1 heure

© Naiade Plante
Avec le concours de l’Opéra Orchestre Normandie Rouen, le MuMa vous propose un concert en mode évasion. Embarquez, et à vous la chaleur et les parfums enivrants ! L’occasion pour les cinq musiciens de partager avec nous leurs partitions les plus florales et exaltantes.
« Qu’elles sont belles les fleurs de la vie, tôt ou tard elles éclosent à tes côtés, de toute leur splendeur », chante le guitariste cubain Compay Segundo.
Des notes légères et colorées parcourent ce concert où l’on voyage de l’époque médiévale anglaise aux côtés de Ralph Vaughan Williams jusqu’au standard jazz de Sidney Bechet, Petite Fleur, en passant par les tangos libérés d’Astor Piazzolla ou le merveilleux et lyrique Duo des fleurs de Léo Delibes. Une rêverie musicale aux quatre coins du monde.
Avec à la trompette, Patrice Antonangelo et Franck Paque, au trombone, Frantz Couvez, au cor, Eric Lemardeley, et à la harpe, Sylvaine Antonangelo
Programme :
Astor Piazzola : SVP, Oblivion, Michelangelo 70, Los pajaros perdidos, Libertango
Sébastian Piana : La Milonga Sentimental
Léo Delibes : Duo des fleurs
Isaac Albeniz : Tango
Ralph Vaughan Williams : Fantasia sur “Greensleeves”
Virgilio Exposito : Naranjo in flor
Jerry Ross : Hernando’s Rideaway
Sidney Bechet : Petite Fleur
En partenariat avec l’Opéra de Rouen Normandie
« Qu’elles sont belles les fleurs de la vie, tôt ou tard elles éclosent à tes côtés, de toute leur splendeur », chante le guitariste cubain Compay Segundo.
Des notes légères et colorées parcourent ce concert où l’on voyage de l’époque médiévale anglaise aux côtés de Ralph Vaughan Williams jusqu’au standard jazz de Sidney Bechet, Petite Fleur, en passant par les tangos libérés d’Astor Piazzolla ou le merveilleux et lyrique Duo des fleurs de Léo Delibes. Une rêverie musicale aux quatre coins du monde.
Avec à la trompette, Patrice Antonangelo et Franck Paque, au trombone, Frantz Couvez, au cor, Eric Lemardeley, et à la harpe, Sylvaine Antonangelo
Programme :
Astor Piazzola : SVP, Oblivion, Michelangelo 70, Los pajaros perdidos, Libertango
Sébastian Piana : La Milonga Sentimental
Léo Delibes : Duo des fleurs
Isaac Albeniz : Tango
Ralph Vaughan Williams : Fantasia sur “Greensleeves”
Virgilio Exposito : Naranjo in flor
Jerry Ross : Hernando’s Rideaway
Sidney Bechet : Petite Fleur
En partenariat avec l’Opéra de Rouen Normandie
Date(s)
- 15 juin 2025
Tarif(s)
Gratuit
Sur réservation / Lien disponible prochainement

© Marie Voignier / Capricci Films / L' Âge d’or / L' Espace croisé
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Au sud-est du Cameroun, un homme arpente la jungle et les berges boueuses des rivières depuis plusieurs années à la recherche d’un animal inconnu de la zoologie : le Mokélé-Mbembé. Les pygmées que l’explorateur rencontre au cours de ses expéditions décrivent cet animal comme une sorte de rhinocéros à queue de crocodile et à tête de serpent.
Certains affirment l’avoir déjà rencontré près de la rivière. Animal mythologique ou animal réel ? L’explorateur est depuis longtemps convaincu de l’existence de cette bête. Il nous entraîne dans une quête acharnée pour trouver des traces de l’animal ou des témoignages de son existence dans un univers où le vraisemblable se mêle au légendaire, nous ramenant aux sources de la croyance et de la fiction.
Programme détaillé :
L'Hypothèse du Mokélé-Mbembé de Marie Voignier
France • 2011 • 78 minutes • HDV • Couleur
Avec Michel Ballot
Et Jean-Claude Bembo, Etienne Bembo, Patrice Lumumba, Lucien Abagui Iya, Lucien Betti, Janvier, Rémy Boudou, Roger Assamoni, François De Sarre, Gislain Adoumadjeli, Anourou Ousman, Traore, Anatole, Clément Banga.
