire. Séances monographiques ou thématiques. Courts ou longs métrages. Films « historiques » ou nouvellement sortis. Artistes confirmés et nouvelle génération…
Le champ des œuvres exploré se caractérise par une grande diversité ! Variété qui se retrouve dans les supports – car autre particularité du programme : les films, dans la mesure du possible, sont diffusés dans leur format d’origine. Pour ce faire, c’est le projecteur 16 mm qui prend le relais du vidéoprojecteur.
Ainsi, c’est une exploration du riche et vaste champ de l’image « en mouvement » qui est proposée, un territoire composé de formes multiples, issues de pratiques variées, et dans le respect des œuvres.
Depuis plus de 10 ans, la programmation de MuMaBoX a été confiée à Christophe Guérin. Cinéaste, il a réalisé une vingtaine de films qui circulent dans le circuit des festivals internationaux et des espaces d’exposition. Très impliqué dans la mouvance du cinéma expérimental, il est par ailleurs trésorier de Light Cone, un des plus importants distributeurs européens de cinéma expérimental, et fait profiter le public de MuMaBoX de son large réseau composé d’artistes, programmateurs, universitaires, distributeurs…
Un souvenir, par Christophe Guérin
« La première, en octobre 2010. J’avais choisi de montrer des vidéos de Bill Viola, un nom connu pour lancer le projet. Ce fut un succès immédiat (plus de 80 personnes !) qui nous a donné confiance pour la suite. Cela s’est consolidé avec le temps : MuMaBoX est devenu cet espace de partage où le public, curieux et exigeant, fidèle et sans cesse renouvelé est pour beaucoup dans la réussite et la belle longévité de ce projet.
Enfin, les séances en présence de Jacques Perconte, qui a beaucoup tourné dans notre région et dont les films émerveillent le public. Il est venu trois fois à MuMaBoX. »
Date(s)
- 10 mai 2023
Tarif(s)
Gratuit
Entrée libre, rendez-vous à l’accueil du musée
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur
© Telemach Wiesinger
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Dans le cadre du parcours photographique ARE YOU EXPERIENCING 2023
Dans le premier volet consacré au partage de l’écran, nous avons abordé le split screen, où les images sont bien distinctes les unes des autres car séparées par des limites noires dans la surface de projection.
Avec cette seconde partie, nous verrons comment ces limites entre les images peuvent être franchies, les cinéastes manipulant les cadres pour créer toutes sortes de superpositions, chevauchements ou entrelacs. L’écran devient ainsi l’espace de la fusion, de la confusion des images.
Programme détaillé :
Telemach Wiesinger, 1:1, 2021 (16mm / n&b / sonore / 30' 00)
Christophe Guérin, Cross, 2014 (Super 8mm / n&b / sonore / 4' 49)
Tomonari Nishikawa, Shibuya – Tokyo, 2010 (16mm / couleur / sonore / 10' 00)
Siegfried Alexander Fruhauf, Exposed, 2001 (16mm / n&b / sonore / 9' 00)
Dans le premier volet consacré au partage de l’écran, nous avons abordé le split screen, où les images sont bien distinctes les unes des autres car séparées par des limites noires dans la surface de projection.
Avec cette seconde partie, nous verrons comment ces limites entre les images peuvent être franchies, les cinéastes manipulant les cadres pour créer toutes sortes de superpositions, chevauchements ou entrelacs. L’écran devient ainsi l’espace de la fusion, de la confusion des images.
Programme détaillé :
Telemach Wiesinger, 1:1, 2021 (16mm / n&b / sonore / 30' 00)
Christophe Guérin, Cross, 2014 (Super 8mm / n&b / sonore / 4' 49)
Tomonari Nishikawa, Shibuya – Tokyo, 2010 (16mm / couleur / sonore / 10' 00)
Siegfried Alexander Fruhauf, Exposed, 2001 (16mm / n&b / sonore / 9' 00)
Date(s)
- 12 avril 2023
Tarif(s)
Gratuit
Entrée libre, rendez-vous à l’accueil du musée
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur
© Birgit Hein
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Baby I will make you sweat représente une quête personnelle sur la sexualité, la moralité et la féminité, alors que la cinéaste, née en 1941, met en jeu son âge.
