17 h 00

Une médiatrice et une interprète en LSF - Langue des Signes Française - s’associent le temps d’une visite pour proposer une transcription bilingue de l’exposition en cours.
Date(s)
- 22 février 2024
Tarif(s)
Gratuit
Rendez-vous à l’accueil du musée
Gratuit sur présentation du billet d’entrée
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur
Gratuit sur présentation du billet d’entrée
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur

Une médiatrice et une interprète en LSF - Langue des Signes Française - s’associent le temps d’une visite pour proposer une transcription bilingue de l’exposition en cours.
Date(s)
- 28 novembre 2023
Tarif(s)
Gratuit
Rendez-vous à l’accueil du musée
Gratuit sur présentation du billet d’entrée
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur
Gratuit sur présentation du billet d’entrée
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur

Une médiatrice et une interprète en LSF - Langue des Signes Française - s’associent le temps d’une visite pour proposer une transcription bilingue de l’exposition en cours.
Date(s)
- 20 juin 2023
Tarif(s)
Gratuit
Rendez-vous à l’accueil du musée
Gratuit sur présentation du billet d’entrée
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur
Gratuit sur présentation du billet d’entrée
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur

Une médiatrice et une interprète en LSF - Langue des Signes Française - s’associent le temps d’une visite pour proposer une transcription bilingue de l’exposition en cours.
Date(s)
- 31 janvier 2023
Tarif(s)
Gratuit
Rendez-vous à l’accueil du musée
Gratuit sur présentation du billet d’entrée
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur
Gratuit sur présentation du billet d’entrée
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur

© Christophe Urbain
En chemin Klezmer
Un voyage lumineux sur les routes de la musique juive, de Ravel à aujourd’hui. Lâchez prise, cette sensation de liberté ne vous quittera pas !
Fermez les yeux et suivez le son de cette clarinette qui vous guide dans un chemin de traverse, celui du territoire yiddish.
Vous voilà plongés dans l’incroyable vivacité de cette musique d’Europe de l’Est qui ne cesse de se renouveler. Au détour d’un chemin, c’est Ravel qui fait miroiter ses effets de couleurs dans Kaddish, une prière pour les morts. Puis vous rencontrez l’argentin Golijov qui met en musique Les rêves et les prières d’Isaac l’aveugle, animé par l’incandescence de son quintette. Voyez comme la musique klezmer avive la flamme de la création contemporaine !
La pérégrination se termine dans les accents tziganes et le panache d’une grande fête orchestrée par le compositeur russo-canadien Ichmouratov. Qui a dit que cette journée allait être ordinaire ?
En partenariat avec l’Opéra de Rouen Normandie
Avec :
Naaman Sluchin, Elena Pease, violons
Patrick Dussart, alto
Hélène Latour, violoncelle
Lucas Dietsch, clarinette
Au programme :
Airat Ichmouratov, One Day Almost Ordinary Life pour clarinette et quatuor à cordes
Osvaldo Golijov, Quintette pour clarinette et cordes
Maurice Ravel, Kaddish, arrangement pour quatuor à cordes
Un voyage lumineux sur les routes de la musique juive, de Ravel à aujourd’hui. Lâchez prise, cette sensation de liberté ne vous quittera pas !
Fermez les yeux et suivez le son de cette clarinette qui vous guide dans un chemin de traverse, celui du territoire yiddish.
Vous voilà plongés dans l’incroyable vivacité de cette musique d’Europe de l’Est qui ne cesse de se renouveler. Au détour d’un chemin, c’est Ravel qui fait miroiter ses effets de couleurs dans Kaddish, une prière pour les morts. Puis vous rencontrez l’argentin Golijov qui met en musique Les rêves et les prières d’Isaac l’aveugle, animé par l’incandescence de son quintette. Voyez comme la musique klezmer avive la flamme de la création contemporaine !
La pérégrination se termine dans les accents tziganes et le panache d’une grande fête orchestrée par le compositeur russo-canadien Ichmouratov. Qui a dit que cette journée allait être ordinaire ?
En partenariat avec l’Opéra de Rouen Normandie
Avec :
Naaman Sluchin, Elena Pease, violons
Patrick Dussart, alto
Hélène Latour, violoncelle
Lucas Dietsch, clarinette
Au programme :
Airat Ichmouratov, One Day Almost Ordinary Life pour clarinette et quatuor à cordes
Osvaldo Golijov, Quintette pour clarinette et cordes
Maurice Ravel, Kaddish, arrangement pour quatuor à cordes
Date(s)
- 17 décembre 2022
Tarif(s)
Gratuit

