Tout public
Français

. ©Laurent Philippe
- -
Sous l’impulsion de l’Office du tourisme du Havre - Le Havre Etretat Tourisme, une nouvelle édition de la Nuit du tourisme s’organise. Elle sera l’occasion pour le MuMa de vous proposer deux rendez-vous exceptionnels et inédits, deux rendez-vous qui permettront chacun de faire l’expérience de nos Nuits électriques… de nuit !
A 21h30
Sprint in situ
Les nuits sont « électriques » dans les peintures qu’il est possible de découvrir en ce moment au MuMa ! Et c’est en écho à cet univers que nous avons imaginé une troisième nocturne. Cette fois-ci, invitation a été lancée Emmanuelle Vo-Dinh, chorégraphe et directrice du Phare, centre chorégraphique du Havre.
Pour le MuMa, Emmanuelle Vo-Dinh reprend une pièce emblématique de son répertoire, Sprint, qui met en scène Maeva Cunci dans un solo ombreux et énergique à la fois. Le souffle, la course, à l’image de nos « nuits électriques », rythment et construisent l’espace.
Durée : 40 min. environ
A partir de 19h15
Des visites… dans le noir
Les médiatrices du MuMa vous proposent de découvrir l’exposition, toutes lumières éteintes. Elles vous guideront à travers nos Nuits électriques petit groupe par petit groupe pour des visites inédites et originales : à la lampe torche, en chuchotant…
Durée : 30 min. environ
Détail des visites :
Au musée, dans la nuit, tout semble possible !
Présentation détaillée de Sprint in situ
La danse moderne a osé des choses formidables. Comme s'en tenir à un geste. Un seul. Ne s'attacher qu'à lui. Le mettre à l'épreuve. En tirer tous les possibles. Sprint, d'Emmanuelle Vo-Dinh est une course, "rien qu'une course" autour du plateau, dont son interprète proche, Maeva Cunci, relève le défi, cinquante minutes durant. Où le regard est tenu en haleine, sur une ligne de tension extrême, aux palpitations toujours relancées.
C'est le rythme implacable. Le souffle qui gronde. Le port de buste qui s'infléchit. La trajectoire qui dévie. La pause qui s'accorde. L'obstination qui se ressaisit. Le lâcher qui surgit. Et l'âme qui divague. Le but toujours enfui. Vienne la danseuse à s'accorder un long arrêt : alors un allant tournoyant rémanent continue d'empreindre le regard spectateur. Expérience saisissante. Où l'on craignait l'ennui, s'ouvre l'horizon, vertigineux.
Les variations de l'être, en ses gestes, sont infinies. L'accumulation, la répétition, en révèlent plus, et toujours d'autre encore. C'est qu'on n'a pas affaire à des artistes occupés à des simagrées, jouant un rôle et brodant de jolies figures. Dans Sprint, la vérité se donne entière à ce qu'on est en train d'éprouver.
Conception : Emmanuelle Vo-Dinh
Interprétation : Maeva Cunci
Lumières et scénographie : Françoise Michel
Univers sonore : Olyphant
Costumes : Corine Petitpierre
Réalisation des costumes : Anne Tesson
Production : Le Phare, Centre chorégraphique national du Havre Normandie
Coproduction : Rencontres Chorégraphiques Internationales de Seine-Saint-Denis, Centre National de la Danse (Pantin)
Le Phare, Centre chorégraphique national du Havre Normandie, est subventionné par la DRAC Normandie / Ministère de la Culture, la Région Normandie, la Ville du Havre et le Département de Seine-Maritime.
Attention,
le musée ne sera pas ouvert à la visite libre.
Tous les rendez-vous proposés pour l’occasion
se feront impérativement sur réservation.
le musée ne sera pas ouvert à la visite libre.
Tous les rendez-vous proposés pour l’occasion
se feront impérativement sur réservation.
A 21h30
Sprint in situ
Les nuits sont « électriques » dans les peintures qu’il est possible de découvrir en ce moment au MuMa ! Et c’est en écho à cet univers que nous avons imaginé une troisième nocturne. Cette fois-ci, invitation a été lancée Emmanuelle Vo-Dinh, chorégraphe et directrice du Phare, centre chorégraphique du Havre.
Pour le MuMa, Emmanuelle Vo-Dinh reprend une pièce emblématique de son répertoire, Sprint, qui met en scène Maeva Cunci dans un solo ombreux et énergique à la fois. Le souffle, la course, à l’image de nos « nuits électriques », rythment et construisent l’espace.
