MuMa (salle de conférence)

1878-1925, un moment exceptionnel pour la verrerie d’art en France
Par Jean-Luc Olivié, conservateur en chef, ou Véronique Ayroles, assistante de conservation, Musée des Arts décoratifs, Paris
Par Jean-Luc Olivié, conservateur en chef, ou Véronique Ayroles, assistante de conservation, Musée des Arts décoratifs, Paris

Verre et peinture, entre symbole et réalisme
Par Benjamin Couilleaux, conservateur du patrimoine, Musée Cognacq-Jay, Paris
Par Benjamin Couilleaux, conservateur du patrimoine, Musée Cognacq-Jay, Paris

Le vitrail au XIXe siècle, entre renouveau et Art nouveau
Par Chantal Bouchon, conservateur honoraire du patrimoine, Musée des Arts décoratifs, Paris, membre du Corpus Vitrearum
Par Chantal Bouchon, conservateur honoraire du patrimoine, Musée des Arts décoratifs, Paris, membre du Corpus Vitrearum

Le vitrail en Normandie entre XIIe et XVe siècles
Par Danièle Sansy, maître de conférences en histoire médiévale à l’UFR lettres et sciences humaines de l’Université du Havre
Par Danièle Sansy, maître de conférences en histoire médiévale à l’UFR lettres et sciences humaines de l’Université du Havre

Petite histoire du verre. Au prisme des collections du Musée des Antiquités, Rouen
Par Caroline Dorion-Peyronnet, conservateur du patrimoine, directeur du Musée des Antiquités et de la Tour Jeanne d’Arc, Rouen
Par Caroline Dorion-Peyronnet, conservateur du patrimoine, directeur du Musée des Antiquités et de la Tour Jeanne d’Arc, Rouen

Eugène BOUDIN (1824-1898), Étude de ciel au couchant, ca. 1888-1895, huile sur bois, 27,5 x 21 cm. © MuMa Le Havre / Florian Kleinefenn
En compagnie de Laurent Manœuvre, co-commissaire de l’exposition « Eugène Boudin. L’Atelier de la lumière », le MuMa vous propose une conférence au ton inhabituel et aux contenus enrichis, puisqu’un comédien épaulera le spécialiste d’Eugène Boudin pour vous le faire découvrir à travers les mots qu’il coucha sur le papier tout au long de sa vie.
Avec le concours de Christine Labourdette, comédienne
Avec le concours de Christine Labourdette, comédienne
Date(s)
- 28 avril 2016
Tarif(s)
Gratuit
Réservation obligatoire, aux heures d'ouverture du musée, à l'accueil et par téléphone au 02 35 19 62 72

Jacqueline SALMON (1943), Route d'Évreux aux Andelys, 2010, gravure sur photographie selon les codes Météo France du modèle Arpège, 50 x 65 cm. © Jacqueline Salmon
Pour ce dernier temps de rencontre, le MuMa invite Jacqueline Salmon, artiste dont le travail sera proposé à la suite de l’exposition « Eugène Boudin. L’Atelier de la lumière » au MuMa.
Et puisque son œuvre n’est pas sans rapport avec celle du précurseur de l’impressionnisme, demandons lui de nous livrer son regard singulier sur ces paysages de mer, ces études de ciels…
Et puisque son œuvre n’est pas sans rapport avec celle du précurseur de l’impressionnisme, demandons lui de nous livrer son regard singulier sur ces paysages de mer, ces études de ciels…
Date(s)
- 08 septembre 2016
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

Quel portrait de Zola nous livrent les peintures, les caricatures ou les photographies dont il a fait l’objet ? La réponse à cette question nous permettra d’évoquer les relations entre Émile Zola et les peintres de son époque, de parler des polémiques, souvent violentes, qui ont entouré la publication de ses romans. Elle nous permettra aussi de nous interroger sur la façon dont Zola a abordé l’œuvre des impressionnistes, et notamment celle d’Eugène Boudin – en relation avec l’exposition présentée au Musée d’art moderne du Havre.
Professeur à l’université de la Sorbonne nouvelle, Alain Pagès dirige Les Cahiers naturalistes. Derniers ouvrages publiés : Zola et le groupe de Médan. Histoire d’un cercle littéraire (Perrin, 2014) ; édition, en collaboration avec Brigitte Emile-Zola, des Lettres à Alexandrine (1876-1901), d’Emile Zola (Gallimard, 2014 – ouvrage couronné par le prix Sévigné en février 2016).
En partenariat avec les 15èmes Rencontres d’été théâtre et lecture en Normandie
Les Rencontres d’été théâtre et lecture en Normandie organisent différents temps forts dans le cadre du festival Normandie Impressionniste, dont certains seront consacrés à Eugène Boudin.
Professeur à l’université de la Sorbonne nouvelle, Alain Pagès dirige Les Cahiers naturalistes. Derniers ouvrages publiés : Zola et le groupe de Médan. Histoire d’un cercle littéraire (Perrin, 2014) ; édition, en collaboration avec Brigitte Emile-Zola, des Lettres à Alexandrine (1876-1901), d’Emile Zola (Gallimard, 2014 – ouvrage couronné par le prix Sévigné en février 2016).
En partenariat avec les 15èmes Rencontres d’été théâtre et lecture en Normandie
Les Rencontres d’été théâtre et lecture en Normandie organisent différents temps forts dans le cadre du festival Normandie Impressionniste, dont certains seront consacrés à Eugène Boudin.
Date(s)
- 03 août 2016
Tarif(s)
Gratuit
Réservation obligatoire, aux heures d'ouverture du musée, à l'accueil et par téléphone au 02 35 19 62 72
Plus d'informations sur le site de Rencontres d'été théâtre et lecture en Normandie

