Tout public
Français

Amanda Dawn Christie, Fallen Flags, 2007. dist. Light Cone
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L’analogie entre chemin de fer et cinéma, ces deux grandes inventions de la vie moderne, est évidente : tout rapproche ces deux machines de voyage et de vision nées au XIXe s. Le train est un moyen de transport qui offre à ses voyageurs passifs le spectacle, bien cadré par la fenêtre du compartiment, d’un paysage défilant à grande vitesse. Le compartiment est la salle de projection, la locomotive est une machine, comme la caméra ou le projecteur, la fenêtre du wagon et l’écran sont le cadre dans lequel défilent paysage et image filmique. La voie ferrée aussi rappelle le ruban de celluloïd… Mais c’est également sur le plan de l’expérience visuelle qu’on peut rapprocher les deux dispositifs : la perception de l’espace n’est plus unique et continue, mais est fragmentée et discontinue, caractéristiques particulièrement mises en évidence par le cinéma expérimental.
Programme :
Al Razutis, Lumière’s train / visual essays n°1, 1979, 7’30
Ken Jacobs, The Georgetown loop, 1997, 11’
D.A. Pennebaker, Daybreak express, 1953, 5’
Robert Breer, Fuji, 1973, 9’
Amanda Dawn Christie, Fallen Flags, 2007, 8’
Guy Sherwin, Night train, 1979, 2’
Pablo Mazzolo, NN, 2014-2017, 2’30
John Smith, Song for Europe, 2017, 3’50
Jacques Perconte, Après le feu, 2010, 7’08
Programme :
Al Razutis, Lumière’s train / visual essays n°1, 1979, 7’30
Ken Jacobs, The Georgetown loop, 1997, 11’
D.A. Pennebaker, Daybreak express, 1953, 5’
Robert Breer, Fuji, 1973, 9’
Amanda Dawn Christie, Fallen Flags, 2007, 8’
Guy Sherwin, Night train, 1979, 2’
Pablo Mazzolo, NN, 2014-2017, 2’30
John Smith, Song for Europe, 2017, 3’50
Jacques Perconte, Après le feu, 2010, 7’08
Date(s)
- 24 avril 2019
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

Beverly & Tony Conrad, Straight and narrow, 1970. dist. Arsenal
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Tony Conrad (1940-2016), cinéaste, musicien, enseignant, artiste et performer, figure séminale de l’avant garde new yorkaise des années 60, fut l’un des pères de la musique minimaliste, ayant notamment collaboré avec La Monte Young et John Cale au sein de The Dream Syndicate ainsi qu’avec le groupe allemand Faust. Comme cinéaste, ses recherches ont porté sur les effets de clignotement de l’image et son nom reste attaché au film stroboscopique THE FLICKER (1966). Ce programme réunit deux films de Conrad ainsi qu’un film de Paul Sharits, qui a enseigné aux côtés de Conrad et s’est engagé également dans la voie de la stimulation rétinienne par clignotement. Enfin, parmi les nombreux artistes ayant travaillé avec Conrad, on retrouvera Charlemagne Palestine dans le film de Pip Chodorov.
Programme :
Tony Conrad, The Eye of Count Flickerstein, 1966-75, 11’
Beverly & Tony Conrad, Straight and narrow, 1970, 10’
Paul Sharits, T,O,U,C,H,I,N,G, 1968, 12’
Pip Chodorov, Charlemagne 2 : Piltzer, 2002, 22’
Dans le cadre du Festival PiedNu
A voir aussi :
Tony Conrad : Completely in the Present, documentaire de Tyler Hubby (2016/1h42/VOSTF) présenté au Studio le jeudi 14 mars à 20h30.
Programme :
Tony Conrad, The Eye of Count Flickerstein, 1966-75, 11’
Beverly & Tony Conrad, Straight and narrow, 1970, 10’
Paul Sharits, T,O,U,C,H,I,N,G, 1968, 12’
Pip Chodorov, Charlemagne 2 : Piltzer, 2002, 22’
Dans le cadre du Festival PiedNu
A voir aussi :
Tony Conrad : Completely in the Present, documentaire de Tyler Hubby (2016/1h42/VOSTF) présenté au Studio le jeudi 14 mars à 20h30.
Date(s)
- 20 mars 2019
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