Durée : 40 min. environ
A partir de 19h15
Des visites… dans le noir
Les médiatrices du MuMa vous proposent de découvrir l’exposition, toutes lumières éteintes. Elles vous guideront à travers nos Nuits électriques petit groupe par petit groupe pour des visites inédites et originales : à la lampe torche, en chuchotant…
Durée : 30 min. environ
Détail des visites :
- 19h15 : Sous la lampe, et avec les bruits de ces nuits-là, faire parler trois peintres de leurs Nuits parmi les plus mystérieuses…
- 19h45 : L’obscurité… les œuvres… : laissez libre cours à votre imagination.
- 20h15 : Filles de joie, les mal-nommées… L’envers du décor dépeint par les écrivains. (à partir de 12 ans)
- 20h45 : L’obscurité… les œuvres… : laissez libre cours à votre imagination.
- 21h15 : Sous la lampe, et avec les bruits de ces nuits-là, faire parler trois peintres de leurs Nuits parmi les plus mystérieuses…
- 21h45 : Filles de joie, les mal-nommées… L’envers du décor dépeint par les écrivains. (à partir de 12 ans)
- 22h15 : Le musée. La nuit. Pas un mot, pas un bruit.
- 22h45 : Le musée. La nuit. Pas un mot, pas un bruit.
Au musée, dans la nuit, tout semble possible !
Présentation détaillée de Sprint in situ
La danse moderne a osé des choses formidables. Comme s'en tenir à un geste. Un seul. Ne s'attacher qu'à lui. Le mettre à l'épreuve. En tirer tous les possibles. Sprint, d'Emmanuelle Vo-Dinh est une course, "rien qu'une course" autour du plateau, dont son interprète proche, Maeva Cunci, relève le défi, cinquante minutes durant. Où le regard est tenu en haleine, sur une ligne de tension extrême, aux palpitations toujours relancées.
C'est le rythme implacable. Le souffle qui gronde. Le port de buste qui s'infléchit. La trajectoire qui dévie. La pause qui s'accorde. L'obstination qui se ressaisit. Le lâcher qui surgit. Et l'âme qui divague. Le but toujours enfui. Vienne la danseuse à s'accorder un long arrêt : alors un allant tournoyant rémanent continue d'empreindre le regard spectateur. Expérience saisissante. Où l'on craignait l'ennui, s'ouvre l'horizon, vertigineux.
Les variations de l'être, en ses gestes, sont infinies. L'accumulation, la répétition, en révèlent plus, et toujours d'autre encore. C'est qu'on n'a pas affaire à des artistes occupés à des simagrées, jouant un rôle et brodant de jolies figures. Dans Sprint, la vérité se donne entière à ce qu'on est en train d'éprouver.
Conception : Emmanuelle Vo-Dinh
Interprétation : Maeva Cunci
Lumières et scénographie : Françoise Michel
Univers sonore : Olyphant
Costumes : Corine Petitpierre
Réalisation des costumes : Anne Tesson
Production : Le Phare, Centre chorégraphique national du Havre Normandie
Coproduction : Rencontres Chorégraphiques Internationales de Seine-Saint-Denis, Centre National de la Danse (Pantin)
Le Phare, Centre chorégraphique national du Havre Normandie, est subventionné par la DRAC Normandie / Ministère de la Culture, la Région Normandie, la Ville du Havre et le Département de Seine-Maritime.
Date(s)
- 03 octobre 2020
Tarif(s)
Gratuit
Sur inscription : https://affluences.com/muma-musee-dart-moderne-andre-malraux/reservation
(catégories « événement » ou « visite focus »)
Port du masque obligatoire
(catégories « événement » ou « visite focus »)
Port du masque obligatoire

- -
Le MuMa vous ouvrira ses portes gratuitement tout le long du week-end et vous proposera différentes activités pour vous faire découvrir l’exposition Nuits électriques.
En raison des conditions sanitaires actuelles, la réservation de votre créneau de visite (libre ou commentée) reste obligatoire, ainsi que le port du masque !
Au programme :
- Visitez librement le musée, à votre rythme, et profitez-en si le cœur vous en dit pour vous laisser porter par la proposition originale d’audioguide « Voyage en Nuits électriques »
- Des visites commentées seront proposées tout au long du week-end. Sous la forme de courts focus, les médiatrices du MuMa mettront en lumière quelques thèmes essentiels de l’exposition par la présentation d’une ou deux œuvres.
- Pour tous ceux qui auront réservé une visite (libre ou commentée), vous pourrez profiter de l’atelier « Carton Pixel », en salle de conférence, et participer à la création d’une réalisation collective inspirée de nos Nuits électriques.
