17 h 00

© Maroussia Vossen
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A l’occasion de la présentation de « Still », exposition consacrée à l’œuvre photographique de Trine Søndergaard, le MuMa convie la danseuse Maroussia Vossen à explorer les espaces du musée pour dialoguer avec les photographies de la jeune artiste danoise.
Maroussia Vossen, un parcours
« Après avoir découvert la danse à l’âge de 5 ans, comprenant dès lors que c’est dans le mouvement plutôt que dans la parole que résiderait son langage, Maroussia Vossen est formée à la technique classique auprès de Lucien Legrand de l’Opéra de Paris, puis dans le cadre de l’association « Danse et culture » créée par Jean Dorcy, mais elle s’imprègne également d’autres techniques avec des personnalités aussi diverses que Ginette Bastien, Linda Diamond, Trudy Kressel ou Herns Duplan. (…)
Le travail et le parcours de Maroussia Vossen sont surtout marqués par son dialogue ininterrompu avec des artistes extérieurs à la danse.
Habituée sans doute dès son enfance, durant laquelle elle côtoie les nombreux créateurs, écrivains et intellectuels qui entourent sa mère, à tisser des liens entre son imaginaire personnel et d’autres univers poétiques, la danseuse tout au long de sa carrière nourrit des fidélités remarquables tant avec des musiciens qu’avec des plasticiens, écrivains ou des cinéastes souvent très réputés dans leurs domaines respectifs.
C’est ainsi que Maroussia Vossen, depuis près de 40 ans, au fil de ses rencontres artistiques, improvise des danses en solo à l’invitation d’autres créateurs et interprètes, dans les lieux les plus divers. Elle vient offrir – souvent dans des espaces atypiques, jardins, places ou cloîtres, galeries et musées -, ses correspondances, au sens baudelairien : gestes, pas, regards, sons et couleurs grâce à elle se répondent, « comme de longs échos qui de loin se confondent ».
(…)
Invitée par les plasticiens – Nicole Nicolas, Patrick Lefèvre, Tony Soulié, Jill Galliéni ou Michelle Knoblauch, par exemple –, Maroussia Vossen chaque fois sait finement souligner leur geste plastique ou les formes créées par la peinture ou la sculpture, et livrer en échange sa chorégraphie improvisée qui, dans un jeu subtil entre proximité et distance avec les œuvres exposées, en propose au public une perception unique et privilégiée.
Enfin, on ne peut omettre de mentionner le cinéaste et photographe Chris Marker qui fut jusqu’à sa récente disparition une figure marquante de la vie de Maroussia Vossen et a souvent capté sa danse de son œil aiguisé.
« Danser toujours », se promettait la petite fille. Même pour soi seule. Même en silence. Même sans effet. De fait, la danse pour Maroussia Vossen est moins une action qu’un mode : sa manière d’être au monde, en noir, en rouge ou vêtue d’une robe dessinée par Sonia Delaunay, et d’y traverser le temps. « Poésie de l’instant – dit-elle – , elle est l’intention, la magie. L’instant ne s’apprend pas, il est vie pure. C’est un jeu éphémère, une naissance, le partage du moment présent. » Une naissance jamais totalement accomplie et donc toujours à revivre ou à susciter de nouveau. Comme la marche toujours s’impose, conduisant sans cesse ailleurs cette « danseuse piétonne », libre de tout encombrement et même, pourrait-on croire, de tout passé. » Laurent Sebillotte, janvier 2013
