MuMa (salle de conférence)

James Whistler, Nocturne en noir et or-La boule de feu, 1875. Detroit
Par Itzakh Goldberg, historien de l’art, critique d’art et commissaire d’exposition, spécialiste de l’art moderne et contemporain.
« A priori, tout oppose la nuit aux visées de la peinture. Cette discipline, qui tente de former au moins depuis la Renaissance une perception claire et cohérente de l'homme dans un environnement architectural ou naturel, a tout à craindre de la voie lactée qui oblitère les contours des formes et brouille les distances. Mais, curieusement, la composition picturale tracée par la perspective linéaire, évoque immédiatement un dispositif baptisé justement camera obscura, chambre noire.
Il faut toutefois attendre les romantiques pour qui la nuit - en réaction au siècle des Lumières ? - met en scène le moment où les contours précis se perdent, où la réalité se dérobe à son apparence habituelle. Ce dialogue avec les zones obscures de la nature introduit pour la première fois l'intuitif, l’irrationnel, que l’on peut assimiler parfois à l'invisible, sera poursuivi par toute une partie de la modernité.
Cependant, une remarque s'impose immédiatement au sujet de la distinction entre nuit et obscurité. La nuit restera toujours un phénomène naturel, cyclique, tandis que l'obscurité, cette simple opacité de la lumière, peut se produire indépendamment de l'heure de la journée. Dans l'univers pictural il est souvent difficile de faire une différence entre l'obscurité ou tout simplement l'emploi massif de la couleur noire sur la toile. Cette difficulté, voire l'impossibilité de distinguer entre ces différents phénomènes, est la source d’une certaine ambiguïté mais aussi toute la richesse de ce thème.
La dissolution des formes qui s’estompent sous une lumière incertaine annonce l’avènement de la non-figuration. Le dialogue avec l’obscurité devient parfois prétexte pour une expérience radicale de la peinture (voire le Carrée noir sur blanc, 1915, de Malevitch). A l’aide d’exemples précis on suivra ce parcours dans la nuit. »
Itzakh Goldberg
« A priori, tout oppose la nuit aux visées de la peinture. Cette discipline, qui tente de former au moins depuis la Renaissance une perception claire et cohérente de l'homme dans un environnement architectural ou naturel, a tout à craindre de la voie lactée qui oblitère les contours des formes et brouille les distances. Mais, curieusement, la composition picturale tracée par la perspective linéaire, évoque immédiatement un dispositif baptisé justement camera obscura, chambre noire.
Il faut toutefois attendre les romantiques pour qui la nuit - en réaction au siècle des Lumières ? - met en scène le moment où les contours précis se perdent, où la réalité se dérobe à son apparence habituelle. Ce dialogue avec les zones obscures de la nature introduit pour la première fois l'intuitif, l’irrationnel, que l’on peut assimiler parfois à l'invisible, sera poursuivi par toute une partie de la modernité.
Cependant, une remarque s'impose immédiatement au sujet de la distinction entre nuit et obscurité. La nuit restera toujours un phénomène naturel, cyclique, tandis que l'obscurité, cette simple opacité de la lumière, peut se produire indépendamment de l'heure de la journée. Dans l'univers pictural il est souvent difficile de faire une différence entre l'obscurité ou tout simplement l'emploi massif de la couleur noire sur la toile. Cette difficulté, voire l'impossibilité de distinguer entre ces différents phénomènes, est la source d’une certaine ambiguïté mais aussi toute la richesse de ce thème.
La dissolution des formes qui s’estompent sous une lumière incertaine annonce l’avènement de la non-figuration. Le dialogue avec l’obscurité devient parfois prétexte pour une expérience radicale de la peinture (voire le Carrée noir sur blanc, 1915, de Malevitch). A l’aide d’exemples précis on suivra ce parcours dans la nuit. »
Itzakh Goldberg
Date(s)
- 20 octobre 2020
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
A savoir : Ces conditions pourraient évoluer au regard de la situation sanitaire. Pensez à vous tenir au courant sur les conditions d’accueil à l’approche du rendez-vous ! Merci de votre compréhension.
Port du masque obligatoire
Port du masque obligatoire

Pierre Dubreuil, La Grande Roue des Tuileries, vers 1900, Épreuve à la gomme bichromatée, 20,7 x 18,9 cm. Paris. © Musée d'Orsay
Par François Blanchetière, Conservateur du patrimoine au Musée d’Orsay
« Si le paysage est la grande affaire de la peinture au XIXe siècle, on a jusqu'ici fort peu exploré son versant nocturne - une lacune que l'exposition « Nuits électriques » contribue à combler en s'attachant aux conséquences de l'apparition de l'éclairage électrique dans les villes.