Warren Sonbert, Carriage Trade, 1972. dist. Light Cone
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Warren Sonbert (1947-1995) fut l’une des figures les plus originales et influentes du cinéma expérimental américain. Dès ses débuts en 1966 alors qu’il est encore étudiant à l’université de New York, et avant ses vingt ans, sa première rétrospective est un succès public et critique. « CARRIAGE TRADE: les déplacements, les voyages, les goûts de Warren Sonbert sont arrangés musicalement dans des compositions cadrées avec brio et des mouvements de caméra tourbillonnants. Les monuments les plus familiers – la Tour Eiffel, l’Arc de Triomphe, le Sphinx – sont placés entre les guillemets des jump cuts. Une heure d’expérimentation fascinante qui repose sur l’idée d’utiliser les images comme des notes de musique. Cela a été fait auparavant, mais rarement avec un tel talent et un tel esprit. » Andrew Sarris, Village Voice, Oct 1973
Programme :
Warren Sonbert, Carriage Trade, 1972, 61’
Une programmation en écho à l’exposition Retour du vaste monde présentée au MuMa du 23 février au 14 avril 2019.
Programme :
Warren Sonbert, Carriage Trade, 1972, 61’
Une programmation en écho à l’exposition Retour du vaste monde présentée au MuMa du 23 février au 14 avril 2019.
Date(s)
- 27 février 2019
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

Gabriele BASILICO (1944-2013), Le Havre. L'église Saint-Joseph, 1984, photographie couleur, tirage au gelatino-bromure d’argent, 60 x 50 cm. © MuMa Le Havre / Gabriele Basilico
Conférence proposée par la Maison du patrimoine du Havre.
L'église Saint-Joseph : chronologie d'un chantier mouvementé par Françoise Gasté, docteur ès lettres
Lorsqu’Auguste Perret meurt en février 1954, l’église Saint-Joseph est loin d’être terminée. Comment continuer cette construction dans l’esprit du maître qui n’en avait pas fixé les lignes définitives, comment passer de la galerie carrée à l’octogone de la tour, comment prendre des décisions qui conviennent à Raymond Audigier, architecte havrais associé à Perret, et à l’équipe parisienne qui en revendique la paternité morale. Cette conférence relate la chronologie de ce chantier coûteux et mouvementé.
L'église Saint-Joseph : chronologie d'un chantier mouvementé par Françoise Gasté, docteur ès lettres
Lorsqu’Auguste Perret meurt en février 1954, l’église Saint-Joseph est loin d’être terminée. Comment continuer cette construction dans l’esprit du maître qui n’en avait pas fixé les lignes définitives, comment passer de la galerie carrée à l’octogone de la tour, comment prendre des décisions qui conviennent à Raymond Audigier, architecte havrais associé à Perret, et à l’équipe parisienne qui en revendique la paternité morale. Cette conférence relate la chronologie de ce chantier coûteux et mouvementé.
Date(s)
- 04 décembre 2018
Tarif(s)
Gratuit
Il est conseillé de réserver vos places au 02 35 22 31 22 ou par mail à maison-patrimoine-info@lehavretourisme.com

Félix VALLOTTON (1865-1925), En rade du Havre, 1918, huile sur toile, 45 x 54 cm. . © Fondation Félix Vallotton, Lausanne
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Présentée aux côtés d’Impression, soleil levant de Claude Monet, dans le cadre de l’exposition Impression(s), soleil, la peinture de Félix Vallotton, En rade du Havre (1918) est depuis déposée au MuMa par ses propriétaires qui souhaitaient que le public puisse en profiter plus longuement.
Vallotton peint cette œuvre à la fin de la Première Guerre Mondiale, mais les noirs nuages qui occultent partiellement le soleil couchant en disent long sur le sentiment d’inquiétude qui continue d’occuper l’artiste.
Ce Musée à la carte propose, pour saluer à sa manière le 100e anniversaire de la fin de la Guerre, un dialogue à deux voix entre Anne Charlotte Perré, guide conférencière et Christine Labourdette, conteuse. Elles auront à cœur de faire entendre avec une lecture d'extraits d'Art et Guerre, un texte écrit par Félix Vallotton en 1917, les propos mêmes de l'artiste. Une leçon d’humanité.
Vallotton peint cette œuvre à la fin de la Première Guerre Mondiale, mais les noirs nuages qui occultent partiellement le soleil couchant en disent long sur le sentiment d’inquiétude qui continue d’occuper l’artiste.
Ce Musée à la carte propose, pour saluer à sa manière le 100e anniversaire de la fin de la Guerre, un dialogue à deux voix entre Anne Charlotte Perré, guide conférencière et Christine Labourdette, conteuse. Elles auront à cœur de faire entendre avec une lecture d'extraits d'Art et Guerre, un texte écrit par Félix Vallotton en 1917, les propos mêmes de l'artiste. Une leçon d’humanité.
Date(s)
- 20 décembre 2018
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
Rendez-vous à l’accueil du musée. Sur présentation du billet d’entrée

