1 heure 15

Une pièce de l’installation Vasterival en cours de cuisson au CRAFT © Laure Delamotte-Legrand
A l’invitation de Laure Delamotte-Legrand, le MuMa reçoit Pauline Male, directrice du Centre de recherche sur les arts du feu et de la terre de Limoges où la plasticienne a pu bénéficier d’une résidence de création afin de produire une partie de l’installation présentée dans le cadre de l’exposition Retour du vaste monde. Ce sera l’occasion pour l’artiste d’évoquer son travail de création, et pour Pauline Male de nous faire découvrir une structure unique en France, dont les savoir-faire et le programme d’action constituent un précieux soutien à ceux qui investissent le champ de la céramique et celui de la porcelaine dans leur travaux artistiques.
http://www.craft-limoges.org
http://www.craft-limoges.org
Date(s)
- 31 mars 2019
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

François TROCQUET (1959), La captive aux yeux clairs..., 2016, Stylo bille et feutre sur papier japon. © François Trocquet
Sur une proposition de l’artiste François Trocquet et en sa compagnie, le MuMa reçoit Alexandre Mare, critique et commissaire d’exposition. Nos deux invités poursuivront leurs échanges entamés en 2018 à l’occasion de la présentation d’œuvres du premier à la Maison de l’architecture de Rouen.
Date(s)
- 17 mars 2019
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

. © Gaël Dezothez
Tu as entre 7 et 13 ans ? Cette visite est pour toi ! Viens explorer avec nous les fonds marins présentés dans l’exposition du MuMa…
Date(s)
- 22 août 2018
Tarif(s)
Gratuit
Rendez-vous à l’accueil du musée.
La visite se fait sans les parents !
Dans la limite des places disponibles.
La visite se fait sans les parents !
Dans la limite des places disponibles.

. © Gaël Dezothez
Tu as entre 7 et 13 ans ? Cette visite est pour toi ! Viens explorer avec nous les fonds marins présentés dans l’exposition du MuMa…
Date(s)
- 08 août 2018
Tarif(s)
Gratuit
Rendez-vous à l’accueil du musée.
La visite se fait sans les parents !
Dans la limite des places disponibles.
La visite se fait sans les parents !
Dans la limite des places disponibles.

. © Gaël Dezothez
Tu as entre 7 et 13 ans ? Cette visite est pour toi ! Viens explorer avec nous les fonds marins présentés dans l’exposition du MuMa…
Date(s)
- 25 juillet 2018
Tarif(s)
Gratuit
Rendez-vous à l’accueil du musée.
La visite se fait sans les parents !
Dans la limite des places disponibles.
La visite se fait sans les parents !
Dans la limite des places disponibles.

. © Gaël Dezothez
Tu as entre 7 et 13 ans ? Cette visite est pour toi ! Viens explorer avec nous les fonds marins présentés dans l’exposition du MuMa…
Date(s)
- 11 juillet 2018
Tarif(s)
Gratuit
Rendez-vous à l’accueil du musée.
La visite se fait sans les parents !
Dans la limite des places disponibles.
La visite se fait sans les parents !
Dans la limite des places disponibles.

Jean-Philippe Gomez, Sans titre © Jean-Philippe Gomez
L’Atelier de Musique du Havre, partenaire régulier du MuMa, fête cette année ses 40 ans et a imaginé une programmation au long cours pour marquer l’événement.
Le 18 novembre prochain, l’association fait étape au MuMa et invite des artistes - musiciens, danseurs, circassiens, comédiens… tous anciens complices de nombreux projets de spectacles - pour une performance unique où les traces des chemins partagés nourriront l'exploration du moment.
Le 18 novembre prochain, l’association fait étape au MuMa et invite des artistes - musiciens, danseurs, circassiens, comédiens… tous anciens complices de nombreux projets de spectacles - pour une performance unique où les traces des chemins partagés nourriront l'exploration du moment.
Date(s)
- 18 novembre 2017
Tarif(s)
Gratuit
Réservation obligatoire, aux heures d'ouverture du musée, à l'accueil et par téléphone au 02 35 19 62 72

