MuMa

Philippe DE GOBERT (1946), LH 2034, 2020, tirage numérique 1/3, 148 x 104 cm. Courtesy Galerie Aline Vidal. © Philippe De Gobert © Adagp, Paris 2021
Philippe DE GOBERT (1946), LH 2034, 2020, tirage numérique 1/3, 148 x 104 cm. Courtesy Galerie Aline Vidal. © Philippe De Gobert © Adagp, Paris 2021

Découvrez l'exposition Philippe De Gobert. Du merveilleux en architecture au conte photographique, en compagnie d'une médiatrice culturelle du musée.
Pierre BONNARD (1867-1947), Intérieur au balcon, 1919, huile sur toile, 52 x 77 cm. © MuMa Le Havre / David Fogel
Pierre BONNARD (1867-1947), Intérieur au balcon, 1919, huile sur toile, 52 x 77 cm. © MuMa Le Havre / David Fogel

Après un long moment de fermeture, venez découvrir ou redécouvrir les œuvres emblématiques de nos collections permanentes, accompagné par une médiatrice du musée.
Véronique ELLENA (1966), Lever de lune, porte Océane , 2007, photographie, 80 x 100 cm. Le Havre, Musée d'art moderne André Malraux, achat de la Ville, 2010. © MuMa Le Havre / Véronique Ellena
Véronique ELLENA (1966), Lever de lune, porte Océane , 2007, photographie, 80 x 100 cm. Le Havre, Musée d'art moderne André Malraux, achat de la Ville, 2010. © MuMa Le Havre / Véronique Ellena

Événement sous réserve de l’évolution de la situation sanitaire

Venez en famille découvrir les œuvres du MuMa accompagnés par une médiatrice du musée à travers l’accrochage renouvelé des collections permanentes - l’occasion de faire connaissance avec certaines peintures, gravures ou photographies jusqu’alors gardées au chaud dans les réserves.
Auguste POINTELIN (1839-1933), Plateau de Saint-Laurent (Jura), vers 1895, pastel sur papier, 55 x 70 cm. Le Havre, musée d’art moderne André Malraux. © MuMa Le Havre / Charles Maslard
Auguste POINTELIN (1839-1933), Plateau de Saint-Laurent (Jura), vers 1895, pastel sur papier, 55 x 70 cm. Le Havre, musée d’art moderne André Malraux. © MuMa Le Havre / Charles Maslard

Événement sous réserve de l’évolution de la situation sanitaire

Voyage d’hiver express


A l’occasion de l’accrochage renouvelé des collections permanentes du MuMa, une médiatrice vous emmène à la découverte d’œuvres emblématiques de ces collections mais aussi d’autres peintures, gravures ou photographies du musée rarement présentées au public, en 30 minutes chrono !
Albert MARQUET (1875-1947), Herblay. Automne. Le Remorqueur, 1919, huile sur carton entoilé, 33 x 41 cm. Le Havre, musée d’art moderne André Malraux, donation famille Siegfried, 2020. © MuMa Le Havre / Charles Maslard
Albert MARQUET (1875-1947), Herblay. Automne. Le Remorqueur, 1919, huile sur carton entoilé, 33 x 41 cm. Le Havre, musée d’art moderne André Malraux, donation famille Siegfried, 2020. © MuMa Le Havre / Charles Maslard

Événement sous réserve de l’évolution de la situation sanitaire

Voyage dans les collections


A l’occasion de l’accrochage renouvelé des collections permanentes du MuMa, une médiatrice vous emmène à la découverte d’œuvres emblématiques de ces collections mais aussi d’autres peintures, gravures ou photographies du musée rarement présentées au public.
Albert MARQUET (1875-1947), Herblay. Automne. Le Remorqueur, 1919, huile sur carton entoilé, 33 x 41 cm. Le Havre, musée d’art moderne André Malraux, donation famille Siegfried, 2020. © MuMa Le Havre / Charles Maslard
Albert MARQUET (1875-1947), Herblay. Automne. Le Remorqueur, 1919, huile sur carton entoilé, 33 x 41 cm. Le Havre, musée d’art moderne André Malraux, donation famille Siegfried, 2020. © MuMa Le Havre / Charles Maslard

Événement sous réserve de l’évolution de la situation sanitaire

Voyage dans les collections


A l’occasion de l’accrochage renouvelé des collections permanentes du MuMa, une médiatrice vous emmène à la découverte d’œuvres emblématiques de ces collections mais aussi d’autres peintures, gravures ou photographies du musée rarement présentées au public.

Cette fois, tu apportes ta trousse d’école au musée (si si !).
Ton crayon à papier et ta gomme, c’est tout ce dont tu auras besoin pour faire jaillir un trottoir, un réverbère (ou deux ou trois), la nuit et la lumière.
A vos réverbères….  Prêts ? Dessinez !
Cécile Mainardi . © Gilles Dacquin
Cécile Mainardi . © Gilles Dacquin

Geneviève Asse est identifiée aujourd’hui par une couleur incomparable, le « bleu Asse », dont elle décline les innombrables modulations. Pour ouvrir le dialogue et entrer en résonance avec l’une de ses œuvres, Ouverture II : la voix et les poèmes de Cécile Mainardi, la mer au loin… et la magie opère.
 