Réalisation, image, montage : Marie Voignier
Son, montage son, mixage : Thomas Fourel
Assistante réalisation : Stefanie Baumann
Etalonnage : Julien Bisschop
Production : Capricci Films, L’Âge d’or et L’Espace Croisé
Certains affirment l’avoir déjà rencontré près de la rivière. Animal mythologique ou animal réel ? L’explorateur est depuis longtemps convaincu de l’existence de cette bête. Il nous entraîne dans une quête acharnée pour trouver des traces de l’animal ou des témoignages de son existence dans un univers où le vraisemblable se mêle au légendaire, nous ramenant aux sources de la croyance et de la fiction.
Programme détaillé :
L'Hypothèse du Mokélé-Mbembé de Marie Voignier
France • 2011 • 78 minutes • HDV • Couleur
Avec Michel Ballot
Et Jean-Claude Bembo, Etienne Bembo, Patrice Lumumba, Lucien Abagui Iya, Lucien Betti, Janvier, Rémy Boudou, Roger Assamoni, François De Sarre, Gislain Adoumadjeli, Anourou Ousman, Traore, Anatole, Clément Banga.
Réalisation, image, montage : Marie Voignier
Son, montage son, mixage : Thomas Fourel
Assistante réalisation : Stefanie Baumann
Etalonnage : Julien Bisschop
Production : Capricci Films, L’Âge d’or et L’Espace Croisé
Date(s)
- 07 mai 2025
Tarif(s)
Gratuit

MANHATTA (Charles Sheeler & Paul Strand, 1921) © DR
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La ville, espace de flux, de rencontres, lieu de tous les possibles, expression de la modernité, a toujours inspiré les cinéastes de toutes tendances. New York, paradigme de la métropole moderne dont le pouvoir de fascination extrême continue d’attirer toutes les avant-gardes artistiques, a été la ville où le cinéma underground - loin des studios d’Hollywood - a acquis droit de cité sous l’impulsion de Jonas Mekas.
C’est à New York que ce sont tournés certains films parmi les plus radicaux de l’histoire du cinéma, tel Empire d’Andy Warhol, monument filmique (8 heures de plan fixe) à propos d’un monument urbain (l’Empire State Building).
Entre documentaire et expérimental, ce programme regroupe six films, six visions de New-York sur plus d’un siècle.
En présence de la réalisatrice Viktoria Schmid.
En écho à la programmation de Marie-Pierre Bonniol "La Ville" les 4 et 5 avril au Volcan
Programme détaillé :
Charles Sheeler & Paul Strand, MANHATTA
1921 / 16mm / n&b / silencieux / 9' 00
Marie MENKEN, GO GO GO
1962-1964 / 16 mm /couleur / silencieux / 11' 30
Viktoria Schmid, NYC RGB
2023 / 16mm / couleur / sonore / 7' 11
Francis Thompson, N.Y., N.Y.
1957 / 16 mm numérisé / couleur / sonore / 15’
Robert Cahen, LE DEUXIÈME JOUR
1988 / vidéo / couleur / sonore / 08’00
Raphaël Maze, TO BETSY FROM BETSY (WHO TURNS TOMORROW 65 -T STILL ALIVE)
2008 / vidéo / n&b / sonore / 8' 00
C’est à New York que ce sont tournés certains films parmi les plus radicaux de l’histoire du cinéma, tel Empire d’Andy Warhol, monument filmique (8 heures de plan fixe) à propos d’un monument urbain (l’Empire State Building).
Entre documentaire et expérimental, ce programme regroupe six films, six visions de New-York sur plus d’un siècle.
En présence de la réalisatrice Viktoria Schmid.
En écho à la programmation de Marie-Pierre Bonniol "La Ville" les 4 et 5 avril au Volcan
Programme détaillé :
Charles Sheeler & Paul Strand, MANHATTA
1921 / 16mm / n&b / silencieux / 9' 00
Marie MENKEN, GO GO GO
1962-1964 / 16 mm /couleur / silencieux / 11' 30
Viktoria Schmid, NYC RGB
2023 / 16mm / couleur / sonore / 7' 11
Francis Thompson, N.Y., N.Y.