© Alexandre Sauvaire
En écho à l’exposition « Météorologiques », et spécialement conçu pour dialoguer avec les œuvres que nous présentons, la pianiste Pascale Berthelot nous propose un programme autour des Triadic Memories de Morton Feldman, qu’elle introduira par quelques préludes de Claude Debussy.
Claude Debussy qui disait :
« N’écoute les conseils de personne, sinon du vent qui passe et nous raconte les histoires du monde. »
Alors, mettons nos sens en éveil pour se laisser bercer, absorber par quelques météores et leurs traductions picturales, sonores… à l’occasion de ce concert qui pourra s’écouter allongé, en balade… Bref, un moment sensible de liberté !
Durée : 2 heures
Première Partie : Préludes de Claude Debussy / 20min. environ
Deuxième Partie : Triadic Memories de Morton Feldman / 1h30 environ
Pendant cette seconde partie, chacun sera libre de rester assis ou bien de s'allonger, déambuler dans l'exposition, lire un livre...
Présentation détaillée de l’artiste :
« Pascale Berthelot est une musicienne d’une sensibilité, et je devrai dire ; d’une sensitivité hors du commun. La musique est pour elle une expérience de l’esprit et du corps, une transcendance de chaque jour ». (Gérard Pesson, compositeur)
Diplômée du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Lyon dans les classes de piano, interprétation et analyse du répertoire XX-XXI ème siècle et pédagogie et de l’institut de formation et de recherche en art-thérapie Profac, Pascale Berthelot est pianiste concertiste, improvisatrice et compositrice, pédagogue et art-thérapeute certifiée, agréée Art-Thérapie Contemporaine et membre de la Société Française de psychopathologie de l’expression et d’art-thérapie. Elle a étudié principalement la musique avec Bernard Flavigny (disciple d’Alfred Cortot et de Serge Koussevitzky), Eric Heidsieck et Claude Helffer. Elle a été boursière du centre Acanthes et lauréate de la fondation Giorgio Cini – Archivio Luigi Nono (Venise).
Invitée deux années à vivre à la Villa Medicis aux côtés de Daniel À. D’adamo – Académie de France à Rome – juste après ses études supérieures musicales, elle initie dès lors des rencontres avec des artistes reconnus de différents médiums. Ce fil lumineux, tissé de nombreuses collaborations, lui permet d’associer des œuvres du répertoire de musique ancienne, classique, romantique ou moderne à la création contemporaine et aux pratiques expérimentales et improvisées. Due à cette versatilité d’esthétiques, de ressources et de moyens, son approche de l’improvisation peut être perçue comme une recherche sonore, en faveur d’une surprenante et subtile indétermination qui peut s’entendre comme un processus de clarification et de libération du son. En tant que soliste ou en formations de chambre, elle a fait entre autres la création d’œuvres pour piano solo ou piano et ensemble d’Ivan Fedele, Roger Reynolds, Tim Hodgkinson, Daniel D’Adamo, Chris Newmann, Michael Pinter, Klaus Huber, Jennifer Walshe, Michaël Maierhoff, Hauke Harder, Daniele Venturi, Loïc Guénin, Gérard Pesson… Elle a collaboré avec la compagnie de danse de Benjamin Millepieds LA Dance project et Laurent Pichaud ( X-Sud et Laboratoires d’Aubervillier), avec des artistes plasticiens comme Marie Denis, Jean-luc Moulène, Isa Melsheimer, Michael Raedecker, Eberhard Ross et a joué au sein d’installations hybrides du collectif Berlinois LOSE COMBO, mêlant performance, concert, son, lumière et vidéo dans des espaces temporels délimités singulièrement.
Elle a enregistré pour Sony et Mode Records et est actuellement directrice artistique de la collection Cuicatl dédiée aux musiques contemporaines et expérimentales pour le label La Buissonne de Gérard de Haro diffusé par ECM records, récompensée par l’Académie Charles Cros et saluée internationalement par la critique. Depuis 2004, Pascale Berthelot s’est engagée pour le soutien de la fondation Kantha Bopha au bénéfice des hôpitaux pédiatriques de Phnom Penh et Siem Reap au Cambodge.
https://pascaleberthelot.com
Concert initialement prévu dans le cadre du Festival Piano is not dead
http://pianoisnotdead.fr
Avec la collaboration de Pour les oiseaux
https://pourlesoiseaux.fr
Claude Debussy qui disait :
« N’écoute les conseils de personne, sinon du vent qui passe et nous raconte les histoires du monde. »
Alors, mettons nos sens en éveil pour se laisser bercer, absorber par quelques météores et leurs traductions picturales, sonores… à l’occasion de ce concert qui pourra s’écouter allongé, en balade… Bref, un moment sensible de liberté !
Durée : 2 heures
Première Partie : Préludes de Claude Debussy / 20min. environ
Deuxième Partie : Triadic Memories de Morton Feldman / 1h30 environ
Pendant cette seconde partie, chacun sera libre de rester assis ou bien de s'allonger, déambuler dans l'exposition, lire un livre...
Présentation détaillée de l’artiste :
« Pascale Berthelot est une musicienne d’une sensibilité, et je devrai dire ; d’une sensitivité hors du commun. La musique est pour elle une expérience de l’esprit et du corps, une transcendance de chaque jour ». (Gérard Pesson, compositeur)
Diplômée du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Lyon dans les classes de piano, interprétation et analyse du répertoire XX-XXI ème siècle et pédagogie et de l’institut de formation et de recherche en art-thérapie Profac, Pascale Berthelot est pianiste concertiste, improvisatrice et compositrice, pédagogue et art-thérapeute certifiée, agréée Art-Thérapie Contemporaine et membre de la Société Française de psychopathologie de l’expression et d’art-thérapie. Elle a étudié principalement la musique avec Bernard Flavigny (disciple d’Alfred Cortot et de Serge Koussevitzky), Eric Heidsieck et Claude Helffer. Elle a été boursière du centre Acanthes et lauréate de la fondation Giorgio Cini – Archivio Luigi Nono (Venise).
Invitée deux années à vivre à la Villa Medicis aux côtés de Daniel À. D’adamo – Académie de France à Rome – juste après ses études supérieures musicales, elle initie dès lors des rencontres avec des artistes reconnus de différents médiums. Ce fil lumineux, tissé de nombreuses collaborations, lui permet d’associer des œuvres du répertoire de musique ancienne, classique, romantique ou moderne à la création contemporaine et aux pratiques expérimentales et improvisées. Due à cette versatilité d’esthétiques, de ressources et de moyens, son approche de l’improvisation peut être perçue comme une recherche sonore, en faveur d’une surprenante et subtile indétermination qui peut s’entendre comme un processus de clarification et de libération du son. En tant que soliste ou en formations de chambre, elle a fait entre autres la création d’œuvres pour piano solo ou piano et ensemble d’Ivan Fedele, Roger Reynolds, Tim Hodgkinson, Daniel D’Adamo, Chris Newmann, Michael Pinter, Klaus Huber, Jennifer Walshe, Michaël Maierhoff, Hauke Harder, Daniele Venturi, Loïc Guénin, Gérard Pesson… Elle a collaboré avec la compagnie de danse de Benjamin Millepieds LA Dance project et Laurent Pichaud ( X-Sud et Laboratoires d’Aubervillier), avec des artistes plasticiens comme Marie Denis, Jean-luc Moulène, Isa Melsheimer, Michael Raedecker, Eberhard Ross et a joué au sein d’installations hybrides du collectif Berlinois LOSE COMBO, mêlant performance, concert, son, lumière et vidéo dans des espaces temporels délimités singulièrement.
Elle a enregistré pour Sony et Mode Records et est actuellement directrice artistique de la collection Cuicatl dédiée aux musiques contemporaines et expérimentales pour le label La Buissonne de Gérard de Haro diffusé par ECM records, récompensée par l’Académie Charles Cros et saluée internationalement par la critique. Depuis 2004, Pascale Berthelot s’est engagée pour le soutien de la fondation Kantha Bopha au bénéfice des hôpitaux pédiatriques de Phnom Penh et Siem Reap au Cambodge.
https://pascaleberthelot.com
Concert initialement prévu dans le cadre du Festival Piano is not dead
http://pianoisnotdead.fr
Avec la collaboration de Pour les oiseaux
https://pourlesoiseaux.fr
Date(s)
- 18 février 2023
Tarif(s)
Gratuit

