AQUARIUMS,  un concert d’Aurélie Saraf et Elsa Balas en forme de  variations à partir de l’Aquarium de Camille Saint Saëns. En partenariat avec l’Invitation au voyage.

L’invitation au voyage vous propose trois balades musicales et sonores par deux solistes de renommée internationale, Aurélie Saraf (harpe) et Elsa Balas (alto) et une partition sonore signée Romain Ponsot. Une plongée dans les univers de la musique française du XIXème, de musiques contemporaines et d’improvisations.
Avec :
Aurélie Saraf, harpiste curieuse, comme elle aime se définir, aime la création sous toutes ses formes. Interprète pour les plus grands orchestres français, elle aime faire découvrir les musiques contemporaines, et l’improvisation, notamment au sein de la Compagnie des Musiques à Ouïr.

Elsa Balas, altiste reconnue internationalement et passionnée de viole d’amour, aime tout particulièrement le répertoire du XXème siècle dans tous ses éclats, et la musique de chambre (notamment au sein de l’ensemble L’instant donné).
   

A l’occasion de la Fête de la musique, le MuMa s’associe au Conservatoire Arthur Honegger du Havre. Et le Conservatoire vous propose d’embarquer avec le Quatuor 3.XIII, un quatuor à cordes composé de quatre musiciennes havraises, accompagnées pour l’occasion du comédien Vincent Delaforge.

La mer, par son mouvement perpétuel, sa faune et sa flore fantasmées ou encore son appel au voyage, a fasciné nombre d’écrivains et compositeurs, qui, à l’instar des peintres, trouvèrent en cet élément une source d’inspiration sans bornes. Du murmure au grondement, cette "Ballade en eaux de mer" propose au spectateur, au-delà de simples musiques descriptives, plusieurs visions musicales et littéraires.
 
Affectionnant particulièrement, les rencontres avec d’autres formes artistiques, le Quatuor 3.XIII collabore régulièrement avec le comédien Vincent Delaforge pour des spectacles entrelaçant textes et musiques.
 
Au programme:
Arthur Honegger (1892-1955), Chansons de la Sirène
Henri Woollett (1864-1936), 1er mouvement du Quatuor à cordes
Gabriel Fauré (1845-1924), Après un rêve
Ernest Bloch (1885-1977), Paysages, Night et Prélude
Claude Debussy (1862-1918), Arabesque
Philip Glass (1937-), 1er et 2ème mouvements du Quatuor « Mishima »
Textes de Pierre Loti, Marcel Schwob, Ernest Hemingway, Federico Garcia Lorca.....
 
Par le Quatuor 3.XIII, avec :
Pascale Delaveau – 1er violon,
Cécile Lucas – 2ème violon,
Hélène Le Roux – Alto,
et Aline Bertrand – Violoncelle.
Et Vincent Delaforge, récitant.

Du début du 19ème siècle avec le courant Sturm und drang au courant pré-impressionniste qui émerge au début du 20ème siècle, la musique se nourrit étroitement de littérature :

• Beethoven, dont la force et la vigueur des compositions ne peuvent que renvoyer à ce Tempête et passion inspiré par Goethe  (l'une de ses sonates, la Tempête, ne fait-elle pas, d'ailleurs, référence à William Shakespeare ?)
• Ernest Chausson, lui, crée une pièce emblématique du répertoire pour violon et orchestre, sous le titre de Poème, et inspirée d'une nouvelle d'Ivan Tourgueniev, Le Chant de l'amour triomphant.
• Enfin, Karol Szymanowski offre au tournant du siècle un triptyque Mythes dans lequel figure cette allégorie musicale inspirée de la légende grecque d’Aréthuse.

L’homme, dans la spontanéité romantique de ses passions (en contraste avec la rationalité qui avait précédé)  fusionne avec la Nature, et avec la force des éléments naturels (la tempête, encore ?..) et  surnaturels.