1957 / 16 mm numérisé / couleur / sonore / 15’
Robert Cahen, LE DEUXIÈME JOUR
1988 / vidéo / couleur / sonore / 08’00
Raphaël Maze, TO BETSY FROM BETSY (WHO TURNS TOMORROW 65 -T STILL ALIVE)
2008 / vidéo / n&b / sonore / 8' 00
Date(s)
- 02 avril 2025
Tarif(s)
Gratuit

JARDIN D'ÉTÉ (Philippe Cote, 2012) / courtesy Light Cone
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Le jardin, espace réel de la vie végétale, plus ou moins organisé, pour le plaisir de nos sens. Morceau de nature où l’on observe les variations de la lumière et des saisons… Espace de création cher aux artistes, source d’inspiration jamais tarie, qui nous fait percevoir la beauté, la puissance et la fragilité du vivant.
Le film comme jardin, c’est l’expérience de la lumière qui chatoie à travers les fleurs, les feuilles, qui fait scintiller les grains d’argent de la pellicule. C’est la combinaison des images, comme des essences. C’est le témoignage précieux de la vie qui bat près de nous.
« J'ai voulu voir si je pouvais faire un film qui était en soi un jardin : un film qui, comme le monde des plantes, se déploierait et s’étendrait lorsque la lumière approche. » Nathaniel Dorsky
En écho à la programmation de Marie-Pierre Bonniol "Le Jardin" les 7 et 8 mars au Volcan
Programme détaillé :
Philippe Cote, JARDIN D'ÉTÉ
2012 / Super 8mm numérisé / coul-n&b / sonore / 17' 30
Helena Gouveia Monteiro, PURKYNE'S DUSK
2020-2021 / Super 8mm numérisé / coul-n&b / silencieux / 9' 09
Nathaniel Dorsky, SPRING
2013 / 16mm / couleur / silencieux / 23' 00
Rose Lowder, BOUQUETS 31-40
2014-2022 / 16mm / couleur / silencieux / 10' 34
Le film comme jardin, c’est l’expérience de la lumière qui chatoie à travers les fleurs, les feuilles, qui fait scintiller les grains d’argent de la pellicule. C’est la combinaison des images, comme des essences. C’est le témoignage précieux de la vie qui bat près de nous.
« J'ai voulu voir si je pouvais faire un film qui était en soi un jardin : un film qui, comme le monde des plantes, se déploierait et s’étendrait lorsque la lumière approche. » Nathaniel Dorsky
En écho à la programmation de Marie-Pierre Bonniol "Le Jardin" les 7 et 8 mars au Volcan
Programme détaillé :
Philippe Cote, JARDIN D'ÉTÉ
2012 / Super 8mm numérisé / coul-n&b / sonore / 17' 30
Helena Gouveia Monteiro, PURKYNE'S DUSK
2020-2021 / Super 8mm numérisé / coul-n&b / silencieux / 9' 09
Nathaniel Dorsky, SPRING
2013 / 16mm / couleur / silencieux / 23' 00
Rose Lowder, BOUQUETS 31-40
2014-2022 / 16mm / couleur / silencieux / 10' 34
Date(s)
- 05 mars 2025
Tarif(s)
Gratuit

La vache qui rumine © Georges Rey, 1969 / courtesy Light Cone
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Ce que raconte toute l'histoire de l’animal au cinéma, c’est bien sûr celle du regard que portent sur lui ceux qui l’ont filmé. Or ce regard, et celui de la société humaine sur les bêtes, sauvages ou domestiquées, a évolué depuis les débuts du cinéma et même avant - avec les travaux de Marey et Muybridge sur le mouvement des animaux…
Dans ce second bestiaire de la saison, l’accent sera mis sur l’observation de l’animal dans son milieu naturel : l’oiseau migrateur dans le ciel, la grenouille dans la mare, la vache dans le pré, l’humain en société… Mais aussi sous l’œil du microscope, quand la caméra est dotée d’un objectif qui magnifie le petit, le minuscule, c’est le mystère de la présence animale qui envahit tout l’écran, nous renvoyant dans la nuit des temps de nos origines.