Contes en musique. © Opéra de Rouen Normandie
- -
Retour en enfance avec des contes illustrés par des œuvres musicales pour hautbois et basson : une plongée dans l’enfance pour s’immerger dans la magie des notes et des mots.
Dans le très british Jack et le Haricot magique Jack et sa mère deviennent riches grâce à un fayot, dans le conte traditionnel La Petite Princesse ratonne c’est un rat qui cherche le mari le plus puissant pour sa fille, et dans l’histoire célèbre du vilain petit canard, celui-ci est mis à l’écart à cause de sa différence… quel enfant n’aime pas qu’on lui raconte des histoires ?
Avec
Jérôme Laborde
Fabrice Rousson (hautbois)
Batiste Arcaix (basson)
Marie-Hélène Garnier (comédienne)
Programme détaillé des contes mis en musique :
La Petite Princesse Ratonne, conte traditionnel
Le vilain petit canard, de Hans Christian Andersen
Jack et le Haricot Magique, conte populaire anglais
Dans le très british Jack et le Haricot magique Jack et sa mère deviennent riches grâce à un fayot, dans le conte traditionnel La Petite Princesse ratonne c’est un rat qui cherche le mari le plus puissant pour sa fille, et dans l’histoire célèbre du vilain petit canard, celui-ci est mis à l’écart à cause de sa différence… quel enfant n’aime pas qu’on lui raconte des histoires ?
Avec
Jérôme Laborde
Fabrice Rousson (hautbois)
Batiste Arcaix (basson)
Marie-Hélène Garnier (comédienne)
Programme détaillé des contes mis en musique :
La Petite Princesse Ratonne, conte traditionnel
Le vilain petit canard, de Hans Christian Andersen
Jack et le Haricot Magique, conte populaire anglais
Date(s)
- 09 avril 2022
Tarif(s)
Gratuit
Sur inscription : https://affluences.com/muma-musee-dart-moderne-andre-malraux/reservation
(catégorie « Concert »)
A partir de 6 ans
(catégorie « Concert »)
A partir de 6 ans