Maroussia Vossen, un parcours
« Après avoir découvert la danse à l’âge de 5 ans, comprenant dès lors que c’est dans le mouvement plutôt que dans la parole que résiderait son langage, Maroussia Vossen est formée à la technique classique auprès de Lucien Legrand de l’Opéra de Paris, puis dans le cadre de l’association « Danse et culture » créée par Jean Dorcy, mais elle s’imprègne également d’autres techniques avec des personnalités aussi diverses que Ginette Bastien, Linda Diamond, Trudy Kressel ou Herns Duplan. (…)
Le travail et le parcours de Maroussia Vossen sont surtout marqués par son dialogue ininterrompu avec des artistes extérieurs à la danse.
Habituée sans doute dès son enfance, durant laquelle elle côtoie les nombreux créateurs, écrivains et intellectuels qui entourent sa mère, à tisser des liens entre son imaginaire personnel et d’autres univers poétiques, la danseuse tout au long de sa carrière nourrit des fidélités remarquables tant avec des musiciens qu’avec des plasticiens, écrivains ou des cinéastes souvent très réputés dans leurs domaines respectifs.
C’est ainsi que Maroussia Vossen, depuis près de 40 ans, au fil de ses rencontres artistiques, improvise des danses en solo à l’invitation d’autres créateurs et interprètes, dans les lieux les plus divers. Elle vient offrir – souvent dans des espaces atypiques, jardins, places ou cloîtres, galeries et musées -, ses correspondances, au sens baudelairien : gestes, pas, regards, sons et couleurs grâce à elle se répondent, « comme de longs échos qui de loin se confondent ».
(…)
Invitée par les plasticiens – Nicole Nicolas, Patrick Lefèvre, Tony Soulié, Jill Galliéni ou Michelle Knoblauch, par exemple –, Maroussia Vossen chaque fois sait finement souligner leur geste plastique ou les formes créées par la peinture ou la sculpture, et livrer en échange sa chorégraphie improvisée qui, dans un jeu subtil entre proximité et distance avec les œuvres exposées, en propose au public une perception unique et privilégiée.
Enfin, on ne peut omettre de mentionner le cinéaste et photographe Chris Marker qui fut jusqu’à sa récente disparition une figure marquante de la vie de Maroussia Vossen et a souvent capté sa danse de son œil aiguisé.
« Danser toujours », se promettait la petite fille. Même pour soi seule. Même en silence. Même sans effet. De fait, la danse pour Maroussia Vossen est moins une action qu’un mode : sa manière d’être au monde, en noir, en rouge ou vêtue d’une robe dessinée par Sonia Delaunay, et d’y traverser le temps. « Poésie de l’instant – dit-elle – , elle est l’intention, la magie. L’instant ne s’apprend pas, il est vie pure. C’est un jeu éphémère, une naissance, le partage du moment présent. » Une naissance jamais totalement accomplie et donc toujours à revivre ou à susciter de nouveau. Comme la marche toujours s’impose, conduisant sans cesse ailleurs cette « danseuse piétonne », libre de tout encombrement et même, pourrait-on croire, de tout passé. » Laurent Sebillotte, janvier 2013
Date(s)
- 19 janvier 2019
Tarif(s)
Gratuit
Réservation obligatoire, aux heures d'ouverture du musée, à l'accueil et par téléphone au 02 35 19 62 72

