1 heure

. © Droits réservés
Le Festival PiedNu se transforme et devient Pour les oiseaux. Et le MuMa continue de l’accompagner en accueillant deux duos pour deux concerts qui promettent de beaux échanges, avec la clarinette en fil conducteur.
Dimanche 3 octobre, 17h30
Duo Xavière Fertin / Louis Frères
Complices dans différents ensembles de musiques improvisées (OKGB, l'Oeil Kollectif, Escargot, DIE), Louis Frères et Xavière Fertin explorent les recoins les plus inouïs de leurs instruments.
Au sein de ce duo, les timbres de la basse électrique et de la clarinette se confondent, se frictionnent, s'entrechoquent pour finalement créer une seule masse sonore en perpétuel devenir.
Dimanche 3 octobre, 17h30
Duo Xavière Fertin / Louis Frères
Complices dans différents ensembles de musiques improvisées (OKGB, l'Oeil Kollectif, Escargot, DIE), Louis Frères et Xavière Fertin explorent les recoins les plus inouïs de leurs instruments.
Au sein de ce duo, les timbres de la basse électrique et de la clarinette se confondent, se frictionnent, s'entrechoquent pour finalement créer une seule masse sonore en perpétuel devenir.
Autre recontre musicale : jeudi 30 septembre, 12h15
Duo Marion Buisset / François Lebègue
Date(s)
- 03 octobre 2021
Tarif(s)
Gratuit
Sur inscription : https://affluences.com/muma-musee-dart-moderne-andre-malraux/reservation
(catégorie « Evénement / EVENEMENT : concert pour les oiseaux »)
Nombre de places disponibles : fonction des jauges applicables à la date de l’événement.
Port du masque obligatoire
(catégorie « Evénement / EVENEMENT : concert pour les oiseaux »)
Nombre de places disponibles : fonction des jauges applicables à la date de l’événement.
Port du masque obligatoire

. © Droits réservés
Le Festival PiedNu se transforme et devient Pour les oiseaux. Et le MuMa continue de l’accompagner en accueillant deux duos pour deux concerts qui promettent de beaux échanges, avec la clarinette en fil conducteur.
Jeudi 30 septembre, 12h15
Duo Marion Buisset / François Lebègue
La rencontre entre une accordéoniste et un clarinettiste, sur le terrain de l'exploration des sons aux mélanges multiples des instruments utilisés (accordéon, clarinettes et saxophone soprano), le tout dans le champ contemporain d'une improvisation toujours à l'écriture, n'allait pas de soi !
Le chemin est tracé, le débroussaillage a eu lieu et l'objectif d'un enregistrement en studio, après quelques présentations publiques, s'annonce !
Les différents et nombreux registres de l'accordéon s'accordent aux sonorités variées des instruments à vent choisis dans une recherche de nouveaux horizons sonores.
Jeudi 30 septembre, 12h15
Duo Marion Buisset / François Lebègue
La rencontre entre une accordéoniste et un clarinettiste, sur le terrain de l'exploration des sons aux mélanges multiples des instruments utilisés (accordéon, clarinettes et saxophone soprano), le tout dans le champ contemporain d'une improvisation toujours à l'écriture, n'allait pas de soi !
Le chemin est tracé, le débroussaillage a eu lieu et l'objectif d'un enregistrement en studio, après quelques présentations publiques, s'annonce !
Les différents et nombreux registres de l'accordéon s'accordent aux sonorités variées des instruments à vent choisis dans une recherche de nouveaux horizons sonores.
Autre recontre musicale : le dimanche 3 octobre, 17h30
Duo Xavière Fertin / Louis Frères
Date(s)
- 30 septembre 2021
Tarif(s)
Gratuit
Sur inscription : https://affluences.com/muma-musee-dart-moderne-andre-malraux/reservation
(catégorie « Evénement / EVENEMENT : concert pour les oiseaux »)
Nombre de places disponibles : fonction des jauges applicables à la date de l’événement.
Port du masque obligatoire
(catégorie « Evénement / EVENEMENT : concert pour les oiseaux »)
Nombre de places disponibles : fonction des jauges applicables à la date de l’événement.
Port du masque obligatoire

