MuMa (salle de conférence)

Sophie Rochefort-Guillouet enseigne l'histoire et l'histoire de l'art. Sciences Po
Un événement exceptionnel proposé par l'AMAM-Les Amis du Musée d'art moderne André Malraux
Conférence par Sophie Rochefort-Guillouet, professeure d'histoire comparée et d'histoire de l'art à l'Institut d'Etudes Politiques de Paris.
Conférence par Sophie Rochefort-Guillouet, professeure d'histoire comparée et d'histoire de l'art à l'Institut d'Etudes Politiques de Paris.
Date(s)
- 19 avril 2022
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
En solidarité avec le peuple ukrainien,conférence sur et pour l'Ukraine
Participation minimum: 5 €
La somme recueillie sera intégralement reversée à la Croix Rouge pour l'Ukraine
Conférence ouverte à tout public dans la limite des places disponibles
Participation minimum: 5 €
La somme recueillie sera intégralement reversée à la Croix Rouge pour l'Ukraine
Conférence ouverte à tout public dans la limite des places disponibles

. © Jacques Perconte
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Avec les immenses cargos, les couleurs de l’horizon viendront, poussées par les vents, prendre les blancs des falaises pour les projeter dans les verts de la végétation des vals et s’enfoncer dans les terres jusqu’aux industries de Rouen. De là emportées par les vents contraires, les colonnes de fumée des usines se disperseront au fil des routes et des champs pour revenir aux falaises blanches. Et des dizaines de mètres à pics sur la mer, les mouettes dans leurs danse iront défier le vertige de nos sens pour nous conduire au ciel. Ciel qui se renversa pour nous mettre la tête à l’envers, la mer au dessus de nous, puis partout.
Programme :
Jacques Perconte, Albâtre, 2018
Programme :
Jacques Perconte, Albâtre, 2018
Date(s)
- 11 mai 2022
Tarif(s)
Gratuit
Entrée libre, rendez-vous à l’accueil du musée
Nombre de places disponibles : fonction des jauges applicables à la date de l’événement.
Nombre de places disponibles : fonction des jauges applicables à la date de l’événement.

. © Light cone
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40 ans de Light Cone
Carte blanche à Emmanuel Lefrant, directeur de Light Cone
Light Cone, qui célèbre en 2022 son 40ème anniversaire, oeuvre depuis ses débuts pour la distribution, la diffusion, la connaissance et la sauvegarde du cinéma expérimental dont elle s’attache à assurer la promotion en France et dans le monde. Le catalogue qui, en quinze ans, s'est considérablement enrichi (passant de 3500 à 6000 titres, devenant ainsi l'une des plus importantes archives de cinéma expérimental au monde), réunit des cinématographies d'origines très diverses, sur les plans géographiques, historiques et formels. Le programme présenté au MuMa se veut l'écho de cette diversité.
Programme :
Patrick Bokanowski, Au bord du lac, 1993
Mike Rollo, Eidolon, 2020
Larry Gottheim, Fog line, 1970
Oswell Blakeston & Francis Bruguière, Light rythms, 1929-1930
Anita Thacher, Loose corner, 1986
Mara Mattuschka, Parasympathica, 1986
Charlotte Pryce, Prima materia, 2015
Takashi Ito, Spacy, 1981
Laszlo Moholy-Nagy, Tönendes ABC – ABC in sound, 1933
Claudio Caldini, Ventana, 1975
Carte blanche à Emmanuel Lefrant, directeur de Light Cone
Light Cone, qui célèbre en 2022 son 40ème anniversaire, oeuvre depuis ses débuts pour la distribution, la diffusion, la connaissance et la sauvegarde du cinéma expérimental dont elle s’attache à assurer la promotion en France et dans le monde. Le catalogue qui, en quinze ans, s'est considérablement enrichi (passant de 3500 à 6000 titres, devenant ainsi l'une des plus importantes archives de cinéma expérimental au monde), réunit des cinématographies d'origines très diverses, sur les plans géographiques, historiques et formels. Le programme présenté au MuMa se veut l'écho de cette diversité.