La conférence proposera de la placer dans un contexte plus large, en examinant tout d'abord la tradition ancienne du paysage nocturne et les moyens plastiques mis en œuvre par les peintres pour rendre les effets lumineux spécifiques de la nuit. Ces effets ont dû être adaptés par les artistes quand l'éclairage artificiel s'est développé, et l'on verra que la cohabitation de lumières de différentes natures a donné des résultats tout à fait fascinants.
Enfin, nous examinerons la manière dont les photographes, pour leur part, ont tâché de s'approprier l'esthétique du paysage nocturne, dès lors que les techniques leur en ont donné la possibilité, dans une quête de « pictorialité » qui mérite certainement d'être revalorisée. » François Blanchetière
« Si le paysage est la grande affaire de la peinture au XIXe siècle, on a jusqu'ici fort peu exploré son versant nocturne - une lacune que l'exposition « Nuits électriques » contribue à combler en s'attachant aux conséquences de l'apparition de l'éclairage électrique dans les villes.
La conférence proposera de la placer dans un contexte plus large, en examinant tout d'abord la tradition ancienne du paysage nocturne et les moyens plastiques mis en œuvre par les peintres pour rendre les effets lumineux spécifiques de la nuit. Ces effets ont dû être adaptés par les artistes quand l'éclairage artificiel s'est développé, et l'on verra que la cohabitation de lumières de différentes natures a donné des résultats tout à fait fascinants.
Enfin, nous examinerons la manière dont les photographes, pour leur part, ont tâché de s'approprier l'esthétique du paysage nocturne, dès lors que les techniques leur en ont donné la possibilité, dans une quête de « pictorialité » qui mérite certainement d'être revalorisée. » François Blanchetière
Date(s)
- 29 septembre 2020
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
A savoir : Ces conditions pourraient évoluer au regard de la situation sanitaire. Pensez à vous tenir au courant sur les conditions d’accueil à l’approche du rendez-vous ! Merci de votre compréhension.
Port du masque obligatoire
Port du masque obligatoire

. © Arianne Olthaar
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En écho à l’exposition Nuits électriques qui s'est tenu cet été au MuMa.
Des Nuits électriques de Berlin, Londres et Prague, filmées en 1928 par Eugène Deslaw à l’aube glauque des sinistres banlieues saisies par Thomas Köner, Nocturama se déroule comme autant de visions de la nuit urbaine.
Usines de la zone industrielle de Montréal, train suspendu – celui d’Alice dans les Villes, enseignes lumineuses de Tokyo ou de San Francisco, rues désertes de l’East End londonien participent à ce spectacle nocturne où les lumières électriques recomposent l’espace urbain : la ville se métamorphose, se faisant tour à tour stimulante, inquiétante, inspirante.
Programme :
Emilie Serri, À l’est des vents, 2009, 6’06
Richard Tuohy, Ginza strip, 2014, 9’00
Paul Clipson, Chorus, 2009, 7’00
Eugène Deslaw, Nuits électriques, 1928, 13’00
Arianne Olthaar, Schwebebahn, 2016, 3’38
Théodora Barat, Or anything at all except the dark pavement, 2011, 5’00
Emily Richardson, Nocturne, 2002, 5’00
Thomas Köner, Suburbs of the void, 2004, 13’00
Une fois par mois, d’octobre à mai, le MuMa invite le public à explorer le vaste territoire de l’image en mouvement* avec MuMaBoX.
Ce rendez-vous régulier propose de porter un regard sur des oeuvres dont la richesse et la diversité ouvrent des horizons nouveaux : dans une logique de décloisonnement des genres et des supports, pionniers et jeunes artistes de toutes provenances se côtoient dans cet espace de diffusion ouvert à tous.
Au fil des années, la programmation s’est nourrie d’événements réguliers : la saison ouvre avec la rencontre d’un artiste et se clôt avec celle d’un chercheur. Entre les deux, se succèdent projections consacrées au film documentaire, séances thématiques ou monographiques qui peuvent faire écho aux expositions du musée.
Pour cette 11e saison, le partenariat avec l’ESADHaR se poursuit. Il permet d’intégrer le cycle de projections dans le cursus des étudiants qui peuvent ainsi valoriser leur expérience de MuMaBoX, dispositif exceptionnel pour un musée de province.
* cinéma de recherche, expérimental, art vidéo, animation, documentaire…
Programmation : Christophe Guérin
Pour recevoir la lettre d’information électronique : mumabox@laposte.net
Des Nuits électriques de Berlin, Londres et Prague, filmées en 1928 par Eugène Deslaw à l’aube glauque des sinistres banlieues saisies par Thomas Köner, Nocturama se déroule comme autant de visions de la nuit urbaine.
Usines de la zone industrielle de Montréal, train suspendu – celui d’Alice dans les Villes, enseignes lumineuses de Tokyo ou de San Francisco, rues désertes de l’East End londonien participent à ce spectacle nocturne où les lumières électriques recomposent l’espace urbain : la ville se métamorphose, se faisant tour à tour stimulante, inquiétante, inspirante.
