Événement

Pour le dernier week-end de son exposition « Photographier en Normandie », le MuMa vous invite à explorer le champ de la photographie ancienne de différentes manières : visites « focus », atelier portrait au collodion humide et autres activités composeront un programme riche et participatif !
Programme détaillé à venir
Programme détaillé à venir
Date(s)
- du 21 septembre 2024 au 22 septembre 2024
Tarif(s)
Gratuit
Gratuit
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur

Comme à son habitude, le MuMa ouvre ses portes à l’occasion des Journées européennes du Patrimoine, permettant à tous de profiter de la gratuité pour découvrir l’exposition temporaire du moment et/ou pour redécouvrir ses collections permanentes.
Un certain nombre de visites seront proposées tout au long du week-end sur le thème du patrimoine vivant – fil conducteur de cette édition 2023, ainsi qu’autour de l’exposition Marquet en Normandie.
Dans les pas de Marquet
L’équipe du MuMa proposera tout au long du week-end de courtes visites « focus » pour vous faire découvrir ou redécouvrir tel ou tel aspect de l’œuvre du peintre. Au programme, une virée à Paris, une autre du côté d’Alger, et une mise en lumière du traitement des personnages dans sa peinture…
Le samedi à 14h, 14h30, 15h, 15h30, 16h, 16h30, 17h, 17h30 et 18h
Le dimanche à 11h15, 11h45, 12h15, 14h, 14h30, 15h, 15h30, 16h, 16h30, 17h, 17h30 et 18h
Rdv à l’accueil, inscription sur place le jour J
Les thèmes proposés :
Un certain nombre de visites seront proposées tout au long du week-end sur le thème du patrimoine vivant – fil conducteur de cette édition 2023, ainsi qu’autour de l’exposition Marquet en Normandie.
Dans les pas de Marquet
L’équipe du MuMa proposera tout au long du week-end de courtes visites « focus » pour vous faire découvrir ou redécouvrir tel ou tel aspect de l’œuvre du peintre. Au programme, une virée à Paris, une autre du côté d’Alger, et une mise en lumière du traitement des personnages dans sa peinture…
Le samedi à 14h, 14h30, 15h, 15h30, 16h, 16h30, 17h, 17h30 et 18h
Le dimanche à 11h15, 11h45, 12h15, 14h, 14h30, 15h, 15h30, 16h, 16h30, 17h, 17h30 et 18h
Rdv à l’accueil, inscription sur place le jour J
Les thèmes proposés :
- Des quais et des passants !
- La Méditerranée du Nord au Sud
- Un Bordelais à Paris
Date(s)
- du 16 septembre 2023 au 17 septembre 2023
Tarif(s)
Gratuit
Rendez-vous à l’accueil du musée
Inscription sur place pour les visites
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur
Inscription sur place pour les visites
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur

Atelier lors de la manifestation havraise "La Fête de la Mer"
A l’occasion de la Fête de la mer, le MuMa sera présent sur site à Saint-François pour un atelier « non-stop », le samedi de 14h à 19h et le dimanche de 10h à 18h.
Cette année, le MuMa confie l’atelier à Isabelle Bianchini, plasticienne et enseignante.
Inspirée par les paysages portuaires d’Albert Marquet, elle proposera aux participants de réinterpréter Le Havre d’aujourd’hui à la façon du peintre, mais avec d’autres techniques, notamment celle du collage. Les participants repartiront avec leur création !
Dessin, collage, papiers colorés, masking tape…
Cette année, le MuMa confie l’atelier à Isabelle Bianchini, plasticienne et enseignante.
Inspirée par les paysages portuaires d’Albert Marquet, elle proposera aux participants de réinterpréter Le Havre d’aujourd’hui à la façon du peintre, mais avec d’autres techniques, notamment celle du collage. Les participants repartiront avec leur création !
Dessin, collage, papiers colorés, masking tape…
Date(s)
- du 02 septembre 2023 au 03 septembre 2023
Tarif(s)
Gratuit
Rendez-vous sur le stand du MuMa dans le quartier Saint François au Havre
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur

Attendez-moi © Etienne Cuppens
Attendez-moi !
Solo pour Zouzou
Pendant le second confinement, le MuMa décidait de laisser ses espaces à disposition d’artistes pour continuer de faire vivre le musée.
C’est dans ce contexte que nous avons accueilli la BaZooKa pour un moment de travail complètement libre. Dans l’instant, nous ne savions pas que cette résidence aboutirait à un spectacle. Mais c’est bien ce qui arrive aujourd’hui. De cette période compliquée pour un lieu public, parce que vidé de ses visiteurs, est née une performance, que nous sommes heureux de vous présenter, là d’où elle a émergé !
Extraits de différents dossiers de présentation du spectacle :
1-
« Zouzou, elle au moins, elle serait juste ! Parce qu’elle serait détachée de tout jugement, elle ferait ce qu’elle sent, elle en aurait rien à foutre du public, de... qui regarde, ce que les autres pensent. Elle ne chercherait pas à impressionner, elle s’en foutrait qu’on la respecte, elle ferait sa vie. Oui, Zouzou, ce serait vraiment l’interprète parfaite, l’être le plus abandonné et le plus incarné en même temps. »
Est-ce que revivre ses souvenirs d’enfance peut créer une danse ?
Raviver des sensations solaires comme autant de pages d’un journal intime. Laisser remonter à la surface une danse enfouie dans les profondeurs d’une nappe phréatique qui ne demandait qu’à être réveillée.
Une danse légère qu’on pourrait avoir dans les jambes, comme ça, sans force, jusqu’à la fin de sa vie…
2-
Attendez-moi
Tout a commencé au MuMa alors que le musée est fermé au public pendant le deuxième confinement.
L’expo temporaire est accrochée, aucun visiteur pour en profiter et lui répondre.
Seule la lumière qui trace sa course, transforme les volumes du musée, augmente ou réduit les ombres dans un déplacement invisible et implacable.
Pas vraiment de silence tant la soufflerie du musée est bruyante, mais un calme vraiment particulier.
L’espace vierge.
Un appel à la transgression.
Glisser dans cet espace sur des rollers est la première idée qui vient. Fendre l’air, nue. S’emparer d’une liberté bridée par les contraintes de la pandémie. Reprendre son souffle comme après une apnée prolongée.
Le nom de l’exposition « Voyage d’Hiver » a immédiatement ravivé le souvenir de ma confrontation à la neige, la montagne, le ski… une horreur. J’avais 5 ans.
Je suis partie de cet épisode puis j’ai remonté le fil vers des souvenirs plus anciens. J’y ai trouvé l’insouciance, la nature, les promenades avec les animaux, des champs immenses pour une petite fille qui passait ses journées à faire des expériences physiques simples et captivantes, les sens ouverts. La liberté.
Il s’est dégagé de ce cheminement un langage tout nouveau pour moi, un corps libre, alerte, détendu, solaire, plein.
Paradoxalement, ce langage qui m’apparaît comme nouveau semble en réalité être mon premier langage, le plus profondément ancré, ma nappe phréatique.
Une danse première que j’espère danser encore longtemps.
Conception et réalisation : La BaZooKa, Sarah Crépin & Etienne Cuppens
Interprétation : Sarah Crépin
Musiques : Paisaje Cubano Con Rumba (Leo Brouwer), Elf dance (Moondog), Für Fritz (Moondog), Tout l’Amour (A. Salvet/B. Botkin/G. Garfield/G. Bertret/P. Murtagh).
Production et diffusion : Emilie Podevin
Administration : Diane Ribouillard
Communication : Louise Lorieux
Production : La BaZooKa
Résidences : MuMa, Musée d’art Moderne du Havre
Remerciements : Le Phare, Centre Chorégraphique National du Havre-Normandie (dir. Emmanuelle Vo-Dinh) / Kiddam Riidim Collectif 1.6
La BaZooKa est conventionnée pour l’ensemble de son projet artistique par la Ville du Havre, la Région Normandie & le Ministère de la Culture (DRAC Normandie).
Solo pour Zouzou
Pendant le second confinement, le MuMa décidait de laisser ses espaces à disposition d’artistes pour continuer de faire vivre le musée.
C’est dans ce contexte que nous avons accueilli la BaZooKa pour un moment de travail complètement libre. Dans l’instant, nous ne savions pas que cette résidence aboutirait à un spectacle. Mais c’est bien ce qui arrive aujourd’hui. De cette période compliquée pour un lieu public, parce que vidé de ses visiteurs, est née une performance, que nous sommes heureux de vous présenter, là d’où elle a émergé !
Extraits de différents dossiers de présentation du spectacle :

