MuMa

Atelier enfants. © Nathalie Chauvin
Atelier enfants. © Nathalie Chauvin

Après une visite de l’exposition, imagine à ton tour, en atelier, les jeux du vent et des nuages pour créer ta propre œuvre.
Techniques mixtes

Pendant l’été, le MuMa proposera aux 4-6 ans quatre ateliers, tous différents.
D’une séance de 2h chacun, ils permettront aux plus petits de se familiariser avec l’exposition temporaire Le vent. « Cela qui ne peut être peint », et de laisser filer leur imagination comme un courant d’air…
 
JEP 2022 sur le thème : Patrimoine Durable. ©  Droits réservés
JEP 2022 sur le thème : Patrimoine Durable. © Droits réservés

Comme à son habitude, le MuMa ouvre ses portes à l’occasion des Journées européennes du Patrimoine, permettant à tous de profiter de la gratuité pour découvrir l’exposition temporaire du moment et/ou pour redécouvrir ses collections permanentes.



3 thématiques de visites courtes (15min) seront proposées tout au long du week-end sur le thème du vent, et/ou du patrimoine durable – fil conducteur de cette édition 2022.
 
Hautes herbes agitées par le vent de Gloria Friedman. © ADAGP
Hautes herbes agitées par le vent de Gloria Friedman. © ADAGP
Souffle nouveau
Aujourd’hui encore les artistes rivalisent de créativité pour s’approprier le vent ; élément aussi insaisissable que capricieux. A travers leurs gestes précis, rafales et bourrasques transportent le spectateur au cœur d’une nature toujours plus menacée. A l’occasion des JEP, laissez-vous porter et venez découvrir les secrets des œuvres les plus récentes de l’exposition.

Samedi : 18h, 19h30 ou 21h
Dimanche : 14h30, 16h ou 17h30
 
Paysages orageux de Georges Michel. © Lyon MBA
Paysages orageux de Georges Michel. © Lyon MBA
Orages désirés
Faire du vent un sujet, peindre les ouragans et les orages, autant de défis que les peintres du XIXe siècle ont relevé avec panache !
Georges Michel, Jules Coignet, Emile Breton et bien d’autres artistes, vous invitent dans l’atelier de la nature à vous confronter aux éléments déchainés.

Samedi : 19h, 20h30 ou 22h
Dimanche : 14h, 15h30 ou 17h
 
Détail -  A sudden Gust of wind de Jeff Wall
Détail - A sudden Gust of wind de Jeff Wall
Un vent d’ironie
Plongée dans l’univers de Jeff Wall, immense artiste à la renommée internationale, et chez qui le vent… souffle le chaud et le froid, entre humour, ironie, et critique sociale.

Samedi : 18h30, 20h ou 21h30
Dimanche : 15h, 16h30 ou 18h



Horaires d’ouverture du musée :
A l’occasion de la soirée de clôture d’Un été au Havre, le MuMa joue les prolongations et fermera ses portes à 23h le samedi.
Samedi : 11h – 23h
Dimanche : 11h – 19h
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Normandie Impressionniste fêtera fin août les 150 ans d’Impression, soleil levant de Monet. A cette occasion, le MuMa invite Caroline Duchatelet, artiste contemporaine, pour la projection de l’une de ses œuvres. Et proposera un nouveau parcours numérique dans sa collection permanente, au premier étage du musée.
Pour cet événement, le musée ouvrira ses portes au lever du soleil : un moment privilégié pour découvrir l’exposition Le vent. « Cela qui ne peut être peint ».
 
Les aubes noires
L’artiste Caroline Duchatelet a fait de l’aube l’un de ses sujets de recherche et d’expérimentation. Le MuMa présentera sa vidéo « Dimanche 9 août » qui fait partie de la série des « Aubes noires ». Mais plus qu'à une simple projection, c'est à une expérience sensorielle, méditative... que le musée invitera ses visiteurs.
Rendez-vous à l’accueil du MuMa
 
Un parcours de visite
Le MuMa mettra également en service un nouveau parcours de visite, au format numérique, avec comme fil rouge, le motif du disque, du cercle, du rond… clin d’œil à la lune et au soleil que les artistes ont maintes fois représentés, jouant de cette forme géométrique simple pour nous parler, parfois, de tout autre chose…
Un QR code visible à proximité de 5 oeuvres situées au 1er étage du musée permettra d’accéder aux contenus en ligne.

Accès gratuit pour ces événements. Néanmoins, l'accès à l'exposition Le vent. « Cela qui ne peut être peint » reste soumis à l'achat d'un billet d'entrée.
 