Programme :
Emilie Serri, À l’est des vents, 2009, 6’06
Richard Tuohy, Ginza strip, 2014, 9’00
Paul Clipson, Chorus, 2009, 7’00
Eugène Deslaw, Nuits électriques, 1928, 13’00
Arianne Olthaar, Schwebebahn, 2016, 3’38
Théodora Barat, Or anything at all except the dark pavement, 2011, 5’00
Emily Richardson, Nocturne, 2002, 5’00
Thomas Köner, Suburbs of the void, 2004, 13’00
Une fois par mois, d’octobre à mai, le MuMa invite le public à explorer le vaste territoire de l’image en mouvement* avec MuMaBoX.
Ce rendez-vous régulier propose de porter un regard sur des oeuvres dont la richesse et la diversité ouvrent des horizons nouveaux : dans une logique de décloisonnement des genres et des supports, pionniers et jeunes artistes de toutes provenances se côtoient dans cet espace de diffusion ouvert à tous.
Au fil des années, la programmation s’est nourrie d’événements réguliers : la saison ouvre avec la rencontre d’un artiste et se clôt avec celle d’un chercheur. Entre les deux, se succèdent projections consacrées au film documentaire, séances thématiques ou monographiques qui peuvent faire écho aux expositions du musée.
Pour cette 11e saison, le partenariat avec l’ESADHaR se poursuit. Il permet d’intégrer le cycle de projections dans le cursus des étudiants qui peuvent ainsi valoriser leur expérience de MuMaBoX, dispositif exceptionnel pour un musée de province.
* cinéma de recherche, expérimental, art vidéo, animation, documentaire…
Programmation : Christophe Guérin
Pour recevoir la lettre d’information électronique : mumabox@laposte.net
Date(s)
- 16 décembre 2020
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
Port du masque obligatoire

. © Christophe Guérin
- -
10 ans. 10 ans déjà que MuMaBoX nous régale d’images en tout genre. Pour le plaisir, oui. Mais pas uniquement.
À bien y regarder de près, le programme s’est imposé, saison après saison, comme le cœur d’une réflexion aux multiples facettes. Il s’est agi de faire découvrir, posant des jalons historiques et conceptuels, la diversité de « l’image en mouvement ». Il s’est agi de donner corps, proposant des projections de tous ordres, à la matérialité et à la technicité de ce champ. Il s’est agi enfin de donner la parole – donner la parole à des artistes de tous horizons à travers leurs films, donner la parole à des réalisateurs à propos de leur travail, donner la parole, aussi, aux spectateurs de MuMaBoX, pour soulever des interrogations, exprimer un étonnement, proposer un point de vue…
Pour le MuMa, ces cycles de projection sont devenus l’un des pivots essentiels de son ouverture aux publics et aux créateurs.
Alors, pas peu fier de ce programme – car il faut dire aussi son caractère unique : qui peut s’enorgueillir en France aujourd’hui de proposer des projections de films rares dans leur format d’origine et gratuitement, excepté dans certaines salles parisiennes ? – et pour marquer le début de cette 11e saison, nous vous proposons une sélection très (très) subjective de films ayant jalonnés ces dix années. Un point, non pas final, mais virgule, posé là pour tout à la fois clore un chapitre de l’histoire de MuMaBoX et en entamer un autre, que nous espérons aussi réjouissant, ouvert, exigeant, curieux et généreux… que le premier.
Une fois par mois, d’octobre à mai, le MuMa invite le public à explorer le vaste territoire de l’image en mouvement* avec MuMaBoX.
Ce rendez-vous régulier propose de porter un regard sur des oeuvres dont la richesse et la diversité ouvrent des horizons nouveaux : dans une logique de décloisonnement des genres et des supports, pionniers et jeunes artistes de toutes provenances se côtoient dans cet espace de diffusion ouvert à tous.
Au fil des années, la programmation s’est nourrie d’événements réguliers : la saison ouvre avec la rencontre d’un artiste et se clôt avec celle d’un chercheur. Entre les deux, se succèdent projections consacrées au film documentaire, séances thématiques ou monographiques qui peuvent faire écho aux expositions du musée.
Pour cette 11e saison, le partenariat avec l’ESADHaR se poursuit. Il permet d’intégrer le cycle de projections dans le cursus des étudiants qui peuvent ainsi valoriser leur expérience de MuMaBoX, dispositif exceptionnel pour un musée de province.
* cinéma de recherche, expérimental, art vidéo, animation, documentaire…
Programmation : Christophe Guérin
Pour recevoir la lettre d’information électronique : mumabox@laposte.net
À bien y regarder de près, le programme s’est imposé, saison après saison, comme le cœur d’une réflexion aux multiples facettes. Il s’est agi de faire découvrir, posant des jalons historiques et conceptuels, la diversité de « l’image en mouvement ». Il s’est agi de donner corps, proposant des projections de tous ordres, à la matérialité et à la technicité de ce champ. Il s’est agi enfin de donner la parole – donner la parole à des artistes de tous horizons à travers leurs films, donner la parole à des réalisateurs à propos de leur travail, donner la parole, aussi, aux spectateurs de MuMaBoX, pour soulever des interrogations, exprimer un étonnement, proposer un point de vue…
Pour le MuMa, ces cycles de projection sont devenus l’un des pivots essentiels de son ouverture aux publics et aux créateurs.