Samedi 19 septembre
∆ De 14h à 19h
Carton Pixel
Carton Pixel s'installe au MuMa pour un atelier collectif « grandeur pixel » autour de l'œuvre Prismes électriques de Sonia Delaunay à partir de pixels fabriqués en cartons colorés.
Dans le cadre de leur projet « cartons numériques », Claire Le Breton et Simon Leroux ont imaginé un système de projection d’image sur un plateau permettant de recomposer un tableau en une version « pixelisée ».
Avant de réaliser l’image, il faut fabriquer la matière première ! A partir de d’emballages carton, chacun est invité à prendre part à la grande fabrique de mini-pixels. Grâce à différents outils conçus spécialement, des milliers de pixels sont ainsi découpés, triés par couleurs et enfin déposés sur le plateau pour reconstituer l’image choisie, tel un puzzle lumineux à composer.
http://www.lminuscule.com/carton-pixel-1-dufy-au-muma/
∆ 14h
Nuits fauves
Qui mieux qu’un artiste peut être sensible à l’atmosphère nocturne des quartiers dédiés au plaisir au cœur d’une grande ville… Dans les pas de Théophile-Alexandre Steinlen, de Jules Chéret ou de Pierre Bonnard, la rue parisienne, avec toutes ses foules de noctambules, se dévoile dans un jeu d’ombres et de lumières ; éclairée par la lueur des réverbères.
Par Karine Martin de Beaucé
∆ 14h30
Caillebotte, Marville & les réverbères
Tout au long du XIXème siècle, les réverbères fleurissent sur les trottoirs parisiens et transforment le paysage urbain. Voyons comment le peintre Gustave Caillebotte et le photographe Charles Marville en ont fait le motif central de leurs œuvres.
Par Bénédicte Marin
∆ 15h
Le Havre électrique
Tout au long du XIXe siècle, Paris s’illumine et devient la Ville Lumière que le monde entier admire. Mais qu’en est-il du Havre ? Cité portuaire et industrielle, transformer la nuit en jour est pour elle une nécessité. Les halos électriques guident les navires en mer et prolongent le travail à quai. Partons à la découverte des fascinantes lumières havraises que les artistes n’ont pas manqué de représenter.
Par Raphaëlle Marin
∆ 15h30
Nuits fauves
∆ 16h
Caillebotte, Marville & les réverbères
∆ 16h30
Le Havre électrique
∆ 17h
Nuits fauves
∆ 17h30
Caillebotte, Marville & les réverbères
∆ 18h
Le Havre électrique
En raison des conditions sanitaires actuelles, la réservation de votre créneau de visite (libre ou commentée) reste obligatoire, ainsi que le port du masque !
Au programme :
- Visitez librement le musée, à votre rythme, et profitez-en si le cœur vous en dit pour vous laisser porter par la proposition originale d’audioguide « Voyage en Nuits électriques »
- Des visites commentées seront proposées tout au long du week-end. Sous la forme de courts focus, les médiatrices du MuMa mettront en lumière quelques thèmes essentiels de l’exposition par la présentation d’une ou deux œuvres.
- Pour tous ceux qui auront réservé une visite (libre ou commentée), vous pourrez profiter de l’atelier « Carton Pixel », en salle de conférence, et participer à la création d’une réalisation collective inspirée de nos Nuits électriques.
Samedi 19 septembre
∆ De 14h à 19h
Carton Pixel
Carton Pixel s'installe au MuMa pour un atelier collectif « grandeur pixel » autour de l'œuvre Prismes électriques de Sonia Delaunay à partir de pixels fabriqués en cartons colorés.
Dans le cadre de leur projet « cartons numériques », Claire Le Breton et Simon Leroux ont imaginé un système de projection d’image sur un plateau permettant de recomposer un tableau en une version « pixelisée ».
Avant de réaliser l’image, il faut fabriquer la matière première ! A partir de d’emballages carton, chacun est invité à prendre part à la grande fabrique de mini-pixels. Grâce à différents outils conçus spécialement, des milliers de pixels sont ainsi découpés, triés par couleurs et enfin déposés sur le plateau pour reconstituer l’image choisie, tel un puzzle lumineux à composer.
http://www.lminuscule.com/carton-pixel-1-dufy-au-muma/
∆ 14h
Nuits fauves
Qui mieux qu’un artiste peut être sensible à l’atmosphère nocturne des quartiers dédiés au plaisir au cœur d’une grande ville… Dans les pas de Théophile-Alexandre Steinlen, de Jules Chéret ou de Pierre Bonnard, la rue parisienne, avec toutes ses foules de noctambules, se dévoile dans un jeu d’ombres et de lumières ; éclairée par la lueur des réverbères.