Attendez-moi © Alban Van Wassenhove
« Zouzou, elle au moins, elle serait juste ! Parce qu’elle serait détachée de tout jugement, elle ferait ce qu’elle sent, elle en aurait rien à foutre du public, de... qui regarde, ce que les autres pensent. Elle ne chercherait pas à impressionner, elle s’en foutrait qu’on la respecte, elle ferait sa vie. Oui, Zouzou, ce serait vraiment l’interprète parfaite, l’être le plus abandonné et le plus incarné en même temps. »
Est-ce que revivre ses souvenirs d’enfance peut créer une danse ?
Raviver des sensations solaires comme autant de pages d’un journal intime. Laisser remonter à la surface une danse enfouie dans les profondeurs d’une nappe phréatique qui ne demandait qu’à être réveillée.
Une danse légère qu’on pourrait avoir dans les jambes, comme ça, sans force, jusqu’à la fin de sa vie…

Attendez-moi © Etienne Cuppens
Attendez-moi
Tout a commencé au MuMa alors que le musée est fermé au public pendant le deuxième confinement.
L’expo temporaire est accrochée, aucun visiteur pour en profiter et lui répondre.
Seule la lumière qui trace sa course, transforme les volumes du musée, augmente ou réduit les ombres dans un déplacement invisible et implacable.
Pas vraiment de silence tant la soufflerie du musée est bruyante, mais un calme vraiment particulier.
L’espace vierge.
Un appel à la transgression.
Glisser dans cet espace sur des rollers est la première idée qui vient. Fendre l’air, nue. S’emparer d’une liberté bridée par les contraintes de la pandémie. Reprendre son souffle comme après une apnée prolongée.
Le nom de l’exposition « Voyage d’Hiver » a immédiatement ravivé le souvenir de ma confrontation à la neige, la montagne, le ski… une horreur. J’avais 5 ans.
Je suis partie de cet épisode puis j’ai remonté le fil vers des souvenirs plus anciens. J’y ai trouvé l’insouciance, la nature, les promenades avec les animaux, des champs immenses pour une petite fille qui passait ses journées à faire des expériences physiques simples et captivantes, les sens ouverts. La liberté.
Il s’est dégagé de ce cheminement un langage tout nouveau pour moi, un corps libre, alerte, détendu, solaire, plein.
Paradoxalement, ce langage qui m’apparaît comme nouveau semble en réalité être mon premier langage, le plus profondément ancré, ma nappe phréatique.
Une danse première que j’espère danser encore longtemps.
Conception et réalisation : La BaZooKa, Sarah Crépin & Etienne Cuppens
Interprétation : Sarah Crépin
Musiques : Paisaje Cubano Con Rumba (Leo Brouwer), Elf dance (Moondog), Für Fritz (Moondog), Tout l’Amour (A. Salvet/B. Botkin/G. Garfield/G. Bertret/P. Murtagh).
Production et diffusion : Emilie Podevin
Administration : Diane Ribouillard
Communication : Louise Lorieux
Production : La BaZooKa
Résidences : MuMa, Musée d’art Moderne du Havre
Remerciements : Le Phare, Centre Chorégraphique National du Havre-Normandie (dir. Emmanuelle Vo-Dinh) / Kiddam Riidim Collectif 1.6
La BaZooKa est conventionnée pour l’ensemble de son projet artistique par la Ville du Havre, la Région Normandie & le Ministère de la Culture (DRAC Normandie).
Date(s)
- 29 janvier 2023
Tarif(s)
Gratuit
Sur réservation ici :
Vendredi 27 janvier 2023 à 18h / Complet
Samedi 28 janvier 2023 à 14h30 / Complet
Dimanche 29 janvier 2023 à 10h
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur
Vendredi 27 janvier 2023 à 18h / Complet
Samedi 28 janvier 2023 à 14h30 / Complet
Dimanche 29 janvier 2023 à 10h
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur

Attendez-moi © Etienne Cuppens
Attendez-moi !
Solo pour Zouzou
Pendant le second confinement, le MuMa décidait de laisser ses espaces à disposition d’artistes pour continuer de faire vivre le musée.
C’est dans ce contexte que nous avons accueilli la BaZooKa pour un moment de travail complètement libre. Dans l’instant, nous ne savions pas que cette résidence aboutirait à un spectacle. Mais c’est bien ce qui arrive aujourd’hui. De cette période compliquée pour un lieu public, parce que vidé de ses visiteurs, est née une performance, que nous sommes heureux de vous présenter, là d’où elle a émergé !
Extraits de différents dossiers de présentation du spectacle :
1-
« Zouzou, elle au moins, elle serait juste ! Parce qu’elle serait détachée de tout jugement, elle ferait ce qu’elle sent, elle en aurait rien à foutre du public, de... qui regarde, ce que les autres pensent. Elle ne chercherait pas à impressionner, elle s’en foutrait qu’on la respecte, elle ferait sa vie. Oui, Zouzou, ce serait vraiment l’interprète parfaite, l’être le plus abandonné et le plus incarné en même temps. »
Est-ce que revivre ses souvenirs d’enfance peut créer une danse ?
Raviver des sensations solaires comme autant de pages d’un journal intime. Laisser remonter à la surface une danse enfouie dans les profondeurs d’une nappe phréatique qui ne demandait qu’à être réveillée.
Une danse légère qu’on pourrait avoir dans les jambes, comme ça, sans force, jusqu’à la fin de sa vie…
2-
Attendez-moi
Tout a commencé au MuMa alors que le musée est fermé au public pendant le deuxième confinement.
L’expo temporaire est accrochée, aucun visiteur pour en profiter et lui répondre.
Seule la lumière qui trace sa course, transforme les volumes du musée, augmente ou réduit les ombres dans un déplacement invisible et implacable.
Pas vraiment de silence tant la soufflerie du musée est bruyante, mais un calme vraiment particulier.
L’espace vierge.
Un appel à la transgression.
Glisser dans cet espace sur des rollers est la première idée qui vient. Fendre l’air, nue. S’emparer d’une liberté bridée par les contraintes de la pandémie. Reprendre son souffle comme après une apnée prolongée.
Le nom de l’exposition « Voyage d’Hiver » a immédiatement ravivé le souvenir de ma confrontation à la neige, la montagne, le ski… une horreur. J’avais 5 ans.
Je suis partie de cet épisode puis j’ai remonté le fil vers des souvenirs plus anciens. J’y ai trouvé l’insouciance, la nature, les promenades avec les animaux, des champs immenses pour une petite fille qui passait ses journées à faire des expériences physiques simples et captivantes, les sens ouverts. La liberté.
Il s’est dégagé de ce cheminement un langage tout nouveau pour moi, un corps libre, alerte, détendu, solaire, plein.
Paradoxalement, ce langage qui m’apparaît comme nouveau semble en réalité être mon premier langage, le plus profondément ancré, ma nappe phréatique.
Une danse première que j’espère danser encore longtemps.
Conception et réalisation : La BaZooKa, Sarah Crépin & Etienne Cuppens
Interprétation : Sarah Crépin
Musiques : Paisaje Cubano Con Rumba (Leo Brouwer), Elf dance (Moondog), Für Fritz (Moondog), Tout l’Amour (A. Salvet/B. Botkin/G. Garfield/G. Bertret/P. Murtagh).
Production et diffusion : Emilie Podevin
Administration : Diane Ribouillard
Communication : Louise Lorieux
Production : La BaZooKa
Résidences : MuMa, Musée d’art Moderne du Havre
Remerciements : Le Phare, Centre Chorégraphique National du Havre-Normandie (dir. Emmanuelle Vo-Dinh) / Kiddam Riidim Collectif 1.6
La BaZooKa est conventionnée pour l’ensemble de son projet artistique par la Ville du Havre, la Région Normandie & le Ministère de la Culture (DRAC Normandie).
Solo pour Zouzou
Pendant le second confinement, le MuMa décidait de laisser ses espaces à disposition d’artistes pour continuer de faire vivre le musée.
C’est dans ce contexte que nous avons accueilli la BaZooKa pour un moment de travail complètement libre. Dans l’instant, nous ne savions pas que cette résidence aboutirait à un spectacle. Mais c’est bien ce qui arrive aujourd’hui. De cette période compliquée pour un lieu public, parce que vidé de ses visiteurs, est née une performance, que nous sommes heureux de vous présenter, là d’où elle a émergé !
Extraits de différents dossiers de présentation du spectacle :

Attendez-moi © Alban Van Wassenhove
« Zouzou, elle au moins, elle serait juste ! Parce qu’elle serait détachée de tout jugement, elle ferait ce qu’elle sent, elle en aurait rien à foutre du public, de... qui regarde, ce que les autres pensent. Elle ne chercherait pas à impressionner, elle s’en foutrait qu’on la respecte, elle ferait sa vie. Oui, Zouzou, ce serait vraiment l’interprète parfaite, l’être le plus abandonné et le plus incarné en même temps. »
Est-ce que revivre ses souvenirs d’enfance peut créer une danse ?
Raviver des sensations solaires comme autant de pages d’un journal intime. Laisser remonter à la surface une danse enfouie dans les profondeurs d’une nappe phréatique qui ne demandait qu’à être réveillée.
Une danse légère qu’on pourrait avoir dans les jambes, comme ça, sans force, jusqu’à la fin de sa vie…