Alors, pas peu fier de ce programme – car il faut dire aussi son caractère unique : qui peut s’enorgueillir en France aujourd’hui de proposer des projections de films rares dans leur format d’origine et gratuitement, excepté dans certaines salles parisiennes ? – et pour marquer le début de cette 11e saison, nous vous proposons une sélection très (très) subjective de films ayant jalonnés ces dix années. Un point, non pas final, mais virgule, posé là pour tout à la fois clore un chapitre de l’histoire de MuMaBoX et en entamer un autre, que nous espérons aussi réjouissant, ouvert, exigeant, curieux et généreux… que le premier.
Une fois par mois, d’octobre à mai, le MuMa invite le public à explorer le vaste territoire de l’image en mouvement* avec MuMaBoX.
Ce rendez-vous régulier propose de porter un regard sur des oeuvres dont la richesse et la diversité ouvrent des horizons nouveaux : dans une logique de décloisonnement des genres et des supports, pionniers et jeunes artistes de toutes provenances se côtoient dans cet espace de diffusion ouvert à tous.
Au fil des années, la programmation s’est nourrie d’événements réguliers : la saison ouvre avec la rencontre d’un artiste et se clôt avec celle d’un chercheur. Entre les deux, se succèdent projections consacrées au film documentaire, séances thématiques ou monographiques qui peuvent faire écho aux expositions du musée.
Pour cette 11e saison, le partenariat avec l’ESADHaR se poursuit. Il permet d’intégrer le cycle de projections dans le cursus des étudiants qui peuvent ainsi valoriser leur expérience de MuMaBoX, dispositif exceptionnel pour un musée de province.
* cinéma de recherche, expérimental, art vidéo, animation, documentaire…
Programmation : Christophe Guérin
Pour recevoir la lettre d’information électronique : mumabox@laposte.net
Date(s)
- 14 octobre 2020
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
Port du masque obligatoire

Projection MuMaBoX
- -
10 ans. 10 ans déjà que MuMaBoX nous régale d’images en tout genre. Pour le plaisir, oui. Mais pas uniquement. A bien y regarder de près, le programme s’est imposé, saison après saison, comme le cœur d’une réflexion aux multiples facettes. Il s’est agi de faire découvrir, en posant des jalons historiques et conceptuels, la diversité de « l’image en mouvement ». Il s’est agi de donner corps, en proposant des projections de tous ordres, à la matérialité et à la technicité de ce champ. Il s’est agi enfin de donner la parole : donner la parole à des artistes de tous horizons à travers leurs films, donner la parole à des réalisateurs à propos de leur travail, donner la parole, aussi, aux spectateurs de MuMaBoX, pour soulever des interrogations, exprimer un étonnement, proposer un point de vue… Pour le MuMa, ces cycles de projection sont devenus l’un des pivots essentiels de son ouverture aux publics et aux créateurs.
Alors, pas peu fiers de ce programme – car il faut dire aussi son caractère unique : qui peut s’enorgueillir en France aujourd’hui de proposer des projections de films rares dans leur format d’origine et gratuitement, excepté dans certaines salles parisiennes ? – et pour marquer la fin de cette dixième saison, nous vous proposons donc une sélection très (très) subjective de films ayant jalonné ces dix années. Un point, non pas final, mais virgule, posé là pour, tout à la fois, clore un chapitre de l’histoire de MuMaBoX et en entamer un autre, que nous espérons aussi réjouissant, ouvert, exigeant, curieux et généreux… que le premier.
Programme détaillé à venir
10e SAISON DE MUMABOX !
Une fois par mois, d’octobre à mai, le MuMa invite le public à explorer le vaste territoire de l’image en mouvement* avec MuMaBoX. Ce rendez-vous régulier propose de porter un regard sur des œuvres dont la richesse et la diversité ouvrent des horizons nouveaux : dans une logique de décloisonnement des genres et des supports, pionniers et jeunes artistes de toutes provenances se côtoient dans cet espace de diffusion ouvert à tous.
* cinéma de recherche, expérimental, art vidéo, animation, documentaire…
Au fil des années, la programmation s’est nourrie d’événements réguliers : la saison ouvre avec la rencontre d’un artiste et se clôt avec celle d’un chercheur. Entre les deux, se succèdent projections consacrées au film documentaire, séances thématiques ou monographiques qui peuvent faire écho aux expositions du musée.
