18 h 30

Eugène BOUDIN (1824-1898), Dame en blanc sur la plage de Trouville, 1869, huile sur carton, 31,4 x 48,6 cm. © MuMa Le Havre / Florian Kleinefenn
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Comment chacun d’entre nous regarde-t-il la Dame en blanc, plage de Trouville d’Eugène Boudin ? Quels détails avons-nous vus en premier ? Comment percevons-nous ce tableau, avec nos sensations qui nous sont toutes personnelles ?
C’est là le point de départ des « Jeux d’interprètes » qui proposent au spectateur de devenir l’interprète de ce qu’il voit, et l’interprète, en particulier, de cette œuvre d’Eugène Boudin qui appartient à la collection du MuMa. L’expérience est proposée par Delphine Grivel, musicologue, spécialiste des rapports musique/arts plastiques, et Jean-Marc Leone, violoncelliste.
Pour eux, il n’existe pas une manière unique de voir un tableau, et ils entendent bien donner la parole aux perceptions de chacun. Pour ce faire, ils multiplieront les regards possibles sur la Dame en blanc, son attitude, ce qui l’entoure… ils proposeront d’entrer dans l’œuvre par le détail, et par la musique. Chacun pourra alors, au gré des sensations ressenties grâce, notamment, au son du violoncelle et à la façon dont les extraits musicaux seront joués, imaginer une dramaturgie du tableau, une histoire qui lui sera propre.
Programme musical :
Sonate Arpeggione (1er mouvement) de Schubert
Prélude de Suite n°1 de Bach
Valse sentimentale de Tchaïkovsky
Par Jean-Marc Leone, violoncelliste, et Delphine Grivel, musicologue, spécialiste des rapports musique/arts plastiques
C’est là le point de départ des « Jeux d’interprètes » qui proposent au spectateur de devenir l’interprète de ce qu’il voit, et l’interprète, en particulier, de cette œuvre d’Eugène Boudin qui appartient à la collection du MuMa. L’expérience est proposée par Delphine Grivel, musicologue, spécialiste des rapports musique/arts plastiques, et Jean-Marc Leone, violoncelliste.
Pour eux, il n’existe pas une manière unique de voir un tableau, et ils entendent bien donner la parole aux perceptions de chacun. Pour ce faire, ils multiplieront les regards possibles sur la Dame en blanc, son attitude, ce qui l’entoure… ils proposeront d’entrer dans l’œuvre par le détail, et par la musique. Chacun pourra alors, au gré des sensations ressenties grâce, notamment, au son du violoncelle et à la façon dont les extraits musicaux seront joués, imaginer une dramaturgie du tableau, une histoire qui lui sera propre.
Programme musical :
Sonate Arpeggione (1er mouvement) de Schubert
Prélude de Suite n°1 de Bach
Valse sentimentale de Tchaïkovsky
Par Jean-Marc Leone, violoncelliste, et Delphine Grivel, musicologue, spécialiste des rapports musique/arts plastiques
Date(s)
- 26 mai 2016
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

Jacqueline SALMON (1943), Route d'Évreux aux Andelys, 2010, gravure sur photographie selon les codes Météo France du modèle Arpège, 50 x 65 cm. © Jacqueline Salmon
Pour ce dernier temps de rencontre, le MuMa invite Jacqueline Salmon, artiste dont le travail sera proposé à la suite de l’exposition « Eugène Boudin. L’Atelier de la lumière » au MuMa.
Et puisque son œuvre n’est pas sans rapport avec celle du précurseur de l’impressionnisme, demandons lui de nous livrer son regard singulier sur ces paysages de mer, ces études de ciels…
Et puisque son œuvre n’est pas sans rapport avec celle du précurseur de l’impressionnisme, demandons lui de nous livrer son regard singulier sur ces paysages de mer, ces études de ciels…
Date(s)
- 08 septembre 2016
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

. © Le Clair Obscur
Concert d’inauguration de l’œuvre interactive et sonore « Sound ∆ Fields » présentée au MuMa du 17 avril au 20 mai
Pour marquer le lancement de « Sound ∆ Fields », la Compagnie Le Clair Obscur, à l’origine du projet, vous propose d’assister à deux performances : elles feront vivre, le temps d’un concert, le dispositif que les visiteurs du MuMa pourront découvrir par ailleurs jusqu’au 20 mai. Avec Frédéric Deslias, Emmanuel Lalande et les étudiants de l’EsadHaR.
Production : Le Clair Obscur, DRAC de Basse-Normandie, Région Basse-Normandie, DRAC de Haute-Normandie, Institut-Français.
Partenaires : MU, MuMa Le Havre, Musée des Beaux-Arts de Caen, Le Tétris, PiedNu, EsadHaR , Lycée Siegfried, ESAM Caen/Cherbourg, AMVD Pierre Heuzé.
Pour marquer le lancement de « Sound ∆ Fields », la Compagnie Le Clair Obscur, à l’origine du projet, vous propose d’assister à deux performances : elles feront vivre, le temps d’un concert, le dispositif que les visiteurs du MuMa pourront découvrir par ailleurs jusqu’au 20 mai. Avec Frédéric Deslias, Emmanuel Lalande et les étudiants de l’EsadHaR.
Production : Le Clair Obscur, DRAC de Basse-Normandie, Région Basse-Normandie, DRAC de Haute-Normandie, Institut-Français.
Partenaires : MU, MuMa Le Havre, Musée des Beaux-Arts de Caen, Le Tétris, PiedNu, EsadHaR , Lycée Siegfried, ESAM Caen/Cherbourg, AMVD Pierre Heuzé.
Date(s)
- 21 avril 2016
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