Raoul DUFY (1877-1953), Le Violon rouge, 1949, huile sur toile, 22,5 x 27,5 cm. © MuMa Le Havre / David Fogel — © ADAGP, Paris, 2013
Cette dernère visite de l'année sera un peu différente des visites habituellement proposées. Pour terminer l’année en beauté, elles mettront à l’honneur les liens entre peinture et musique. Les horaires restent inchangés, et les conditions d’accès les mêmes.
« Regarder, écouter. Entendre, voir. De la Musique et des sons autour d’œuvres des collections du musée pour aussi mieux savourer le silence des photographies de Trine Sondergaard ! ».
« Regarder, écouter. Entendre, voir. De la Musique et des sons autour d’œuvres des collections du musée pour aussi mieux savourer le silence des photographies de Trine Sondergaard ! ».
Date(s)
- 30 décembre 2018
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
Rendez-vous à l’accueil du musée. Sur présentation du billet d’entrée

Feeding Back © Julia Thurnau
- -
« Ils sont artistes associés au Phare pour les saisons 2019-2021 et le festival est l’occasion d’accueillir la première en France de Feeding Back, une pièce pour cinq à sept interprètes, un intervenant invité et un public ! Ce projet est pensé comme un dialogue au sujet des résistances sociales, une chorégraphie engagée vis-à-vis de la société qui nous entoure. Quelle forme de résistance devons-nous développer aujourd’hui pour rester des êtres autonomes ? La danse recèle toujours quelque chose de politique dans ce qu’elle déploie individuellement et collectivement. Ici, les découvertes créatives soulevées par la pièce sont débattues et reformulées par un intervenant invité, artiste ou théoricien, en dialogue avec le public. La pièce est vue au Phare et débattue, le lendemain, au MuMa. Bien loin des traditionnels « retours » sur le spectacle, cet espace-temps fait partie de la création elle-même, transforme la pièce et vous invite à une autre forme chorégraphique ! » (extrait du programme du Festival Pharenheit)
Conception, chorégraphes : Malgven Gerbes, David Brandstätter
Interprètes et collaboration : Malgven Gerbes, Raphael Hillebrand, Hyoung Min Kim, Sebastian Kurth, Aline Landreau,
Invités, en cours de proposition : Dominique Boivin, Emmanuelle Vo-Dinh, Adrienne Goehler, Alexandros Mistriotis, Jeffrey Gormly
Consulting et dramaturgie : Heike Albrecht
Textes : Uwe Goessel, Marc Luppiner
Composition sonore : Brendan Dougherty
Création lumière : Ruth Waldeyer
Administration, production, diffusion : Clara Debour, Ann-Christin Görtz, Alix Pellet
Graphisme : Yoann Bertrandy
Vidéo : Christoph Lemmen
Production : shifts - art in movement
Coproduction : Le Phare, Centre chorégraphique national du Havre Normandie, direction Emmanuelle Vo-Dinh ; le Centre Chorégraphique National - Ballet de Lorraine, direction Peter Jacobsson ; fabrik Potsdam : artistes en résidence
Avec le soutien du Ministère de la Culture - DRAC de Normandie, de la Région Normandie, du Hauptstadtkulturfonds
En partenariat avec Le Phare – CCN du Havre
Retrouvez toute la programmation du festival Pharenheit 2019 sur : www.lephare-ccn.fr
Conception, chorégraphes : Malgven Gerbes, David Brandstätter
Interprètes et collaboration : Malgven Gerbes, Raphael Hillebrand, Hyoung Min Kim, Sebastian Kurth, Aline Landreau,
Invités, en cours de proposition : Dominique Boivin, Emmanuelle Vo-Dinh, Adrienne Goehler, Alexandros Mistriotis, Jeffrey Gormly
Consulting et dramaturgie : Heike Albrecht
Textes : Uwe Goessel, Marc Luppiner
Composition sonore : Brendan Dougherty
Création lumière : Ruth Waldeyer
Administration, production, diffusion : Clara Debour, Ann-Christin Görtz, Alix Pellet
Graphisme : Yoann Bertrandy
Vidéo : Christoph Lemmen
Production : shifts - art in movement
Coproduction : Le Phare, Centre chorégraphique national du Havre Normandie, direction Emmanuelle Vo-Dinh ; le Centre Chorégraphique National - Ballet de Lorraine, direction Peter Jacobsson ; fabrik Potsdam : artistes en résidence
Avec le soutien du Ministère de la Culture - DRAC de Normandie, de la Région Normandie, du Hauptstadtkulturfonds
En partenariat avec Le Phare – CCN du Havre
Retrouvez toute la programmation du festival Pharenheit 2019 sur : www.lephare-ccn.fr

Date(s)
- 02 février 2019
Tarif(s)
Gratuit
Réservation obligatoire, aux heures d'ouverture du musée, à l'accueil et par téléphone au 02 35 19 62 72
Entrée libre dans la limite des places disponibles

Patrick Galais © Catherine Merdy
Le MuMa vous propose, en toute intimité, de partager avec Patrick Galais, alias Pat Batrix, auteur-photographe, le regard qu’il porte sur les images de Trine Søndergaard. L'exposition temporaire du musée, Trine Søndergaard - Still, met en effet le travail de cette dernière à l’honneur. Patrick Galais questionnera donc cette œuvre photographique, en nourrissant son approche toute personnelle de références multiples qui apporteront un éclairage inédit aux photographies.
Date(s)
- 08 décembre 2018
Tarif(s)
Gratuit
Réservation obligatoire, aux heures d'ouverture du musée, à l'accueil et par téléphone au 02 35 19 62 72
LIEN EXTERNE