Elle souhaite plus particulièrement bousculer les idées reçues sur la sexualité des hommes et des femmes vieillissants. Pour elle, le fait de vieillir ne doit pas nécessairement induire la honte. Ce film a été initialement tourné en vidéo 8 puis transféré en film à partir du refilmage d'une projection, ce qui explique que les images aient perdu leur contraste mais gagné une nature plus picturale
Programme détaillé :
Birgit Hein, Baby I will make you sweat, 1994 (16 mm / couleur / sonore / 63' 00)
Elle souhaite plus particulièrement bousculer les idées reçues sur la sexualité des hommes et des femmes vieillissants. Pour elle, le fait de vieillir ne doit pas nécessairement induire la honte. Ce film a été initialement tourné en vidéo 8 puis transféré en film à partir du refilmage d'une projection, ce qui explique que les images aient perdu leur contraste mais gagné une nature plus picturale
Programme détaillé :
Birgit Hein, Baby I will make you sweat, 1994 (16 mm / couleur / sonore / 63' 00)
Date(s)
- 08 mars 2023
Tarif(s)
Gratuit
Entrée libre, rendez-vous à l’accueil du musée
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur
© Jacques Perconte
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En écho à l’exposition Météorologiques, ce programme décline quelques variations autour du « temps qu’il fait ».
Le vent, le brouillard, la pluie ou la neige ne sont plus simplement un facteur parmi d’autres dans la composition de l’image ou le déroulement de l’action, mais agissent comme sujet du film. A l’abri de la salle obscure, ce que le spectateur observe parfois avec distraction sera au cœur de l’attention. Une façon aussi de nous rappeler que nous ne commandons pas les conditions atmosphériques qui s’imposent à nous.
Programme détaillé :
Inger Lise Hansen, TÅKE, 2018 (16mm & 2K & Super 16mm & Super 8mm / coul-n&b / sonore / 14' 57)
Jussi Eerola, Blue Honda civic, 2020 (vidéo / coul / sonore / 10’45)
Jacques Perconte, Or/Aour, Vienna, 2019 (2K / couleur / sonore / 11' 21)
Thomas Köner, Nuuk, 2004 (mini DV / couleur / sonore / 6' 30)
Flatform, Movements of an impossible time, 2011 (HD / couleur / sonore / 8’05)
Le vent, le brouillard, la pluie ou la neige ne sont plus simplement un facteur parmi d’autres dans la composition de l’image ou le déroulement de l’action, mais agissent comme sujet du film. A l’abri de la salle obscure, ce que le spectateur observe parfois avec distraction sera au cœur de l’attention. Une façon aussi de nous rappeler que nous ne commandons pas les conditions atmosphériques qui s’imposent à nous.
Programme détaillé :
Inger Lise Hansen, TÅKE, 2018 (16mm & 2K & Super 16mm & Super 8mm / coul-n&b / sonore / 14' 57)
Jussi Eerola, Blue Honda civic, 2020 (vidéo / coul / sonore / 10’45)
Jacques Perconte, Or/Aour, Vienna, 2019 (2K / couleur / sonore / 11' 21)
Thomas Köner, Nuuk, 2004 (mini DV / couleur / sonore / 6' 30)
Flatform, Movements of an impossible time, 2011 (HD / couleur / sonore / 8’05)
Date(s)
- 08 février 2023
Tarif(s)
Gratuit
Entrée libre, rendez-vous à l’accueil du musée
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur
© Emmanuel Piton
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L’invention du split screen (écran divisé) est presque aussi ancienne que le cinéma, mais il ne se donne à voir en tant que tel que plus tardivement (à la fin des années 1960) en agissant comme un principe de montage spatial, combiné au montage temporel.
Les différentes actions d’une séquence sont en co-présence sur l’écran, créant ainsi de nouvelles possibilités d’organisation du récit.
Ce programme témoigne du potentiel expressif de ce procédé, largement exploré dans le cinéma expérimental, en toute liberté.