Pour cette 10e saison, le partenariat avec l’ESADHaR se poursuit. Il permet d’intégrer le cycle de projections dans le cursus des étudiants qui peuvent ainsi valoriser leur expérience de MuMaBoX, dispositif exceptionnel pour un musée de province.
Programmation : Christophe Guérin
Alors, pas peu fiers de ce programme – car il faut dire aussi son caractère unique : qui peut s’enorgueillir en France aujourd’hui de proposer des projections de films rares dans leur format d’origine et gratuitement, excepté dans certaines salles parisiennes ? – et pour marquer la fin de cette dixième saison, nous vous proposons donc une sélection très (très) subjective de films ayant jalonné ces dix années. Un point, non pas final, mais virgule, posé là pour, tout à la fois, clore un chapitre de l’histoire de MuMaBoX et en entamer un autre, que nous espérons aussi réjouissant, ouvert, exigeant, curieux et généreux… que le premier.
Programme détaillé à venir
10e SAISON DE MUMABOX !
Une fois par mois, d’octobre à mai, le MuMa invite le public à explorer le vaste territoire de l’image en mouvement* avec MuMaBoX. Ce rendez-vous régulier propose de porter un regard sur des œuvres dont la richesse et la diversité ouvrent des horizons nouveaux : dans une logique de décloisonnement des genres et des supports, pionniers et jeunes artistes de toutes provenances se côtoient dans cet espace de diffusion ouvert à tous.
* cinéma de recherche, expérimental, art vidéo, animation, documentaire…

MuMaBoX. © Photo : Vincent Sorrel © Design : Octopus/Benoît Eliot
Pour cette 10e saison, le partenariat avec l’ESADHaR se poursuit. Il permet d’intégrer le cycle de projections dans le cursus des étudiants qui peuvent ainsi valoriser leur expérience de MuMaBoX, dispositif exceptionnel pour un musée de province.
Programmation : Christophe Guérin
Date(s)
- 13 mai 2020
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
Pour recevoir la lettre d’information électronique : mumabox@laposte.net
LIEN EXTERNE

. © A & C Cantrill / Arsenal Berlin
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Amputée de la presque totalité de ses séances, la saison MuMaBoX 2020-2021 aura subi de plein fouet les conséquences de la crise sanitaire.
Mais nous ne pouvions pas en rester là !
Le MuMa vous propose donc, sous la forme d’un mini-festival, 5 des 7 séances annulées, pour enfin en profiter !
Au programme :
▪ Mercredi 8 septembre
17h : Nocturama
18h30 : Le soleil dans les yeux
▪ Jeudi 9 septembre
17h : Divine Horsemen, The Living Gods of Haïti
18h30 : Ciguri 98 – La Danse du peyotl
▪ Vendredi 10 septembre
18h : Couleurs australes (Escale australienne)
Mais nous ne pouvions pas en rester là !
Le MuMa vous propose donc, sous la forme d’un mini-festival, 5 des 7 séances annulées, pour enfin en profiter !
Au programme :
▪ Mercredi 8 septembre
17h : Nocturama
18h30 : Le soleil dans les yeux
▪ Jeudi 9 septembre
17h : Divine Horsemen, The Living Gods of Haïti
18h30 : Ciguri 98 – La Danse du peyotl
▪ Vendredi 10 septembre
18h : Couleurs australes (Escale australienne)
Date(s)
- du 08 septembre 2021 au 10 septembre 2021
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
Nombre de places disponibles : en fonction des jauges applicables à la date de l’événement.
Port du masque obligatoire
Pour recevoir la lettre d’information électronique : mumabox@laposte.net
Port du masque obligatoire
Pour recevoir la lettre d’information électronique : mumabox@laposte.net
LIEN EXTERNE

Grass
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Ciné-concert avec David Chiesa
en prologue au Festival PiedNu
Film mythique réalisé par les réalisateurs du fameux King-Kong (1930), Grass suit les Bakhtiari, peuple d'éleveurs nomades qui chaque année, s'en vont migrer vers les pâturages plus verts de la Perse. 200 000 têtes - hommes, femmes, enfants et animaux confondus - marchent sans relâche pendant des semaines, gravissent pieds nus, des montagnes enneigées à 4500 mètres, traversent à la nage des rivières en crue... Des images époustouflantes.
Avec David Chiesa à la contrebasse
Depuis 20 ans, David Chiesa trimballe sa contrebasse à travers le monde : de l'Egypte au Japon, de la Russie au Sénégal. Improvisateur hors pair, il met régulièrement sa musique à l'écoute de la danse ou du cinéma avec le souci permanent de vivre et faire vivre une expérience à fleur de peau.
Programme :
Grass, a nation's battle for life
Merian C. Cooper et Ernest B. Schoedsack (1926 - Etats-Unis – 62 min.)
10e SAISON DE MUMABOX !