Par Karine Martin de Beaucé
∆ 14h30
Caillebotte, Marville & les réverbères
Tout au long du XIXème siècle, les réverbères fleurissent sur les trottoirs parisiens et transforment le paysage urbain. Voyons comment le peintre Gustave Caillebotte et le photographe Charles Marville en ont fait le motif central de leurs œuvres.
Par Bénédicte Marin
∆ 15h
Le Havre électrique
Tout au long du XIXe siècle, Paris s’illumine et devient la Ville Lumière que le monde entier admire. Mais qu’en est-il du Havre ? Cité portuaire et industrielle, transformer la nuit en jour est pour elle une nécessité. Les halos électriques guident les navires en mer et prolongent le travail à quai. Partons à la découverte des fascinantes lumières havraises que les artistes n’ont pas manqué de représenter.
Par Raphaëlle Marin
∆ 15h30
Nuits fauves
∆ 16h
Caillebotte, Marville & les réverbères
∆ 16h30
Le Havre électrique
∆ 17h
Nuits fauves
∆ 17h30
Caillebotte, Marville & les réverbères
∆ 18h
Le Havre électrique
Date(s)
- 19 septembre 2020
Tarif(s)
Gratuit
Sur inscription : https://affluences.com/muma-musee-dart-moderne-andre-malraux/reservation
(catégories « visite libre » ou « visite focus »)
Port du masque obligatoire
(catégories « visite libre » ou « visite focus »)
Port du masque obligatoire

. ©Micheline Lelièvre
Pour entamer le dense week-end des Journées du Patrimoine, le MuMa a le plaisir de proposer la performance Clair de Nuit du collectif Pignon sur rue.
« Clair de nuit est une performance construite en résonance avec l'exposition Nuits électriques. C'est un voyage entre la nuit, les lumières, les perceptions et imaginaires auxquels cela renvoie. Du mystère aux moments festifs, de la mer à la ville en passant par la campagne, Clair de nuit est conçu pour créer une profondeur de champ poétique à quelques œuvres sélectionnées parmi celles exposées. »
Chorégraphie : Micheline Lelièvre
Musique : Alexandre Roure
Danse : Célia Abitabile, Violette Angé, Micheline Lelièvre
« Clair de nuit est une performance construite en résonance avec l'exposition Nuits électriques. C'est un voyage entre la nuit, les lumières, les perceptions et imaginaires auxquels cela renvoie. Du mystère aux moments festifs, de la mer à la ville en passant par la campagne, Clair de nuit est conçu pour créer une profondeur de champ poétique à quelques œuvres sélectionnées parmi celles exposées. »
Chorégraphie : Micheline Lelièvre
Musique : Alexandre Roure
Danse : Célia Abitabile, Violette Angé, Micheline Lelièvre
Date(s)
- 18 septembre 2020
Tarif(s)
Gratuit
Sur inscription : https://affluences.com/muma-musee-dart-moderne-andre-malraux/reservation
(catégorie « événement »)
Port du masque obligatoire
(catégorie « événement »)
Port du masque obligatoire

. ©Micheline Lelièvre
- -
Pour entamer le dense week-end des Journées du Patrimoine, le MuMa a le plaisir de proposer la performance Clair de Nuit du collectif Pignon sur rue.
« Clair de nuit est une performance construite en résonance avec l'exposition Nuits électriques. C'est un voyage entre la nuit, les lumières, les perceptions et imaginaires auxquels cela renvoie. Du mystère aux moments festifs, de la mer à la ville en passant par la campagne, Clair de nuit est conçu pour créer une profondeur de champ poétique à quelques œuvres sélectionnées parmi celles exposées. »
chorégraphie Micheline Lelièvre
musique Alexandre Roure
danse Célia Abitabile, Violette Angé, Micheline Lelièvre
« Clair de nuit est une performance construite en résonance avec l'exposition Nuits électriques. C'est un voyage entre la nuit, les lumières, les perceptions et imaginaires auxquels cela renvoie. Du mystère aux moments festifs, de la mer à la ville en passant par la campagne, Clair de nuit est conçu pour créer une profondeur de champ poétique à quelques œuvres sélectionnées parmi celles exposées. »
chorégraphie Micheline Lelièvre
musique Alexandre Roure
danse Célia Abitabile, Violette Angé, Micheline Lelièvre
Date(s)
- 18 septembre 2020
Tarif(s)
Gratuit
Sur inscription : https://affluences.com/muma-musee-dart-moderne-andre-malraux/reservation
(catégorie « événement »)
Port du masque obligatoire
(catégorie « événement »)
Port du masque obligatoire

. © Arianne Olthaar
- -
En écho à l’exposition Nuits électriques qui s'est tenu cet été au MuMa.