- -
En partenariat avec les Rencontres d’été – Théâtre et lecture en Normandie, le MuMa accueille Septembre Tiberghien, jeune critique d’art installée à Bruxelles. En écho au texte qu’elle publie dans le catalogue de l’exposition Philippe De Gobert. Du merveilleux en architecture au conte photographique, elle viendra évoquer le travail si singulier de l’artiste mis à l’honneur cette année dans nos salles.
Septembre Tiberghien est critique d’art et commissaire indépendante. Elle vit à Bruxelles et collabore régulièrement avec les revues l’art même, Flux News, H-art et le journal Hippocampe. Depuis 2010, elle fait partie de l’association Portraits la galerie, qui soutient la création émergente. Elle s’intéresse aux pratiques artistiques nomades, qui font preuve de résistance et entretiennent un rapport au monde poétique.
En partenariat avec les Rencontres d’été – Théâtre et lecture en Normandie
Septembre Tiberghien est critique d’art et commissaire indépendante. Elle vit à Bruxelles et collabore régulièrement avec les revues l’art même, Flux News, H-art et le journal Hippocampe. Depuis 2010, elle fait partie de l’association Portraits la galerie, qui soutient la création émergente. Elle s’intéresse aux pratiques artistiques nomades, qui font preuve de résistance et entretiennent un rapport au monde poétique.
En partenariat avec les Rencontres d’été – Théâtre et lecture en Normandie
Date(s)
- 28 juillet 2021
Sur inscription : https://affluences.com/muma-musee-dart-moderne-andre-malraux/reservation
(catégorie « Evénement / EVENEMENT : « conférence »)
Nombre de places disponibles : fonction des jauges applicables à la date de l’événement.
Port du masque obligatoire
(catégorie « Evénement / EVENEMENT : « conférence »)
Nombre de places disponibles : fonction des jauges applicables à la date de l’événement.
Port du masque obligatoire

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Amputée de la presque totalité de ses séances, la saison MuMaBoX 2020-2021 aura subi de plein fouet les conséquences de la crise sanitaire. Mais nous ne pouvions pas en rester là ! Le MuMa vous propose donc, sous la forme d’un mini-festival, 5 des 7 séances annulées, pour enfin en profiter !
Couleurs australes
En écho à l’Escale Australienne
A travers les recherches de Arthur et Corinne Cantrill sur la séparation des couleurs et le travail de Richard Tuohy sur le traitement artisanal de la pellicule dans le laboratoire qu’il a créé à Melbourne, nous explorerons l’espace de la couleur dans le cinéma expérimental australien.
Programme :
Arthur et Corinne Cantrill
Eikon, 1969, 4’00
City of Chromatic Dissolution, 1999, 17’ 00
The Room of Chromatic Mystery, 2006, 8’00
Richard Tuohy
China not China, 2018, 14’10
Tasmanian Splintering, 2010, 14’00
https://escaleaustralienne.lehavre.fr/
Couleurs australes
En écho à l’Escale Australienne
A travers les recherches de Arthur et Corinne Cantrill sur la séparation des couleurs et le travail de Richard Tuohy sur le traitement artisanal de la pellicule dans le laboratoire qu’il a créé à Melbourne, nous explorerons l’espace de la couleur dans le cinéma expérimental australien.
Programme :
Arthur et Corinne Cantrill
Eikon, 1969, 4’00
City of Chromatic Dissolution, 1999, 17’ 00
The Room of Chromatic Mystery, 2006, 8’00
Richard Tuohy
China not China, 2018, 14’10
Tasmanian Splintering, 2010, 14’00
https://escaleaustralienne.lehavre.fr/
Date(s)
- 10 septembre 2021
Tarif(s)
Gratuit
Entrée libre, rendez-vous à l’accueil du musée
Nombre de places disponibles : fonction des jauges applicables à la date de l’événement.
Port du masque obligatoire
Nombre de places disponibles : fonction des jauges applicables à la date de l’événement.
Port du masque obligatoire