La voie est alors ouverte vers l’expression de l’imaginaire, de l’onirique, et au surgissement de créatures fantastiques : sonates, poèmes, nymphes et néréides se côtoient, s’entremêlent, et confèrent à la musique un nouveau souffle empreint de sentiments, de couleurs et de volupté…
 
Au programme :
Beethoven,  Sonate n°4 en la m pour violon et piano
Ernest Chausson, Poème opus 25 pour violon et réduction piano
Karol Szymanowski, La fontaine d’Aréthuse (extrait des Mythes, opus 30) pour violon et piano
 
Avec :
Paul-Marie Beauny, violon
Emma Stephenson, piano
 

Le MuMa invite Teuthis, artiste havrais bien connu des amateurs de street art. En écho à son propre travail autour de créatures marines, et en relation avec celles que l’on pourra rencontrer dans l’exposition Né(e)s de l’écume et des rêves, l’atelier sera l’occasion, pour les participants, d’aborder les mondes  sous-marins au prisme de l’art et de la science.

Découvrez l'exposition Né(e)s de l'écume et des rêves en compagnie d'une médiatrice du musée.

Découvrez l'exposition Né(e)s de l'écume et des rêves en compagnie d'une médiatrice du musée.

Découvrez l'exposition Né(e)s de l'écume et des rêves en compagnie d'une médiatrice du musée.

Le changement climatique s’est soudainement accéléré, la dystopie d’hier est devenue réalité. Bien des littoraux se sont redessinés et en 2044 le MuMa a la tête sous l’eau. Les méduses qui prolifèrent dans les océans sont devenues les visiteuses du musée havrais.
C’est à partir de ce scénario que l’artiste havrais Hervé Delamare proposera aux participants de l’atelier de mettre en action leur imaginaire, de dessiner et mettre en scène ces mystérieuses et fascinantes méduses.
 

Quatre musiciens, une quinzaine d’instruments, autant de compositeurs, des musiques du Moyen Age, du 19ème siècle et même du 20ème.
Principalement des chansons, qu’elles soient « brunettes » ou « lamentables », spirituelles ou opératiques, de la plume de Praetorius, Goudimel ou Liszt, ou de tradition orale d’Ecosse ou de France.

Une joyeuse balade au fil des siècles où l’on croisera des amoureux scrutant l’océan, des exilés pleurant sur les rives d’un fleuve, des récits de grandes traversées ou de retrouvailles insulaires, des sirènes et, bien sûr, quelques noyades.

On y entendra une déesse assoiffée transformant ses bourreaux en grenouilles, des exilés pleurant sur les rives d’un fleuve... On souffrira d’amoureuses brûlures, comme pendant une journée sans eau sous un soleil cuisant… On traversera un ruisseau, avec ou sans sirènes… On attendra sur une rive le retour de l’être aimé, le cœur comme un bateau balloté par les flots, puis nous partirons en mer - passage vers l’Autre Monde – bercés par les chants des travailleurs de la mer, peut-être sous quelques nuages…

Oxyton
Elsa Papatanasios, chant et percussions
Emmanuelle Huteau, chant,  clarinette, doucliane et tuba
Augusto de Alencar, chant, doulciane, flûtes à bec et traversières et percussions
Michel Gendre, guitares, luths et oud

En savoir plus : le site d'Oxyton.


 

Quatre musiciens, une quinzaine d’instruments, autant de compositeurs, des musiques du Moyen Age, du 19ème siècle et même du 20ème.
Principalement des chansons, qu’elles soient « brunettes » ou « lamentables », spirituelles ou opératiques, de la plume de Praetorius, Goudimel ou Liszt, ou de tradition orale d’Ecosse ou de France.

Une joyeuse balade au fil des siècles où l’on croisera des amoureux scrutant l’océan, des exilés pleurant sur les rives d’un fleuve, des récits de grandes traversées ou de retrouvailles insulaires, des sirènes et, bien sûr, quelques noyades.

On y entendra une déesse assoiffée transformant ses bourreaux en grenouilles, des exilés pleurant sur les rives d’un fleuve... On souffrira d’amoureuses brûlures, comme pendant une journée sans eau sous un soleil cuisant… On traversera un ruisseau, avec ou sans sirènes… On attendra sur une rive le retour de l’être aimé, le cœur comme un bateau balloté par les flots, puis nous partirons en mer - passage vers l’Autre Monde – bercés par les chants des travailleurs de la mer, peut-être sous quelques nuages…

Oxyton
Elsa Papatanasios, chant et percussions
Emmanuelle Huteau, chant,  clarinette, doucliane et tuba
Augusto de Alencar, chant, doulciane, flûtes à bec et traversières et percussions
Michel Gendre, guitares, luths et oud

En savoir plus : le site d'Oxyton.