Des Nuits électriques de Berlin, Londres et Prague, filmées en 1928 par Eugène Deslaw à l’aube glauque des sinistres banlieues saisies par Thomas Köner, Nocturama se déroule comme autant de visions de la nuit urbaine.
Usines de la zone industrielle de Montréal, train suspendu – celui d’Alice dans les Villes, enseignes lumineuses de Tokyo ou de San Francisco, rues désertes de l’East End londonien participent à ce spectacle nocturne où les lumières électriques recomposent l’espace urbain : la ville se métamorphose, se faisant tour à tour stimulante, inquiétante, inspirante.
Programme :
Emilie Serri, À l’est des vents, 2009, 6’06
Richard Tuohy, Ginza strip, 2014, 9’00
Paul Clipson, Chorus, 2009, 7’00
Eugène Deslaw, Nuits électriques, 1928, 13’00
Arianne Olthaar, Schwebebahn, 2016, 3’38
Théodora Barat, Or anything at all except the dark pavement, 2011, 5’00
Emily Richardson, Nocturne, 2002, 5’00
Thomas Köner, Suburbs of the void, 2004, 13’00
Une fois par mois, d’octobre à mai, le MuMa invite le public à explorer le vaste territoire de l’image en mouvement* avec MuMaBoX.
Ce rendez-vous régulier propose de porter un regard sur des oeuvres dont la richesse et la diversité ouvrent des horizons nouveaux : dans une logique de décloisonnement des genres et des supports, pionniers et jeunes artistes de toutes provenances se côtoient dans cet espace de diffusion ouvert à tous.
Au fil des années, la programmation s’est nourrie d’événements réguliers : la saison ouvre avec la rencontre d’un artiste et se clôt avec celle d’un chercheur. Entre les deux, se succèdent projections consacrées au film documentaire, séances thématiques ou monographiques qui peuvent faire écho aux expositions du musée.
Pour cette 11e saison, le partenariat avec l’ESADHaR se poursuit. Il permet d’intégrer le cycle de projections dans le cursus des étudiants qui peuvent ainsi valoriser leur expérience de MuMaBoX, dispositif exceptionnel pour un musée de province.
* cinéma de recherche, expérimental, art vidéo, animation, documentaire…
Programmation : Christophe Guérin
Pour recevoir la lettre d’information électronique : mumabox@laposte.net
Des Nuits électriques de Berlin, Londres et Prague, filmées en 1928 par Eugène Deslaw à l’aube glauque des sinistres banlieues saisies par Thomas Köner, Nocturama se déroule comme autant de visions de la nuit urbaine.
Usines de la zone industrielle de Montréal, train suspendu – celui d’Alice dans les Villes, enseignes lumineuses de Tokyo ou de San Francisco, rues désertes de l’East End londonien participent à ce spectacle nocturne où les lumières électriques recomposent l’espace urbain : la ville se métamorphose, se faisant tour à tour stimulante, inquiétante, inspirante.
Programme :
Emilie Serri, À l’est des vents, 2009, 6’06
Richard Tuohy, Ginza strip, 2014, 9’00
Paul Clipson, Chorus, 2009, 7’00
Eugène Deslaw, Nuits électriques, 1928, 13’00
Arianne Olthaar, Schwebebahn, 2016, 3’38
Théodora Barat, Or anything at all except the dark pavement, 2011, 5’00
Emily Richardson, Nocturne, 2002, 5’00
Thomas Köner, Suburbs of the void, 2004, 13’00
Une fois par mois, d’octobre à mai, le MuMa invite le public à explorer le vaste territoire de l’image en mouvement* avec MuMaBoX.
Ce rendez-vous régulier propose de porter un regard sur des oeuvres dont la richesse et la diversité ouvrent des horizons nouveaux : dans une logique de décloisonnement des genres et des supports, pionniers et jeunes artistes de toutes provenances se côtoient dans cet espace de diffusion ouvert à tous.
Au fil des années, la programmation s’est nourrie d’événements réguliers : la saison ouvre avec la rencontre d’un artiste et se clôt avec celle d’un chercheur. Entre les deux, se succèdent projections consacrées au film documentaire, séances thématiques ou monographiques qui peuvent faire écho aux expositions du musée.