Exposition Trine Sondergaard - Still. © Simon Saint-Jal
Découvrez l'exposition Trine Søndergaard - Still présentée au MuMa du 13 octobre 2018 au 27 janvier 2019, en compagnie d'une médiatrice du musée.
Date(s)
- dimanche 28 octobre 2018
- dimanche 04 novembre 2018
- dimanche 25 novembre 2018
- dimanche 02 décembre 2018
- dimanche 16 décembre 2018
- dimanche 13 janvier 2019
- dimanche 20 janvier 2019
- dimanche 27 janvier 2019
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
Rendez-vous à l’accueil du musée. Sur présentation du billet d’entrée

. © MuMa Le Havre / Juliette Houliere
Depuis 2013, le MuMa propose de façon systématique pour chacune de ses expositions temporaires, des visites commentées traduites en Langue des Signes Française. Une médiatrice du MuMa, accompagnée d’une interprète LSF, vous accompagne à cette occasion, à la découverte des œuvres présentées, dans un esprit d’échange et de dialogue
Date(s)
- 22 janvier 2019
Tarif(s)
Gratuit
Rendez-vous à l’accueil du musée

. © MuMa Le Havre - Laura Guichard
Découvrez les collections permanentes en compagnie d'une médiatrice du musée.
Date(s)
- dimanche 30 septembre 2018
- dimanche 07 octobre 2018
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
Rendez-vous à l’accueil du musée
Sur présentation du billet d’entrée
Sur présentation du billet d’entrée

Petite tempête. © JDHestin
« petite tempête » se déroule comme un moment de danse qui explore la fluidité. En cela, je l’ai pensée reliée aux mouvements de la mer.
J’ai conçu cette danse et son environnement en pensant à mes expériences au MuMa. Je me suis demandé comment donner des clefs sensibles au visiteur pour qu’il entre en relation avec la danse, comme je l’avais fait pour les œuvres du musée. C’est ainsi qu’est né ce projet d’enregistrer des propositions qui permettent au visiteur de partager une expérience. L’exposition du MuMa traversant différents imaginaires en lien avec la mer, il me semble que « petite tempête » trouve une place légitime, lien entre les œuvres présentées, l’éphémère de la danse et l’aboutissement d’une démarche née au musée. » Micheline Lelièvre
Avec le Collectif Pignon sur Rue : Célia Abitabile, Violette Angé, Sarah Degraeve et Micheline Lelièvre
Auteur : Micheline Lelièvre
Univers sonore : Marine Angé
En partenariat avec le Conservatoire Arthur Honegger du Havre, avec Céline Quedeville et ses élèves : Lucie Cavelier, Audrey Delamare, Esther Dos Santos, Zélie Dos Santos, Brune Feldman, Juliette Lallemant, Quentin Pons et Anna Wozniak
En savoir plus : Collectif Pignon sur Rue
J’ai conçu cette danse et son environnement en pensant à mes expériences au MuMa. Je me suis demandé comment donner des clefs sensibles au visiteur pour qu’il entre en relation avec la danse, comme je l’avais fait pour les œuvres du musée. C’est ainsi qu’est né ce projet d’enregistrer des propositions qui permettent au visiteur de partager une expérience. L’exposition du MuMa traversant différents imaginaires en lien avec la mer, il me semble que « petite tempête » trouve une place légitime, lien entre les œuvres présentées, l’éphémère de la danse et l’aboutissement d’une démarche née au musée. » Micheline Lelièvre
Avec le Collectif Pignon sur Rue : Célia Abitabile, Violette Angé, Sarah Degraeve et Micheline Lelièvre
Auteur : Micheline Lelièvre
Univers sonore : Marine Angé
En partenariat avec le Conservatoire Arthur Honegger du Havre, avec Céline Quedeville et ses élèves : Lucie Cavelier, Audrey Delamare, Esther Dos Santos, Zélie Dos Santos, Brune Feldman, Juliette Lallemant, Quentin Pons et Anna Wozniak
En savoir plus : Collectif Pignon sur Rue
Date(s)
- 30 juin 2018
Tarif(s)
Gratuit
Recommandations : Pour participer pleinement à l’expérience, pensez à vous équiper de votre smartphone et d’un casque ou d’écouteurs ! La bande son de la performance sera en effet diffusée via notre application d’audioguide accessible gratuitement sur notre réseau wi-fi.
Sur présentation du billet d’entrée
Sur présentation du billet d’entrée

