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Fête de la mer. © Lucie Calmon et Franck Villard
Fête de la mer. © Lucie Calmon et Franck Villard

A l’occasion de la Fête de la mer, le MuMa sera présent sur site à Saint-François pour un atelier « non-stop ».

Le samedi de 14h à 19h et le dimanche de 10h à 18h, les artistes havrais Lucie Calmon et Franck Villard proposeront aux petits et grands un atelier intitulé « Estampes de la mer ».

Il s’agira de réaliser des empreintes de motifs inspirés du monde de la mer : coraux, éponges, écailles, roches, et bien d’autres encore, par frottage de matrices en bois au crayon de couleur, apparaîtront sur le papier pour que chacun compose un univers marin personnel et unique !
 

 
Ensemble Oxyton
Ensemble Oxyton

Quatre musiciens, une quinzaine d’instruments, autant de compositeurs, des musiques du Moyen Age, du 19ème siècle et même du 20ème.
Principalement des chansons, qu’elles soient « brunettes » ou « lamentables », spirituelles ou opératiques, de la plume de Praetorius, Goudimel ou Liszt, ou de tradition orale d’Ecosse ou de France.

Une joyeuse balade au fil des siècles où l’on croisera des amoureux scrutant l’océan, des exilés pleurant sur les rives d’un fleuve, des récits de grandes traversées ou de retrouvailles insulaires, des sirènes et, bien sûr, quelques noyades.

On y entendra une déesse assoiffée transformant ses bourreaux en grenouilles, des exilés pleurant sur les rives d’un fleuve... On souffrira d’amoureuses brûlures, comme pendant une journée sans eau sous un soleil cuisant… On traversera un ruisseau, avec ou sans sirènes… On attendra sur une rive le retour de l’être aimé, le cœur comme un bateau balloté par les flots, puis nous partirons en mer - passage vers l’Autre Monde – bercés par les chants des travailleurs de la mer, peut-être sous quelques nuages…

Oxyton
Elsa Papatanasios, chant et percussions
Emmanuelle Huteau, chant,  clarinette, doucliane et tuba
Augusto de Alencar, chant, doulciane, flûtes à bec et traversières et percussions
Michel Gendre, guitares, luths et oud

En savoir plus : le site d'Oxyton.


 
Ensemble Oxyton
Ensemble Oxyton

Quatre musiciens, une quinzaine d’instruments, autant de compositeurs, des musiques du Moyen Age, du 19ème siècle et même du 20ème.
Principalement des chansons, qu’elles soient « brunettes » ou « lamentables », spirituelles ou opératiques, de la plume de Praetorius, Goudimel ou Liszt, ou de tradition orale d’Ecosse ou de France.

Une joyeuse balade au fil des siècles où l’on croisera des amoureux scrutant l’océan, des exilés pleurant sur les rives d’un fleuve, des récits de grandes traversées ou de retrouvailles insulaires, des sirènes et, bien sûr, quelques noyades.

On y entendra une déesse assoiffée transformant ses bourreaux en grenouilles, des exilés pleurant sur les rives d’un fleuve... On souffrira d’amoureuses brûlures, comme pendant une journée sans eau sous un soleil cuisant… On traversera un ruisseau, avec ou sans sirènes… On attendra sur une rive le retour de l’être aimé, le cœur comme un bateau balloté par les flots, puis nous partirons en mer - passage vers l’Autre Monde – bercés par les chants des travailleurs de la mer, peut-être sous quelques nuages…

Oxyton
Elsa Papatanasios, chant et percussions
Emmanuelle Huteau, chant,  clarinette, doucliane et tuba
Augusto de Alencar, chant, doulciane, flûtes à bec et traversières et percussions
Michel Gendre, guitares, luths et oud

En savoir plus : le site d'Oxyton.