. © R. Carasco – R. Hébraud
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Amputée de la presque totalité de ses séances, la saison MuMaBoX 2020-2021 aura subi de plein fouet les conséquences de la crise sanitaire. Mais nous ne pouvions pas en rester là ! Le MuMa vous propose donc, sous la forme d’un mini-festival, 5 des 7 séances annulées, pour enfin en profiter !
Ciguri 98 – La Danse du peyotl
« La cinéaste Raymonde Carasco (1939-2009) entreprend, au milieu des années 1970, une recherche sur la pensée-cinéma, « concept » hérité d'Eisenstein et que l'on retrouve, entre autres, dans les écrits de Gilles Deleuze et les œuvres de Jean-Luc Godard. Le tronc central de sa filmographie est constitué d'une quinzaine de films sur la culture des Indiens Tarahumaras (1978-2003), mise en perspective avec la pensée d’Antonin Artaud. Débutant dans la mouvance du cinéma expérimental, se poursuivant dans le champ du documentaire, voire de la fiction, les films de cette cinéaste singulière relèvent, selon Nicole Brenez, du « poème ethnographique ».
En 1995, Raymonde Carasco retourne chez les Indiens Tarahumaras avec l’intention d’approcher le Ciguri, ce rite initiatique et curatif qui tient une place essentielle dans les textes Tarahumaras d’Artaud. Ciguri 98 – La Danse du peyotl confronte, sur les images du rite actuel du Ciguri, les textes d’Artaud et la parole chamanique. » Raphaël Bassan
Programme :
Raymonde Carasco, Ciguri 98 – La Danse du peyotl, 1998, 40’00
Ciguri 98 – La Danse du peyotl
« La cinéaste Raymonde Carasco (1939-2009) entreprend, au milieu des années 1970, une recherche sur la pensée-cinéma, « concept » hérité d'Eisenstein et que l'on retrouve, entre autres, dans les écrits de Gilles Deleuze et les œuvres de Jean-Luc Godard. Le tronc central de sa filmographie est constitué d'une quinzaine de films sur la culture des Indiens Tarahumaras (1978-2003), mise en perspective avec la pensée d’Antonin Artaud. Débutant dans la mouvance du cinéma expérimental, se poursuivant dans le champ du documentaire, voire de la fiction, les films de cette cinéaste singulière relèvent, selon Nicole Brenez, du « poème ethnographique ».
En 1995, Raymonde Carasco retourne chez les Indiens Tarahumaras avec l’intention d’approcher le Ciguri, ce rite initiatique et curatif qui tient une place essentielle dans les textes Tarahumaras d’Artaud. Ciguri 98 – La Danse du peyotl confronte, sur les images du rite actuel du Ciguri, les textes d’Artaud et la parole chamanique. » Raphaël Bassan
Programme :
Raymonde Carasco, Ciguri 98 – La Danse du peyotl, 1998, 40’00
Date(s)
- 09 septembre 2021
Tarif(s)
Gratuit
Entrée libre, rendez-vous à l’accueil du musée
Nombre de places disponibles : fonction des jauges applicables à la date de l’événement.
Port du masque obligatoire
Nombre de places disponibles : fonction des jauges applicables à la date de l’événement.
Port du masque obligatoire

. © Light cone
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Amputée de la presque totalité de ses séances, la saison MuMaBoX 2020-2021 aura subi de plein fouet les conséquences de la crise sanitaire. Mais nous ne pouvions pas en rester là ! Le MuMa vous propose donc, sous la forme d’un mini-festival, 5 des 7 séances annulées, pour enfin en profiter !
Divine Horsemen, The Living Gods of Haïti
Le film montre les rites de trois cultes haïtiens : Rada, Petro et Congo, dont l’origine est africaine. Ces rites mettent en scène des sacrifices (poulets, chèvres) et des transes.
Dans la préface de Divine Horsemen, Maya Deren écrit : « Cette disposition des objets liée à mon projet haïtien initial est, pour moi, le tribut le plus éloquent de l’irréfutable réalité et de l’impact de la mythologie Vaudou. J’avais entamé ce projet comme une artiste ; comme quelqu’un qui transformerait les éléments d’une réalité en une oeuvre d’art en regard de mon intégrité créatrice, et je termine par l’enregistrement le plus humble et le plus précis que je puisse faire d’une logique, d’une réalité qui m’a forcée à reconnaître son intégrité et m’a fait abandonner mes manipulations. »
Programme :
Maya Deren, Divine Horsemen, 1951-1977, 55’00
Divine Horsemen, The Living Gods of Haïti
Le film montre les rites de trois cultes haïtiens : Rada, Petro et Congo, dont l’origine est africaine. Ces rites mettent en scène des sacrifices (poulets, chèvres) et des transes.
Dans la préface de Divine Horsemen, Maya Deren écrit : « Cette disposition des objets liée à mon projet haïtien initial est, pour moi, le tribut le plus éloquent de l’irréfutable réalité et de l’impact de la mythologie Vaudou. J’avais entamé ce projet comme une artiste ; comme quelqu’un qui transformerait les éléments d’une réalité en une oeuvre d’art en regard de mon intégrité créatrice, et je termine par l’enregistrement le plus humble et le plus précis que je puisse faire d’une logique, d’une réalité qui m’a forcée à reconnaître son intégrité et m’a fait abandonner mes manipulations. »
Programme :
Maya Deren, Divine Horsemen, 1951-1977, 55’00
Date(s)
- 09 septembre 2021
Tarif(s)
Gratuit
Entrée libre, rendez-vous à l’accueil du musée
Nombre de places disponibles : fonction des jauges applicables à la date de l’événement.
Port du masque obligatoire
Nombre de places disponibles : fonction des jauges applicables à la date de l’événement.
Port du masque obligatoire