Programme détaillé :
Noé Grenier, Les images qui vont suivre n’ont jamais existé, 2021-2022 (16mm / coul-n&b / sonore / 7' 12)
Emmanuel Piton, Exposed, 2017 (Super 8mm / coul-n&b / sonore / 6' 38)
Scott Hammen, Framelines, 2013 (16mm / couleur / silencieux / 9' 20)
Victoria Keddie, Camera tension, 2018 (vidéo / couleur / sonore / 3' 35)
Stuart Pond, Drift through mirrors, 2022 (vidéo / n&b teinté / sonore / 4' 56)
Yann Beauvais & Vivian Ostrovsky, Work and progress, 1999 (16mm / coul-n&b / sonore / 12' 00)
Philippe Leonard, Roundtrip, 2014 (16mm / couleur / silencieux / 3' 00)
Siegfried Alexander Fruhauf, Structural filmwaste. Dissolution 1, 2003 (n&b / sonore / 4' 00)
Colectivo Los Ingrávidos, Itzcoatl, 2016 (35mm / couleur / sonore / 5' 02)
Les différentes actions d’une séquence sont en co-présence sur l’écran, créant ainsi de nouvelles possibilités d’organisation du récit.
Ce programme témoigne du potentiel expressif de ce procédé, largement exploré dans le cinéma expérimental, en toute liberté.
Programme détaillé :
Noé Grenier, Les images qui vont suivre n’ont jamais existé, 2021-2022 (16mm / coul-n&b / sonore / 7' 12)
Emmanuel Piton, Exposed, 2017 (Super 8mm / coul-n&b / sonore / 6' 38)
Scott Hammen, Framelines, 2013 (16mm / couleur / silencieux / 9' 20)
Victoria Keddie, Camera tension, 2018 (vidéo / couleur / sonore / 3' 35)
Stuart Pond, Drift through mirrors, 2022 (vidéo / n&b teinté / sonore / 4' 56)
Yann Beauvais & Vivian Ostrovsky, Work and progress, 1999 (16mm / coul-n&b / sonore / 12' 00)
Philippe Leonard, Roundtrip, 2014 (16mm / couleur / silencieux / 3' 00)
Siegfried Alexander Fruhauf, Structural filmwaste. Dissolution 1, 2003 (n&b / sonore / 4' 00)
Colectivo Los Ingrávidos, Itzcoatl, 2016 (35mm / couleur / sonore / 5' 02)
Date(s)
- 11 janvier 2023
Tarif(s)
Gratuit
Entrée libre, rendez-vous à l’accueil du musée
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur
© Christophe Urbain
En chemin Klezmer
Un voyage lumineux sur les routes de la musique juive, de Ravel à aujourd’hui. Lâchez prise, cette sensation de liberté ne vous quittera pas !
Fermez les yeux et suivez le son de cette clarinette qui vous guide dans un chemin de traverse, celui du territoire yiddish.
Vous voilà plongés dans l’incroyable vivacité de cette musique d’Europe de l’Est qui ne cesse de se renouveler. Au détour d’un chemin, c’est Ravel qui fait miroiter ses effets de couleurs dans Kaddish, une prière pour les morts. Puis vous rencontrez l’argentin Golijov qui met en musique Les rêves et les prières d’Isaac l’aveugle, animé par l’incandescence de son quintette. Voyez comme la musique klezmer avive la flamme de la création contemporaine !
La pérégrination se termine dans les accents tziganes et le panache d’une grande fête orchestrée par le compositeur russo-canadien Ichmouratov. Qui a dit que cette journée allait être ordinaire ?
En partenariat avec l’Opéra de Rouen Normandie
Avec :
Naaman Sluchin, Elena Pease, violons
Patrick Dussart, alto
Hélène Latour, violoncelle
Lucas Dietsch, clarinette
Au programme :
Airat Ichmouratov, One Day Almost Ordinary Life pour clarinette et quatuor à cordes
Osvaldo Golijov, Quintette pour clarinette et cordes
Maurice Ravel, Kaddish, arrangement pour quatuor à cordes
Un voyage lumineux sur les routes de la musique juive, de Ravel à aujourd’hui. Lâchez prise, cette sensation de liberté ne vous quittera pas !
Fermez les yeux et suivez le son de cette clarinette qui vous guide dans un chemin de traverse, celui du territoire yiddish.