Attendez-moi © Etienne Cuppens
Attendez-moi
Tout a commencé au MuMa alors que le musée est fermé au public pendant le deuxième confinement.
L’expo temporaire est accrochée, aucun visiteur pour en profiter et lui répondre.
Seule la lumière qui trace sa course, transforme les volumes du musée, augmente ou réduit les ombres dans un déplacement invisible et implacable.
Pas vraiment de silence tant la soufflerie du musée est bruyante, mais un calme vraiment particulier.
L’espace vierge.
Un appel à la transgression.
Glisser dans cet espace sur des rollers est la première idée qui vient. Fendre l’air, nue. S’emparer d’une liberté bridée par les contraintes de la pandémie. Reprendre son souffle comme après une apnée prolongée.
Le nom de l’exposition « Voyage d’Hiver » a immédiatement ravivé le souvenir de ma confrontation à la neige, la montagne, le ski… une horreur. J’avais 5 ans.
Je suis partie de cet épisode puis j’ai remonté le fil vers des souvenirs plus anciens. J’y ai trouvé l’insouciance, la nature, les promenades avec les animaux, des champs immenses pour une petite fille qui passait ses journées à faire des expériences physiques simples et captivantes, les sens ouverts. La liberté.
Il s’est dégagé de ce cheminement un langage tout nouveau pour moi, un corps libre, alerte, détendu, solaire, plein.
Paradoxalement, ce langage qui m’apparaît comme nouveau semble en réalité être mon premier langage, le plus profondément ancré, ma nappe phréatique.
Une danse première que j’espère danser encore longtemps.
Conception et réalisation : La BaZooKa, Sarah Crépin & Etienne Cuppens
Interprétation : Sarah Crépin
Musiques : Paisaje Cubano Con Rumba (Leo Brouwer), Elf dance (Moondog), Für Fritz (Moondog), Tout l’Amour (A. Salvet/B. Botkin/G. Garfield/G. Bertret/P. Murtagh).
Production et diffusion : Emilie Podevin
Administration : Diane Ribouillard
Communication : Louise Lorieux
Production : La BaZooKa
Résidences : MuMa, Musée d’art Moderne du Havre
Remerciements : Le Phare, Centre Chorégraphique National du Havre-Normandie (dir. Emmanuelle Vo-Dinh) / Kiddam Riidim Collectif 1.6
La BaZooKa est conventionnée pour l’ensemble de son projet artistique par la Ville du Havre, la Région Normandie & le Ministère de la Culture (DRAC Normandie).
Date(s)
- 28 janvier 2023
Tarif(s)
Gratuit
Sur réservation ici :
Vendredi 27 janvier 2023 à 18h / Complet
Samedi 28 janvier 2023 à 14h30 / Complet
Dimanche 29 janvier 2023 à 10h
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur
Vendredi 27 janvier 2023 à 18h / Complet
Samedi 28 janvier 2023 à 14h30 / Complet
Dimanche 29 janvier 2023 à 10h
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur

Attendez-moi © Etienne Cuppens
Attendez-moi !
Solo pour Zouzou
Pendant le second confinement, le MuMa décidait de laisser ses espaces à disposition d’artistes pour continuer de faire vivre le musée.
C’est dans ce contexte que nous avons accueilli la BaZooKa pour un moment de travail complètement libre. Dans l’instant, nous ne savions pas que cette résidence aboutirait à un spectacle. Mais c’est bien ce qui arrive aujourd’hui. De cette période compliquée pour un lieu public, parce que vidé de ses visiteurs, est née une performance, que nous sommes heureux de vous présenter, là d’où elle a émergé !
Extraits de différents dossiers de présentation du spectacle :
1-
« Zouzou, elle au moins, elle serait juste ! Parce qu’elle serait détachée de tout jugement, elle ferait ce qu’elle sent, elle en aurait rien à foutre du public, de... qui regarde, ce que les autres pensent. Elle ne chercherait pas à impressionner, elle s’en foutrait qu’on la respecte, elle ferait sa vie. Oui, Zouzou, ce serait vraiment l’interprète parfaite, l’être le plus abandonné et le plus incarné en même temps. »
Est-ce que revivre ses souvenirs d’enfance peut créer une danse ?
Raviver des sensations solaires comme autant de pages d’un journal intime. Laisser remonter à la surface une danse enfouie dans les profondeurs d’une nappe phréatique qui ne demandait qu’à être réveillée.
Une danse légère qu’on pourrait avoir dans les jambes, comme ça, sans force, jusqu’à la fin de sa vie…
2-
Attendez-moi
Tout a commencé au MuMa alors que le musée est fermé au public pendant le deuxième confinement.
L’expo temporaire est accrochée, aucun visiteur pour en profiter et lui répondre.
Seule la lumière qui trace sa course, transforme les volumes du musée, augmente ou réduit les ombres dans un déplacement invisible et implacable.
Pas vraiment de silence tant la soufflerie du musée est bruyante, mais un calme vraiment particulier.
L’espace vierge.
Un appel à la transgression.
Glisser dans cet espace sur des rollers est la première idée qui vient. Fendre l’air, nue. S’emparer d’une liberté bridée par les contraintes de la pandémie. Reprendre son souffle comme après une apnée prolongée.
Le nom de l’exposition « Voyage d’Hiver » a immédiatement ravivé le souvenir de ma confrontation à la neige, la montagne, le ski… une horreur. J’avais 5 ans.
Je suis partie de cet épisode puis j’ai remonté le fil vers des souvenirs plus anciens. J’y ai trouvé l’insouciance, la nature, les promenades avec les animaux, des champs immenses pour une petite fille qui passait ses journées à faire des expériences physiques simples et captivantes, les sens ouverts. La liberté.
Il s’est dégagé de ce cheminement un langage tout nouveau pour moi, un corps libre, alerte, détendu, solaire, plein.
Paradoxalement, ce langage qui m’apparaît comme nouveau semble en réalité être mon premier langage, le plus profondément ancré, ma nappe phréatique.
Une danse première que j’espère danser encore longtemps.
Conception et réalisation : La BaZooKa, Sarah Crépin & Etienne Cuppens
Interprétation : Sarah Crépin
Musiques : Paisaje Cubano Con Rumba (Leo Brouwer), Elf dance (Moondog), Für Fritz (Moondog), Tout l’Amour (A. Salvet/B. Botkin/G. Garfield/G. Bertret/P. Murtagh).
Production et diffusion : Emilie Podevin
Administration : Diane Ribouillard
Communication : Louise Lorieux
Production : La BaZooKa
Résidences : MuMa, Musée d’art Moderne du Havre
Remerciements : Le Phare, Centre Chorégraphique National du Havre-Normandie (dir. Emmanuelle Vo-Dinh) / Kiddam Riidim Collectif 1.6
La BaZooKa est conventionnée pour l’ensemble de son projet artistique par la Ville du Havre, la Région Normandie & le Ministère de la Culture (DRAC Normandie).
Solo pour Zouzou
Pendant le second confinement, le MuMa décidait de laisser ses espaces à disposition d’artistes pour continuer de faire vivre le musée.
C’est dans ce contexte que nous avons accueilli la BaZooKa pour un moment de travail complètement libre. Dans l’instant, nous ne savions pas que cette résidence aboutirait à un spectacle. Mais c’est bien ce qui arrive aujourd’hui. De cette période compliquée pour un lieu public, parce que vidé de ses visiteurs, est née une performance, que nous sommes heureux de vous présenter, là d’où elle a émergé !
Extraits de différents dossiers de présentation du spectacle :