Cécile Mainardi est « exo-poète ». Parmi ses œuvres  poétiques : La Blondeur, Je suis une grande Actriste, L’Immaculé Conceptuel, Rose Activité Mortelle, Idéogrammes Acryliques... Autant d’ouvrages où elle tourne autour d’un point de sidération depuis lequel le langage ne semble renvoyer qu’à son propre mirage. Depuis cinq ans, elle concentre toutefois sa pratique du côté de l’image et de la situation parlée, comme si toute ses œuvres textuelles n'avaient été qu'un liminaire conceptuel à ce geste désormais décisif de déplacer le poème dans l'art.
 
Cécile Mainardi revisitera ici le bestiaire qu’elle n’a jamais voulu ni même pensé écrire, mais qui se trouve néanmoins diffracté dans ses différents ouvrages…
 
Un événement programmé dans le cadre du festival Terres de Paroles
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Le MuMa vous ouvrira ses portes gratuitement tout le long du week-end et vous proposera différentes activités pour vous faire découvrir l’exposition Nuits électriques.
En raison des conditions sanitaires actuelles, la réservation de votre créneau de visite (libre ou commentée) reste obligatoire, ainsi que le port du masque !
 
 
 
 
 
 
Au programme :
- Visitez librement le musée, à votre rythme, et profitez-en si le cœur vous en dit pour vous laisser porter par la proposition originale d’audioguide « Voyage en Nuits électriques »
- Des visites commentées seront proposées tout au long du week-end. Sous la forme de courts focus, les médiatrices du MuMa mettront en lumière quelques thèmes essentiels de l’exposition par la présentation d’une ou deux œuvres.
- Pour tous ceux qui auront réservé une visite (libre ou commentée), vous pourrez profiter de l’atelier « Carton Pixel », en salle de conférence, et participer à la création d’une réalisation collective inspirée de nos Nuits électriques.

Dimanche 20 septembre
 
∆ De 11h à 19h
Carton Pixel
Carton Pixel s'installe au MuMa pour un atelier collectif « grandeur pixel » autour de l'œuvre Prismes électriques de Sonia Delaunay à partir de pixels fabriqués en cartons colorés.
 
Dans le cadre de leur projet « cartons numériques », Claire Le Breton et Simon Leroux ont imaginé un système de projection d’image sur un plateau permettant de recomposer un tableau en une version « pixelisée ».
Avant de réaliser l’image, il faut fabriquer la matière première ! A partir de d’emballages carton, chacun est invité à prendre part à la grande fabrique de mini-pixels. Grâce à différents outils conçus spécialement, des milliers de pixels sont ainsi découpés, triés par couleurs et enfin déposés sur le plateau pour reconstituer l’image choisie, tel un puzzle lumineux à composer.
 
http://www.lminuscule.com/carton-pixel-1-dufy-au-muma/
 
∆ 14h
Le Havre électrique
Tout au long du XIXe siècle, Paris s’illumine et devient la Ville Lumière que le monde entier admire. Mais qu’en est-il du Havre ? Cité portuaire et industrielle, transformer la nuit en jour est pour elle une nécessité. Les halos électriques guident les navires en mer et prolongent le travail à quai. Partons à la découverte des fascinantes lumières havraises que les artistes n’ont pas manqué de représenter.
Par Raphaëlle Marin
 
∆ 14h30
Nuits fauves
Qui mieux qu’un artiste peut être sensible à l’atmosphère nocturne des quartiers dédiés au plaisir au cœur d’une grande ville… Dans les pas de Théophile-Alexandre  Steinlen, de Jules Chéret ou de Pierre Bonnard, la rue parisienne, avec toutes ses foules de noctambules, se dévoile dans un jeu d’ombres et de lumières ; éclairée par la lueur des réverbères.
Par Karine Martin de Beaucé
 
∆ 15h
Caillebotte, Marville & les réverbères
Tout au long du XIXème siècle, les réverbères fleurissent sur les trottoirs parisiens et transforment le paysage urbain. Voyons comment le peintre Gustave Caillebotte et le photographe Charles Marville en ont fait le motif central de leurs œuvres.
Par Bénédicte Marin
 
∆ 15h30
Le Havre électrique
 
∆ 16h
Nuits fauves
 
∆ 16h30
Caillebotte, Marville & les réverbères
 
∆ 17h
Le Havre électrique
 
∆ 17h30
Nuits fauves
 
∆ 18h
Caillebotte, Marville & les réverbères 

Cette fois, tu apportes ta trousse d’école au musée (si si !).
Ton crayon à papier et ta gomme, c’est tout ce dont tu auras besoin pour faire jaillir un trottoir, un réverbère (ou deux ou trois), la nuit et la lumière.
A vos réverbères….  Prêts ? Dessinez !

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