Vous voilà plongés dans l’incroyable vivacité de cette musique d’Europe de l’Est qui ne cesse de se renouveler. Au détour d’un chemin, c’est Ravel qui fait miroiter ses effets de couleurs dans Kaddish, une prière pour les morts. Puis vous rencontrez l’argentin Golijov qui met en musique Les rêves et les prières d’Isaac l’aveugle, animé par l’incandescence de son quintette. Voyez comme la musique klezmer avive la flamme de la création contemporaine !
La pérégrination se termine dans les accents tziganes et le panache d’une grande fête orchestrée par le compositeur russo-canadien Ichmouratov. Qui a dit que cette journée allait être ordinaire ?
En partenariat avec l’Opéra de Rouen Normandie
Avec :
Naaman Sluchin, Elena Pease, violons
Patrick Dussart, alto
Hélène Latour, violoncelle
Lucas Dietsch, clarinette
Au programme :
Airat Ichmouratov, One Day Almost Ordinary Life pour clarinette et quatuor à cordes
Osvaldo Golijov, Quintette pour clarinette et cordes
Maurice Ravel, Kaddish, arrangement pour quatuor à cordes
Date(s)
- 17 décembre 2022
Tarif(s)
Gratuit
Essaimer © Laure Delamotte-Legrand
Essaimer
Nous poursuivons nos échanges avec la chorégraphe et interprète Margot Dorléans, toujours dans le cadre du Festival Plein Phare.
Ce samedi 3 décembre, elle nous présentera, avec son équipe, une étape de travail* autour d’une pièce en cours de création, Essaimer dont le projet résonne lui aussi avec les œuvres accueillies au MuMa cette année, et plus largement, avec celles de ses collections permanentes, fortement imprégnées des questions liées au paysage et à ses éléments.
« Ce projet est le fruit d’une démarche qui cherche à se rapprocher d’un paysage et à y inscrire le corps en mouvement.
Comment nous servir du corps pour rencontrer le paysage, l’habiter, le faire entrer en nous pour en célébrer la nature ?
En rassemblant une équipe pluridisciplinaire il s’agit d’œuvrer à construire ensemble un univers sensible autour de la matérialité du roseau comme une invitation à ressentir et à vivre le territoire pour mieux repenser nos manières de l’habiter. Cette recherche aboutira à la création d’une vidéo-danse in-situ et à une performance ex-situ conçue comme une installation immersive où les différents matériaux (sonores, vidéo, plastiques et chorégraphiques) dialoguent ensemble pour donner à vivre le paysage autrement. »
*Création prévue à l’automne 2023
>>> Teaser du Festival Plein Phare <<<
En partenariat avec Le Phare – Centre chorégraphique du Havre Normandie
https://www.lephare-ccn.fr/
Conception, Chorégraphie et Interprétation Margot Dorléans
En collaboration avec (distribution en cours) :
Flora Pilet et Véronique Weil, danseuses,
Clément Edouard, musicien,
Laure Delamotte-Legrand, photographe / vidéaste et plasticienne,
David Baptista, architecte (Association Rozeau),
Bureau Les Yeux Dans Les Mots, administration de production
Production Du Vivant Sous Les Plis
Avec le soutien du CCN de Caen en Normandie, La Réserve Naturelle de l’Estuaire de la Seine, Cie Arkanso et Le Trident Scène nationale de Cherbourg-en-Cotentin (Festival Regards Dansants), L’Étincelle, Théâtre(s) de la Ville de Rouen, Territoires Pionniers I Maison de l’architecture - Normandie
La compagnie Du Vivant Sous Les Plis est soutenue par la DRAC Normandie, la Région Normandie, le Département de Seine-Maritime, la Ville du Havre et l’ODIA Normandie
Nous poursuivons nos échanges avec la chorégraphe et interprète Margot Dorléans, toujours dans le cadre du Festival Plein Phare.
Ce samedi 3 décembre, elle nous présentera, avec son équipe, une étape de travail* autour d’une pièce en cours de création, Essaimer dont le projet résonne lui aussi avec les œuvres accueillies au MuMa cette année, et plus largement, avec celles de ses collections permanentes, fortement imprégnées des questions liées au paysage et à ses éléments.
« Ce projet est le fruit d’une démarche qui cherche à se rapprocher d’un paysage et à y inscrire le corps en mouvement.
Comment nous servir du corps pour rencontrer le paysage, l’habiter, le faire entrer en nous pour en célébrer la nature ?