Horaires détaillés :
De 7h à 21h le samedi
De 7h à 19h le dimanche

 
A propos de Caroline Duchatelet :
« Chaque paysage a son rythme, sa lumière, ses lumières, sa respiration, ses saisons. Marcher, attendre. M’accorder à ce paysage, à ses moments changeants. L’explorer, le rencontrer, suivre une orientation, une surface d’accueil de la lumière, m’arrêter dans un lieu qui me retient. M’y retirer. Y vivre les petites heures, celles de solitude, d’éveil, d’émergence du jour ou de sa fin. Ces heures qui effacent les limites, qui fondent les formes, qui atténuent la vue. Ces heures où le temps se mesure encore au déplacement de l’ombre, où il s’éprouve physiquement dans ses variations de températures. Ces heures où l’on perçoit les mouvements de lumière faire respirer le paysage, vagues d’ombres, vagues de brumes, lueurs qui apparaissent, qui s’effacent. Leur rythme est souffle. Un paysage respire et à chaque aube renaît toujours autre. »
 
La recherche de Caroline Duchatelet porte sur le paysage et la lumière. Elle a commencé par la sculpture, puis ses créations se sont insérées dans un paysage, une architecture. L'artiste s'est ensuite mise à l'écoute de la lumière elle-même. Elle réalise alors des installations in situ, associées à des compositions lumineuses. Elle continue aujourd'hui en explorant le champ de la vidéo et filme des paysages se transformant sous la lumière, dont une série, initiée en 2009 alors qu’elle est pensionnaire à la Villa Médicis, consacrée à l'aube.
 
https://www.documentsdartistes.org/artistes/duchatelet/repro.html
. droits réservés
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Une lecture ardente du texte de Christian Bobin par la comédienne Hélène Francisci, accompagnée des deux violons de Hélène Bordeaux et Pascale Thiébaux, dans des œuvres de Jean Sébastien Bach à Luciano Berio.
 
« Il nous faut mener double vie dans nos vies, double sang dans nos cœurs, la joie avec la peine, le rire avec les ombres, deux chevaux dans le même attelage, chacun tirant de son côté, à folle allure », écrit Christian Bobin dans son court roman qui sonne comme un poème. Faisant écho à son texte dont des extraits sont donnés en lecture, les musiciens de l’orchestre se lancent à folle allure dans l’interprétation de plusieurs pièces de musique de chambre transcrites pour duos de violons.
 
Au programme :
Texte : Christian Bobin, La Folle allure
Musique : transcription pour deux violons de pièces de Bach à Morricone en passant par Bartók, Mozart, Haydn et Prokofiev
Avec Hélène Bordeaux et Pascale Thiebaux, violons, et Hélène Francisci, récitante
 
En partenariat avec l’Opéra de Rouen Normandie
 
Présentation détaillée :
Une lecture ardente par la comédienne Hélène Francisci, accompagnée des 2 violons d'Hélène Bordeaux et Pascale Thiébaux, dans des œuvres de Jean Sébastien Bach à Luciano Berio.
 
La folle allure, c’est l'histoire de Lucie qui s'exerce toute sa vie à être libre.
La folle allure ce sont ses choix, ses renoncements, ses audaces, sa quête effrénée du bonheur.
La folle allure, c'est une échappée belle, celle de la légèreté et du désir, celle de l'art de la fugue, comme s'il fallait renaître à chaque battement de cœur, réinventer nos vies à l’infini.
Avec Bach, son « gros plein de notes », qui l’accompagnera tout au long de l’histoire et rythmera sa vie, Lucie nous invite  à être libre, comme la musique, et à vouloir le rester farouchement.
Musique en duo de violons, de Jean-Sébastien Bach à Luciano Berio …
 
Hélène Francisci, comédienne
Formée au Conservatoire de Rouen, à l'Ecole du Théâtre Des Deux Rives, Hélène Francisci est diplômée de l'Ecole du Théâtre National de Chaillot. Elle a suivi des stages avec Catherine Anne, Pierre Debauche, Robin Renucci, Pierre Vial, Brigitte Jacques, Mario Gonzales, Claire Lasne, Claudia Stavisky et Michel Lopez. Au théâtre, elle joue sous la direction de Laurent Berger (Le baladin du monde occidental, Grand peur et misère du IIIème Reich, Le suicidé), Sophie Lecarpentier (Une année sans été, Les rencontrées du bel hasard, Le jour de l'italienne, L'épreuve), Catherine Delattres (Le Cid, Les serments indiscrets), Maryse Ravera (Nous avons toutes la même histoire), Pierre Vial (El campiello, Le mariage de figaro), Eric Petitjean (Vous avez dit diablogues, Céleste, gouvernante de Proust), Yann Dacosta (Drink me dream me, Le village en flammes, Ma vie est une histoire vraie, Les larmes amères de Petra von Kant), Laetitia Botella (Je suis drôle). Yann Dacosta la choisit comme assistante sur Les légendes de la forêt viennoise Egalement lectrice et formatrice de théâtre et de lecture à voix haute, elle intervient au sein des bibliothèques, hôpitaux, prisons, entreprises et en milieu associatif, dans l'édition et auprès de l'Education Nationale (élèves et professeurs). Elle mène un projet en partenariat avec le Musée du Louvre et le Rectorat de Paris depuis de nombreuses années, intitulé « Viens lire au Louvre ». Hélène est aussi chanteuse et s'est formée auprès de Christiane Legrand qui lui a permis pendant de nombreuses années de se produire aux apéritifs concerts du Théâtre National de Chaillot. Elle crée en 2019 sa propre compagnie Une Chambre à soi avec l’auteure et comédienne Adelaïde Bon et Ariane Dionyssopoulos, plasticienne et comédienne.
 