Jacques Perconte, Hyper Soleils, 2015
Rencontre avec Bidhan Jacobs, Docteur en études cinématographiques, chargé de cours à l’Université Paris 3 Sorbonne Nouvelle, auteur d’une Thèse à paraître cette année aux Presses Universitaires du Septentrion sous le titre Esthétique du signal, et codirecteur avec Nicole Brenez du Cinéma critique. De l’argentique au numérique, voies et formes de l’objection visuelle (Presses de la Sorbonne, 2010)
Le signal est l’essence même du son et de l’image numérique : de l’information matérielle invisible à l’oeil nu, codifiée et circulant à travers les technologies filmiques de l’âge du Web. Son accès, d’une importance capitale, est en mode protégé (Friedrich Kittler). D’un côté les outils numériques sont construits comme des boîtes noires au coeur desquelles le traitement du signal est soigneusement rendu opaque et inaccessible. De l’autre, les entreprises privées et les services d’intelligence des gouvernements disposent d’une puissance technologique illimitée d’interception et d’investigation des signaux pour mener leurs opérations de surveillance et de profilage à l’échelle planétaire. Récusant ce paradoxe, certains artistes tels Pierre-Yves Cruaud, HC Gilje, Paolo Gioli, Benjamin Muzzin, Jacques Perconte, Leighton Pierce, Joost Rekveld, Sadia Sadia, Jérôme Schlomoff, développent l’intelligence du signal : ils passent ainsi de son traitement régulé selon des normes audiovisuelles à son expérimentation pour en libérer les ressources plastiques inexploitées et exprimer toutes les strates de sensibilité de l’artiste.
Le signal est l’essence même du son et de l’image numérique : de l’information matérielle invisible à l’oeil nu, codifiée et circulant à travers les technologies filmiques de l’âge du Web. Son accès, d’une importance capitale, est en mode protégé (Friedrich Kittler). D’un côté les outils numériques sont construits comme des boîtes noires au coeur desquelles le traitement du signal est soigneusement rendu opaque et inaccessible. De l’autre, les entreprises privées et les services d’intelligence des gouvernements disposent d’une puissance technologique illimitée d’interception et d’investigation des signaux pour mener leurs opérations de surveillance et de profilage à l’échelle planétaire. Récusant ce paradoxe, certains artistes tels Pierre-Yves Cruaud, HC Gilje, Paolo Gioli, Benjamin Muzzin, Jacques Perconte, Leighton Pierce, Joost Rekveld, Sadia Sadia, Jérôme Schlomoff, développent l’intelligence du signal : ils passent ainsi de son traitement régulé selon des normes audiovisuelles à son expérimentation pour en libérer les ressources plastiques inexploitées et exprimer toutes les strates de sensibilité de l’artiste.
Date(s)
- 18 mai 2016
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

Lucile Chaufour & Bernhard Braunstein, Sleeping Image, 2014. Supersonicglide
« Kenny Burrell disait du blues qu’il est un « train lancé dans la nuit ». C’est de là dont nous sommes partis, d’un paysage désolé sous l’orage que les flashs blancs des éclairs révèlent dans la nuit. Paysage du mal-être et révélation splendide, le blues est l’inadéquation intime qu’il faut résoudre, une exhortation à ne pas renoncer à sa vérité. Car ce qui nous intéresse ici, ce n’est pas la passivité mortifère du sentiment dépressif mais le potentiel de transformation que cet état recèle. C’est cette expérience que nous vous proposons de partager. » Lucile Chaufour & Bernhard Braunstein
Durant une année, entre la France, la Suisse et l’Autriche, plusieurs lieux culturels accueillent le projet Blues. Chaque fois, une nouvelle série est élaborée avec le public et réalisée par les auteurs. Le film Sleeping Image, qui lui est associé, permet d’appréhender l’univers des deux auteurs et d’expérimenter cette forme particulière qui travaille sur l’inconscient, le rémanent, le fantomatique.
Programme :
Lucile Chaufour & Bernhard Braunstein, Sleeping Image, 2014, 27’
Lucile Chaufour & Bernhard Braunstein, Blues série 1, 2015, 47’’
Lucile Chaufour & Bernhard Braunstein, Blues série 2, 2015, 42’’
Avec la complicité du Théâtre de l’Impossible
Durant une année, entre la France, la Suisse et l’Autriche, plusieurs lieux culturels accueillent le projet Blues. Chaque fois, une nouvelle série est élaborée avec le public et réalisée par les auteurs. Le film Sleeping Image, qui lui est associé, permet d’appréhender l’univers des deux auteurs et d’expérimenter cette forme particulière qui travaille sur l’inconscient, le rémanent, le fantomatique.
Programme :
Lucile Chaufour & Bernhard Braunstein, Sleeping Image, 2014, 27’
Lucile Chaufour & Bernhard Braunstein, Blues série 1, 2015, 47’’
Lucile Chaufour & Bernhard Braunstein, Blues série 2, 2015, 42’’
Avec la complicité du Théâtre de l’Impossible
Date(s)
- 20 avril 2016
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.