En rassemblant une équipe pluridisciplinaire il s’agit d’œuvrer à construire ensemble un univers sensible autour de la matérialité du roseau comme une invitation à ressentir et à vivre le territoire pour mieux repenser nos manières de l’habiter. Cette recherche aboutira à la création d’une vidéo-danse in-situ et à une performance ex-situ conçue comme une installation immersive où les différents matériaux (sonores, vidéo, plastiques et chorégraphiques) dialoguent ensemble pour donner à vivre le paysage autrement. »
*Création prévue à l’automne 2023
>>> Teaser du Festival Plein Phare <<<
En partenariat avec Le Phare – Centre chorégraphique du Havre Normandie
https://www.lephare-ccn.fr/
Conception, Chorégraphie et Interprétation Margot Dorléans
En collaboration avec (distribution en cours) :
Flora Pilet et Véronique Weil, danseuses,
Clément Edouard, musicien,
Laure Delamotte-Legrand, photographe / vidéaste et plasticienne,
David Baptista, architecte (Association Rozeau),
Bureau Les Yeux Dans Les Mots, administration de production
Production Du Vivant Sous Les Plis
Avec le soutien du CCN de Caen en Normandie, La Réserve Naturelle de l’Estuaire de la Seine, Cie Arkanso et Le Trident Scène nationale de Cherbourg-en-Cotentin (Festival Regards Dansants), L’Étincelle, Théâtre(s) de la Ville de Rouen, Territoires Pionniers I Maison de l’architecture - Normandie
La compagnie Du Vivant Sous Les Plis est soutenue par la DRAC Normandie, la Région Normandie, le Département de Seine-Maritime, la Ville du Havre et l’ODIA Normandie
Date(s)
- 03 décembre 2022
Tarif(s)
Gratuit
Sur réservation ici / COMPLET
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur
© Alexandre Sauvaire
En écho à l’exposition « Météorologiques », et spécialement conçu pour dialoguer avec les œuvres que nous présentons, la pianiste Pascale Berthelot nous propose un programme autour des Triadic Memories de Morton Feldman, qu’elle introduira par quelques préludes de Claude Debussy.
Claude Debussy qui disait :
« N’écoute les conseils de personne, sinon du vent qui passe et nous raconte les histoires du monde. »
Alors, mettons nos sens en éveil pour se laisser bercer, absorber par quelques météores et leurs traductions picturales, sonores… à l’occasion de ce concert qui pourra s’écouter allongé, en balade… Bref, un moment sensible de liberté !
Durée : 2 heures
Première Partie : Préludes de Claude Debussy / 20min. environ
Deuxième Partie : Triadic Memories de Morton Feldman / 1h30 environ
Pendant cette seconde partie, chacun sera libre de rester assis ou bien de s'allonger, déambuler dans l'exposition, lire un livre...
Présentation détaillée de l’artiste :
« Pascale Berthelot est une musicienne d’une sensibilité, et je devrai dire ; d’une sensitivité hors du commun. La musique est pour elle une expérience de l’esprit et du corps, une transcendance de chaque jour ». (Gérard Pesson, compositeur)
Diplômée du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Lyon dans les classes de piano, interprétation et analyse du répertoire XX-XXI ème siècle et pédagogie et de l’institut de formation et de recherche en art-thérapie Profac, Pascale Berthelot est pianiste concertiste, improvisatrice et compositrice, pédagogue et art-thérapeute certifiée, agréée Art-Thérapie Contemporaine et membre de la Société Française de psychopathologie de l’expression et d’art-thérapie. Elle a étudié principalement la musique avec Bernard Flavigny (disciple d’Alfred Cortot et de Serge Koussevitzky), Eric Heidsieck et Claude Helffer. Elle a été boursière du centre Acanthes et lauréate de la fondation Giorgio Cini – Archivio Luigi Nono (Venise).