. © Peter Miller / Light Cone
- -
Amputée de la presque totalité de ses séances, la saison MuMaBoX 2020-2021 aura subi de plein fouet les conséquences de la crise sanitaire. Mais nous ne pouvions pas en rester là ! Le MuMa vous propose donc, sous la forme d’un mini-festival, 5 des 7 séances annulées, pour enfin en profiter !
Le Soleil dans les yeux
Dans un mouvement en contrepoint à NOCTURAMA, nous sortirons de la nuit électrique pour observer la course de l’astre solaire. De l’aube magique du solstice d’été saisie sur le site de Glastonbury Tor, haut lieu de la mythologie celtique, au crépuscule industriel, cliché du sunset, immortalisé par des millions de touristes et véhiculé par les réseaux sociaux, le Soleil imposera sa lumière sur l’écran de projection.
Programme :
Fergus Carmichael, A thin place, 2020, 12’00
Holly Fisher, Glass shadows, 1976, 13' 22
Jérôme Cognet, Le soleil tout entier ne se trouve nulle part, 2020, 12' 36
LIA, Three suns, 2012, 7' 50
Semiconductor, Brilliant Noise, 2006, 5’56
Peter Miller, Set, 2016, 10' 00
Le Soleil dans les yeux
Dans un mouvement en contrepoint à NOCTURAMA, nous sortirons de la nuit électrique pour observer la course de l’astre solaire. De l’aube magique du solstice d’été saisie sur le site de Glastonbury Tor, haut lieu de la mythologie celtique, au crépuscule industriel, cliché du sunset, immortalisé par des millions de touristes et véhiculé par les réseaux sociaux, le Soleil imposera sa lumière sur l’écran de projection.
Programme :
Fergus Carmichael, A thin place, 2020, 12’00
Holly Fisher, Glass shadows, 1976, 13' 22
Jérôme Cognet, Le soleil tout entier ne se trouve nulle part, 2020, 12' 36
LIA, Three suns, 2012, 7' 50
Semiconductor, Brilliant Noise, 2006, 5’56
Peter Miller, Set, 2016, 10' 00
Date(s)
- 08 septembre 2021
Tarif(s)
Gratuit
Entrée libre, rendez-vous à l’accueil du musée
Nombre de places disponibles : fonction des jauges applicables à la date de l’événement.
Port du masque obligatoire
Nombre de places disponibles : fonction des jauges applicables à la date de l’événement.
Port du masque obligatoire

. © Arianne Olthaar
- -
Amputée de la presque totalité de ses séances, la saison MuMaBoX 2020-2021 aura subi de plein fouet les conséquences de la crise sanitaire. Mais nous ne pouvions pas en rester là ! Le MuMa vous propose donc, sous la forme d’un mini-festival, 5 des 7 séances annulées, pour enfin en profiter !
Nocturama
En écho à l’exposition Nuits électriques s’étant tenue au MuMa du 3 juillet au 1er novembre 2020
Des Nuits électriques de Berlin, Londres et Prague, filmées en 1928 par Eugène Deslaw à l’aube glauque des sinistres banlieues saisies par Thomas Köner, Nocturama se déroule comme autant de visions de la nuit urbaine.
Usines de la zone industrielle de Montréal, train suspendu – celui d’Alice dans les Villes, enseignes lumineuses de Tokyo ou de San Francisco, rues désertes de l’East End londonien participent à ce spectacle nocturne où les lumières électriques recomposent l’espace urbain : la ville se métamorphose, se faisant tour à tour stimulante, inquiétante, inspirante.
Programme :
Emilie Serri, À l’est des vents, 2009, 6’06
Richard Tuohy, Ginza strip, 2014, 9’00
Paul Clipson, Chorus, 2009, 7’00
Eugène Deslaw, Nuits électriques, 1928, 13’00
Arianne Olthaar, Schwebebahn, 2016, 3’38
Théodora Barat, Or anything at all except the dark pavement, 2011, 5’00
Emily Richardson, Nocturne, 2002, 5’00
Thomas Köner, Suburbs of the void, 2004, 13’00
Nocturama
En écho à l’exposition Nuits électriques s’étant tenue au MuMa du 3 juillet au 1er novembre 2020
Des Nuits électriques de Berlin, Londres et Prague, filmées en 1928 par Eugène Deslaw à l’aube glauque des sinistres banlieues saisies par Thomas Köner, Nocturama se déroule comme autant de visions de la nuit urbaine.
Usines de la zone industrielle de Montréal, train suspendu – celui d’Alice dans les Villes, enseignes lumineuses de Tokyo ou de San Francisco, rues désertes de l’East End londonien participent à ce spectacle nocturne où les lumières électriques recomposent l’espace urbain : la ville se métamorphose, se faisant tour à tour stimulante, inquiétante, inspirante.
Programme :
Emilie Serri, À l’est des vents, 2009, 6’06
Richard Tuohy, Ginza strip, 2014, 9’00
Paul Clipson, Chorus, 2009, 7’00
Eugène Deslaw, Nuits électriques, 1928, 13’00
Arianne Olthaar, Schwebebahn, 2016, 3’38
Théodora Barat, Or anything at all except the dark pavement, 2011, 5’00
Emily Richardson, Nocturne, 2002, 5’00
Thomas Köner, Suburbs of the void, 2004, 13’00
Date(s)
- 08 septembre 2021
Tarif(s)
Gratuit
Entrée libre, rendez-vous à l’accueil du musée
Nombre de places disponibles : fonction des jauges applicables à la date de l’événement.
Port du masque obligatoire
Nombre de places disponibles : fonction des jauges applicables à la date de l’événement.
Port du masque obligatoire