 
Daniel Compère
Daniel Compère

Les romans de Jules Verne mettent fréquemment en scène des voyages en mer. L'auteur fait traverser à ses héros aussi bien des mers connues comme la Méditerranée ou la mer Noire que les mers encore inconnues des régions polaires, sans oublier les profondeurs inexplorées des océans. Sous ces diverses latitudes, la mer est fascinante par la diversité et la beauté des paysages qu’elle présente, et par la diversité des animaux et des plantes qui s’y développent. Mais, à côté de ces merveilles, que de  risques prennent ceux qui partent en mer : rencontres de pirates, monstres à combattre, naufrages. Daniel Compère évoquera ces multiples aspects des mers dans les romans de Jules Verne.
 
Daniel Compère est historien du livre, spécialiste de littérature populaire et de Jules Verne, créateur du Centre International de Jules Verne, auteur notamment de La Science romanesque de Jules Verne, Jules Verne, Parcours d'une œuvre (Encrage) et Les Voyages extraordinaires de Jules Verne (Pocket). Il est maître de conférences à l’université Paris 3-Sorbonne nouvelle et responsable de la revue Le Rocambole. Il a organisé des colloques autour d’Albert Robida, Eugène Sue et Jules Verne.
 
En partenariat avec les Rencontres d’été – théâtre et lecture en Normandie

En savoir plus : Les Rencontres d'été
Petite tempête. © JDHestin
Petite tempête. © JDHestin

« petite tempête » se déroule comme un moment de danse qui explore la fluidité. En cela, je l’ai pensée reliée aux mouvements de la mer.
J’ai conçu cette danse et son environnement en pensant à mes expériences au MuMa. Je me suis demandé comment donner des clefs sensibles au visiteur pour qu’il entre en relation avec la danse, comme je l’avais fait pour les œuvres du musée. C’est ainsi qu’est né ce projet d’enregistrer des propositions qui permettent au visiteur de partager une expérience. L’exposition du MuMa traversant différents imaginaires en lien avec la mer, il me semble que « petite tempête » trouve une place légitime, lien entre les œuvres présentées, l’éphémère de la danse et l’aboutissement d’une démarche née au musée. »
Micheline Lelièvre


Avec le Collectif Pignon sur Rue : Célia Abitabile, Violette Angé, Sarah Degraeve et Micheline Lelièvre
Auteur : Micheline Lelièvre
Univers sonore : Marine Angé
En partenariat avec le Conservatoire Arthur Honegger du Havre, avec Céline Quedeville et ses élèves : Lucie Cavelier, Audrey Delamare, Esther Dos Santos, Zélie Dos Santos, Brune Feldman, Juliette Lallemant, Quentin Pons et Anna Wozniak

En savoir plus : Collectif Pignon sur Rue
. © Bruno Maurey
. © Bruno Maurey

Le voyage du primate aquatique
Grâce au collectif des Vibrants défricheurs, plongeons, au sens propre, pour une exploration sonore des mondes subaquatiques !
Et pour cela, le MuMa sort de ses murs : aux Bains des Docks, il invite le collectif qui a imaginé, à l’initiative du musicien Jérémie Bastard, un concert à écouter sous l’eau : « L'écoute subaquatique diffère de l'écoute aérienne : le spectre des fréquences change, la sensibilité au rythme est troublée du fait de l'apesanteur, le son n'est plus perçu par les tympans mais par la résonance de la boîte crânienne, semblant venir de l'intérieur de la tête de celui qui écoute. »
Une expérience musicale et sensible, à vivre, en maillot de bain, dans un lieu original.
 
Avec :
Jérémie Bastard, trombone
Antoine Berland, orgue, sampler
Nicolas Cueille, guitare
Théo Godefroid, son
Etienne Oury, son
Nikodio, image, peinture
Rémi Maupome, lumières
 
Et l’aide de Serge Coquais et Alexandre Xenakis à la technique.
 