Une fois par mois, d’octobre à mai, le MuMa invite le public à explorer le vaste territoire de l’image en mouvement* avec MuMaBoX. Ce rendez-vous régulier propose de porter un regard sur des œuvres dont la richesse et la diversité ouvrent des horizons nouveaux : dans une logique de décloisonnement des genres et des supports, pionniers et jeunes artistes de toutes provenances se côtoient dans cet espace de diffusion ouvert à tous.
* cinéma de recherche, expérimental, art vidéo, animation, documentaire…
Au fil des années, la programmation s’est nourrie d’événements réguliers : la saison ouvre avec la rencontre d’un artiste et se clôt avec celle d’un chercheur. Entre les deux, se succèdent projections consacrées au film documentaire, séances thématiques ou monographiques qui peuvent faire écho aux expositions du musée.
Pour cette 10e saison, le partenariat avec l’ESADHaR se poursuit. Il permet d’intégrer le cycle de projections dans le cursus des étudiants qui peuvent ainsi valoriser leur expérience de MuMaBoX, dispositif exceptionnel pour un musée de province.
Programmation : Christophe Guérin
en prologue au Festival PiedNu
Film mythique réalisé par les réalisateurs du fameux King-Kong (1930), Grass suit les Bakhtiari, peuple d'éleveurs nomades qui chaque année, s'en vont migrer vers les pâturages plus verts de la Perse. 200 000 têtes - hommes, femmes, enfants et animaux confondus - marchent sans relâche pendant des semaines, gravissent pieds nus, des montagnes enneigées à 4500 mètres, traversent à la nage des rivières en crue... Des images époustouflantes.
Avec David Chiesa à la contrebasse
Depuis 20 ans, David Chiesa trimballe sa contrebasse à travers le monde : de l'Egypte au Japon, de la Russie au Sénégal. Improvisateur hors pair, il met régulièrement sa musique à l'écoute de la danse ou du cinéma avec le souci permanent de vivre et faire vivre une expérience à fleur de peau.
Programme :
Grass, a nation's battle for life
Merian C. Cooper et Ernest B. Schoedsack (1926 - Etats-Unis – 62 min.)
10e SAISON DE MUMABOX !
Une fois par mois, d’octobre à mai, le MuMa invite le public à explorer le vaste territoire de l’image en mouvement* avec MuMaBoX. Ce rendez-vous régulier propose de porter un regard sur des œuvres dont la richesse et la diversité ouvrent des horizons nouveaux : dans une logique de décloisonnement des genres et des supports, pionniers et jeunes artistes de toutes provenances se côtoient dans cet espace de diffusion ouvert à tous.
* cinéma de recherche, expérimental, art vidéo, animation, documentaire…

MuMaBoX. © Photo : Vincent Sorrel © Design : Octopus/Benoît Eliot
Pour cette 10e saison, le partenariat avec l’ESADHaR se poursuit. Il permet d’intégrer le cycle de projections dans le cursus des étudiants qui peuvent ainsi valoriser leur expérience de MuMaBoX, dispositif exceptionnel pour un musée de province.
Programmation : Christophe Guérin
Date(s)
- 11 mars 2020
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
Pour recevoir la lettre d’information électronique : mumabox@laposte.net
LIEN EXTERNE

© Fabrice Bertran
- -
Dans le prolongement de L'Artiste comme modèle, ce programme développe quelques variations sur Le film de soi où le cinéaste, à la fois sujet filmant et objet filmé, génère sa propre image. Dans la diversité des intentions et des dispositifs - du simple autoportrait à l'action performative, une constante : l'économie de moyens et l'attitude DIY*, caractéristiques du cinéma expérimental, qui se fait souvent seul.
Et l'image de l'artiste par lui-même révèlera bien peu de sa nature tant elle est dissimulée, brouillée, fragmentée par les multiples opérations qui rendront impossible tout face à face avec le spectateur.
*Do It Yourself (Fais-le toi-même)
Programme :
Chris Kennedy, Tape Film, 2007, 5mn
Gary Beydler, Glass Face, 1975, 3mn et Ojos, los, 1974, 1mn30
Jun'ichi Okuyama, La face et le dos en même temps, 1990, 6mn
Olivier Fouchard, N°5, 1998, 3mn10
Patrice Kirchhofer, Chromacité II, 1978, 7mn
Paolo Gioli, SECONDO IL MIO OCCHIO DI VETRO, 1972, 10mn09
Anja Czioska, Me shower, San Francisco Filmscribbles, 1994, 3mn
Fabrice Bertran, THE NIGHT BEFORE YESTERDAY, 1994, 2mn
Christophe Guérin, Vestiges, 2009, 3mn08
Pierrick Sorin, Pierrick et Jean-Loup, 1994, 10mn
10e SAISON DE MUMABOX !