Pour cette 11e saison, le partenariat avec l’ESADHaR se poursuit. Il permet d’intégrer le cycle de projections dans le cursus des étudiants qui peuvent ainsi valoriser leur expérience de MuMaBoX, dispositif exceptionnel pour un musée de province.
* cinéma de recherche, expérimental, art vidéo, animation, documentaire…
Programmation : Christophe Guérin
Pour recevoir la lettre d’information électronique : mumabox@laposte.net
Date(s)
- 16 décembre 2020
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
Port du masque obligatoire

. © Christophe Guérin
- -
10 ans. 10 ans déjà que MuMaBoX nous régale d’images en tout genre. Pour le plaisir, oui. Mais pas uniquement.
À bien y regarder de près, le programme s’est imposé, saison après saison, comme le cœur d’une réflexion aux multiples facettes. Il s’est agi de faire découvrir, posant des jalons historiques et conceptuels, la diversité de « l’image en mouvement ». Il s’est agi de donner corps, proposant des projections de tous ordres, à la matérialité et à la technicité de ce champ. Il s’est agi enfin de donner la parole – donner la parole à des artistes de tous horizons à travers leurs films, donner la parole à des réalisateurs à propos de leur travail, donner la parole, aussi, aux spectateurs de MuMaBoX, pour soulever des interrogations, exprimer un étonnement, proposer un point de vue…
Pour le MuMa, ces cycles de projection sont devenus l’un des pivots essentiels de son ouverture aux publics et aux créateurs.
Alors, pas peu fier de ce programme – car il faut dire aussi son caractère unique : qui peut s’enorgueillir en France aujourd’hui de proposer des projections de films rares dans leur format d’origine et gratuitement, excepté dans certaines salles parisiennes ? – et pour marquer le début de cette 11e saison, nous vous proposons une sélection très (très) subjective de films ayant jalonnés ces dix années. Un point, non pas final, mais virgule, posé là pour tout à la fois clore un chapitre de l’histoire de MuMaBoX et en entamer un autre, que nous espérons aussi réjouissant, ouvert, exigeant, curieux et généreux… que le premier.
Une fois par mois, d’octobre à mai, le MuMa invite le public à explorer le vaste territoire de l’image en mouvement* avec MuMaBoX.
Ce rendez-vous régulier propose de porter un regard sur des oeuvres dont la richesse et la diversité ouvrent des horizons nouveaux : dans une logique de décloisonnement des genres et des supports, pionniers et jeunes artistes de toutes provenances se côtoient dans cet espace de diffusion ouvert à tous.
Au fil des années, la programmation s’est nourrie d’événements réguliers : la saison ouvre avec la rencontre d’un artiste et se clôt avec celle d’un chercheur. Entre les deux, se succèdent projections consacrées au film documentaire, séances thématiques ou monographiques qui peuvent faire écho aux expositions du musée.
Pour cette 11e saison, le partenariat avec l’ESADHaR se poursuit. Il permet d’intégrer le cycle de projections dans le cursus des étudiants qui peuvent ainsi valoriser leur expérience de MuMaBoX, dispositif exceptionnel pour un musée de province.
* cinéma de recherche, expérimental, art vidéo, animation, documentaire…
Programmation : Christophe Guérin
Pour recevoir la lettre d’information électronique : mumabox@laposte.net
À bien y regarder de près, le programme s’est imposé, saison après saison, comme le cœur d’une réflexion aux multiples facettes. Il s’est agi de faire découvrir, posant des jalons historiques et conceptuels, la diversité de « l’image en mouvement ». Il s’est agi de donner corps, proposant des projections de tous ordres, à la matérialité et à la technicité de ce champ. Il s’est agi enfin de donner la parole – donner la parole à des artistes de tous horizons à travers leurs films, donner la parole à des réalisateurs à propos de leur travail, donner la parole, aussi, aux spectateurs de MuMaBoX, pour soulever des interrogations, exprimer un étonnement, proposer un point de vue…
Pour le MuMa, ces cycles de projection sont devenus l’un des pivots essentiels de son ouverture aux publics et aux créateurs.
Alors, pas peu fier de ce programme – car il faut dire aussi son caractère unique : qui peut s’enorgueillir en France aujourd’hui de proposer des projections de films rares dans leur format d’origine et gratuitement, excepté dans certaines salles parisiennes ? – et pour marquer le début de cette 11e saison, nous vous proposons une sélection très (très) subjective de films ayant jalonnés ces dix années. Un point, non pas final, mais virgule, posé là pour tout à la fois clore un chapitre de l’histoire de MuMaBoX et en entamer un autre, que nous espérons aussi réjouissant, ouvert, exigeant, curieux et généreux… que le premier.