Attendez-moi © Alban Van Wassenhove
« Zouzou, elle au moins, elle serait juste ! Parce qu’elle serait détachée de tout jugement, elle ferait ce qu’elle sent, elle en aurait rien à foutre du public, de... qui regarde, ce que les autres pensent. Elle ne chercherait pas à impressionner, elle s’en foutrait qu’on la respecte, elle ferait sa vie. Oui, Zouzou, ce serait vraiment l’interprète parfaite, l’être le plus abandonné et le plus incarné en même temps. »
Est-ce que revivre ses souvenirs d’enfance peut créer une danse ?
Raviver des sensations solaires comme autant de pages d’un journal intime. Laisser remonter à la surface une danse enfouie dans les profondeurs d’une nappe phréatique qui ne demandait qu’à être réveillée.
Une danse légère qu’on pourrait avoir dans les jambes, comme ça, sans force, jusqu’à la fin de sa vie…

Attendez-moi © Etienne Cuppens
Attendez-moi
Tout a commencé au MuMa alors que le musée est fermé au public pendant le deuxième confinement.
L’expo temporaire est accrochée, aucun visiteur pour en profiter et lui répondre.
Seule la lumière qui trace sa course, transforme les volumes du musée, augmente ou réduit les ombres dans un déplacement invisible et implacable.
Pas vraiment de silence tant la soufflerie du musée est bruyante, mais un calme vraiment particulier.
L’espace vierge.
Un appel à la transgression.
Glisser dans cet espace sur des rollers est la première idée qui vient. Fendre l’air, nue. S’emparer d’une liberté bridée par les contraintes de la pandémie. Reprendre son souffle comme après une apnée prolongée.
Le nom de l’exposition « Voyage d’Hiver » a immédiatement ravivé le souvenir de ma confrontation à la neige, la montagne, le ski… une horreur. J’avais 5 ans.
Je suis partie de cet épisode puis j’ai remonté le fil vers des souvenirs plus anciens. J’y ai trouvé l’insouciance, la nature, les promenades avec les animaux, des champs immenses pour une petite fille qui passait ses journées à faire des expériences physiques simples et captivantes, les sens ouverts. La liberté.
Il s’est dégagé de ce cheminement un langage tout nouveau pour moi, un corps libre, alerte, détendu, solaire, plein.
Paradoxalement, ce langage qui m’apparaît comme nouveau semble en réalité être mon premier langage, le plus profondément ancré, ma nappe phréatique.
Une danse première que j’espère danser encore longtemps.
Conception et réalisation : La BaZooKa, Sarah Crépin & Etienne Cuppens
Interprétation : Sarah Crépin
Musiques : Paisaje Cubano Con Rumba (Leo Brouwer), Elf dance (Moondog), Für Fritz (Moondog), Tout l’Amour (A. Salvet/B. Botkin/G. Garfield/G. Bertret/P. Murtagh).
Production et diffusion : Emilie Podevin
Administration : Diane Ribouillard
Communication : Louise Lorieux
Production : La BaZooKa
Résidences : MuMa, Musée d’art Moderne du Havre
Remerciements : Le Phare, Centre Chorégraphique National du Havre-Normandie (dir. Emmanuelle Vo-Dinh) / Kiddam Riidim Collectif 1.6
La BaZooKa est conventionnée pour l’ensemble de son projet artistique par la Ville du Havre, la Région Normandie & le Ministère de la Culture (DRAC Normandie).
Date(s)
- 27 janvier 2023
Tarif(s)
Gratuit
Sur réservation ici :
Vendredi 27 janvier 2023 à 18h / Complet
Samedi 28 janvier 2023 à 14h30 / Complet
Dimanche 29 janvier 2023 à 10h
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur
Vendredi 27 janvier 2023 à 18h / Complet
Samedi 28 janvier 2023 à 14h30 / Complet
Dimanche 29 janvier 2023 à 10h
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur

© Christophe Urbain
En chemin Klezmer
Un voyage lumineux sur les routes de la musique juive, de Ravel à aujourd’hui. Lâchez prise, cette sensation de liberté ne vous quittera pas !
Fermez les yeux et suivez le son de cette clarinette qui vous guide dans un chemin de traverse, celui du territoire yiddish.
Vous voilà plongés dans l’incroyable vivacité de cette musique d’Europe de l’Est qui ne cesse de se renouveler. Au détour d’un chemin, c’est Ravel qui fait miroiter ses effets de couleurs dans Kaddish, une prière pour les morts. Puis vous rencontrez l’argentin Golijov qui met en musique Les rêves et les prières d’Isaac l’aveugle, animé par l’incandescence de son quintette. Voyez comme la musique klezmer avive la flamme de la création contemporaine !
La pérégrination se termine dans les accents tziganes et le panache d’une grande fête orchestrée par le compositeur russo-canadien Ichmouratov. Qui a dit que cette journée allait être ordinaire ?
En partenariat avec l’Opéra de Rouen Normandie
Avec :
Naaman Sluchin, Elena Pease, violons
Patrick Dussart, alto
Hélène Latour, violoncelle
Lucas Dietsch, clarinette
Au programme :
Airat Ichmouratov, One Day Almost Ordinary Life pour clarinette et quatuor à cordes
Osvaldo Golijov, Quintette pour clarinette et cordes
Maurice Ravel, Kaddish, arrangement pour quatuor à cordes
Un voyage lumineux sur les routes de la musique juive, de Ravel à aujourd’hui. Lâchez prise, cette sensation de liberté ne vous quittera pas !
Fermez les yeux et suivez le son de cette clarinette qui vous guide dans un chemin de traverse, celui du territoire yiddish.
Vous voilà plongés dans l’incroyable vivacité de cette musique d’Europe de l’Est qui ne cesse de se renouveler. Au détour d’un chemin, c’est Ravel qui fait miroiter ses effets de couleurs dans Kaddish, une prière pour les morts. Puis vous rencontrez l’argentin Golijov qui met en musique Les rêves et les prières d’Isaac l’aveugle, animé par l’incandescence de son quintette. Voyez comme la musique klezmer avive la flamme de la création contemporaine !
La pérégrination se termine dans les accents tziganes et le panache d’une grande fête orchestrée par le compositeur russo-canadien Ichmouratov. Qui a dit que cette journée allait être ordinaire ?
En partenariat avec l’Opéra de Rouen Normandie
Avec :
Naaman Sluchin, Elena Pease, violons
Patrick Dussart, alto
Hélène Latour, violoncelle
Lucas Dietsch, clarinette
Au programme :
Airat Ichmouratov, One Day Almost Ordinary Life pour clarinette et quatuor à cordes
Osvaldo Golijov, Quintette pour clarinette et cordes
Maurice Ravel, Kaddish, arrangement pour quatuor à cordes
Date(s)
- 17 décembre 2022
Tarif(s)
Gratuit