Une fois par mois, d’octobre à mai, le MuMa invite le public à explorer le vaste territoire de l’image en mouvement* avec MuMaBoX. Ce rendez-vous régulier propose de porter un regard sur des œuvres dont la richesse et la diversité ouvrent des horizons nouveaux : dans une logique de décloisonnement des genres et des supports, pionniers et jeunes artistes de toutes provenances se côtoient dans cet espace de diffusion ouvert à tous.
* cinéma de recherche, expérimental, art vidéo, animation, documentaire…
Au fil des années, la programmation s’est nourrie d’événements réguliers : la saison ouvre avec la rencontre d’un artiste et se clôt avec celle d’un chercheur. Entre les deux, se succèdent projections consacrées au film documentaire, séances thématiques ou monographiques qui peuvent faire écho aux expositions du musée.
Pour cette 10e saison, le partenariat avec l’ESADHaR se poursuit. Il permet d’intégrer le cycle de projections dans le cursus des étudiants qui peuvent ainsi valoriser leur expérience de MuMaBoX, dispositif exceptionnel pour un musée de province.
Programmation : Christophe Guérin
Et l'image de l'artiste par lui-même révèlera bien peu de sa nature tant elle est dissimulée, brouillée, fragmentée par les multiples opérations qui rendront impossible tout face à face avec le spectateur.
*Do It Yourself (Fais-le toi-même)
Programme :
Chris Kennedy, Tape Film, 2007, 5mn
Gary Beydler, Glass Face, 1975, 3mn et Ojos, los, 1974, 1mn30
Jun'ichi Okuyama, La face et le dos en même temps, 1990, 6mn
Olivier Fouchard, N°5, 1998, 3mn10
Patrice Kirchhofer, Chromacité II, 1978, 7mn
Paolo Gioli, SECONDO IL MIO OCCHIO DI VETRO, 1972, 10mn09
Anja Czioska, Me shower, San Francisco Filmscribbles, 1994, 3mn
Fabrice Bertran, THE NIGHT BEFORE YESTERDAY, 1994, 2mn
Christophe Guérin, Vestiges, 2009, 3mn08
Pierrick Sorin, Pierrick et Jean-Loup, 1994, 10mn
10e SAISON DE MUMABOX !
Une fois par mois, d’octobre à mai, le MuMa invite le public à explorer le vaste territoire de l’image en mouvement* avec MuMaBoX. Ce rendez-vous régulier propose de porter un regard sur des œuvres dont la richesse et la diversité ouvrent des horizons nouveaux : dans une logique de décloisonnement des genres et des supports, pionniers et jeunes artistes de toutes provenances se côtoient dans cet espace de diffusion ouvert à tous.
* cinéma de recherche, expérimental, art vidéo, animation, documentaire…

MuMaBoX. © Photo : Vincent Sorrel © Design : Octopus/Benoît Eliot
Pour cette 10e saison, le partenariat avec l’ESADHaR se poursuit. Il permet d’intégrer le cycle de projections dans le cursus des étudiants qui peuvent ainsi valoriser leur expérience de MuMaBoX, dispositif exceptionnel pour un musée de province.
Programmation : Christophe Guérin
Date(s)
- 12 février 2020
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
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LIEN EXTERNE

Le Chant du styrène d'Alain Resnais (1957). © Droits réservés
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Autour de l’exposition Reynold Arnould, et avec le concours et la participation de Gwenaële Rot et François Vatin, spécialistes du peintre, le MuMa vous propose un ensemble de trois événements qui viendront donner un aperçu de l’œuvre d’Arnould et du contexte dans lequel sa peinture trouve sa plus juste expression : la modernité de l’après-seconde guerre mondiale.
Formidable écho à l’œuvre de Reynold Arnould que ce court métrage d’Alain Resnais ! Le MuMa vous propose de le découvrir en intégralité – une manière originale de s’immerger dans l’œuvre et le parcours du peintre à l’honneur sur ses cimaises.
Le Chant du Styrène, documentaire d’Alain Resnais (1957 – Couleur – Durée 13 minutes)
Production : Les Films de la Pléiade
Musique de Georges Delerue et Pierre Barbaud
Texte par Raymond Queneau, lu par Pierre Dux
A propos du film d’Alain Resnais :
« Une visite des usines Péchiney guidée par un commentaire de Raymond Queneau en forme de poème pastiche en alexandrins. Le fabricant de polystyrène avait commandé ce film qui devait être à la gloire de ce « noble matériau entièrement créé par l’homme ». Alain Resnais, qui sentait confusément qu’il existait un rapport entre l’Alexandrin et le Cinémascope, propose un film totalement surréaliste sur une musique de Pierre Barbaud, l’inventeur de la musique algorithmique. Le chant du styrène est un objet esthétique d’une impressionnante perfection, mais aussi un objet très paradoxal, où l’accumulation des contraintes engendre de surprenantes solutions. » fiche des Films du jeudi
« Si le court métrage n’existait pas, Alain Resnais l'aurais sûrement inventé. (...)