Depuis 2013, le MuMa propose de façon systématique pour chacune de ses expositions temporaires, des visites commentées traduites en Langue des Signes Française. Une médiatrice du MuMa, accompagnée d’une interprète LSF, vous accompagne à cette occasion, à la découverte des œuvres présentées, dans un esprit d’échange et de dialogue
Date(s)
- 24 août 2021
Tarif(s)
Gratuit
Jauge limitée à 5 personnes (sous réserve de l’évolution de la situation sanitaire)
Le rendez-vous pour la visite en LSF se fait à l'accueil du musée.
Le rendez-vous pour la visite en LSF se fait à l'accueil du musée.

. © Light cone
- -
Amputée de la presque totalité de ses séances, la saison MuMaBoX 2020-2021 aura subi de plein fouet les conséquences de la crise sanitaire. Mais nous ne pouvions pas en rester là ! Le MuMa vous propose donc, sous la forme d’un mini-festival, 5 des 7 séances annulées, pour enfin en profiter !
Divine Horsemen, The Living Gods of Haïti
Le film montre les rites de trois cultes haïtiens : Rada, Petro et Congo, dont l’origine est africaine. Ces rites mettent en scène des sacrifices (poulets, chèvres) et des transes.
Dans la préface de Divine Horsemen, Maya Deren écrit : « Cette disposition des objets liée à mon projet haïtien initial est, pour moi, le tribut le plus éloquent de l’irréfutable réalité et de l’impact de la mythologie Vaudou. J’avais entamé ce projet comme une artiste ; comme quelqu’un qui transformerait les éléments d’une réalité en une oeuvre d’art en regard de mon intégrité créatrice, et je termine par l’enregistrement le plus humble et le plus précis que je puisse faire d’une logique, d’une réalité qui m’a forcée à reconnaître son intégrité et m’a fait abandonner mes manipulations. »
Programme :
Maya Deren, Divine Horsemen, 1951-1977, 55’00
Divine Horsemen, The Living Gods of Haïti
Le film montre les rites de trois cultes haïtiens : Rada, Petro et Congo, dont l’origine est africaine. Ces rites mettent en scène des sacrifices (poulets, chèvres) et des transes.
Dans la préface de Divine Horsemen, Maya Deren écrit : « Cette disposition des objets liée à mon projet haïtien initial est, pour moi, le tribut le plus éloquent de l’irréfutable réalité et de l’impact de la mythologie Vaudou. J’avais entamé ce projet comme une artiste ; comme quelqu’un qui transformerait les éléments d’une réalité en une oeuvre d’art en regard de mon intégrité créatrice, et je termine par l’enregistrement le plus humble et le plus précis que je puisse faire d’une logique, d’une réalité qui m’a forcée à reconnaître son intégrité et m’a fait abandonner mes manipulations. »
Programme :
Maya Deren, Divine Horsemen, 1951-1977, 55’00
Date(s)
- 09 septembre 2021
Tarif(s)
Gratuit
Entrée libre, rendez-vous à l’accueil du musée
Nombre de places disponibles : fonction des jauges applicables à la date de l’événement.
Port du masque obligatoire
Nombre de places disponibles : fonction des jauges applicables à la date de l’événement.
Port du masque obligatoire