Essaimer © Laure Delamotte-Legrand
Essaimer
Nous poursuivons nos échanges avec la chorégraphe et interprète Margot Dorléans, toujours dans le cadre du Festival Plein Phare.
Ce samedi 3 décembre, elle nous présentera, avec son équipe, une étape de travail* autour d’une pièce en cours de création, Essaimer dont le projet résonne lui aussi avec les œuvres accueillies au MuMa cette année, et plus largement, avec celles de ses collections permanentes, fortement imprégnées des questions liées au paysage et à ses éléments.
« Ce projet est le fruit d’une démarche qui cherche à se rapprocher d’un paysage et à y inscrire le corps en mouvement.
Comment nous servir du corps pour rencontrer le paysage, l’habiter, le faire entrer en nous pour en célébrer la nature ?
En rassemblant une équipe pluridisciplinaire il s’agit d’œuvrer à construire ensemble un univers sensible autour de la matérialité du roseau comme une invitation à ressentir et à vivre le territoire pour mieux repenser nos manières de l’habiter. Cette recherche aboutira à la création d’une vidéo-danse in-situ et à une performance ex-situ conçue comme une installation immersive où les différents matériaux (sonores, vidéo, plastiques et chorégraphiques) dialoguent ensemble pour donner à vivre le paysage autrement. »
*Création prévue à l’automne 2023
>>> Teaser du Festival Plein Phare <<<
En partenariat avec Le Phare – Centre chorégraphique du Havre Normandie
https://www.lephare-ccn.fr/
Conception, Chorégraphie et Interprétation Margot Dorléans
En collaboration avec (distribution en cours) :
Flora Pilet et Véronique Weil, danseuses,
Clément Edouard, musicien,
Laure Delamotte-Legrand, photographe / vidéaste et plasticienne,
David Baptista, architecte (Association Rozeau),
Bureau Les Yeux Dans Les Mots, administration de production
Production Du Vivant Sous Les Plis
Avec le soutien du CCN de Caen en Normandie, La Réserve Naturelle de l’Estuaire de la Seine, Cie Arkanso et Le Trident Scène nationale de Cherbourg-en-Cotentin (Festival Regards Dansants), L’Étincelle, Théâtre(s) de la Ville de Rouen, Territoires Pionniers I Maison de l’architecture - Normandie
La compagnie Du Vivant Sous Les Plis est soutenue par la DRAC Normandie, la Région Normandie, le Département de Seine-Maritime, la Ville du Havre et l’ODIA Normandie
Nous poursuivons nos échanges avec la chorégraphe et interprète Margot Dorléans, toujours dans le cadre du Festival Plein Phare.
Ce samedi 3 décembre, elle nous présentera, avec son équipe, une étape de travail* autour d’une pièce en cours de création, Essaimer dont le projet résonne lui aussi avec les œuvres accueillies au MuMa cette année, et plus largement, avec celles de ses collections permanentes, fortement imprégnées des questions liées au paysage et à ses éléments.
« Ce projet est le fruit d’une démarche qui cherche à se rapprocher d’un paysage et à y inscrire le corps en mouvement.
Comment nous servir du corps pour rencontrer le paysage, l’habiter, le faire entrer en nous pour en célébrer la nature ?
En rassemblant une équipe pluridisciplinaire il s’agit d’œuvrer à construire ensemble un univers sensible autour de la matérialité du roseau comme une invitation à ressentir et à vivre le territoire pour mieux repenser nos manières de l’habiter. Cette recherche aboutira à la création d’une vidéo-danse in-situ et à une performance ex-situ conçue comme une installation immersive où les différents matériaux (sonores, vidéo, plastiques et chorégraphiques) dialoguent ensemble pour donner à vivre le paysage autrement. »
*Création prévue à l’automne 2023
>>> Teaser du Festival Plein Phare <<<
En partenariat avec Le Phare – Centre chorégraphique du Havre Normandie
https://www.lephare-ccn.fr/
Conception, Chorégraphie et Interprétation Margot Dorléans
En collaboration avec (distribution en cours) :
Flora Pilet et Véronique Weil, danseuses,
Clément Edouard, musicien,
Laure Delamotte-Legrand, photographe / vidéaste et plasticienne,
David Baptista, architecte (Association Rozeau),
Bureau Les Yeux Dans Les Mots, administration de production
Production Du Vivant Sous Les Plis
Avec le soutien du CCN de Caen en Normandie, La Réserve Naturelle de l’Estuaire de la Seine, Cie Arkanso et Le Trident Scène nationale de Cherbourg-en-Cotentin (Festival Regards Dansants), L’Étincelle, Théâtre(s) de la Ville de Rouen, Territoires Pionniers I Maison de l’architecture - Normandie
La compagnie Du Vivant Sous Les Plis est soutenue par la DRAC Normandie, la Région Normandie, le Département de Seine-Maritime, la Ville du Havre et l’ODIA Normandie
Date(s)
- 03 décembre 2022
Tarif(s)
Gratuit
Sur réservation ici / COMPLET
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur

© Alexandre Sauvaire
En écho à l’exposition « Météorologiques », et spécialement conçu pour dialoguer avec les œuvres que nous présentons, la pianiste Pascale Berthelot nous propose un programme autour des Triadic Memories de Morton Feldman, qu’elle introduira par quelques préludes de Claude Debussy.
Claude Debussy qui disait :
« N’écoute les conseils de personne, sinon du vent qui passe et nous raconte les histoires du monde. »
Alors, mettons nos sens en éveil pour se laisser bercer, absorber par quelques météores et leurs traductions picturales, sonores… à l’occasion de ce concert qui pourra s’écouter allongé, en balade… Bref, un moment sensible de liberté !
Durée : 2 heures
Première Partie : Préludes de Claude Debussy / 20min. environ
Deuxième Partie : Triadic Memories de Morton Feldman / 1h30 environ
Pendant cette seconde partie, chacun sera libre de rester assis ou bien de s'allonger, déambuler dans l'exposition, lire un livre...
Présentation détaillée de l’artiste :
« Pascale Berthelot est une musicienne d’une sensibilité, et je devrai dire ; d’une sensitivité hors du commun. La musique est pour elle une expérience de l’esprit et du corps, une transcendance de chaque jour ». (Gérard Pesson, compositeur)
Diplômée du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Lyon dans les classes de piano, interprétation et analyse du répertoire XX-XXI ème siècle et pédagogie et de l’institut de formation et de recherche en art-thérapie Profac, Pascale Berthelot est pianiste concertiste, improvisatrice et compositrice, pédagogue et art-thérapeute certifiée, agréée Art-Thérapie Contemporaine et membre de la Société Française de psychopathologie de l’expression et d’art-thérapie. Elle a étudié principalement la musique avec Bernard Flavigny (disciple d’Alfred Cortot et de Serge Koussevitzky), Eric Heidsieck et Claude Helffer. Elle a été boursière du centre Acanthes et lauréate de la fondation Giorgio Cini – Archivio Luigi Nono (Venise).
Invitée deux années à vivre à la Villa Medicis aux côtés de Daniel À. D’adamo – Académie de France à Rome – juste après ses études supérieures musicales, elle initie dès lors des rencontres avec des artistes reconnus de différents médiums. Ce fil lumineux, tissé de nombreuses collaborations, lui permet d’associer des œuvres du répertoire de musique ancienne, classique, romantique ou moderne à la création contemporaine et aux pratiques expérimentales et improvisées. Due à cette versatilité d’esthétiques, de ressources et de moyens, son approche de l’improvisation peut être perçue comme une recherche sonore, en faveur d’une surprenante et subtile indétermination qui peut s’entendre comme un processus de clarification et de libération du son. En tant que soliste ou en formations de chambre, elle a fait entre autres la création d’œuvres pour piano solo ou piano et ensemble d’Ivan Fedele, Roger Reynolds, Tim Hodgkinson, Daniel D’Adamo, Chris Newmann, Michael Pinter, Klaus Huber, Jennifer Walshe, Michaël Maierhoff, Hauke Harder, Daniele Venturi, Loïc Guénin, Gérard Pesson… Elle a collaboré avec la compagnie de danse de Benjamin Millepieds LA Dance project et Laurent Pichaud ( X-Sud et Laboratoires d’Aubervillier), avec des artistes plasticiens comme Marie Denis, Jean-luc Moulène, Isa Melsheimer, Michael Raedecker, Eberhard Ross et a joué au sein d’installations hybrides du collectif Berlinois LOSE COMBO, mêlant performance, concert, son, lumière et vidéo dans des espaces temporels délimités singulièrement.
Elle a enregistré pour Sony et Mode Records et est actuellement directrice artistique de la collection Cuicatl dédiée aux musiques contemporaines et expérimentales pour le label La Buissonne de Gérard de Haro diffusé par ECM records, récompensée par l’Académie Charles Cros et saluée internationalement par la critique. Depuis 2004, Pascale Berthelot s’est engagée pour le soutien de la fondation Kantha Bopha au bénéfice des hôpitaux pédiatriques de Phnom Penh et Siem Reap au Cambodge.
https://pascaleberthelot.com
Concert initialement prévu dans le cadre du Festival Piano is not dead
http://pianoisnotdead.fr
Avec la collaboration de Pour les oiseaux
https://pourlesoiseaux.fr
Claude Debussy qui disait :
« N’écoute les conseils de personne, sinon du vent qui passe et nous raconte les histoires du monde. »
Alors, mettons nos sens en éveil pour se laisser bercer, absorber par quelques météores et leurs traductions picturales, sonores… à l’occasion de ce concert qui pourra s’écouter allongé, en balade… Bref, un moment sensible de liberté !
Durée : 2 heures
Première Partie : Préludes de Claude Debussy / 20min. environ
Deuxième Partie : Triadic Memories de Morton Feldman / 1h30 environ
Pendant cette seconde partie, chacun sera libre de rester assis ou bien de s'allonger, déambuler dans l'exposition, lire un livre...
Présentation détaillée de l’artiste :
« Pascale Berthelot est une musicienne d’une sensibilité, et je devrai dire ; d’une sensitivité hors du commun. La musique est pour elle une expérience de l’esprit et du corps, une transcendance de chaque jour ». (Gérard Pesson, compositeur)
Diplômée du Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Lyon dans les classes de piano, interprétation et analyse du répertoire XX-XXI ème siècle et pédagogie et de l’institut de formation et de recherche en art-thérapie Profac, Pascale Berthelot est pianiste concertiste, improvisatrice et compositrice, pédagogue et art-thérapeute certifiée, agréée Art-Thérapie Contemporaine et membre de la Société Française de psychopathologie de l’expression et d’art-thérapie. Elle a étudié principalement la musique avec Bernard Flavigny (disciple d’Alfred Cortot et de Serge Koussevitzky), Eric Heidsieck et Claude Helffer. Elle a été boursière du centre Acanthes et lauréate de la fondation Giorgio Cini – Archivio Luigi Nono (Venise).
Invitée deux années à vivre à la Villa Medicis aux côtés de Daniel À. D’adamo – Académie de France à Rome – juste après ses études supérieures musicales, elle initie dès lors des rencontres avec des artistes reconnus de différents médiums. Ce fil lumineux, tissé de nombreuses collaborations, lui permet d’associer des œuvres du répertoire de musique ancienne, classique, romantique ou moderne à la création contemporaine et aux pratiques expérimentales et improvisées. Due à cette versatilité d’esthétiques, de ressources et de moyens, son approche de l’improvisation peut être perçue comme une recherche sonore, en faveur d’une surprenante et subtile indétermination qui peut s’entendre comme un processus de clarification et de libération du son. En tant que soliste ou en formations de chambre, elle a fait entre autres la création d’œuvres pour piano solo ou piano et ensemble d’Ivan Fedele, Roger Reynolds, Tim Hodgkinson, Daniel D’Adamo, Chris Newmann, Michael Pinter, Klaus Huber, Jennifer Walshe, Michaël Maierhoff, Hauke Harder, Daniele Venturi, Loïc Guénin, Gérard Pesson… Elle a collaboré avec la compagnie de danse de Benjamin Millepieds LA Dance project et Laurent Pichaud ( X-Sud et Laboratoires d’Aubervillier), avec des artistes plasticiens comme Marie Denis, Jean-luc Moulène, Isa Melsheimer, Michael Raedecker, Eberhard Ross et a joué au sein d’installations hybrides du collectif Berlinois LOSE COMBO, mêlant performance, concert, son, lumière et vidéo dans des espaces temporels délimités singulièrement.
Elle a enregistré pour Sony et Mode Records et est actuellement directrice artistique de la collection Cuicatl dédiée aux musiques contemporaines et expérimentales pour le label La Buissonne de Gérard de Haro diffusé par ECM records, récompensée par l’Académie Charles Cros et saluée internationalement par la critique. Depuis 2004, Pascale Berthelot s’est engagée pour le soutien de la fondation Kantha Bopha au bénéfice des hôpitaux pédiatriques de Phnom Penh et Siem Reap au Cambodge.
https://pascaleberthelot.com
Concert initialement prévu dans le cadre du Festival Piano is not dead
http://pianoisnotdead.fr
Avec la collaboration de Pour les oiseaux
https://pourlesoiseaux.fr
Date(s)
- 18 février 2023
Tarif(s)
Gratuit