« Les arts décoratifs et les emménagements du paquebot Normandie »
Franck Sénant, ingénieur du patrimoine au Ministère de la Culture et de la Communication et co-auteur de l’ouvrage A bord des paquebots, 50 ans d’arts décoratifs (Editions Norma - 2011) présente l’organisation des espaces publics et privés des différentes classes à bord du paquebot, ainsi que les caractéristiques du style des décors et de l’ameublement du navire.
Dans le cadre de la manifestation « J'irai revoir le Normandie » organisée par French Lines du 29 mai au 3 juin 2015.
Franck Sénant, ingénieur du patrimoine au Ministère de la Culture et de la Communication et co-auteur de l’ouvrage A bord des paquebots, 50 ans d’arts décoratifs (Editions Norma - 2011) présente l’organisation des espaces publics et privés des différentes classes à bord du paquebot, ainsi que les caractéristiques du style des décors et de l’ameublement du navire.
Dans le cadre de la manifestation « J'irai revoir le Normandie » organisée par French Lines du 29 mai au 3 juin 2015.
Date(s)
- 01 juin 2015
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
Document téléchargeable

Loescher & Petsch, Lyonel Feininger, Berlin, ca. 1894, photographie. The Lyonel Feininger Project LLC, New York – Berlin
« Né de parents allemands à New York en 1871, Lyonel Feininger vit jusqu’à l’âge de seize ans aux Etats-Unis avant de partir seul en Allemagne pour étudier le violon au conservatoire de Leipzig.
Un demi-siècle plus tard, en 1937, poussé par la montée de l’antisémitisme et l’hostilité du régime nazi à l’art moderne, il quitte son pays adoptif pour regagner l’Amérique où il restera jusqu’à son décès en 1956.
Elevé dans une famille musicale, destiné lui-même à une carrière de musicien, il ne va jamais jusqu’à Leipzig et s’inscrit à l’école des arts et métiers de Hambourg avant de devenir caricaturiste, puis peintre.
En tant que jeune Américain en Allemagne, ses dessins humoristiques publiés dans les journaux satiriques berlinois rencontrent un grand succès, mais c’est en devenant peintre que Feininger, affilié au Bauhaus, sera consacré par des expositions dans les plus grands musées d’Allemagne, jusqu’à l’arrivée au pouvoir d’Hitler.
De retour à New York, perçu comme un artiste Allemand, il commence la reconstruction de sa carrière grâce au soutien d’institutions américaines. » David Butcher, co-comissaire de l’exposition
Un demi-siècle plus tard, en 1937, poussé par la montée de l’antisémitisme et l’hostilité du régime nazi à l’art moderne, il quitte son pays adoptif pour regagner l’Amérique où il restera jusqu’à son décès en 1956.
Elevé dans une famille musicale, destiné lui-même à une carrière de musicien, il ne va jamais jusqu’à Leipzig et s’inscrit à l’école des arts et métiers de Hambourg avant de devenir caricaturiste, puis peintre.
En tant que jeune Américain en Allemagne, ses dessins humoristiques publiés dans les journaux satiriques berlinois rencontrent un grand succès, mais c’est en devenant peintre que Feininger, affilié au Bauhaus, sera consacré par des expositions dans les plus grands musées d’Allemagne, jusqu’à l’arrivée au pouvoir d’Hitler.
De retour à New York, perçu comme un artiste Allemand, il commence la reconstruction de sa carrière grâce au soutien d’institutions américaines. » David Butcher, co-comissaire de l’exposition
Date(s)
- 21 mai 2015
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

Sabine MEIER (1964), The forbidden garden, série « Portrait of a man », 2011-2014, photographie. © Sabine Meier
Par Martine Lacas
Martine Lacas, historienne de l’art et critique d’art, est l’auteur du texte qui accompagne le travail de Sabine Meier dans la publication « Portrait of a man ».
Grande connaisseuse de l’œuvre de la photographe, elle se propose de nous en parler, et d’interroger en particulier le rapport de l’artiste à l’espace, à l’architecture…
Dans le cadre du Mois de l’Architecture
Martine Lacas, historienne de l’art et critique d’art, est l’auteur du texte qui accompagne le travail de Sabine Meier dans la publication « Portrait of a man ».
Grande connaisseuse de l’œuvre de la photographe, elle se propose de nous en parler, et d’interroger en particulier le rapport de l’artiste à l’espace, à l’architecture…
Dans le cadre du Mois de l’Architecture
Date(s)
- 05 mars 2015
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.