Pascale Thiébaux, violoniste
Après des études au C. N. R. de Rueil Malmaison où elle obtient successivement un 1er prix de violon à l'unanimité avec félicitations du jury, un prix d'excellence et un prix de virtuosité, Pascale Thiébaux se tourne vers la musique de chambre. Lauréate du concours du Lyons Club, elle est amenée à se produire dans diverses saisons et festivals. Ses participations symphoniques successives au Forum des jeunes artistes à Bayreuth et au Festival d'Évian la conduisent par la suite vers le métier d’orchestre. Elle passe le concours de l'Opéra de Rouen -Normandie, qu'elle intègre en 1996. Elle exerce en parallèle le métier d'enseignante au Conservatoire à Rayonnement Régional de Rueil-Malmaison et travaille en collaboration avec le Cefedem d'Île de France, puis le Pôle Sup 93.
 
Hélène Bordeaux, violoniste
Après un Premier Prix de violon et de musique de chambre en 2001 au Conservatoire National Supérieur de Musique de Lyon, Hélène Bordeaux poursuit sa formation auprès de Philippe Herreweghe et des solistes de l’Orchestre des Champs-Elysées. Elle effectue un Master de deux ans avec le soutien du Mécénat Musical Société Générale, sur l’interprétation du répertoire classique et romantique sur instruments historiques. En 2004, elle entre à l’Orchestre de l’Opéra de Rouen-Normandie. En 2006, après l’avoir auditionnée, Lorin Maazel l’invite pour la première saison lyrique de l’Opéra de Valencia (Espagne)(chef associé Zubin Mehta). Elle joue par ailleurs régulièrement en sonate avec la pianiste Tatsiana Zakharova, et au sein du quatuor Mathilde, fondé en 2018.

Une médiatrice et une interprète en LSF - Langue des Signes Française - s’associent le temps d’une visite pour proposer une transcription bilingue de l’exposition en cours.

Une médiatrice et une interprète en LSF - Langue des Signes Française - s’associent le temps d’une visite pour proposer une transcription bilingue de l’exposition en cours.
Visite Eole et compagnie. © Nathalie Chauvin
Visite Eole et compagnie. © Nathalie Chauvin

Une visite de l’exposition temporaire Le vent. « Cela qui ne peut être peint » rien que pour les enfants. 
Une visite à tous vents, et sans les parents !
Félix VALLOTTON (1865-1925), Le Vent, 1910, huile sur toile, 89,2 x 116,2 cm. Washington, National Gallery of Art, collection M. et Mme Paul Mellon. © Courtesy National Gallery of Art, Washington
Félix VALLOTTON (1865-1925), Le Vent, 1910, huile sur toile, 89,2 x 116,2 cm. Washington, National Gallery of Art, collection M. et Mme Paul Mellon. © Courtesy National Gallery of Art, Washington

Besoin de quelques clés avant de visiter l’exposition Le vent. « Cela qui ne peut être peint » ?
Cette visite « Rafale » est faite pour vous !
Une médiatrice du musée vous propose une introduction à la visite libre, sous la forme d’un focus sur une œuvre ou un artiste présenté dans le parcours.
Joaquin SOROLLA Y BASTIDA (1863-1923), Barque et groupe de femmes à Valence, 1894, huile sur toile, 47 x 67 cm. Limoges, Don E. Dubouché au musée national Adrien Dubouché, 1906, en dépôt au musée des Beaux-Arts de la ville. © Musée des Beaux-Arts de Limoges / Cl. G. Vergnenègre
Joaquin SOROLLA Y BASTIDA (1863-1923), Barque et groupe de femmes à Valence, 1894, huile sur toile, 47 x 67 cm. Limoges, Don E. Dubouché au musée national Adrien Dubouché, 1906, en dépôt au musée des Beaux-Arts de la ville. © Musée des Beaux-Arts de Limoges / Cl. G. Vergnenègre

Venez découvrir l’exposition Le vent. « Cela qui ne peut être peint » en compagnie d’une médiatrice culturelle du musée.
Joaquin SOROLLA Y BASTIDA (1863-1923), Barque et groupe de femmes à Valence, 1894, huile sur toile, 47 x 67 cm. Limoges, Don E. Dubouché au musée national Adrien Dubouché, 1906, en dépôt au musée des Beaux-Arts de la ville. © Musée des Beaux-Arts de Limoges / Cl. G. Vergnenègre
Joaquin SOROLLA Y BASTIDA (1863-1923), Barque et groupe de femmes à Valence, 1894, huile sur toile, 47 x 67 cm. Limoges, Don E. Dubouché au musée national Adrien Dubouché, 1906, en dépôt au musée des Beaux-Arts de la ville. © Musée des Beaux-Arts de Limoges / Cl. G. Vergnenègre

Venez découvrir l’exposition Le vent. « Cela qui ne peut être peint » en compagnie d’une médiatrice culturelle du musée.

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