Programme détaillé :
Daniel BURKHARDT, MIGRANTS, 2021 / 4K / couleur / sonore / 5' 30
Julia Parks, ALL FLESH IS GRASS, 2023 / 16mm / couleur / sonore / 9435
Florian Fischer & Johannes Krell, STILL LIFE, 2014 / HD / couleur / sonore / 12' 11
Giuseppe Boccassini, LA NOTTE SALVA, 2019 / Mini DV / coul-n&b / sonore / 11' 53
Amy Halpern, FIRE BELLY, 2021 / 16mm / couleur / silencieux / 3' 00
Rose Lowder, HABITAT BATRACIEN, 2006 / 16mm / couleur / silencieux / 8' 31
Cécile Fontaine, LION LIGHT, 1996 / 16mm / n&b / silencieux / 2' 30
Georges Rey, LA VACHE QUI RUMINE, 1969 / 16mm / n&b / silencieux / 3' 00
Dans ce second bestiaire de la saison, l’accent sera mis sur l’observation de l’animal dans son milieu naturel : l’oiseau migrateur dans le ciel, la grenouille dans la mare, la vache dans le pré, l’humain en société… Mais aussi sous l’œil du microscope, quand la caméra est dotée d’un objectif qui magnifie le petit, le minuscule, c’est le mystère de la présence animale qui envahit tout l’écran, nous renvoyant dans la nuit des temps de nos origines.
Programme détaillé :
Daniel BURKHARDT, MIGRANTS, 2021 / 4K / couleur / sonore / 5' 30
Julia Parks, ALL FLESH IS GRASS, 2023 / 16mm / couleur / sonore / 9435
Florian Fischer & Johannes Krell, STILL LIFE, 2014 / HD / couleur / sonore / 12' 11
Giuseppe Boccassini, LA NOTTE SALVA, 2019 / Mini DV / coul-n&b / sonore / 11' 53
Amy Halpern, FIRE BELLY, 2021 / 16mm / couleur / silencieux / 3' 00
Rose Lowder, HABITAT BATRACIEN, 2006 / 16mm / couleur / silencieux / 8' 31
Cécile Fontaine, LION LIGHT, 1996 / 16mm / n&b / silencieux / 2' 30
Georges Rey, LA VACHE QUI RUMINE, 1969 / 16mm / n&b / silencieux / 3' 00
Date(s)
- 05 février 2025
Tarif(s)
Gratuit

Georges-Frédéric RÖTIG (1873-1961), Études du chien appartenant au président Félix Faure, 1895, aquarelle et crayon sur papier, 32,4 x 50 cm. Le Havre - Musée d'art moderne André Malraux
Présentation du premier ouvrage sur l'oeuvre du peintre Georges-Frédéric Rötig
> Bibliothèque du MuMa - Samedi 7 déc. à 11h30
Rencontre - Signature avec Nadine Berthelier, conservatrice en chef du patrimoine, autrice du premier ouvrage consacré à la vie et l'oeuvre du peintre animalier Georges-Frédéric Rötig, présent dans nos collections.
En présence de membres de la famille du peintre natif du havre et de Géraldine Lefebvre, directrice du musée.
Georges-Frédéric Rötig
« J’avais toujours eu l’idée fixe de faire de la peinture, et il faut croire que, tout jeune, j’avais déjà un faible pour les animaux, car rien ne m’a tant amusé que ces ménageries d’animaux en bois sculpté, quand j’étais enfant. »
Georges Frédéric naît le 1er octobre 1873 au Havre. Fort de son intérêt pour la peinture, le jeune Rötig suit les cours de Charles Lhullier à l’école municipale des Beaux-Arts du Havre, avant d’être admis à l’École des beaux-arts de Paris, au début de l’année 1891.