. © Arianne Olthaar
- -
Amputée de la presque totalité de ses séances, la saison MuMaBoX 2020-2021 aura subi de plein fouet les conséquences de la crise sanitaire. Mais nous ne pouvions pas en rester là ! Le MuMa vous propose donc, sous la forme d’un mini-festival, 5 des 7 séances annulées, pour enfin en profiter !
Nocturama
En écho à l’exposition Nuits électriques s’étant tenue au MuMa du 3 juillet au 1er novembre 2020
Des Nuits électriques de Berlin, Londres et Prague, filmées en 1928 par Eugène Deslaw à l’aube glauque des sinistres banlieues saisies par Thomas Köner, Nocturama se déroule comme autant de visions de la nuit urbaine.
Usines de la zone industrielle de Montréal, train suspendu – celui d’Alice dans les Villes, enseignes lumineuses de Tokyo ou de San Francisco, rues désertes de l’East End londonien participent à ce spectacle nocturne où les lumières électriques recomposent l’espace urbain : la ville se métamorphose, se faisant tour à tour stimulante, inquiétante, inspirante.
Programme :
Emilie Serri, À l’est des vents, 2009, 6’06
Richard Tuohy, Ginza strip, 2014, 9’00
Paul Clipson, Chorus, 2009, 7’00
Eugène Deslaw, Nuits électriques, 1928, 13’00
Arianne Olthaar, Schwebebahn, 2016, 3’38
Théodora Barat, Or anything at all except the dark pavement, 2011, 5’00
Emily Richardson, Nocturne, 2002, 5’00
Thomas Köner, Suburbs of the void, 2004, 13’00
Nocturama
En écho à l’exposition Nuits électriques s’étant tenue au MuMa du 3 juillet au 1er novembre 2020
Des Nuits électriques de Berlin, Londres et Prague, filmées en 1928 par Eugène Deslaw à l’aube glauque des sinistres banlieues saisies par Thomas Köner, Nocturama se déroule comme autant de visions de la nuit urbaine.
Usines de la zone industrielle de Montréal, train suspendu – celui d’Alice dans les Villes, enseignes lumineuses de Tokyo ou de San Francisco, rues désertes de l’East End londonien participent à ce spectacle nocturne où les lumières électriques recomposent l’espace urbain : la ville se métamorphose, se faisant tour à tour stimulante, inquiétante, inspirante.
Programme :
Emilie Serri, À l’est des vents, 2009, 6’06
Richard Tuohy, Ginza strip, 2014, 9’00
Paul Clipson, Chorus, 2009, 7’00
Eugène Deslaw, Nuits électriques, 1928, 13’00
Arianne Olthaar, Schwebebahn, 2016, 3’38
Théodora Barat, Or anything at all except the dark pavement, 2011, 5’00
Emily Richardson, Nocturne, 2002, 5’00
Thomas Köner, Suburbs of the void, 2004, 13’00
Date(s)
- 08 septembre 2021
Tarif(s)
Gratuit
Entrée libre, rendez-vous à l’accueil du musée
Nombre de places disponibles : fonction des jauges applicables à la date de l’événement.
Port du masque obligatoire
Nombre de places disponibles : fonction des jauges applicables à la date de l’événement.
Port du masque obligatoire