Jamais, je crois, depuis ceux d'Eisenstein, un film n'a été aussi scientifiquement médité que Le Chant du Styrène.
Le Chant du styrène, c'est quatorze mois de travail pour un film de quatorze minutes sur les matières plastiques. C'est aussi un texte de Raymond Queneau qui rend chaque image tashlinesque en y introduisant le fameux décalage cher à Renoir. Et le résultat est là, en cinémascope colorié: des plans si profondément rivés les uns aux autres malgré l'absence de tout personnage vivant, dont en se privant de la facilité des raccords sur un effet dramatique, une centaine de plans, dis-je, si harmonieusement soudés entre eux qu'ils donnent la fantastique sensation de n'être qu'un seul long plan-séquence, un seul et jupitérien travelling dont le phrasé prodigieux n'est pas sans évoquer les grandes cantates de Jean-Sébastien Bach. » Jean-Luc Godard
Formidable écho à l’œuvre de Reynold Arnould que ce court métrage d’Alain Resnais ! Le MuMa vous propose de le découvrir en intégralité – une manière originale de s’immerger dans l’œuvre et le parcours du peintre à l’honneur sur ses cimaises.
Le Chant du Styrène, documentaire d’Alain Resnais (1957 – Couleur – Durée 13 minutes)
Production : Les Films de la Pléiade
Musique de Georges Delerue et Pierre Barbaud
Texte par Raymond Queneau, lu par Pierre Dux
A propos du film d’Alain Resnais :
« Une visite des usines Péchiney guidée par un commentaire de Raymond Queneau en forme de poème pastiche en alexandrins. Le fabricant de polystyrène avait commandé ce film qui devait être à la gloire de ce « noble matériau entièrement créé par l’homme ». Alain Resnais, qui sentait confusément qu’il existait un rapport entre l’Alexandrin et le Cinémascope, propose un film totalement surréaliste sur une musique de Pierre Barbaud, l’inventeur de la musique algorithmique. Le chant du styrène est un objet esthétique d’une impressionnante perfection, mais aussi un objet très paradoxal, où l’accumulation des contraintes engendre de surprenantes solutions. » fiche des Films du jeudi
« Si le court métrage n’existait pas, Alain Resnais l'aurais sûrement inventé. (...)
Jamais, je crois, depuis ceux d'Eisenstein, un film n'a été aussi scientifiquement médité que Le Chant du Styrène.
Le Chant du styrène, c'est quatorze mois de travail pour un film de quatorze minutes sur les matières plastiques. C'est aussi un texte de Raymond Queneau qui rend chaque image tashlinesque en y introduisant le fameux décalage cher à Renoir. Et le résultat est là, en cinémascope colorié: des plans si profondément rivés les uns aux autres malgré l'absence de tout personnage vivant, dont en se privant de la facilité des raccords sur un effet dramatique, une centaine de plans, dis-je, si harmonieusement soudés entre eux qu'ils donnent la fantastique sensation de n'être qu'un seul long plan-séquence, un seul et jupitérien travelling dont le phrasé prodigieux n'est pas sans évoquer les grandes cantates de Jean-Sébastien Bach. » Jean-Luc Godard
Date(s)
- 25 janvier 2020
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

Reynold Arnould peignant Passage, 1964. Passage, peinture de Reynold Arnould, une des 18 compositions monumentales réalisées pour l’École nationale d’enseignement technique de Caucriauville (Le Havre) Carte de voeux 1965, 13,5 x 16,5 cm. Photographie collée sur carton Collection Rot-Vatin
Autour de l’exposition Reynold Arnould, et avec le concours et la participation de Gwenaële Rot et François Vatin, spécialistes du peintre, le MuMa vous propose un ensemble de trois événements qui viendront donner un aperçu de l’œuvre d’Arnould et du contexte dans lequel sa peinture trouve sa plus juste expression : la modernité de l’après-seconde guerre mondiale.
Le MuMa invite François Vatin et Gwenaële Rot pour évoquer ce qui, au Havre, reste de l’œuvre mural du peintre : des fresques que l’on peut retrouver par exemple dans l’enceinte du lycée Schuman-Perret ou bien encore dans les locaux du GPMH mais qui ne sont pas toujours accessibles au grand public. Se pose alors la question de leur visibilité et celle de leur sauvegarde, pour que ce patrimoine essentiel de l’histoire locale soit mieux connu des havrais.
Le MuMa invite François Vatin et Gwenaële Rot pour évoquer ce qui, au Havre, reste de l’œuvre mural du peintre : des fresques que l’on peut retrouver par exemple dans l’enceinte du lycée Schuman-Perret ou bien encore dans les locaux du GPMH mais qui ne sont pas toujours accessibles au grand public. Se pose alors la question de leur visibilité et celle de leur sauvegarde, pour que ce patrimoine essentiel de l’histoire locale soit mieux connu des havrais.
Date(s)
- 24 janvier 2020
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.