LECTURE

Français
Eugène BOUDIN (1824-1898), Etude de ciel sur le bassin d’un port (Le Havre), 1888-1895, huile sur bois, 27 x 41 cm. Le Havre, musée d’art moderne André Malraux. © MuMa Le Havre / David Fogel
Eugène BOUDIN (1824-1898), Etude de ciel sur le bassin d’un port (Le Havre), 1888-1895, huile sur bois, 27 x 41 cm. Le Havre, musée d’art moderne André Malraux. © MuMa Le Havre / David Fogel
  • -

A l’invitation du MuMa, Corinne Belet, comédienne et médiatrice littéraire, vous a concocté une visite de l’exposition Impression(s), soleil en forme de balade littéraire.

D’œuvre en œuvre, laissez-vous porter par les mots d’Eugène Boudin, de Mahmoud Darwich, d'Alfred de Vigny, de Virginia Woolf et bien d’autres encore… Des mots sélectionnés avec soin en collaboration avec l’équipe du MuMa pour vous accompagner au Levant ou au Ponant.
Eugène BOUDIN (1824-1898), Le Havre, l'avant-port au soleil couchant, 1882, huile sur toile, 54 x 74 cm. . © Collection particulière / Tornow
Eugène BOUDIN (1824-1898), Le Havre, l'avant-port au soleil couchant, 1882, huile sur toile, 54 x 74 cm. . © Collection particulière / Tornow
  • -

A l’invitation du MuMa, Corinne Belet, comédienne et médiatrice littéraire, vous a concocté une visite de l’exposition Impression(s), soleil en forme de balade littéraire.

D’œuvre en œuvre, laissez-vous porter par les mots d’Eugène Boudin, de Mahmoud Darwich, d'Alfred de Vigny, de Virginia Woolf et bien d’autres encore… Des mots sélectionnés avec soin en collaboration avec l’équipe du MuMa pour vous accompagner au Levant ou au Ponant.
Honoré DAUMIER (1808-1879), Eh! bien en regardant ce tableau de près on finit par y découvrir des qualités, on voit que la couleur est bonne, 1865, dessin. Marseille. Ville de Marseille
Honoré DAUMIER (1808-1879), Eh! bien en regardant ce tableau de près on finit par y découvrir des qualités, on voit que la couleur est bonne, 1865, dessin. Marseille. Ville de Marseille
  • -

A l’occasion du Week-end Télérama, le MuMa vous propose des visites à deux voix qui rythmeront votre découverte du musée. Laissez-vous accompagner par un comédien et une médiatrice, et par ce qu’ils vous raconteront de l’impressionnisme.
Si aujourd’hui la peinture impressionniste fait assez largement l’unanimité, il est intéressant de se rappeler que les artistes de ce mouvement n’ont pas toujours joui d’un tel engouement, notamment à leurs débuts. Grâce à ces visites, replongeons-nous dans la critique d’art de la fin du XIXe siècle, entre plumes acerbes et discours élogieux.

Rendez-vous à l’accueil du musée
Gratuit sur présentation du pass Week-end Musées Télérama ou sur présentation du billet d’entrée
Honoré DAUMIER (1808-1879), Eh! bien en regardant ce tableau de près on finit par y découvrir des qualités, on voit que la couleur est bonne, 1865, dessin. Marseille. Ville de Marseille
Honoré DAUMIER (1808-1879), Eh! bien en regardant ce tableau de près on finit par y découvrir des qualités, on voit que la couleur est bonne, 1865, dessin. Marseille. Ville de Marseille
  • -

A l’occasion du Week-end Télérama, le MuMa vous propose des visites à deux voix qui rythmeront votre découverte du musée. Laissez-vous accompagner par un comédien et une médiatrice, et par ce qu’ils vous raconteront de l’impressionnisme.
Si aujourd’hui la peinture impressionniste fait assez largement l’unanimité, il est intéressant de se rappeler que les artistes de ce mouvement n’ont pas toujours joui d’un tel engouement, notamment à leurs débuts. Grâce à ces visites, replongeons-nous dans la critique d’art de la fin du XIXe siècle, entre plumes acerbes et discours élogieux.

Rendez-vous à l’accueil du musée
Gratuit sur présentation du pass Week-end Musées Télérama ou sur présentation du billet d’entrée
Honoré DAUMIER (1808-1879), Eh! bien en regardant ce tableau de près on finit par y découvrir des qualités, on voit que la couleur est bonne, 1865, dessin. Marseille. Ville de Marseille
Honoré DAUMIER (1808-1879), Eh! bien en regardant ce tableau de près on finit par y découvrir des qualités, on voit que la couleur est bonne, 1865, dessin. Marseille. Ville de Marseille
  • -

A l’occasion du Week-end Télérama, le MuMa vous propose des visites à deux voix qui rythmeront votre découverte du musée. Laissez-vous accompagner par un comédien et une médiatrice, et par ce qu’ils vous raconteront de l’impressionnisme.
Si aujourd’hui la peinture impressionniste fait assez largement l’unanimité, il est intéressant de se rappeler que les artistes de ce mouvement n’ont pas toujours joui d’un tel engouement, notamment à leurs débuts. Grâce à ces visites, replongeons-nous dans la critique d’art de la fin du XIXe siècle, entre plumes acerbes et discours élogieux.