Paul-Alexandre Deschmacker, La Grande Sirène Bleue, huile sur toile, 211 x 121 cm. Roubaix, La Piscine, Musée d'art et d'industrie André Diligent. © Musée La Piscine
Découvrez l'exposition Né(e)s de l'écume et des rêves en compagnie d'une médiatrice du musée.
Date(s)
- dimanche 06 mai 2018
- dimanche 20 mai 2018
- dimanche 27 mai 2018
- dimanche 03 juin 2018
- dimanche 10 juin 2018
- dimanche 24 juin 2018
- dimanche 08 juillet 2018
- dimanche 15 juillet 2018
- dimanche 22 juillet 2018
- dimanche 29 juillet 2018
- dimanche 05 août 2018
- dimanche 12 août 2018
- dimanche 19 août 2018
- dimanche 26 août 2018
- dimanche 09 septembre 2018
Tarif(s)
Gratuit
Sur présentation du billet d'entrée
Rendez-vous à l'accueil
Rendez-vous à l'accueil

Ensemble Oxyton
Quatre musiciens, une quinzaine d’instruments, autant de compositeurs, des musiques du Moyen Age, du 19ème siècle et même du 20ème.
Principalement des chansons, qu’elles soient « brunettes » ou « lamentables », spirituelles ou opératiques, de la plume de Praetorius, Goudimel ou Liszt, ou de tradition orale d’Ecosse ou de France.
Une joyeuse balade au fil des siècles où l’on croisera des amoureux scrutant l’océan, des exilés pleurant sur les rives d’un fleuve, des récits de grandes traversées ou de retrouvailles insulaires, des sirènes et, bien sûr, quelques noyades.
On y entendra une déesse assoiffée transformant ses bourreaux en grenouilles, des exilés pleurant sur les rives d’un fleuve... On souffrira d’amoureuses brûlures, comme pendant une journée sans eau sous un soleil cuisant… On traversera un ruisseau, avec ou sans sirènes… On attendra sur une rive le retour de l’être aimé, le cœur comme un bateau balloté par les flots, puis nous partirons en mer - passage vers l’Autre Monde – bercés par les chants des travailleurs de la mer, peut-être sous quelques nuages…
Oxyton
Elsa Papatanasios, chant et percussions
Emmanuelle Huteau, chant, clarinette, doucliane et tuba
Augusto de Alencar, chant, doulciane, flûtes à bec et traversières et percussions
Michel Gendre, guitares, luths et oud
En savoir plus : le site d'Oxyton.
Principalement des chansons, qu’elles soient « brunettes » ou « lamentables », spirituelles ou opératiques, de la plume de Praetorius, Goudimel ou Liszt, ou de tradition orale d’Ecosse ou de France.
Une joyeuse balade au fil des siècles où l’on croisera des amoureux scrutant l’océan, des exilés pleurant sur les rives d’un fleuve, des récits de grandes traversées ou de retrouvailles insulaires, des sirènes et, bien sûr, quelques noyades.
On y entendra une déesse assoiffée transformant ses bourreaux en grenouilles, des exilés pleurant sur les rives d’un fleuve... On souffrira d’amoureuses brûlures, comme pendant une journée sans eau sous un soleil cuisant… On traversera un ruisseau, avec ou sans sirènes… On attendra sur une rive le retour de l’être aimé, le cœur comme un bateau balloté par les flots, puis nous partirons en mer - passage vers l’Autre Monde – bercés par les chants des travailleurs de la mer, peut-être sous quelques nuages…
Oxyton
Elsa Papatanasios, chant et percussions
Emmanuelle Huteau, chant, clarinette, doucliane et tuba
Augusto de Alencar, chant, doulciane, flûtes à bec et traversières et percussions
Michel Gendre, guitares, luths et oud
En savoir plus : le site d'Oxyton.
Date(s)
- 02 septembre 2018
Tarif(s)
Gratuit
Réservation obligatoire, aux heures d'ouverture du musée, à l'accueil et par téléphone au 02 35 19 62 72