En partenariat avec les Bains des Docks

 
. © Bruno Maurey
. © Bruno Maurey

Le voyage du primate aquatique
Grâce au collectif des Vibrants défricheurs, plongeons, au sens propre, pour une exploration sonore des mondes subaquatiques !
Et pour cela, le MuMa sort de ses murs : aux Bains des Docks, il invite le collectif qui a imaginé, à l’initiative du musicien Jérémie Bastard, un concert à écouter sous l’eau : « L'écoute subaquatique diffère de l'écoute aérienne : le spectre des fréquences change, la sensibilité au rythme est troublée du fait de l'apesanteur, le son n'est plus perçu par les tympans mais par la résonance de la boîte crânienne, semblant venir de l'intérieur de la tête de celui qui écoute. »
Une expérience musicale et sensible, à vivre, en maillot de bain, dans un lieu original.
 
Avec :
Jérémie Bastard, trombone
Antoine Berland, orgue, sampler
Nicolas Cueille, guitare
Théo Godefroid, son
Etienne Oury, son
Nikodio, image, peinture
Rémi Maupome, lumières
 
Et l’aide de Serge Coquais et Alexandre Xenakis à la technique.
 
En partenariat avec les Bains des Docks

 
Hélène Latour. © David Morganti
Hélène Latour. © David Morganti

Le MuMa invite l’Opéra de Rouen Normandie qui vous concocte une immersion dans l’univers des compositeurs-marins tels Albert Roussel ou Jean Cras.
               
Au programme :
Jean Cras, Trio à cordes
Benjamin Godard, Trio à cordes (Ballade, Dans les bois, Rêve, Scherzo)
Albert Roussel, Trio
 
Avec :
Teona Kharadze au violon,  Stéphanie Lalizet à l’alto, et Hélène Latour au violoncelle

En savoir plus : le site de l'Opéra de Rouen.
Affiche Studio AKATRE
Affiche Studio AKATRE
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Pour cette 14ème édition de la Nuit des musées, le MuMa vous propose une expédition à faire en famille pour explorer les mondes sous-marins, réels ou imaginaires, présentés et représentés dans  l’exposition Né(e)s de l’écume et des rêves.
Au programme, des rendez-vous accessibles notamment aux plus jeunes, avec :
  • Un atelier « aquarium à croquer »
  • Un conte « à écouter et à regarder »
  • De la musique pour se laisser bercer par un drôle de « Carnaval des animaux »
  • Et bien d’autres choses encore…
Jack Smith, The Yellow Sequence, 1963-1965, détail © Courtesy of Jack Smith Archive and Gladstone Gallery, New York and Brussels
Jack Smith, The Yellow Sequence, 1963-1965, détail © Courtesy of Jack Smith Archive and Gladstone Gallery, New York and Brussels
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Peut-on considérer un film un texte ? Après tout – l’étymologie nous l’apprend – le mot volumen, issu du latin volvo, renvoie au geste qui consiste à envelopper. Le papyrus ne serait pas loin d’une bobine de film.
De cette observation, résolument matérielle, on peut instituer un parallèle entre les deux supports. Mais qu’en est-il de cet objet si spécifique, le « film d’artiste » (ou encore le « film expérimental ») ? Présentés souvent sous des configurations multiples, variables, autrefois soumis à des manipulations d’auteur, les films d’artistes apparaissent comme des textes résolument instables. En s’emparant de quelques notions de la philologie littéraire, cette présentation se propose de revenir, à travers une série d’exemples (Jack Smith, Wallace Berman, Barbara Rubin), sur les modes d’existence de ces œuvres à la trajectoire singulière, afin d’interroger leur possible transmission au futur.
 
Rencontre avec Enrico Camporesi, boursier postdoctoral de la Terra Foundation à l’Institut national d’histoire de l’art à Paris. Il a conçu et organisé des programmations film/vidéo et des expositions en France et à l’international. Il est l’auteur de Futurs de l’obsolescence, un essai sur la restauration du film d’artiste (à paraître en 2018 aux Éditions Mimésis).

Programme :
Jack Smith, The Yellow Sequence, 1963-1965, 16 mm, coul., son sur fichier num., 15’. Distribution : Light Cone, Paris
Wallace Berman, Aleph, 1956-1966, 16 mm, coul./nb, sil., 7’30. Distribution : LUX, Londres

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