Antoine Berland Solo © Guillaume Laurent, La Base du Mouvement
Pour clore une année riche de beaux programmes musicaux, le MuMa vous propose, avec l’un de ses partenaires réguliers, PiedNu, de découvrir le pianiste Antoine Berland. Mais peut-être avez-vous déjà croisé « ce primate aquatique » à l’occasion de la performance organisée par le musée aux Bains des docks en juin dernier !
Cette fois-ci en solo, le pianiste invite le public à se rapprocher au plus près de l’instrument pour voir et sentir vibrer les cordes du piano, pour voir et entendre respirer l’artiste… « L’œil guide l’oreille pour goûter avec précision la moindre attaque et résonance du son. »
Cette fois-ci en solo, le pianiste invite le public à se rapprocher au plus près de l’instrument pour voir et sentir vibrer les cordes du piano, pour voir et entendre respirer l’artiste… « L’œil guide l’oreille pour goûter avec précision la moindre attaque et résonance du son. »
Date(s)
- 22 novembre 2018
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
Rendez-vous à l’accueil du musée

Reason over passion, 1969. © Joyce Wieland, dist. Light Cone
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Joyce Wieland (1930-1998) commence sa carrière comme peintre à Toronto avant de s’installer à New York en 1962, où elle se fait rapidement un nom en tant que cinéaste expérimentale. Son œuvre est ouvertement politique, traitant de nationalisme, de féminisme et d’écologie.
En 1968, à l’occasion d’un voyage en train de Toronto à Vancouver, elle tourne pendant des heures le paysage qui défile. Puis, lors du congrès du parti libéral à Ottawa, elle filme le visage de Pierre Trudeau, sur le point de devenir premier ministre. C’est après un autre voyage de Cap-Breton à Québec, filmé de sa voiture, que se forme le projet d’un film sur son pays natal. Réunissant les images de ces trois épisodes, ce sera son grand opus : La Raison avant la Passion / Reason Over Passion (1969) dont Wieland a dit : «J’étais dans la panique ; une panique écologique, spirituelle sur ce pays… J’ai photographié tout le sud du Canada pour le préserver à ma façon, avec ma propre vision».
Programme :
Joyce Wieland, Reason over passion, 1969, 83’40
En 1968, à l’occasion d’un voyage en train de Toronto à Vancouver, elle tourne pendant des heures le paysage qui défile. Puis, lors du congrès du parti libéral à Ottawa, elle filme le visage de Pierre Trudeau, sur le point de devenir premier ministre. C’est après un autre voyage de Cap-Breton à Québec, filmé de sa voiture, que se forme le projet d’un film sur son pays natal. Réunissant les images de ces trois épisodes, ce sera son grand opus : La Raison avant la Passion / Reason Over Passion (1969) dont Wieland a dit : «J’étais dans la panique ; une panique écologique, spirituelle sur ce pays… J’ai photographié tout le sud du Canada pour le préserver à ma façon, avec ma propre vision».
Programme :
Joyce Wieland, Reason over passion, 1969, 83’40
Date(s)
- 23 janvier 2019
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

Occidente. © Ana Vaz, 2014, dist. Light Cone
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L’exposition Still que le MuMa consacre à la photographe Trine Søndergaard du 13 octobre 2018 au 27 janvier 2019 réunit deux séries de l’artiste. Interiors montre des manoirs inhabités et Guldnakke des coiffes traditionnelles, deux sujets dont la matière documentaire est savamment mise en scène. Ces images, sous influence picturale, entraînent imperceptiblement l’imaginaire du spectateur vers les territoires de la fiction.
Considérons les films de ce programme comme autant de scènes d’une dramaturgie du réel, d’un réel cinématographique augmenté, parsemé de signes, ponctué d’interstices d’où la fiction peut saillir, provoquant un trouble. De quoi les lieux, les gestes, les choses ainsi devenues images animées, sont-ils le récit ?
Programme :
Arianne Olthaar, Hotel Forum, 2016, 9’40
Miriam Gossing & Lina Sieckmann, One hour real, 2017, 12’40
Fern Silva, The Watchmen, 2017, 10’00
Ana Vaz, Occidente, 2014, 15’15
João Maria Gusmão & Pedro Paiva, Getting into bed, 2011, 2’47’’
João Maria Gusmão & Pedro Paiva, Dream of a ray fish, 2011, 2’48’’
João Maria Gusmão & Pedro Paiva, Wave, 2011, 2’43’’
João Maria Gusmão & Pedro Paiva, Wheels, 2011, 2’33’’
João Maria Gusmão & Pedro Paiva, The horse of the prophet, 2011, 2’02’’
Considérons les films de ce programme comme autant de scènes d’une dramaturgie du réel, d’un réel cinématographique augmenté, parsemé de signes, ponctué d’interstices d’où la fiction peut saillir, provoquant un trouble. De quoi les lieux, les gestes, les choses ainsi devenues images animées, sont-ils le récit ?
Programme :
Arianne Olthaar, Hotel Forum, 2016, 9’40
Miriam Gossing & Lina Sieckmann, One hour real, 2017, 12’40
Fern Silva, The Watchmen, 2017, 10’00
Ana Vaz, Occidente, 2014, 15’15
João Maria Gusmão & Pedro Paiva, Getting into bed, 2011, 2’47’’
João Maria Gusmão & Pedro Paiva, Dream of a ray fish, 2011, 2’48’’
João Maria Gusmão & Pedro Paiva, Wave, 2011, 2’43’’
João Maria Gusmão & Pedro Paiva, Wheels, 2011, 2’33’’
João Maria Gusmão & Pedro Paiva, The horse of the prophet, 2011, 2’02’’
Date(s)
- 12 décembre 2018
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

Pour la première fois, le MuMa participe aux Nuits du tourisme de l'estuaire organisée par le Pôle métropolitain de l'estuaire de la Seine et l'Office du tourisme du Havre. Ouvert jusqu’à 23h, il vous accueille pour une redécouverte de ses collections dans un contexte peu habituel : dehors la nuit noire, et dedans, des chefs d’œuvre bercés par le piano de Domitille Bès… Voir aussi : Concerts
Visites : Focus
En écho à cette exploration de l’âme humaine, de courtes visites commentées vous seront proposées sous la forme de focus consacrés l’un à Géricault et sa Vieille italienne – une femme qui a bien des mystères à nous révéler, et l’autre à Elsa Guillaume, dont la fresque visible pour une ultime soirée, nous emmène « sur la dorsale de nos rêves ».
Durée de chaque visite commentée : 15 min environ
Rendez-vous à l’entrée du musée à 20h, 21h, 22h
Visites : Focus
En écho à cette exploration de l’âme humaine, de courtes visites commentées vous seront proposées sous la forme de focus consacrés l’un à Géricault et sa Vieille italienne – une femme qui a bien des mystères à nous révéler, et l’autre à Elsa Guillaume, dont la fresque visible pour une ultime soirée, nous emmène « sur la dorsale de nos rêves ».
Durée de chaque visite commentée : 15 min environ
Rendez-vous à l’entrée du musée à 20h, 21h, 22h
Date(s)
- 29 septembre 2018
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
Entrée libre dans la limite des places disponibles

. © L'Atelier Cartographik
Parceque le MuMa n’existerait pas sans ses visiteurs, il vous propose de découvrir un parcours qui documente plusieurs mois de projets menés en direction de différents publics. A travers différents supports, il salue ainsi tous ceux qui sont venus au musée, parfois pour la première fois, et qui s’y sont investis avec enthousiasme !
C’est la manière que le MuMa a choisi d’adopter pour ces Journées européennes du Patrimoine, dont le thème national est, cette année, « l’art du partage ».
Et aussi...
Alors que s’organisent les premières Journées européennes du Matrimoine en Normandie, le MuMa donne la parole aux femmes du musée, celles qui furent peintes par Renoir, Dufy et les autres. A celles qui y interviennent également, comme Elsa Guillaume, jeune artiste ayant peint une fresque in situ à l’occasion de la dernière exposition temporaire du musée. Sous la forme de courtes visites, venez les rencontrer, et, d’une certaine façon dialoguer avec elles pour mieux les découvrir.
Au programme des courtes visites :
Samedi 15 septembre
11h30 : Regardons et écoutons la vieille italienne par Jeanne Busato
12h00 : Sur la dorsale de ses songes par Marie Bazire
14h00 : Ma femme, ma muse par Bénédicte Marin
14h30 : Regardons et écoutons la vieille italienne par Jeanne Busato
15h00 : Sur la dorsale de ses songes par Marie Bazire
15h30 : Ma femme, ma muse par Bénédicte Marin
16h00 : Regardons et écoutons la vieille italienne par Jeanne Busato
16h30 : Sur la dorsale de ses songes par Marie Bazire
17h00 : Ma femme, ma muse par Bénédicte Marin
Dimanche 16 septembre
11h30 : Ma femme, ma muse par Bénédicte Marin
12h00 : Après vous Mesdames par Gaëlle Cornec
14h00 : Visite surprise par Karine Martin de Beaucé
14h30 : Ma femme, ma muse par Bénédicte Marin
15h00 : Après vous Mesdames par Gaëlle Cornec
15h30 : Visite surprise par Karine Martin de Beaucé
16h00 : Ma femme, ma muse par Bénédicte Marin
16h30 : Après vous Mesdames par Gaëlle Cornec
17h00 : Visite surprise par Karine Martin de Beaucé
C’est la manière que le MuMa a choisi d’adopter pour ces Journées européennes du Patrimoine, dont le thème national est, cette année, « l’art du partage ».
Et aussi...
Alors que s’organisent les premières Journées européennes du Matrimoine en Normandie, le MuMa donne la parole aux femmes du musée, celles qui furent peintes par Renoir, Dufy et les autres. A celles qui y interviennent également, comme Elsa Guillaume, jeune artiste ayant peint une fresque in situ à l’occasion de la dernière exposition temporaire du musée. Sous la forme de courtes visites, venez les rencontrer, et, d’une certaine façon dialoguer avec elles pour mieux les découvrir.
Au programme des courtes visites :
Samedi 15 septembre
11h30 : Regardons et écoutons la vieille italienne par Jeanne Busato
12h00 : Sur la dorsale de ses songes par Marie Bazire
14h00 : Ma femme, ma muse par Bénédicte Marin
14h30 : Regardons et écoutons la vieille italienne par Jeanne Busato
15h00 : Sur la dorsale de ses songes par Marie Bazire
15h30 : Ma femme, ma muse par Bénédicte Marin
16h00 : Regardons et écoutons la vieille italienne par Jeanne Busato
16h30 : Sur la dorsale de ses songes par Marie Bazire
17h00 : Ma femme, ma muse par Bénédicte Marin
Dimanche 16 septembre
11h30 : Ma femme, ma muse par Bénédicte Marin
12h00 : Après vous Mesdames par Gaëlle Cornec
14h00 : Visite surprise par Karine Martin de Beaucé
14h30 : Ma femme, ma muse par Bénédicte Marin
15h00 : Après vous Mesdames par Gaëlle Cornec
15h30 : Visite surprise par Karine Martin de Beaucé
16h00 : Ma femme, ma muse par Bénédicte Marin
16h30 : Après vous Mesdames par Gaëlle Cornec
17h00 : Visite surprise par Karine Martin de Beaucé
Date(s)
- du 15 septembre 2018 au 16 septembre 2018
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.