Programme :
Patrick Bokanowski, Au bord du lac, 1993
Mike Rollo, Eidolon, 2020
Larry Gottheim, Fog line, 1970
Oswell Blakeston & Francis Bruguière, Light rythms, 1929-1930
Anita Thacher, Loose corner, 1986
Mara Mattuschka, Parasympathica, 1986
Charlotte Pryce, Prima materia, 2015
Takashi Ito, Spacy, 1981
Laszlo Moholy-Nagy, Tönendes ABC – ABC in sound, 1933
Claudio Caldini, Ventana, 1975
Date(s)
- 06 avril 2022
Tarif(s)
Gratuit
Entrée libre, rendez-vous à l’accueil du musée
Nombre de places disponibles : fonction des jauges applicables à la date de l’événement.
Nombre de places disponibles : fonction des jauges applicables à la date de l’événement.

. © Félix Dufour-Laperrière
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Essai documentaire filmé lors d’une traversée de l’océan à bord d’un navire de charge. Un film sur l’immensité, sur la foi, sur les mouvements ininterrompus des flots et leur puissance. Et enfin, peut-être surtout, sur les hommes à bord, témoins et acteurs de cette vie entre deux rives, personnages en huis clos au milieu de l’infini. Transatlantique fait le récit du périple et du quotidien des marins et révèle le navire comme microcosme et métaphore : une île humaine au cœur d’un grand ailleurs.
Programme :
Félix Dufour-Laperrière, Transatlantique, 2014
Programme :
Félix Dufour-Laperrière, Transatlantique, 2014
Date(s)
- 16 mars 2022
Tarif(s)
Gratuit
Entrée libre, rendez-vous à l’accueil du musée
Nombre de places disponibles : fonction des jauges applicables à la date de l’événement.
Nombre de places disponibles : fonction des jauges applicables à la date de l’événement.

James Whistler, Nocturne en noir et or-La boule de feu, 1875. Detroit
Par Itzakh Goldberg, historien de l’art, critique d’art et commissaire d’exposition, spécialiste de l’art moderne et contemporain.
« A priori, tout oppose la nuit aux visées de la peinture. Cette discipline, qui tente de former au moins depuis la Renaissance une perception claire et cohérente de l'homme dans un environnement architectural ou naturel, a tout à craindre de la voie lactée qui oblitère les contours des formes et brouille les distances. Mais, curieusement, la composition picturale tracée par la perspective linéaire, évoque immédiatement un dispositif baptisé justement camera obscura, chambre noire.
Il faut toutefois attendre les romantiques pour qui la nuit - en réaction au siècle des Lumières ? - met en scène le moment où les contours précis se perdent, où la réalité se dérobe à son apparence habituelle. Ce dialogue avec les zones obscures de la nature introduit pour la première fois l'intuitif, l’irrationnel, que l’on peut assimiler parfois à l'invisible, sera poursuivi par toute une partie de la modernité.
Cependant, une remarque s'impose immédiatement au sujet de la distinction entre nuit et obscurité. La nuit restera toujours un phénomène naturel, cyclique, tandis que l'obscurité, cette simple opacité de la lumière, peut se produire indépendamment de l'heure de la journée. Dans l'univers pictural il est souvent difficile de faire une différence entre l'obscurité ou tout simplement l'emploi massif de la couleur noire sur la toile. Cette difficulté, voire l'impossibilité de distinguer entre ces différents phénomènes, est la source d’une certaine ambiguïté mais aussi toute la richesse de ce thème.
La dissolution des formes qui s’estompent sous une lumière incertaine annonce l’avènement de la non-figuration. Le dialogue avec l’obscurité devient parfois prétexte pour une expérience radicale de la peinture (voire le Carrée noir sur blanc, 1915, de Malevitch). A l’aide d’exemples précis on suivra ce parcours dans la nuit. »
Itzakh Goldberg
« A priori, tout oppose la nuit aux visées de la peinture. Cette discipline, qui tente de former au moins depuis la Renaissance une perception claire et cohérente de l'homme dans un environnement architectural ou naturel, a tout à craindre de la voie lactée qui oblitère les contours des formes et brouille les distances. Mais, curieusement, la composition picturale tracée par la perspective linéaire, évoque immédiatement un dispositif baptisé justement camera obscura, chambre noire.