Hubert ROBERT (1733-1808), Vue près du forum de Trajan à Rome, 18e siècle, sanguine sur papier vélin, 48,5 x 34 cm. Le Havre, musée d’art moderne André Malraux, achat de la ville en 1886. © MuMa Le Havre / Florian Kleinefenn
Né de l’envie de partager autrement, plus longtemps… ce rendez-vous nous permettra de vous présenter de façon inédite les collections permanentes du musée ou bien encore l’exposition temporaire du moment. Menées par les médiatrices du musée, ou en partenariat avec d’autres, ces visites seront placées sous le signe de la découverte, de la curiosité… voire de la surprise !
La poétique des ruines
Ruines rêvées ou réelles, les scènes de désastre ont fasciné les artistes depuis le XVIIIe siècle et ont été une source d’inspiration particulièrement foisonnante.
Par Karine Martin de Beaucé
La poétique des ruines
Ruines rêvées ou réelles, les scènes de désastre ont fasciné les artistes depuis le XVIIIe siècle et ont été une source d’inspiration particulièrement foisonnante.
Par Karine Martin de Beaucé
Date(s)
- samedi 19 juin 2021
- samedi 17 juillet 2021
Tarif(s)
Gratuit
Sur inscription : https://affluences.com/muma-musee-dart-moderne-andre-malraux/reservation (catégorie « Visite Commentée / Le Rendez-vous du Samedi » sauf mention contraire)
Gratuit sur présentation du billet d’entrée
Jauge limitée à 5 personnes (sous réserve de l’évolution de la situation sanitaire)
Port du masque obligatoire
Gratuit sur présentation du billet d’entrée
Jauge limitée à 5 personnes (sous réserve de l’évolution de la situation sanitaire)
Port du masque obligatoire

Né de l’envie de partager autrement, plus longtemps… ce rendez-vous nous permettra de vous présenter de façon inédite les collections permanentes du musée ou bien encore l’exposition temporaire du moment. Menées par les médiatrices du musée, ou en partenariat avec d’autres, ces visites seront placées sous le signe de la découverte, de la curiosité… voire de la surprise !
Histoires, petites et grande
Une visite à trois pans : d’abord la vision de Philippe De Gobert, ou un rêve né des cendres d’une ville. Ensuite, l’épopée du musée et de ses collections pendant la Seconde guerre mondiale : quand la réalité dépasse la fiction. Et enfin, le cas particulier d’un tableau de Manet, prise directe avec la gravité de l’Histoire.
Par Gaëlle Cornec
Histoires, petites et grande
Une visite à trois pans : d’abord la vision de Philippe De Gobert, ou un rêve né des cendres d’une ville. Ensuite, l’épopée du musée et de ses collections pendant la Seconde guerre mondiale : quand la réalité dépasse la fiction. Et enfin, le cas particulier d’un tableau de Manet, prise directe avec la gravité de l’Histoire.
Par Gaëlle Cornec
Date(s)
- samedi 05 juin 2021
- samedi 03 juillet 2021
Tarif(s)
Gratuit
Sur inscription : https://affluences.com/muma-musee-dart-moderne-andre-malraux/reservation (catégorie « Visite Commentée / Le Rendez-vous du Samedi » sauf mention contraire)
Gratuit sur présentation du billet d’entrée
Jauge limitée à 5 personnes (sous réserve de l’évolution de la situation sanitaire)
Port du masque obligatoire
Gratuit sur présentation du billet d’entrée
Jauge limitée à 5 personnes (sous réserve de l’évolution de la situation sanitaire)
Port du masque obligatoire