Rendez-vous à l’accueil du musée
Gratuit sur présentation du pass Week-end Musées Télérama ou sur présentation du billet d’entrée
Honoré DAUMIER (1808-1879), Eh! bien en regardant ce tableau de près on finit par y découvrir des qualités, on voit que la couleur est bonne, 1865, dessin. Marseille. Ville de Marseille
Honoré DAUMIER (1808-1879), Eh! bien en regardant ce tableau de près on finit par y découvrir des qualités, on voit que la couleur est bonne, 1865, dessin. Marseille. Ville de Marseille
  • -

A l’occasion du Week-end Télérama, le MuMa vous propose des visites à deux voix qui rythmeront votre découverte du musée. Laissez-vous accompagner par un comédien et une médiatrice, et par ce qu’ils vous raconteront de l’impressionnisme.
Si aujourd’hui la peinture impressionniste fait assez largement l’unanimité, il est intéressant de se rappeler que les artistes de ce mouvement n’ont pas toujours joui d’un tel engouement, notamment à leurs débuts. Grâce à ces visites, replongeons-nous dans la critique d’art de la fin du XIXe siècle, entre plumes acerbes et discours élogieux.

Rendez-vous à l’accueil du musée
Gratuit sur présentation du pass Week-end Musées Télérama ou sur présentation du billet d’entrée
Eugène BOUDIN (1824-1898), La Place Saint-Marc à Venise vue du Grand Canal, 1895, huile sur toile, 50,2 x 74,2 cm. © MuMa Le Havre / Florian Kleinefenn
Eugène BOUDIN (1824-1898), La Place Saint-Marc à Venise vue du Grand Canal, 1895, huile sur toile, 50,2 x 74,2 cm. © MuMa Le Havre / Florian Kleinefenn
  • -

Comme chaque année, le MuMa ouvre ses portes gratuitement à l’occasion des journées européennes du patrimoine. Le musée vous proposera cette fois-ci un ensemble de lectures et d’ateliers autour de la figure d’Eugène Boudin, pour mieux découvrir sa peinture, sa correspondance, et l’homme !
Elena Pease. © David Morganti
Elena Pease. © David Morganti
  • -

Si ce concert propose quatuor et septuor, c’est un trio qu’il faut ici présenter, celui du dramaturge Bertolt Brecht et des musiciens Hanns Eisler et Kurt Weill. Une même sensibilité politique unit ces trois hommes aux destins parallèles et chargés d’exils. Après les succès des années vingt, si l’on songe à l’Opéra de Quat’sous, la fuite du nazisme entraînera nos artistes dans un long périple avec arrêt prolongé aux États-Unis. Arrêt définitif pour Kurt Weill qui meurt à New-York en 1950 mais nouvel exil pour Brecht et Eisler, chassés après la guerre par le maccarthysme qui les réexpédie en Allemagne. Les musiciens de l’Orchestre nous font découvrir la trop rare musique de chambre de ces compositeurs portés vers le théâtre, et l’accompagnent de textes de Brecht.
 
Au programme :
Hanns Eisler, Septuor n°1
Hanns Eisler, Septuor n°2 « Circus »
Kurt Weill, Quatuor à cordes
Et lecture de textes de Bertolt Brecht
 
Avec : Tristan Benveniste, Elena Pease (Violons), Stéphanie Lalizet (Alto), Hélène Latour (Violoncelle), Kouchyar Shahroudi (Flûte), Naoko Yoshimura (Clarinette), Batiste Arcaix (Basson) et Claire Chauffour (Récitante)
En partenariat avec l’Opéra de Rouen Normandie
Florent Audibert au violoncelle. © Rouen, Opéra
Florent Audibert au violoncelle. © Rouen, Opéra
  • -

Musique de Ravel, Faivre, Bach, Glière
Poèmes de Bertrand, Baudelaire, Verlaine, Laforgue, Michaux
Avec Hélène Bordeaux au violon, Florent Audibert au violoncelle et Erick Denis, récitant
En partenariat avec l’Opéra de Rouen Haute-Normandie

La poésie fut dès l’origine associée à la lyre ; d’abord accompagnée, elle s’émancipa peu à peu de la musique à mesure qu’elle passait de l’oralité à l’écrit.
Le lied, qui ne se confond pas avec la chanson dont l’esthétique populaire a ses règles propres, est une retrouvaille a posteriori entre les deux.
Des musiciens s’inspirèrent des poètes mais la prosodie du vers, lorsqu’elle se pliait à la mesure et à l’accord, perdait souvent en naturel et en intelligibilité et parfois même en émotion.
C’est peut-être le cinéma ou la radio qui, superposant la musique à la voix par montage, réussirent les plus bouleversantes rencontres entre les deux.

Ce projet se veut une expérience vivante qui rapproche de manière improbable ou anachronique des notes et des mots, associations dont le récitant et les deux musiciens ont aimé les échos, par alternance ou superposition.
Ce choix très éclectique de textes et de compositions s’est néanmoins construit naturellement autour d’un parcours que jalonnent les plus universelles expériences humaines, de la naissance à la mort.

Pages