Invitée deux années à vivre à la Villa Medicis aux côtés de Daniel À. D’adamo – Académie de France à Rome – juste après ses études supérieures musicales, elle initie dès lors des rencontres avec des artistes reconnus de différents médiums. Ce fil lumineux, tissé de nombreuses collaborations, lui permet d’associer des œuvres du répertoire de musique ancienne, classique, romantique ou moderne à la création contemporaine et aux pratiques expérimentales et improvisées. Due à cette versatilité d’esthétiques, de ressources et de moyens, son approche de l’improvisation peut être perçue comme une recherche sonore, en faveur d’une surprenante et subtile indétermination qui peut s’entendre comme un processus de clarification et de libération du son. En tant que soliste ou en formations de chambre, elle a fait entre autres la création d’œuvres pour piano solo ou piano et ensemble d’Ivan Fedele, Roger Reynolds, Tim Hodgkinson, Daniel D’Adamo, Chris Newmann, Michael Pinter, Klaus Huber, Jennifer Walshe, Michaël Maierhoff, Hauke Harder, Daniele Venturi, Loïc Guénin, Gérard Pesson… Elle a collaboré avec la compagnie de danse de Benjamin Millepieds LA Dance project et Laurent Pichaud ( X-Sud et Laboratoires d’Aubervillier), avec des artistes plasticiens comme Marie Denis, Jean-luc Moulène, Isa Melsheimer, Michael Raedecker, Eberhard Ross et a joué au sein d’installations hybrides du collectif Berlinois LOSE COMBO, mêlant performance, concert, son, lumière et vidéo dans des espaces temporels délimités singulièrement.
Elle a enregistré pour Sony et Mode Records et est actuellement directrice artistique de la collection Cuicatl dédiée aux musiques contemporaines et expérimentales pour le label La Buissonne de Gérard de Haro diffusé par ECM records, récompensée par l’Académie Charles Cros et saluée internationalement par la critique. Depuis 2004, Pascale Berthelot s’est engagée pour le soutien de la fondation Kantha Bopha au bénéfice des hôpitaux pédiatriques de Phnom Penh et Siem Reap au Cambodge.
https://pascaleberthelot.com
Concert initialement prévu dans le cadre du Festival Piano is not dead
http://pianoisnotdead.fr
Avec la collaboration de Pour les oiseaux
https://pourlesoiseaux.fr
Claude Debussy qui disait :
« N’écoute les conseils de personne, sinon du vent qui passe et nous raconte les histoires du monde. »
Alors, mettons nos sens en éveil pour se laisser bercer, absorber par quelques météores et leurs traductions picturales, sonores… à l’occasion de ce concert qui pourra s’écouter allongé, en balade… Bref, un moment sensible de liberté !
Durée : 2 heures
Première Partie : Préludes de Claude Debussy / 20min. environ
Deuxième Partie : Triadic Memories de Morton Feldman / 1h30 environ
Pendant cette seconde partie, chacun sera libre de rester assis ou bien de s'allonger, déambuler dans l'exposition, lire un livre...
Présentation détaillée de l’artiste :
« Pascale Berthelot est une musicienne d’une sensibilité, et je devrai dire ; d’une sensitivité hors du commun. La musique est pour elle une expérience de l’esprit et du corps, une transcendance de chaque jour ». (Gérard Pesson, compositeur)
Diplômée du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Lyon dans les classes de piano, interprétation et analyse du répertoire XX-XXI ème siècle et pédagogie et de l’institut de formation et de recherche en art-thérapie Profac, Pascale Berthelot est pianiste concertiste, improvisatrice et compositrice, pédagogue et art-thérapeute certifiée, agréée Art-Thérapie Contemporaine et membre de la Société Française de psychopathologie de l’expression et d’art-thérapie. Elle a étudié principalement la musique avec Bernard Flavigny (disciple d’Alfred Cortot et de Serge Koussevitzky), Eric Heidsieck et Claude Helffer. Elle a été boursière du centre Acanthes et lauréate de la fondation Giorgio Cini – Archivio Luigi Nono (Venise).