Il faut toutefois attendre les romantiques pour qui la nuit - en réaction au siècle des Lumières ? - met en scène le moment où les contours précis se perdent, où la réalité se dérobe à son apparence habituelle. Ce dialogue avec les zones obscures de la nature introduit pour la première fois l'intuitif, l’irrationnel, que l’on peut assimiler parfois à l'invisible, sera poursuivi par toute une partie de la modernité.
Cependant, une remarque s'impose immédiatement au sujet de la distinction entre nuit et obscurité. La nuit restera toujours un phénomène naturel, cyclique, tandis que l'obscurité, cette simple opacité de la lumière, peut se produire indépendamment de l'heure de la journée. Dans l'univers pictural il est souvent difficile de faire une différence entre l'obscurité ou tout simplement l'emploi massif de la couleur noire sur la toile. Cette difficulté, voire l'impossibilité de distinguer entre ces différents phénomènes, est la source d’une certaine ambiguïté mais aussi toute la richesse de ce thème.
La dissolution des formes qui s’estompent sous une lumière incertaine annonce l’avènement de la non-figuration. Le dialogue avec l’obscurité devient parfois prétexte pour une expérience radicale de la peinture (voire le Carrée noir sur blanc, 1915, de Malevitch). A l’aide d’exemples précis on suivra ce parcours dans la nuit. »
Itzakh Goldberg
Date(s)
- 20 octobre 2020
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
A savoir : Ces conditions pourraient évoluer au regard de la situation sanitaire. Pensez à vous tenir au courant sur les conditions d’accueil à l’approche du rendez-vous ! Merci de votre compréhension.
Port du masque obligatoire
Port du masque obligatoire

Pierre Dubreuil, La Grande Roue des Tuileries, vers 1900, Épreuve à la gomme bichromatée, 20,7 x 18,9 cm. Paris. © Musée d'Orsay
Par François Blanchetière, Conservateur du patrimoine au Musée d’Orsay
« Si le paysage est la grande affaire de la peinture au XIXe siècle, on a jusqu'ici fort peu exploré son versant nocturne - une lacune que l'exposition « Nuits électriques » contribue à combler en s'attachant aux conséquences de l'apparition de l'éclairage électrique dans les villes.
La conférence proposera de la placer dans un contexte plus large, en examinant tout d'abord la tradition ancienne du paysage nocturne et les moyens plastiques mis en œuvre par les peintres pour rendre les effets lumineux spécifiques de la nuit. Ces effets ont dû être adaptés par les artistes quand l'éclairage artificiel s'est développé, et l'on verra que la cohabitation de lumières de différentes natures a donné des résultats tout à fait fascinants.
Enfin, nous examinerons la manière dont les photographes, pour leur part, ont tâché de s'approprier l'esthétique du paysage nocturne, dès lors que les techniques leur en ont donné la possibilité, dans une quête de « pictorialité » qui mérite certainement d'être revalorisée. » François Blanchetière
« Si le paysage est la grande affaire de la peinture au XIXe siècle, on a jusqu'ici fort peu exploré son versant nocturne - une lacune que l'exposition « Nuits électriques » contribue à combler en s'attachant aux conséquences de l'apparition de l'éclairage électrique dans les villes.
La conférence proposera de la placer dans un contexte plus large, en examinant tout d'abord la tradition ancienne du paysage nocturne et les moyens plastiques mis en œuvre par les peintres pour rendre les effets lumineux spécifiques de la nuit. Ces effets ont dû être adaptés par les artistes quand l'éclairage artificiel s'est développé, et l'on verra que la cohabitation de lumières de différentes natures a donné des résultats tout à fait fascinants.
Enfin, nous examinerons la manière dont les photographes, pour leur part, ont tâché de s'approprier l'esthétique du paysage nocturne, dès lors que les techniques leur en ont donné la possibilité, dans une quête de « pictorialité » qui mérite certainement d'être revalorisée. » François Blanchetière
Date(s)
- 29 septembre 2020
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
A savoir : Ces conditions pourraient évoluer au regard de la situation sanitaire. Pensez à vous tenir au courant sur les conditions d’accueil à l’approche du rendez-vous ! Merci de votre compréhension.