Stéphane Thidet, D’un soleil à l’autre, 2016
Afin de prolonger l’expérience proposée dans l’exposition Impression(s), soleil, le MuMa a imaginé un cycle de conférences, en partenariat avec l’Université populaire et le soutien de la Matmut, sur le thème du soleil. Cet astre qui rythme nos journées joue un rôle essentiel dans nos vies, mais lequel ?...
Tacita Dean, Hiroshi Sugimoto, Olafur Eliasson… De nombreux artistes contemporains s’emparent du soleil comme motif à travers lequel ils racontent le monde et notre rapport au monde. Pour les évoquer, le MuMa invite Colette Garraud, historienne de l’art ayant consacré essentiellement ses publications à la relation entre l’art contemporain et l’environnement naturel.
L’astre dont Monet saluait l’apparition avec Impression soleil levant inspire-t-il encore aujourd’hui les artistes ? En prenant quelques chemins de traverse, en rapprochant des œuvres à première vue distantes tant par leur origine et leur histoire que par les techniques auxquelles elles ont recours, on découvre l’importance des thématiques solaires dans l’art contemporain.
Dès les années soixante-dix, lors du mouvement de sortie des lieux consacrés de l’art au profit des interventions dans le paysage, les artistes du Land Art invitent les spectateurs à suivre, depuis leurs observatoires, les mouvements du soleil (Robert Morris, Nancy Holt). Plus tard, d’autres poursuivront ce dialogue direct avec la nature (David Nash).
La photographie ne sera pas en reste, qui permettra tantôt de piéger le soleil dans des constructions éphémères (Nils Udo), tantôt d’instaurer des liens poétiques entre le corps de l’artiste et l’astre lointain (Barbara et Michael Leisgen), tantôt de feindre une résistance dérisoire aux lois de l’univers (Giovanni Anselmo). Si le soleil est d’abord pourvoyeur d’une lumière dont les artistes retracent parfois les déplacements tout au long du jour (Hicham Berrada), il a aussi sur les choses et sur les corps des effets multiples, décoloration ou brûlures, qu’exploiteront certains (Dennis Oppenheim, Roger Ackling). Et, bien sûr, l’énergie solaire ne pouvait qu’intéresser tout particulièrement ceux qui ont dévolu leur œuvre entière à l’idée de nature (Erik Samakh).
Grâce à un usage savant de technologies complexes, ainsi qu’aux liens qui se tissent entre art et science, l’attention portée au cosmos ne fait que s’affirmer dans des créations récentes où observation et savoir côtoient la fiction, où nature et artifice se confondent. C’est ainsi qu’Hiroshi Sugimoto se sert d’un prisme et d’un miroir pour décomposer la lumière de l’aube, qu’Olafur Eliasson fait surgir un astre gigantesque dans l’espace embrumé de la Tate Modern à Londres, que Stéphane Thidet capte et transforme, afin de nous les rendre audibles, les sons émis par le soleil, et que Laurent Grasso, après bien d’autres œuvres célébrant d’inquiétants soleils fictifs, tantôt doubles et tantôt noirs, ainsi que de fausses éclipses, traduit en lumières mouvantes et colorées les effet du vent solaire sur les hautes tours de SolarWind.
Tacita Dean, Hiroshi Sugimoto, Olafur Eliasson… De nombreux artistes contemporains s’emparent du soleil comme motif à travers lequel ils racontent le monde et notre rapport au monde. Pour les évoquer, le MuMa invite Colette Garraud, historienne de l’art ayant consacré essentiellement ses publications à la relation entre l’art contemporain et l’environnement naturel.
L’astre dont Monet saluait l’apparition avec Impression soleil levant inspire-t-il encore aujourd’hui les artistes ? En prenant quelques chemins de traverse, en rapprochant des œuvres à première vue distantes tant par leur origine et leur histoire que par les techniques auxquelles elles ont recours, on découvre l’importance des thématiques solaires dans l’art contemporain.
Dès les années soixante-dix, lors du mouvement de sortie des lieux consacrés de l’art au profit des interventions dans le paysage, les artistes du Land Art invitent les spectateurs à suivre, depuis leurs observatoires, les mouvements du soleil (Robert Morris, Nancy Holt). Plus tard, d’autres poursuivront ce dialogue direct avec la nature (David Nash).
La photographie ne sera pas en reste, qui permettra tantôt de piéger le soleil dans des constructions éphémères (Nils Udo), tantôt d’instaurer des liens poétiques entre le corps de l’artiste et l’astre lointain (Barbara et Michael Leisgen), tantôt de feindre une résistance dérisoire aux lois de l’univers (Giovanni Anselmo). Si le soleil est d’abord pourvoyeur d’une lumière dont les artistes retracent parfois les déplacements tout au long du jour (Hicham Berrada), il a aussi sur les choses et sur les corps des effets multiples, décoloration ou brûlures, qu’exploiteront certains (Dennis Oppenheim, Roger Ackling). Et, bien sûr, l’énergie solaire ne pouvait qu’intéresser tout particulièrement ceux qui ont dévolu leur œuvre entière à l’idée de nature (Erik Samakh).
Grâce à un usage savant de technologies complexes, ainsi qu’aux liens qui se tissent entre art et science, l’attention portée au cosmos ne fait que s’affirmer dans des créations récentes où observation et savoir côtoient la fiction, où nature et artifice se confondent. C’est ainsi qu’Hiroshi Sugimoto se sert d’un prisme et d’un miroir pour décomposer la lumière de l’aube, qu’Olafur Eliasson fait surgir un astre gigantesque dans l’espace embrumé de la Tate Modern à Londres, que Stéphane Thidet capte et transforme, afin de nous les rendre audibles, les sons émis par le soleil, et que Laurent Grasso, après bien d’autres œuvres célébrant d’inquiétants soleils fictifs, tantôt doubles et tantôt noirs, ainsi que de fausses éclipses, traduit en lumières mouvantes et colorées les effet du vent solaire sur les hautes tours de SolarWind.
Date(s)
- 05 décembre 2017
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