Une fois par mois, d’octobre à mai, le MuMa invite le public à explorer le vaste territoire de l’image en mouvement* avec MuMaBoX.
Ce rendez-vous régulier propose de porter un regard sur des oeuvres dont la richesse et la diversité ouvrent des horizons nouveaux : dans une logique de décloisonnement des genres et des supports, pionniers et jeunes artistes de toutes provenances se côtoient dans cet espace de diffusion ouvert à tous.
Au fil des années, la programmation s’est nourrie d’événements réguliers : la saison ouvre avec la rencontre d’un artiste et se clôt avec celle d’un chercheur. Entre les deux, se succèdent projections consacrées au film documentaire, séances thématiques ou monographiques qui peuvent faire écho aux expositions du musée.
Pour cette 11e saison, le partenariat avec l’ESADHaR se poursuit. Il permet d’intégrer le cycle de projections dans le cursus des étudiants qui peuvent ainsi valoriser leur expérience de MuMaBoX, dispositif exceptionnel pour un musée de province.
* cinéma de recherche, expérimental, art vidéo, animation, documentaire…
Programmation : Christophe Guérin
Pour recevoir la lettre d’information électronique : mumabox@laposte.net
Date(s)
- 14 octobre 2020
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
Port du masque obligatoire

. © Droits réservés
Une guitare entre les mains, deux autres posées à ses pieds, quelques ressorts, résonateurs, couteaux, archets ou jouets divers pour que vibrent les cordes et sympathisent les résonnances, Greg Malcolm use d'un matériel changeant et d'une grande variété de timbres pour aboutir à une forme hypnotique fondée sur la réitération de mélodies impalpables auréolées de drones acoustiques. Ce musicien, qui nous vient de Nouvelle-Zélande, aime à penser que chaque son obéit à un mouvement précis et dépend également de l'outil choisi dans l'instant. Quelque part entre blues, musique répétitive et approche cagienne de l'instrument préparé, son univers évoque à la fois l'infinitude du désert et les cahots de la piste.
Avec :
Greg Malcolm, guitares
A savoir : au moment du concert, le montage de la nouvelle exposition du MuMa battra son plein. Le concert pourrait de ce fait être programmé en salle de conférence en fonction des conditions d’avancement du montage.
Dans le cadre du festival PiedNu
Avec :
Greg Malcolm, guitares
A savoir : au moment du concert, le montage de la nouvelle exposition du MuMa battra son plein. Le concert pourrait de ce fait être programmé en salle de conférence en fonction des conditions d’avancement du montage.
Dans le cadre du festival PiedNu
Date(s)
- 05 avril 2020
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

. © Droits réservés
Entre cuivres, pierres et peaux, bruissements de fougères et souffle incandescent, percussions et saxophones puisent l'organicité de leur chant à la source d'une nature en pleine vibration. Du vent dans les arbres à l'eau ruisselant sur les roches, leur imaginaire se nourrit de paysages et dissipe dans l'instant la fulgurance poétique de résonnances immédiates aussi furtives qu'essentielles.
Avec :
Mathieu Bec et Guy-Frank Pellerin Saxa Petra : percussions, saxophone
A savoir : au moment du concert, le montage de la nouvelle exposition du MuMa battra son plein. Le concert pourrait de ce fait être programmé en salle de conférence en fonction des conditions d’avancement du montage.
Dans le cadre du festival PiedNu
Avec :
Mathieu Bec et Guy-Frank Pellerin Saxa Petra : percussions, saxophone
A savoir : au moment du concert, le montage de la nouvelle exposition du MuMa battra son plein. Le concert pourrait de ce fait être programmé en salle de conférence en fonction des conditions d’avancement du montage.
Dans le cadre du festival PiedNu
Date(s)
- 29 mars 2020
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

. © Droits réservés
Benjamin Bondonneau est un musicien plasticien qui pétrit les matières sonores ou picturales avec la même puissance qu'il construit sa maison ou retourne sa terre de Dordogne. Improvisateur militant, il inscrit sa clarinette dans les contextes les plus divers, du solo intégral au Grand Ensemble… Un artiste en phase avec le réel qui apprécie plus que tout l'intimité du soliloque et la complicité d'un public à l'écoute.
Avec :
Benjamin Bondonneau, clarinette
A savoir : au moment du concert, le montage de la nouvelle exposition du MuMa battra son plein. Le concert pourrait de ce fait être programmé en salle de conférence en fonction des conditions d’avancement du montage.