Incarnation © Laure Delamotte-Legrand
Incarnation
Dans le cadre du Festival Plein Phare, le MuMa accueille de nouveau la chorégraphe et interprète Margot Dorléans avec qui se tisse un dialogue sur plusieurs temps forts.
Elle propose ici son solo Incarnation :
« Incarnation est un dispositif immersif pour une danseuse, une œuvre plastique et une composition sonore où la voix s’incarne, et prend la forme d’un chant intérieur qui transforme le corps et l’espace. Une plongée par la vibration vocale au cœur des espaces corporels symboliques d’une vie interne féminine : l’espace du bassin et celui des cordes vocales, lieu physique de l’expression. Une création comme un chant intérieur d’une identité féminine. »
Une pièce qui résonnera particulièrement avec les œuvres présentées à partir du 26 novembre dans le cadre de l’exposition Météorologiques au MuMa.
>>> Teaser du Festival Plein Phare <<<
En partenariat avec Le Phare – Centre chorégraphique du Havre Normandie
https://www.lephare-ccn.fr/
Conception, chorégraphie et interprétation : Margot Dorléans
En collaboration avec :
Laure Delamotte-Legrand, scénographie
Laurent Durupt, musique
Mael Iger, lumière
Joël Cornet et Romain Renault, construction et régie générale
Jean-Baptiste Veyret-Logerias, accompagnement vocal et regard extérieur
Maxime Guillon-Roi-Sans-Sac, assistanat et regard extérieur
Salina Dumay, costume
Bureau Les Yeux Dans Les Mots, administration de production
Production Du Vivant Sous Les Plis
Coproductions Le Volcan - Scène nationale du Havre en partenariat avec Le Théâtre des Bains Douches et Le Phare - CCN du Havre Normandie ; Chorège / CDCN Falaise Normandie
Soutien à la production CCN de Caen en Normandie / direction Alban Richard
Accueil en résidence Les Franciscaines – Deauville ; L’Etincelle – Théâtre(s) de la Ville de Rouen ; La Bazooka au Wine and Beer - Le Havre ; Théâtre des Bains Douches - Le Havre
Le projet est subventionné par la DRAC Normandie, la Région Normandie et le Département de Seine-Maritime.
La compagnie Du Vivant Sous Les Plis est soutenue par la DRAC Normandie, la Région Normandie, le Département de Seine-Maritime, la Ville du Havre et l’ODIA Normandie.
Dans le cadre du Festival Plein Phare, le MuMa accueille de nouveau la chorégraphe et interprète Margot Dorléans avec qui se tisse un dialogue sur plusieurs temps forts.
Elle propose ici son solo Incarnation :
« Incarnation est un dispositif immersif pour une danseuse, une œuvre plastique et une composition sonore où la voix s’incarne, et prend la forme d’un chant intérieur qui transforme le corps et l’espace. Une plongée par la vibration vocale au cœur des espaces corporels symboliques d’une vie interne féminine : l’espace du bassin et celui des cordes vocales, lieu physique de l’expression. Une création comme un chant intérieur d’une identité féminine. »
Une pièce qui résonnera particulièrement avec les œuvres présentées à partir du 26 novembre dans le cadre de l’exposition Météorologiques au MuMa.
>>> Teaser du Festival Plein Phare <<<
En partenariat avec Le Phare – Centre chorégraphique du Havre Normandie
https://www.lephare-ccn.fr/
Conception, chorégraphie et interprétation : Margot Dorléans
En collaboration avec :
Laure Delamotte-Legrand, scénographie
Laurent Durupt, musique
Mael Iger, lumière
Joël Cornet et Romain Renault, construction et régie générale
Jean-Baptiste Veyret-Logerias, accompagnement vocal et regard extérieur
Maxime Guillon-Roi-Sans-Sac, assistanat et regard extérieur
Salina Dumay, costume
Bureau Les Yeux Dans Les Mots, administration de production
Production Du Vivant Sous Les Plis
Coproductions Le Volcan - Scène nationale du Havre en partenariat avec Le Théâtre des Bains Douches et Le Phare - CCN du Havre Normandie ; Chorège / CDCN Falaise Normandie
Soutien à la production CCN de Caen en Normandie / direction Alban Richard
Accueil en résidence Les Franciscaines – Deauville ; L’Etincelle – Théâtre(s) de la Ville de Rouen ; La Bazooka au Wine and Beer - Le Havre ; Théâtre des Bains Douches - Le Havre
Le projet est subventionné par la DRAC Normandie, la Région Normandie et le Département de Seine-Maritime.
La compagnie Du Vivant Sous Les Plis est soutenue par la DRAC Normandie, la Région Normandie, le Département de Seine-Maritime, la Ville du Havre et l’ODIA Normandie.
Date(s)
- 22 novembre 2022
Tarif(s)
Gratuit
Sur réservation ici / COMPLET
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur
Accès et jauges en fonction de l’évolution sanitaire et des normes en vigueur