Port du masque obligatoire
Port du masque obligatoire

. © Arianne Olthaar
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En écho à l’exposition Nuits électriques qui s'est tenu cet été au MuMa.
Des Nuits électriques de Berlin, Londres et Prague, filmées en 1928 par Eugène Deslaw à l’aube glauque des sinistres banlieues saisies par Thomas Köner, Nocturama se déroule comme autant de visions de la nuit urbaine.
Usines de la zone industrielle de Montréal, train suspendu – celui d’Alice dans les Villes, enseignes lumineuses de Tokyo ou de San Francisco, rues désertes de l’East End londonien participent à ce spectacle nocturne où les lumières électriques recomposent l’espace urbain : la ville se métamorphose, se faisant tour à tour stimulante, inquiétante, inspirante.
Programme :
Emilie Serri, À l’est des vents, 2009, 6’06
Richard Tuohy, Ginza strip, 2014, 9’00
Paul Clipson, Chorus, 2009, 7’00
Eugène Deslaw, Nuits électriques, 1928, 13’00
Arianne Olthaar, Schwebebahn, 2016, 3’38
Théodora Barat, Or anything at all except the dark pavement, 2011, 5’00
Emily Richardson, Nocturne, 2002, 5’00
Thomas Köner, Suburbs of the void, 2004, 13’00
Une fois par mois, d’octobre à mai, le MuMa invite le public à explorer le vaste territoire de l’image en mouvement* avec MuMaBoX.
Ce rendez-vous régulier propose de porter un regard sur des oeuvres dont la richesse et la diversité ouvrent des horizons nouveaux : dans une logique de décloisonnement des genres et des supports, pionniers et jeunes artistes de toutes provenances se côtoient dans cet espace de diffusion ouvert à tous.
Au fil des années, la programmation s’est nourrie d’événements réguliers : la saison ouvre avec la rencontre d’un artiste et se clôt avec celle d’un chercheur. Entre les deux, se succèdent projections consacrées au film documentaire, séances thématiques ou monographiques qui peuvent faire écho aux expositions du musée.
Pour cette 11e saison, le partenariat avec l’ESADHaR se poursuit. Il permet d’intégrer le cycle de projections dans le cursus des étudiants qui peuvent ainsi valoriser leur expérience de MuMaBoX, dispositif exceptionnel pour un musée de province.
* cinéma de recherche, expérimental, art vidéo, animation, documentaire…
Programmation : Christophe Guérin
Pour recevoir la lettre d’information électronique : mumabox@laposte.net
Des Nuits électriques de Berlin, Londres et Prague, filmées en 1928 par Eugène Deslaw à l’aube glauque des sinistres banlieues saisies par Thomas Köner, Nocturama se déroule comme autant de visions de la nuit urbaine.
Usines de la zone industrielle de Montréal, train suspendu – celui d’Alice dans les Villes, enseignes lumineuses de Tokyo ou de San Francisco, rues désertes de l’East End londonien participent à ce spectacle nocturne où les lumières électriques recomposent l’espace urbain : la ville se métamorphose, se faisant tour à tour stimulante, inquiétante, inspirante.
Programme :
Emilie Serri, À l’est des vents, 2009, 6’06
Richard Tuohy, Ginza strip, 2014, 9’00
Paul Clipson, Chorus, 2009, 7’00
Eugène Deslaw, Nuits électriques, 1928, 13’00
Arianne Olthaar, Schwebebahn, 2016, 3’38
Théodora Barat, Or anything at all except the dark pavement, 2011, 5’00
Emily Richardson, Nocturne, 2002, 5’00
Thomas Köner, Suburbs of the void, 2004, 13’00
Une fois par mois, d’octobre à mai, le MuMa invite le public à explorer le vaste territoire de l’image en mouvement* avec MuMaBoX.
Ce rendez-vous régulier propose de porter un regard sur des oeuvres dont la richesse et la diversité ouvrent des horizons nouveaux : dans une logique de décloisonnement des genres et des supports, pionniers et jeunes artistes de toutes provenances se côtoient dans cet espace de diffusion ouvert à tous.