Dans le cadre du festival PiedNu
Avec :
Benjamin Bondonneau, clarinette
A savoir : au moment du concert, le montage de la nouvelle exposition du MuMa battra son plein. Le concert pourrait de ce fait être programmé en salle de conférence en fonction des conditions d’avancement du montage.
Dans le cadre du festival PiedNu
Date(s)
- 29 mars 2020
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

10000 Gestes - MIF / © Tristram Kenton - MIF, 2017
Ce programme fait suite à l’annulation de
À bras-le-corps en raison d’une blessure.
À bras-le-corps en raison d’une blessure.
En prologue à la représentation du 4 février à l’Opéra de Rouen Normandie, Boris Charmatz et terrain proposent des extraits en solo et trio de 10000 gestes, interprétés par Dimitri Chamblas, Tatiana Julien et Solène Wachter.
Pour ce spectacle j’imagine une forêt chorégraphique dans laquelle aucun geste n’est jamais répété par aucun des danseurs en présence. 10000 gestes qui ne seront visibles qu’une seule fois, disparus aussitôt que tracés, comme une ode à l’impermanence de l’art de la danse. Cette pluie de mouvements, qui pourrait être un data-projet généré par des listes de paramètres numérisés seront au contraire générés artisanalement, à même le corps des interprètes, de manière absolument subjective. À l’hypnose visuelle de la boulimie de mouvement correspondra un versant méditatif, voire mélancolique : le « don » de mouvements condamnés à la disparition symbolique. — Boris Charmatz
Chorégraphie : Boris Charmatz
Interprétation : Dimitri Chamblas, Tatiana Julien et Solène Wachter
Régie : Iannis Japiot
Matériaux sonores : Requiem en ré mineur K.626 de Wolfgang Amadeus Mozart (1756-1791), interprété par l’Orchestre Philharmonique de Vienne, direction Herbert von Karajan,
enregistré au Musikverein (Vienne) en 1986 (1987 Polydor International GmbH, Hambourg ; enregistrements de terrain par Mathieu Morel à Mayfield Depot, Manchester
Production et diffusion : terrain
terrain est soutenu par le Ministère de la Culture – Direction Générale de la Création Artistique, et la Région Hauts-de-France. Dans le cadre de son implantation en Hauts-de-France, terrain est associé à l’Opéra de Lille, au phénix scène nationale de Valenciennes, et à la Maison de la Culture d’Amiens.
Boris Charmatz est également artiste accompagné par Charleroi danse (Belgique) durant trois années, de 2018 à 2021.
Danseur, chorégraphe et directeur artistique de terrain, Boris Charmatz soumet la danse à des contraintes formelles qui redéfinissent le champ de ses possibilités.
De 2009 à 2018, Boris Charmatz dirige le Musée de la danse - Centre chorégraphique national de Rennes et de Bretagne, puis lance terrain, structure implantée dans la région Hauts-de-France en janvier 2019.
D’Aatt enen tionon (1996) à infini (2019), il signe un série de pièces qui ont fait date, en parallèle de ses activités d’interprète et d’improvisateur (notamment avec Médéric Collignon, Anne Teresa De Keersmaeker et Tino Sehgal).
Artiste associé de l’édition 2011 du Festival d’Avignon, il ycréé enfant, pièce pour 26 enfants et 9 danseurs.
Invité au MoMA (New York) en 2013, à la Tate Modern (Londres) en 2012 et 2015, à l’Opéra de Paris en 2015, il y présente des versions inédites et in situ des projets chorégraphiques À bras-le-corps, Levée des conflits,
manger, Roman Photo, expo zéro et 20 danseurs pour le XXe siècle.
Il signe également le projet Fous de danse, une invitation à vivre la danse sous toutes ses formes de midi à minuit dans l’espace public, qui connaîtra trois éditions à Rennes (2015, 2016 et 2018) et d’autres à Brest, Berlin et Paris (en 2017).
Boris Charmatz a été artiste associé de la Volksbühne durant la saison 2017-2018.
Dans le cadre du festival Pharenheit
Le projet du Phare est porté par une équipe artistique, administrative et technique permanente et intermittente, qui oeuvre à la réalisation du festival Pharenheit. Nous remercions l’équipe du MuMa pour son engagement.

Date(s)
- 02 février 2020
Tarif(s)
Gratuit
Réservation obligatoire, aux heures d'ouverture du musée, à l'accueil et par téléphone au 02 35 19 62 72