Invitée deux années à vivre à la Villa Medicis aux côtés de Daniel À. D’adamo – Académie de France à Rome – juste après ses études supérieures musicales, elle initie dès lors des rencontres avec des artistes reconnus de différents médiums. Ce fil lumineux, tissé de nombreuses collaborations, lui permet d’associer des œuvres du répertoire de musique ancienne, classique, romantique ou moderne à la création contemporaine et aux pratiques expérimentales et improvisées. Due à cette versatilité d’esthétiques, de ressources et de moyens, son approche de l’improvisation peut être perçue comme une recherche sonore, en faveur d’une surprenante et subtile indétermination qui peut s’entendre comme un processus de clarification et de libération du son. En tant que soliste ou en formations de chambre, elle a fait entre autres la création d’œuvres pour piano solo ou piano et ensemble d’Ivan Fedele, Roger Reynolds, Tim Hodgkinson, Daniel D’Adamo, Chris Newmann, Michael Pinter, Klaus Huber, Jennifer Walshe, Michaël Maierhoff, Hauke Harder, Daniele Venturi, Loïc Guénin, Gérard Pesson… Elle a collaboré avec la compagnie de danse de Benjamin Millepieds LA Dance project et Laurent Pichaud ( X-Sud et Laboratoires d’Aubervillier), avec des artistes plasticiens comme Marie Denis, Jean-luc Moulène, Isa Melsheimer, Michael Raedecker, Eberhard Ross et a joué au sein d’installations hybrides du collectif Berlinois LOSE COMBO, mêlant performance, concert, son, lumière et vidéo dans des espaces temporels délimités singulièrement.
Elle a enregistré pour Sony et Mode Records et est actuellement directrice artistique de la collection Cuicatl dédiée aux musiques contemporaines et expérimentales pour le label La Buissonne de Gérard de Haro diffusé par ECM records, récompensée par l’Académie Charles Cros et saluée internationalement par la critique. Depuis 2004, Pascale Berthelot s’est engagée pour le soutien de la fondation Kantha Bopha au bénéfice des hôpitaux pédiatriques de Phnom Penh et Siem Reap au Cambodge.
https://pascaleberthelot.com
Concert initialement prévu dans le cadre du Festival Piano is not dead
http://pianoisnotdead.fr
Avec la collaboration de Pour les oiseaux
https://pourlesoiseaux.fr
Date(s)
- 18 février 2023
Tarif(s)
Gratuit
Incarnation © Laure Delamotte-Legrand
Incarnation
Dans le cadre du Festival Plein Phare, le MuMa accueille de nouveau la chorégraphe et interprète Margot Dorléans avec qui se tisse un dialogue sur plusieurs temps forts.
Elle propose ici son solo Incarnation :
« Incarnation est un dispositif immersif pour une danseuse, une œuvre plastique et une composition sonore où la voix s’incarne, et prend la forme d’un chant intérieur qui transforme le corps et l’espace. Une plongée par la vibration vocale au cœur des espaces corporels symboliques d’une vie interne féminine : l’espace du bassin et celui des cordes vocales, lieu physique de l’expression. Une création comme un chant intérieur d’une identité féminine. »
Une pièce qui résonnera particulièrement avec les œuvres présentées à partir du 26 novembre dans le cadre de l’exposition Météorologiques au MuMa.
>>> Teaser du Festival Plein Phare <<<
En partenariat avec Le Phare – Centre chorégraphique du Havre Normandie
https://www.lephare-ccn.fr/
Conception, chorégraphie et interprétation : Margot Dorléans
En collaboration avec :
Laure Delamotte-Legrand, scénographie
Laurent Durupt, musique
Mael Iger, lumière
Joël Cornet et Romain Renault, construction et régie générale
Jean-Baptiste Veyret-Logerias, accompagnement vocal et regard extérieur
Maxime Guillon-Roi-Sans-Sac, assistanat et regard extérieur
Salina Dumay, costume
Bureau Les Yeux Dans Les Mots, administration de production
Production Du Vivant Sous Les Plis
Coproductions Le Volcan - Scène nationale du Havre en partenariat avec Le Théâtre des Bains Douches et Le Phare - CCN du Havre Normandie ; Chorège / CDCN Falaise Normandie
Soutien à la production CCN de Caen en Normandie / direction Alban Richard
Accueil en résidence Les Franciscaines – Deauville ; L’Etincelle – Théâtre(s) de la Ville de Rouen ; La Bazooka au Wine and Beer - Le Havre ; Théâtre des Bains Douches - Le Havre
Le projet est subventionné par la DRAC Normandie, la Région Normandie et le Département de Seine-Maritime.
La compagnie Du Vivant Sous Les Plis est soutenue par la DRAC Normandie, la Région Normandie, le Département de Seine-Maritime, la Ville du Havre et l’ODIA Normandie.