Au fil des années, la programmation s’est nourrie d’événements réguliers : la saison ouvre avec la rencontre d’un artiste et se clôt avec celle d’un chercheur. Entre les deux, se succèdent projections consacrées au film documentaire, séances thématiques ou monographiques qui peuvent faire écho aux expositions du musée.
Pour cette 11e saison, le partenariat avec l’ESADHaR se poursuit. Il permet d’intégrer le cycle de projections dans le cursus des étudiants qui peuvent ainsi valoriser leur expérience de MuMaBoX, dispositif exceptionnel pour un musée de province.
* cinéma de recherche, expérimental, art vidéo, animation, documentaire…
Programmation : Christophe Guérin
Pour recevoir la lettre d’information électronique : mumabox@laposte.net
Date(s)
- 16 décembre 2020
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
Port du masque obligatoire

. © Christophe Guérin
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10 ans. 10 ans déjà que MuMaBoX nous régale d’images en tout genre. Pour le plaisir, oui. Mais pas uniquement.
À bien y regarder de près, le programme s’est imposé, saison après saison, comme le cœur d’une réflexion aux multiples facettes. Il s’est agi de faire découvrir, posant des jalons historiques et conceptuels, la diversité de « l’image en mouvement ». Il s’est agi de donner corps, proposant des projections de tous ordres, à la matérialité et à la technicité de ce champ. Il s’est agi enfin de donner la parole – donner la parole à des artistes de tous horizons à travers leurs films, donner la parole à des réalisateurs à propos de leur travail, donner la parole, aussi, aux spectateurs de MuMaBoX, pour soulever des interrogations, exprimer un étonnement, proposer un point de vue…
Pour le MuMa, ces cycles de projection sont devenus l’un des pivots essentiels de son ouverture aux publics et aux créateurs.
Alors, pas peu fier de ce programme – car il faut dire aussi son caractère unique : qui peut s’enorgueillir en France aujourd’hui de proposer des projections de films rares dans leur format d’origine et gratuitement, excepté dans certaines salles parisiennes ? – et pour marquer le début de cette 11e saison, nous vous proposons une sélection très (très) subjective de films ayant jalonnés ces dix années. Un point, non pas final, mais virgule, posé là pour tout à la fois clore un chapitre de l’histoire de MuMaBoX et en entamer un autre, que nous espérons aussi réjouissant, ouvert, exigeant, curieux et généreux… que le premier.
Une fois par mois, d’octobre à mai, le MuMa invite le public à explorer le vaste territoire de l’image en mouvement* avec MuMaBoX.
Ce rendez-vous régulier propose de porter un regard sur des oeuvres dont la richesse et la diversité ouvrent des horizons nouveaux : dans une logique de décloisonnement des genres et des supports, pionniers et jeunes artistes de toutes provenances se côtoient dans cet espace de diffusion ouvert à tous.
Au fil des années, la programmation s’est nourrie d’événements réguliers : la saison ouvre avec la rencontre d’un artiste et se clôt avec celle d’un chercheur. Entre les deux, se succèdent projections consacrées au film documentaire, séances thématiques ou monographiques qui peuvent faire écho aux expositions du musée.
Pour cette 11e saison, le partenariat avec l’ESADHaR se poursuit. Il permet d’intégrer le cycle de projections dans le cursus des étudiants qui peuvent ainsi valoriser leur expérience de MuMaBoX, dispositif exceptionnel pour un musée de province.
* cinéma de recherche, expérimental, art vidéo, animation, documentaire…
Programmation : Christophe Guérin
Pour recevoir la lettre d’information électronique : mumabox@laposte.net
À bien y regarder de près, le programme s’est imposé, saison après saison, comme le cœur d’une réflexion aux multiples facettes. Il s’est agi de faire découvrir, posant des jalons historiques et conceptuels, la diversité de « l’image en mouvement ». Il s’est agi de donner corps, proposant des projections de tous ordres, à la matérialité et à la technicité de ce champ. Il s’est agi enfin de donner la parole – donner la parole à des artistes de tous horizons à travers leurs films, donner la parole à des réalisateurs à propos de leur travail, donner la parole, aussi, aux spectateurs de MuMaBoX, pour soulever des interrogations, exprimer un étonnement, proposer un point de vue…
Pour le MuMa, ces cycles de projection sont devenus l’un des pivots essentiels de son ouverture aux publics et aux créateurs.