Auteur d’une oeuvre abondante, Rötig se spécialise très tôt dans la peinture animalière. Âgé d’à peine vingt ans, il expose dès 1893 au Salon des artistes français un dessin au fusain, Bassets vendéens ; griffons. Trois ans plus tard, il réalise le frontispice d'un ouvrage de Gustave Lennier, directeur du Muséum d’histoire naturelle et d’ethnographie du Havre. Il se fait également illustrateur de nombreux magazines de chasse.
Son talent d’artiste animalier s’ancre dans une observation fidèle de la nature.
Il figure au demeurant dans la liste des artistes admis à travailler au laboratoire du Muséum national d’histoire naturelle en 1926.
La critique reconnaît rapidement les mérites de Rötig, qui est de ces peintres pouvant prétendre vivre de leur art.
Nommé chevalier de la Légion d’honneur en 1958, il décède trois ans plus tard à Paris, le 20 août 1961.
Extraits du Catalogue À l'école de Charles Lhullier (1824-1898) par Michaël Debris, attaché de conservation au MuMa
En savoir plus :
> Bibliothèque du MuMa - Samedi 7 déc. à 11h30
Rencontre - Signature avec Nadine Berthelier, conservatrice en chef du patrimoine, autrice du premier ouvrage consacré à la vie et l'oeuvre du peintre animalier Georges-Frédéric Rötig, présent dans nos collections.
En présence de membres de la famille du peintre natif du havre et de Géraldine Lefebvre, directrice du musée.
Georges-Frédéric Rötig
« J’avais toujours eu l’idée fixe de faire de la peinture, et il faut croire que, tout jeune, j’avais déjà un faible pour les animaux, car rien ne m’a tant amusé que ces ménageries d’animaux en bois sculpté, quand j’étais enfant. »
Georges Frédéric naît le 1er octobre 1873 au Havre. Fort de son intérêt pour la peinture, le jeune Rötig suit les cours de Charles Lhullier à l’école municipale des Beaux-Arts du Havre, avant d’être admis à l’École des beaux-arts de Paris, au début de l’année 1891.
Auteur d’une oeuvre abondante, Rötig se spécialise très tôt dans la peinture animalière. Âgé d’à peine vingt ans, il expose dès 1893 au Salon des artistes français un dessin au fusain, Bassets vendéens ; griffons. Trois ans plus tard, il réalise le frontispice d'un ouvrage de Gustave Lennier, directeur du Muséum d’histoire naturelle et d’ethnographie du Havre. Il se fait également illustrateur de nombreux magazines de chasse.
Son talent d’artiste animalier s’ancre dans une observation fidèle de la nature.
Il figure au demeurant dans la liste des artistes admis à travailler au laboratoire du Muséum national d’histoire naturelle en 1926.
La critique reconnaît rapidement les mérites de Rötig, qui est de ces peintres pouvant prétendre vivre de leur art.
Nommé chevalier de la Légion d’honneur en 1958, il décède trois ans plus tard à Paris, le 20 août 1961.
Extraits du Catalogue À l'école de Charles Lhullier (1824-1898) par Michaël Debris, attaché de conservation au MuMa
En savoir plus :
Date(s)
- 07 décembre 2024
Tarif(s)
Gratuit
Entrée libre, rendez-vous à la bibliothèque du MuMa

Grand salon de l’appartement d’Olivier Senn, 10 avenue d’Iéna à Paris, après 1931 (détail).
Par Danièle Gutmann, historienne de l'art
Collectionner des choses remarquables est une pratique universellement partagée : elle appartient à tous les âges, à toutes les époques, à tous les continents.
Alors que de nombreuses collections sont consacrées aux œuvres d’art, il arrive en retour que les artistes se soient intéressés aux collections, que ce soit pour en constituer eux-mêmes, pour se former, pour les représenter, ou pour les prendre comme modèle de leur création.
Un survol historique de la typologie des collections en Europe, permettra de présenter quelques pratiques artistiques qui s'en sont inspirées.
Collectionner des choses remarquables est une pratique universellement partagée : elle appartient à tous les âges, à toutes les époques, à tous les continents.
Alors que de nombreuses collections sont consacrées aux œuvres d’art, il arrive en retour que les artistes se soient intéressés aux collections, que ce soit pour en constituer eux-mêmes, pour se former, pour les représenter, ou pour les prendre comme modèle de leur création.