Édouard MANET (1832-1883), Bateaux en mer, soleil couchant, ca. 1868, huile sur toile, 43 x 94 cm. Œuvre récupérée à la fin de la Seconde Guerre mondiale, déposée en 1961 par l'Etat; en attente de sa restitution à ses légitimes propriétaires. MNR 873.. © MuMa Le Havre / David Fogel
Une conférence de Michel Collot
Afin de prolonger l’expérience proposée dans l’exposition Impression(s), soleil, le MuMa a imaginé un cycle de conférences, en partenariat avec l’Université populaire et le soutien de la Matmut, sur le thème du soleil. Cet astre qui rythme nos journées joue un rôle essentiel dans nos vies, mais lequel ?...
A partir du tableau Impression, soleil levant, nous avons demandé à Michel Collot de revenir sur la place du soleil dans l’histoire de l’art occidental, comme motif ou sujet de la peinture. Michel Collot, historien de l’art et de la littérature, est notamment l’auteur de L'Horizon fabuleux paru en deux volumes aux éditions Corti (1988) et de Paysage et poésie (Corti, 2005). Il était intervenu au MuMa à l’occasion de l’exposition consacrée à Nicolas de Staël.
Afin de prolonger l’expérience proposée dans l’exposition Impression(s), soleil, le MuMa a imaginé un cycle de conférences, en partenariat avec l’Université populaire et le soutien de la Matmut, sur le thème du soleil. Cet astre qui rythme nos journées joue un rôle essentiel dans nos vies, mais lequel ?...
A partir du tableau Impression, soleil levant, nous avons demandé à Michel Collot de revenir sur la place du soleil dans l’histoire de l’art occidental, comme motif ou sujet de la peinture. Michel Collot, historien de l’art et de la littérature, est notamment l’auteur de L'Horizon fabuleux paru en deux volumes aux éditions Corti (1988) et de Paysage et poésie (Corti, 2005). Il était intervenu au MuMa à l’occasion de l’exposition consacrée à Nicolas de Staël.
Date(s)
- 01 février 2018
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.

Soleil, Jean-Claude Vial, Christian Ngo, Jean-Pierre Verdet, FAYARD éditeur
Une conférence de Christian Ngô
En partenariat avec l’Université Populaire
Avec le soutien de la Matmut
Sans le soleil, pas de vie possible. Ses rayons lumineux chauffent, éclairent, font pousser les végétaux indispensables à notre alimentation. Une infime partie de l’énergie solaire a été stockée il y a des millions d’années sous forme de charbon, de pétrole et de gaz naturel. Ces sources d’énergie indispensables aux civilisations modernes, ont permis des progrès considérables dans de nombreux domaines. Partenaire santé – puisqu’il fournit au corps de la vitamine D -, le soleil peut être aussi un ennemi à fuir… Entre idées reçues et prospective, le physicien Christian Ngô nous rappelle l’impact du soleil sur notre quotidien, et le rôle qu’il va jouer dans notre avenir.
Christian Ngô, physicien, a été directeur scientifique au CEA, délégué général de l’association ECRIN (Echanges et Coordination Recherche Industrie) et il a fondé Edmonium, pôle ressources en énergie, nanotechnologies et environnement (www.edmonium.fr). Christian Ngô est l’auteur ou co-auteur de plus d’une douzaine d’ouvrages scientifiques.
Le MuMa tient à remercier l’Université Populaire et toute son équipe pour ce partenariat.
En partenariat avec l’Université Populaire
Avec le soutien de la Matmut
Sans le soleil, pas de vie possible. Ses rayons lumineux chauffent, éclairent, font pousser les végétaux indispensables à notre alimentation. Une infime partie de l’énergie solaire a été stockée il y a des millions d’années sous forme de charbon, de pétrole et de gaz naturel. Ces sources d’énergie indispensables aux civilisations modernes, ont permis des progrès considérables dans de nombreux domaines. Partenaire santé – puisqu’il fournit au corps de la vitamine D -, le soleil peut être aussi un ennemi à fuir… Entre idées reçues et prospective, le physicien Christian Ngô nous rappelle l’impact du soleil sur notre quotidien, et le rôle qu’il va jouer dans notre avenir.
Christian Ngô, physicien, a été directeur scientifique au CEA, délégué général de l’association ECRIN (Echanges et Coordination Recherche Industrie) et il a fondé Edmonium, pôle ressources en énergie, nanotechnologies et environnement (www.edmonium.fr). Christian Ngô est l’auteur ou co-auteur de plus d’une douzaine d’ouvrages scientifiques.
Le MuMa tient à remercier l’Université Populaire et toute son équipe pour ce partenariat.
Date(s)
- 16 octobre 2017
Tarif(s)
Gratuit
Sans réservation, dans la limite des places disponibles.
Programmée dans le cadre de l’Université Populaire, cette conférence se déroulera à l’Université du Havre, amphi A5 Jules Durand, UFR Lettres et sciences humaines