Alors, pas peu fier de ce programme – car il faut dire aussi son caractère unique : qui peut s’enorgueillir en France aujourd’hui de proposer des projections de films rares dans leur format d’origine et gratuitement, excepté dans certaines salles parisiennes ? – et pour marquer le début de cette 11e saison, nous vous proposons une sélection très (très) subjective de films ayant jalonnés ces dix années. Un point, non pas final, mais virgule, posé là pour tout à la fois clore un chapitre de l’histoire de MuMaBoX et en entamer un autre, que nous espérons aussi réjouissant, ouvert, exigeant, curieux et généreux… que le premier.
Une fois par mois, d’octobre à mai, le MuMa invite le public à explorer le vaste territoire de l’image en mouvement* avec MuMaBoX.
Ce rendez-vous régulier propose de porter un regard sur des oeuvres dont la richesse et la diversité ouvrent des horizons nouveaux : dans une logique de décloisonnement des genres et des supports, pionniers et jeunes artistes de toutes provenances se côtoient dans cet espace de diffusion ouvert à tous.
Au fil des années, la programmation s’est nourrie d’événements réguliers : la saison ouvre avec la rencontre d’un artiste et se clôt avec celle d’un chercheur. Entre les deux, se succèdent projections consacrées au film documentaire, séances thématiques ou monographiques qui peuvent faire écho aux expositions du musée.
Pour cette 11e saison, le partenariat avec l’ESADHaR se poursuit. Il permet d’intégrer le cycle de projections dans le cursus des étudiants qui peuvent ainsi valoriser leur expérience de MuMaBoX, dispositif exceptionnel pour un musée de province.
* cinéma de recherche, expérimental, art vidéo, animation, documentaire…
Programmation : Christophe Guérin
Pour recevoir la lettre d’information électronique : mumabox@laposte.net
Date(s)
- 14 octobre 2020
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
Port du masque obligatoire

Projection MuMaBoX
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10 ans. 10 ans déjà que MuMaBoX nous régale d’images en tout genre. Pour le plaisir, oui. Mais pas uniquement. A bien y regarder de près, le programme s’est imposé, saison après saison, comme le cœur d’une réflexion aux multiples facettes. Il s’est agi de faire découvrir, en posant des jalons historiques et conceptuels, la diversité de « l’image en mouvement ». Il s’est agi de donner corps, en proposant des projections de tous ordres, à la matérialité et à la technicité de ce champ. Il s’est agi enfin de donner la parole : donner la parole à des artistes de tous horizons à travers leurs films, donner la parole à des réalisateurs à propos de leur travail, donner la parole, aussi, aux spectateurs de MuMaBoX, pour soulever des interrogations, exprimer un étonnement, proposer un point de vue… Pour le MuMa, ces cycles de projection sont devenus l’un des pivots essentiels de son ouverture aux publics et aux créateurs.
Alors, pas peu fiers de ce programme – car il faut dire aussi son caractère unique : qui peut s’enorgueillir en France aujourd’hui de proposer des projections de films rares dans leur format d’origine et gratuitement, excepté dans certaines salles parisiennes ? – et pour marquer la fin de cette dixième saison, nous vous proposons donc une sélection très (très) subjective de films ayant jalonné ces dix années. Un point, non pas final, mais virgule, posé là pour, tout à la fois, clore un chapitre de l’histoire de MuMaBoX et en entamer un autre, que nous espérons aussi réjouissant, ouvert, exigeant, curieux et généreux… que le premier.
Programme détaillé à venir
10e SAISON DE MUMABOX !
Une fois par mois, d’octobre à mai, le MuMa invite le public à explorer le vaste territoire de l’image en mouvement* avec MuMaBoX. Ce rendez-vous régulier propose de porter un regard sur des œuvres dont la richesse et la diversité ouvrent des horizons nouveaux : dans une logique de décloisonnement des genres et des supports, pionniers et jeunes artistes de toutes provenances se côtoient dans cet espace de diffusion ouvert à tous.