Un survol historique de la typologie des collections en Europe, permettra de présenter quelques pratiques artistiques qui s'en sont inspirées.
Date(s)
- 24 janvier 2025
Tarif(s)
Gratuit
Entrée libre, rendez-vous à l'accueil du musée

Portrait d'Olivier Senn
Par Géraldine Lefebvre, directrice du MuMa, co-commissaire de l’exposition
Cette conférence révèle les personnalités singulières de ces grands collectionneurs havrais, négociants en café et coton qui ont fondé le Cercle de l’Art Moderne du Havre en 1906. Olivier Senn, mais aussi Georges Dussueil, Charles-Auguste Marande, Pieter van der Velde ou Edouard Choupay, ont réunis de remarquable collections d’art. La conférence invite à pénétrer l’univers intime de ces collectionneurs, qui au-delà de leur intérêt privé, ont souhaité s’associer pour promouvoir l’art moderne.
Cette conférence révèle les personnalités singulières de ces grands collectionneurs havrais, négociants en café et coton qui ont fondé le Cercle de l’Art Moderne du Havre en 1906. Olivier Senn, mais aussi Georges Dussueil, Charles-Auguste Marande, Pieter van der Velde ou Edouard Choupay, ont réunis de remarquable collections d’art. La conférence invite à pénétrer l’univers intime de ces collectionneurs, qui au-delà de leur intérêt privé, ont souhaité s’associer pour promouvoir l’art moderne.
Date(s)
- 07 février 2025
Tarif(s)
Gratuit
Entrée libre, rendez-vous à l'accueil du musée

Conférence de présentation
Par Géraldine Lefebvre, directrice du MuMa, co-commissaire de l’exposition
L’exposition « Les Senn, collectionneurs et mécènes » propose un regard renouvelé sur la collection d’Olivier Senn qui comprenait initialement plus de 500 œuvres. Lors de cette conférence, la commissaire présente un état des lieux de la recherche sur cette importante collection impressionniste et sur le parcours de cette famille de collectionneurs, donateurs des musées français.
Par Géraldine Lefebvre, directrice du MuMa, co-commissaire de l’exposition
L’exposition « Les Senn, collectionneurs et mécènes » propose un regard renouvelé sur la collection d’Olivier Senn qui comprenait initialement plus de 500 œuvres. Lors de cette conférence, la commissaire présente un état des lieux de la recherche sur cette importante collection impressionniste et sur le parcours de cette famille de collectionneurs, donateurs des musées français.
Date(s)
- 13 décembre 2024
Tarif(s)
Gratuit
Entrée libre, rendez-vous à l'accueil du musée

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Berlin, die Sinfonie der Grosstadt de Walter Ruttmann est sans doute le film le plus représentatif du courant de la Nouvelle Objectivité, qui domine les années 20 en Allemagne et se caractérise par sa volonté de représenter le réel sans fard. Avec les moyens de la caméra documentaire et du montage, ce film symphonie de 1927 présente la vie et le rythme de la nouvelle métropole de Berlin, de l'aube à la nuit. L'esthétique de la modernité, imposée par le mouvement Dada, se prolonge dans cet hymne à la vitalité de la capitale alors en plein essor. Influencé par le cinéma soviétique, mais aussi par son expérience du "film absolu" ou abstrait, Walter Ruttmann explore un nouvel environnement urbain, récemment industrialisé, où rapidité, communication, machinisme, simultanéité et mouvements de foule sont les nouveaux mots d'ordre…
Programme détaillé :
Ruttmann BERLIN, SYMPHONIE D’UNE GRANDE VILLE 1927 / 35 mm / n&b / silencieux / 77’00
Programme détaillé :
Ruttmann BERLIN, SYMPHONIE D’UNE GRANDE VILLE 1927 / 35 mm / n&b / silencieux / 77’00
Date(s)
- 08 janvier 2025
Tarif(s)
Gratuit
Entrée libre, rendez-vous à l’accueil du musée
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur
Evenement Facebook juste ici
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur
Evenement Facebook juste ici