Dans le cadre du Festival Plein Phare, le MuMa accueille de nouveau la chorégraphe et interprète Margot Dorléans avec qui se tisse un dialogue sur plusieurs temps forts.
Elle propose ici son solo Incarnation :
« Incarnation est un dispositif immersif pour une danseuse, une œuvre plastique et une composition sonore où la voix s’incarne, et prend la forme d’un chant intérieur qui transforme le corps et l’espace. Une plongée par la vibration vocale au cœur des espaces corporels symboliques d’une vie interne féminine : l’espace du bassin et celui des cordes vocales, lieu physique de l’expression. Une création comme un chant intérieur d’une identité féminine. »
Une pièce qui résonnera particulièrement avec les œuvres présentées à partir du 26 novembre dans le cadre de l’exposition Météorologiques au MuMa.
>>> Teaser du Festival Plein Phare <<<
En partenariat avec Le Phare – Centre chorégraphique du Havre Normandie
https://www.lephare-ccn.fr/
Conception, chorégraphie et interprétation : Margot Dorléans
En collaboration avec :
Laure Delamotte-Legrand, scénographie
Laurent Durupt, musique
Mael Iger, lumière
Joël Cornet et Romain Renault, construction et régie générale
Jean-Baptiste Veyret-Logerias, accompagnement vocal et regard extérieur
Maxime Guillon-Roi-Sans-Sac, assistanat et regard extérieur
Salina Dumay, costume
Bureau Les Yeux Dans Les Mots, administration de production
Production Du Vivant Sous Les Plis
Coproductions Le Volcan - Scène nationale du Havre en partenariat avec Le Théâtre des Bains Douches et Le Phare - CCN du Havre Normandie ; Chorège / CDCN Falaise Normandie
Soutien à la production CCN de Caen en Normandie / direction Alban Richard
Accueil en résidence Les Franciscaines – Deauville ; L’Etincelle – Théâtre(s) de la Ville de Rouen ; La Bazooka au Wine and Beer - Le Havre ; Théâtre des Bains Douches - Le Havre
Le projet est subventionné par la DRAC Normandie, la Région Normandie et le Département de Seine-Maritime.
La compagnie Du Vivant Sous Les Plis est soutenue par la DRAC Normandie, la Région Normandie, le Département de Seine-Maritime, la Ville du Havre et l’ODIA Normandie.
Date(s)
- 22 novembre 2022
Tarif(s)
Gratuit
Sur réservation ici / COMPLET
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur
© Jeanne Busato
Nuit du tourisme
A l’occasion de la Nuit du tourisme, le MuMa s’associe à l’Office de tourisme du Havre et ouvre ses portes exceptionnellement jusqu’à 23h.
Ainsi, il vous sera possible de dîner chez Les Fauves, restaurant du musée. Réservation ici
Au programme, en plus de la visite libre du musée, un atelier "Une oeuvre en soi".
Programme détaillé :
• Visite libre
Sans réservation, gratuit, rendez-vous à l’accueil du musée
A noter : seules une partie des collections permanentes seront visibles en raison de la préparation de la prochaine exposition temporaire du musée
• Atelier : Une oeuvre en soi
de 19h à 22h
Pour la nuit du tourisme le musée vous propose de devenir peinture vivante.
Alors soyez créatif et venez recréer l’œuvre d’art de votre choix !
A l’occasion de la Nuit du tourisme, le MuMa s’associe à l’Office de tourisme du Havre et ouvre ses portes exceptionnellement jusqu’à 23h.
Ainsi, il vous sera possible de dîner chez Les Fauves, restaurant du musée. Réservation ici
Au programme, en plus de la visite libre du musée, un atelier "Une oeuvre en soi".
Programme détaillé :
• Visite libre
Sans réservation, gratuit, rendez-vous à l’accueil du musée
A noter : seules une partie des collections permanentes seront visibles en raison de la préparation de la prochaine exposition temporaire du musée
• Atelier : Une oeuvre en soi
de 19h à 22h
Pour la nuit du tourisme le musée vous propose de devenir peinture vivante.
Alors soyez créatif et venez recréer l’œuvre d’art de votre choix !
Date(s)
- 29 octobre 2022
Tarif(s)
Gratuit
Entrée libre
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur