MuMa

Le pôle
Le pôle
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La compagnie Le pôle, basée à Lorient, et invitée dans le cadre du festival Pharenheit, investit le MuMa pour une performance spécialement conçue pour ses espaces.

« Défendant une démarche portée par le « chacun ensemble », Katell Hartereau et Léonard Rainis aiment développer des formes d’inscriptions culturelles collaboratives au sein de leur structure le pôle et au-delà des créations scéniques. Parallèlement à la programmation de dance with dinosaurs, ils investiront un espace du MuMa pour une proposition chorégraphique in situ. Toujours uniques, ces performances agissent sur l’acuité de nos perceptions : être ici et maintenant, témoins d’une danse en construction et en interaction avec son environnement. Tous les possibles sont alors ouverts, pour les danseurs comme pour les spectateurs témoins de ce surgissement temporaire. Ici, les danseurs travailleront à partir de grilles d’improvisation autour des notions de place, d’acceptation, de conformité et de liberté. Leur corps sera leur seul instrument. Vos yeux seront les seuls témoins de ce qui a lieu. L’Histoire de l’art se fera écho de la présence de ces corps libres et jubilatoires. » Céline Roux

Samedi 28 janvier : 17 h 00
Dimanche 29 janvier : 11 h 00


En partenariat avec Le Phare - CCN du Havre Normandie, dans le cadre de son festival Pharenheit
Création de Dance with dinosaurs le 31 janvier à 21 h 00 au Phare.

 
Hélène Latour. © David Morganti
Hélène Latour. © David Morganti

En partenariat avec l'Opéra de Rouen Normandie, plongeons au coeur de la relation entre le compositeur Maurice Ravel et l'écrivaine Colette. Au programme, le Quator à Cordes de Ravel, mais aussi des extraits de pièces de Georges Gershwin et des lectures d'extraits de la correspondance entre Colette et Ravel, ou bien encore de L'Enfant et les Sortilèges.

Téona Kharadze et Elena Pease (violons)
Patrick Dussart (alto)
Hélène Latour (violoncelle)
Patrick Foucher (comédien)
A l'ouest. © Compagnie itra
A l'ouest. © Compagnie itra

"Déboussolé, sans repère, un personnage en déperdition se retrouve sur un îlot de terre ou de bois. Hallucination, perte, folie. Accepter l'échappement, l'incontrôlable, et surtout le non-sens.
Cette pièce tente de brouiller les pistes, d'amener dans une direction puis se perdre dans une autre. Créer un trouble, flotter, tenter de toucher ce point d'équilibre, ce vide où l'on navigue entre conscience et inconscience. Ou on ne sait plus où on habite, qui on est et où l'on va."

Samedi 3 décembre : 17 h 00
Dimanche 4 décembre : 11 h 30

Solo - adaptation pour l'espace muséal
Conception, interprétation : Sophie Lamarche Damoure
Création lumière : Melchior Delaunay
Regard extérieur : Christine Bastin
Costumes : Yolène Guais
Avec le soutien du Festival Normandie Impressionniste 2016
Duo Les Discordantes. © Droits réservés
Duo Les Discordantes. © Droits réservés

"L’un dansait, l’autre soufflait ; ensemble, Pierre Doussaint et Steve Lacy avaient expérimenté. A la mémoire de ces artistes généreux, Mer d’adieux raconte une ultime rencontre, imaginaire, hommage au lien éternel entre danse et musique. Partition composée pour Safia Azzoug - saxophone soprano - et Amélie Grould - percussions, Mer d’adieux suite tente de répondre à la demande des interprètes de sons nouveaux, d’expérimentations originales, de transgression des frontières. Au risque de les décevoir, je pars de certains usages contemporains connus des instruments, pour mieux me focaliser sur une relation imbriquée de l’écrit et de l’improvisé, misant sur un enrichissement mutuel. Pour cela, je m’appuie sur les expériences en cours des interprètes, leur grande compétence en écrit contemporain et leur avidité à s’engager dans l’improvisation libre, en leur conférant ainsi le rôle d’interprètes-compositeurs. Comme à l’accoutumée, la partition comprend un minimum de signes pour laisser la place au partage des imaginaires. De surcroît, noté n’est pas sacré; toute indication sera modifiable par les interprètes, à la condition que - pour éviter le hors-sujet - ce soit une véritable décision, prise après avoir essayé la proposition originale et en avoir compris l’intention. Mer d’adieux suite explore cinq paysages, leurs contrastes, leurs définitions, leurs profondeurs de champ, leurs couleurs. Cinq formes de notation, de l’académique à la graphique, jusqu’à l’absence totale de signes pour le temps d’improvisation libre où seul l’état des musiciens au moment choisi importera, escompte d’un aboutissement des sons joués au préalable. L’intention de ce double hommage s’inscrit dans la recherche conjointe, sereine et paisible d’une harmonie, dans le bonheur exemplaire et sans cesse renouvelé de la construction de soi et du partage de l’acte créatif. Mais l’indécence des possédants, le cynisme politique, l’obscurantisme religieux produisent encore et toujours de la barbarie. A mes yeux, toute proposition esthétique prétendant dépasser le simple stade de la spéculation intellectuelle n’a de sens qu’ancrée dans la société censée la recevoir; le bruit et la fureur ne seront donc pas toujours contenus au cours de ce voyage sonore."
Jean-Paul Buisson

En partenariat avec l'AMH
Robert FILLIOU (1926), Mensurations (collage 2), 1972, bois, 59,7 x 60 cm. Le Havre, musée d’art moderne André Malraux. © MuMa Le Havre / Florian Kleinefenn
Robert FILLIOU (1926), Mensurations (collage 2), 1972, bois, 59,7 x 60 cm. Le Havre, musée d’art moderne André Malraux. © MuMa Le Havre / Florian Kleinefenn

Comme dans l'oeuvre de Jacqueline Salmon, la photographie peut être le support de manipulations variées : associations, collages...
Ouvrons les tiroirs des réserves du MuMa et essayons de voir ce que ses collections peuvent raconter à ce sujet.

François Buffet est un compositeur originaire de Rouen. Il compose principalement de la musique électroacoustique. Ses oeuvres sont régulièrement jouées dans divers concerts, festivals, radios (Groupe de Recherches Musicales, France Musique, Festival Futura, Plage Sonore). Il travaille également dans le domaine du cinéma expérimental en France et à l'étranger. Sa musique est caractérisée par une approche visant à recréer une forme d'harmonie à partir du contenu fréquentiel du matériau sonore qu'il utilise et une tendance vers un son ample et un espace large.

Ce concert électronique "live", intitulé Procession-Paroxysme, à mi-chemin entre l'improvisation et la composition, propose une atmosphère rituelle intense, une catharsis parfois violente, parfois extatique.

En partenariat avec l'AMH.
Patrice BALVAY (1968). détail. © Patrice Balvay
Patrice BALVAY (1968). détail. © Patrice Balvay

Le peintre et dessinateur havrais Patrice Balvay est revenu avec seize dessins de deux mois de résidence au Japon. Partageons un moment avec lui pour comprendre sa démarche, depuis l’influence possible des collections du MuMa sur son travail, jusqu’à la création de ces dessins « japonais ».
 

Découvrez l'exposition "Jacqueline Salmon. Du vent, du ciel, de la mer..." présentée au MuMa, du 19 novembre 2016 au 23 avril 2017, en compagnie d'une médiatrice du musée.
Jacqueline SALMON (1943), Le Port du Havre, carte des vents, 2016, épreuve pigmentaire sur papier Japon, 95,5 x 83 cm. Le Havre Musée d’art moderne André Malraux,acquis avec l’aide du fonds régional pour les acquisitions des musées. © Jacqueline Salmon
Jacqueline SALMON (1943), Le Port du Havre, carte des vents, 2016, épreuve pigmentaire sur papier Japon, 95,5 x 83 cm. Le Havre Musée d’art moderne André Malraux,acquis avec l’aide du fonds régional pour les acquisitions des musées. © Jacqueline Salmon

Découvrez l'exposition "Jacqueline Salmon. Du vent, du ciel, de la mer..." présentée au MuMa, du 19 novembre 2016 au 23 avril 2017, en compagnie des médiatrices du musée.

Découvrez l'exposition "Jacqueline Salmon. Du vent, du ciel, de la mer..." présentée au MuMa, du 19 novembre 2016 au 23 avril 2017, en compagnie d'une médiatrice du musée.

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