* cinéma de recherche, expérimental, art vidéo, animation, documentaire…
Au fil des années, la programmation s’est nourrie d’événements réguliers : la saison ouvre avec la rencontre d’un artiste et se clôt avec celle d’un chercheur. Entre les deux, se succèdent projections consacrées au film documentaire, séances thématiques ou monographiques qui peuvent faire écho aux expositions du musée.
Pour cette 10e saison, le partenariat avec l’ESADHaR se poursuit. Il permet d’intégrer le cycle de projections dans le cursus des étudiants qui peuvent ainsi valoriser leur expérience de MuMaBoX, dispositif exceptionnel pour un musée de province.
Programmation : Christophe Guérin
Alors, pas peu fiers de ce programme – car il faut dire aussi son caractère unique : qui peut s’enorgueillir en France aujourd’hui de proposer des projections de films rares dans leur format d’origine et gratuitement, excepté dans certaines salles parisiennes ? – et pour marquer la fin de cette dixième saison, nous vous proposons donc une sélection très (très) subjective de films ayant jalonné ces dix années. Un point, non pas final, mais virgule, posé là pour, tout à la fois, clore un chapitre de l’histoire de MuMaBoX et en entamer un autre, que nous espérons aussi réjouissant, ouvert, exigeant, curieux et généreux… que le premier.
Programme détaillé à venir
10e SAISON DE MUMABOX !
Une fois par mois, d’octobre à mai, le MuMa invite le public à explorer le vaste territoire de l’image en mouvement* avec MuMaBoX. Ce rendez-vous régulier propose de porter un regard sur des œuvres dont la richesse et la diversité ouvrent des horizons nouveaux : dans une logique de décloisonnement des genres et des supports, pionniers et jeunes artistes de toutes provenances se côtoient dans cet espace de diffusion ouvert à tous.
* cinéma de recherche, expérimental, art vidéo, animation, documentaire…

MuMaBoX. © Photo : Vincent Sorrel © Design : Octopus/Benoît Eliot
Pour cette 10e saison, le partenariat avec l’ESADHaR se poursuit. Il permet d’intégrer le cycle de projections dans le cursus des étudiants qui peuvent ainsi valoriser leur expérience de MuMaBoX, dispositif exceptionnel pour un musée de province.
Programmation : Christophe Guérin
Date(s)
- 13 mai 2020
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
Pour recevoir la lettre d’information électronique : mumabox@laposte.net
LIEN EXTERNE

. © A & C Cantrill / Arsenal Berlin
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Amputée de la presque totalité de ses séances, la saison MuMaBoX 2020-2021 aura subi de plein fouet les conséquences de la crise sanitaire.
Mais nous ne pouvions pas en rester là !
Le MuMa vous propose donc, sous la forme d’un mini-festival, 5 des 7 séances annulées, pour enfin en profiter !
Au programme :
▪ Mercredi 8 septembre
17h : Nocturama
18h30 : Le soleil dans les yeux
▪ Jeudi 9 septembre
17h : Divine Horsemen, The Living Gods of Haïti
18h30 : Ciguri 98 – La Danse du peyotl
▪ Vendredi 10 septembre
18h : Couleurs australes (Escale australienne)
Mais nous ne pouvions pas en rester là !
Le MuMa vous propose donc, sous la forme d’un mini-festival, 5 des 7 séances annulées, pour enfin en profiter !
Au programme :
▪ Mercredi 8 septembre
17h : Nocturama
18h30 : Le soleil dans les yeux
▪ Jeudi 9 septembre
17h : Divine Horsemen, The Living Gods of Haïti
18h30 : Ciguri 98 – La Danse du peyotl
▪ Vendredi 10 septembre
18h : Couleurs australes (Escale australienne)
Date(s)
- du 08 septembre 2021 au 10 septembre 2021
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
Nombre de places disponibles : en fonction des jauges applicables à la date de l’événement.
Port du masque obligatoire
Pour recevoir la lettre d’information électronique : mumabox@laposte.net
Port du masque obligatoire
Pour recevoir la lettre d’information électronique : mumabox@laposte.net